EVENT N°9 ♣ Howling, crying, praying ... useless

Torturez les tous

- Silivus Callaghan -

Je suis occupé. En fait comme vous le voyez je ne suis pas occupé, c’est une façon polie de vous dire de dégager.

Rien ne procurait plus de plaisir à Silvius que d’avoir une gamine né-moldu devant lui qu’il pouvait torturer à sa guise. Cette fille allait surement regretter de s’être levé ce matin pour venir en cours. Si elle avait pris la décision de rester bien tranquillement chez elle, elle aurait été sûre de finir cette journée en vie et sans séquelles. Maintenant son destin était des plus incertains, surtout maintenant qu’elle était tombé entre les mains du mangemort. Celui-ci l’avait attaché, l’empêchant clairement de se défendre, avant de lui infliger un sortilège de découpe. Une plaie ouverte dont le sang en coulait. Que c’était jouissif de lire cette douleur sur le visage et dans les yeux de la jeune rousse sans défense. Mais comme Callaghan aimait le jeu, il ne voulait pas que tout soit aussi facile, et laissa le choix à la demoiselle : il pouvait continuer à la torturer ou aller finir le travail avec l’un de ses camarades. L’un dans l’autre, l’homme allait prendre son pied. Il n’avait encore tué personne aujourd’hui, et cela devait bien arriver à un moment ou à un autre. Froid et sans pitié, voilà ce qu’il était. Et grâce à ces deux traits de caractère, il était le parfait membre d’un clan comme les mangemort. Il devrait avoir honte selon elle ? Non il ne ressentait aucunement de la honte, seulement du plaisir. Il n’en avait rien à foutre d’être un professeur, et ne l’était seulement parce qu’on lui avait demandé d’occuper ce poste, aucunement par passion envers les gosses. Elle faisait ce qu’elle pouvait pour se défendre, et comme elle ne pouvait lancer de sorts, elle parlait. Stupide enfant, elle ne comprenait vraiment rien.

– Tu devrais avoir peur, ce que tu peux subir est pire que la mort. Tu es simplement trop stupide pour l’admettre.

Répondit-il froidement. Mais alors qu’il levait une nouvelle fois sa baguette pour s’en prendre à la gamine, il entendit des cris. Un gamin aux cheveux gras s’avançait vers lui visiblement hors de lui, l’insultant par la même occasion. Un rictus apparut sur le visage du vieil homme. Il n’avait visiblement pas besoin d’aller chercher des gosses à torturer, puisque ceux-ci venaient à lui. A croire qu’il n’y en avait pas un pour rattraper l’autre. La stupidité était contagieuse chez les élèves de l’université de Londres. Le gosse essaya de le désarmer, échouant pathétiquement. Et puis il le traita de lâche. Même discours, même idiotie.

*Aucune originalité ces morveux.*

Sa baguette voleta dans les airs. S’il ne savait pas où elle se trouvait, il en avait heureusement une autre dans sa poche, celle de l’idiote au Sang-pur. Il la sortit et la pointa en direction du gamin insolent, et terriblement stupide. De la peur ? Lui montrer de quoi il était capable ? En entendant les paroles de cet incapable, Callaghan ne put s’empêcher d’avoir un rire sadique. Il était pathétique. Plus que cette idiote qu’il avait maitrisé un peu plus tôt, et encore pire que la rousse sans défense à ses pieds.

– Stupide, pathétique, inconscient, impulsif. Le combo parfait d’un Gryffondor-sans-cervelles. J’ai de la chance aujourd’hui je crois.

Commença par dire l’homme de sa voix froide et cynique. Il connaissait ce gamin pour l’avoir eu dans sa classe de botanique l’année précédente. En revanche il n’avait ni retenu son nom ni sa maison. Les gosses ne l’intéressaient pas assez pour qu’il se souvienne de détails personnels à leurs sujets.

– Impero.

Prononça-t-il en visant le gamin aux cheveux sombres.

– A toi de la torturer gamin.

Suivit d’un petit rire sadique.

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'Sorts mangemorts' :
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Attaque Mangemort

Université Sorcière de Londres

15 Octobre 1978. Université Sorcière de Londres. Angleterre.

Caleb n'était pas bien parti pour sortir de cette situation en vie il n'avait pas réussit à lancer correctement son premier sort qui avait fusé et avait atterit sur un pauvre arbre qui lui non plus n'avait rien demander. Il fallait qu'il recentre son esprit sur ce qui était important pour réussir à mener à bien la tâche qui lui était donner aujourd'hui à savoir vivre encore un peu et ne pas faire partie de la liste de victime des mangemorts. Depuis son plus jeune âge le brun luttait pour ne pas tomber dans ce mauvais côté qui enlevait tout jugement à la personne enrôlé et voilà qu'aujourd'hui il devait lutter une nouvelle fois, et cela ne se jouait pas à coup de cris et de disputes mais de sortilèges plus ou moins douloureux. Il s'apprêtait à relancer un nouveau sort pour se sortir de ce pétrin dans lequel il se trouvait quand une autre silhouette approcha cela sentait mauvais pour lui à deux contre un il allait finir entre quatre planche plus vite que prévu, bon sang mauvaise journée.

Rapidement il avisa les options qui s'offrait à lui et fuir n'en n'était pas une il allait devoir combattre pour sa vie et ce même si cela paraissait impossible à faire. Quand le deuxième mangemort ouvrit la bouche Caleb ne pu rien dire il était simplement sous le choc il ne pouvait pas voir le visage de la personne en face de lui mais il n'en n'avait pas besoin parce qu'il savait qui venait de lui parler et cela n'était pas n'importe qui. C'était le moment du face à face tant redouter par le jeune homme il allait devoir affronter son père celui qui l'avait vu naître et qui avait décidé qu'il ne méritait pas d'être aimé si il ne suivait pas la voix toute tracé dans le monde de la magie noire.

" Papa, je ne dirais pas que je suis ravie de te voir cela serait un mensonge" Il n'avait pas une bonne relation avec son père, avant cela n'était pas pareil parce que le garçon n'avait pas clairement tourné le dos à sa famille mais cela était le cas depuis la fin de sa septième année à Poudlard il avait fait un choix qu'il devait désormais assumer. " Quand à l'arbre il te ressemblait un peu trop je voulais m'en débarrasser mais il semble tenace" Bon cette fois il devait croiser les doigts pour réussir son sort sinon il allait avoir la honte de sa vie devant son père. " Stupéfix" Et pouf le premier mangemort l'ayant attaquer n'était plus en état de s'en prendre à lui cela serait désormais un combat entre Carlton, père contre fils et que le meilleur gagne.

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'Sorts adultes' :
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Attaque Mangemort

Université Sorcière de Londres

15 Octobre 1978. Université Sorcière de Londres. Angleterre. TOUR 2

Petit résumé :

La cours était un désastre, les étudiants téméraires essayaient de repousser leur assaillant et bien que cela ne fut pas chose aisé, ils arrivaient à se dépatouiller dans ce merder. Fuir chercher les autres, se battre. Avery qui avait réussit à se libérer des derniers petits étudiants qui avaient essayé de s'en prendre à lui semblait si heureux dans la cours. Il lança sa baguette vers le ciel : Morsmodre Un jet de lumière jaillit de sa baguette magique, tandis que la marque des ténèbres prenaient forme. Une manière simple de faire peur. Il ne lui restait plus qu'une chose à faire : tuer, torturer et mettre hors d'état de nuire les personnes qu'il pouvait. Une jeune femme attira son attention, une fille sur le sol qui respirait, une belle femme presque trop belle pour un être humain. Elle n'avait pas l'air franchement morte. Il s'approcha lentement avant de l'observer. La jeune femme était stupéfier. Aurora Beckett ne pouvait rien faire. « Tu es tombé sur la mauvaise personne aujourd'hui, ma belle. »

Crabbe et Goyle, presque inséparables, ne savait trop où donner de la tête, il n'y avait pas grand chose à faire dans cette cours. Trop bête pour se rendre compte de là où ils pouvaient aider, les deux comparses se dirigèrent vers ceux qui pourraient leur mettre des battons dans les roux, ceux qui étudiaient la médecine. Stupides comme ils étaient, ils ne se rendait pas compte que déjà certains élèves étaient déjà partis donner des soins aux autres. Mais certains étaient toujours là. Ils lancèrent de nombreux bombarda maxima afin de détruire les fioles, les chaudrons et le matériel médical. Détruisant tout,sur leur chemins, ils rencontrèrent deux jeunes étudiants qui fuyaient vers un autres endroit. Et ils se mirent à rire. A rire devant Phoenix Malefoy et Drago Malefoy.

Fuir le feu était la seule solution, Alexandra Slughorn dans la fumée de la pièce, se dirigea vers des escaliers montant, perdant au passage son acolyte. Elle arriva finalement dans les étages, alors que tout les élèves se pressaient pour fuir la zone enflammé, fuir les mangemorts. Ils ne savaient faire que ça. En colère de s'être fait avoir par un sortilège lancée par un morveux, elle lança de nombreux sortilèges dans tout les sens. Tuer, pétrifié, stupéfié, blessés, tout y passa dans la liste. Il fallait quelqu'un pour l'arrêter. Et si Mary pouvait arrêter ce massacre ?

La première salle de classe venait d'être frappé les mangemorts, en flamme, les étudiants comme les serviteurs du seigneurs des ténèbres fuyaient la bâtiment le laissant à l'abandon. Traversant la cours, où de nombreux combat faisait rage, ils allèrent ensuite dans la bibliothèque universitaire c'était le lieu ou il y aurait sans doute le plus de jeune cachés dans l'attente que les choses se passent et il fallait faire grande impression dès l'entrée dans la pièce et c'est ce que les forces du mal firent en coupant toute les lumières de la pièces et en faisant claquer les portes pour les boucler, les jeunes étaient pris comme du bétails dans cette partie du bâtiment. Personne ne viendrait les sauver. Maxwell menait les autres parce qu'il avait été désigné, par le précédent chef qui avait autre chose à faire, pour tenir se rôle et tout le monde restait pour le moment à sa place, cependant il se doutait bien que cela ne serait pas le cas durant toute l'attaque les caractères et les fiertés allait ressortir pour faire mieux, pire que les autres et avoir les bonnes grâces du maître qui attendait dans son manoir.

Les autres bougèrent pour s'amuser avec des jeunes et vérifier qu'il n'y en avait pas cacher dans les étagères le but étant de rassembler tout le monde pour pouvoir mettre la pression aux jeunes et faire naître en eux la pire peur de leur vies, le but étant de les faire pleurer de leur faire subir les pires souffrances. Ici il n'y avait pas d'homme ou de femme simplement des dommages collatéraux qui ne méritaient pas d'être en vie car ils ne faisait pas partie du bon mouvement.

Il attrapa une petite grosse boutonneuse et la tira vers lui pour se mettre devant le troupeau de chèvres sous ses yeux. " On va commencer par les plus moches ils me piquent les yeux" Méchant et gratuit mais il était totalement froid et sans cœur et n'avait pas de peine pour les personnes qui tenait en otage, il n'avait de peine pour personne cela n'était pas utile et cela rendait faible par dessus tout et être faible signifiait mourir rapidement ce qui n'était pas dans les plans de notre mangemort.

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Attaque Mangemort - Darius Corriveau

Université Sorcière de Londres

15 Octobre 1978. Université Sorcière de Londres. Angleterre.

Darius avait soif de sang, de douleur. S'il se retenait de faire autant de victimes que d'habitude, c'était tout simplement parce que Le Maître l'avait demandé. Pas de perte humaine. Du moins... Le plus possible. Il s'était permis une limite qui lui semblait "raisonnable" et il allait dire que ces jeunes gens l'avaient bien chercher. Il était une machine à tuer, pas un gentil qui venait donner des avertissements! Cette idée d'attaquer l'université l'ennuyait profondément à la base et il aurait largement préféré quelque chose de plus important, mais s'il pouvait changer cela en jeu, s'était plus drôle! Plus palpitant! Les gens devenaient des numéros ou des cibles rouges et blanches. Si ce n'était que des masques qui différenciaient les Mangemorts des autres, il aurait bien pu viser un de ses pairs sans s'en rendre compte.

Le Mangemort, par contre, ne s'était pas attendu à ce qu'une aveugle et un étudiant imbécile réussissent à s'enfuir sans recevoir un seul sortilège de sa part ou de celle d'Alex et avoir mis le feu à une salle de classe. Mais MERDE! Ces mômes devenaient de plus en plus dangereux! Ils pensaient aux sang-purs qu'ils pourraient blesser comme ça? Cela avait le don de l'enrager!S'il les retrouvait, il allait bien évidemment les mettre dans un bûche, tiens! Comment on dit: Troll pour Troll, Crapaud pour Crapaud! Mais ce serait plus compliqué comme son acolyte avait filé à l'anglaise en le laissant seul dans cette pièce en flemme! La connasse, va! Il allait se venger plus tard!

Ne voulant pas finir en Mangemort rôti, Darius transplana dans la cour. Enfin à l'air libre loin du fumé étouffant! Il devait trouver une nouvelle victime, mais qui...? Il remarqua un jeune homme, seul, qui venait d'éviter un sortilège. Bien! Ce serait celui-là! Il était justement derrière lui et il ne verrait pas le coup venir! Il s'approcha de quelques pas. Avec le bruit des sorts qui fusaient, il ne fut pas compliqué d'arrivée sans faire de bruit. Il sourit jusqu'aux oreilles en arrivant dans le dos du garçon. Il tapota de l'index son épaule et lorsqu'il se revira, il pointa sa baguette sur sa tempe.

- Coucou! Je vais jouer avec toi! DOLORIS!

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'Sorts mangemorts' :
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Comme la jeune femme s’inquiète pour son père, elle entraine George un peu partout, cherchant toutes les pièces que les aurors du ministère pourraient avoir eut l’idée de pénétrer pour y sauver des élèves. La demoiselle ignore que son paternel n’est pas sur les lieux, occupé à défendre Pré-au-Lard attaquée au même moment, ce que tous ici ignorent, sans remarquer qu’il manque certains mangemorts bien connus. Sans remarquer que l’attaque est menée somme toute par un petit groupe et non par toutes les forces du seigneur des ténèbres. Même Lisa ne songe pas à cela, imaginant simplement que ces derniers n’avaient pas l’intention de s’encombrer de trop de monde, pour « une bande d’élèves » comme elle l’entend dire sur sa droite.

Lisa évite un sortilège en proposant à George qu’ils aillent à la bibliothèque, instinctivement. Elle sait que cet endroit contient toujours pas mal d’étudiants et qu’il doit y avoir donc du monde là-dedans, que les aurors auront peut-être eut la même idée qu’elle. Elle oublie seulement que le plus «gros du massacre», le plus visible, celui qui aura retenu l’attention des forces venu à leur secours, c’est celui qui se joue dans la cours et, qu’alors, ils se précipitent simplement vers les ennuis, pour leur part.

Dans la bibliothèque, dans laquelle ils entrent par une porte dérobée, il n’y a pas de lumière et Lisa fronce les sourcils en chuchottant pour son tendre que ça n’est pas normal. Elle sent son coeur qui s’emballe. Et elle propose de faire demi-tour. Sauf que la porte par laquelle ils sont entré refuse de s’ouvrir, n’acceptant que les entrées, par les sorties.

«- Bordel de merde, on est prit au piège ! Ils sont forts ces enfoirés !» chuchote Lisa pour George, en gardant sa main dans celle de ce dernier, pour ne pas s’éloigner de lui. «Bon… faut trouver un autre moyen de se tirer d’ici.»

Event n°9
Spencer D. Madley

Il aurait aimé sourire tandis que Daphné faisait de l’humour. Elle parlait de manière légère surement pour se détendre un peu alors qu’ils étaient dans une situation critique. Spencer se surpris à penser que peut-être était-ce dû au fait qu’elle ne pouvait pas voir ce qui se passait devant eux. Mais non si elle avait encore eu la vue, Daphné aurait combattu, elle se serait battue aurait surement fait mieux que lui qui avait foutu le feu à la salle. Elle aurait mieux géré que lui. C’était à lui de la sauver de cet endroit, de la mettre en sécurité. C’était la moindre des choses, elle aurait fait la même chose pour lui si les rôles avaient été inversé, Spencer le savait très bien. Ils avaient la chance avec eux, les sorts ne les atteignaient pas. Il a peur lui aussi, mais il ne peut pas se laisser aller à ses craintes, il ne peut pas être passifs dans tout ce qu’il se passe. Il se doit d’être un héros, de faire les choses biens comme il a toujours pensé les faire. Même si parfois il déçoit les autres par ses gestes, notamment Allison, il ne doit pas être dans cette positions aujourd’hui. Alors qu’il porte Daphné dans ses bras pour s’enfuir, elle lui demande qui a mis le feu dans la pièce. Elle avait raison c’était une salle de classe, il n’aurait jamais dû faire ça dans une pièce aussi petite. Lui mentir ? Accusé les mangemorts, il pourrait, mais ce n’était pas son genre. « Je suis désolée, c’est moi. Je n’ai pas trop réfléchi, ça faisait une bonne diversion. Et puis on a évité un incendio qui nous était destinée aussi.» Ouais on se justifie comme on peut et puis il n’avait pas été le seul à être inconscient. Echappant de peu à un sortilège de doloris, Spencer tente de brouiller la vue de son agresseur, sans grand succès. Daphné a bien entendu le sort et il ne s’est pas rendu compte que cela pourrait la blesser d’utiliser ce sortilège. Obscuro, rendre les gens aveugle pour quelqu’un qui l’est déjà, c’est plutôt un comble. Mais toujours sur la point de l’humour, l’ex-serpentarde lui demande si c’est une blague en rapport avec sa condition. Il la regarde. « Je ne me permettrait pas voyons. » De l’humour dans cette bataille cela ne fait pas de mal et ça aidait Spencer à tenir face à tout ça. Il faut fuir, loin, aussi loin qu’ils le peuvent. Mais où ? Il devait la mettre en sécurité. L’université était assiégée de partout, il ne pouvait pas aller n’importe où, il ne pouvait pas la ramener dans sa chambre, ce ne serait pas la meilleure solution. Il transplana et finalement l’endroit auquel il pensait à l’air plutôt sûr. Il doit y avoir d’ailleurs une porte qui mène vers l’extérieur non loin s’il se souvient bien, peut-être même un passage secret, mais ça n’est rien sûr, on lui a raconté que c’était une légende. Spencer est a bout de souffle. Il a prit sur lui pour affronter les mangemorts, mais son état psychologique n’est pas au mieux. Il a envie de partir d’ici. Et il a peur. Il est né moldu, ceux que les mangemorts détestent le plus au monde, ils ne les aiment pas car ils pensent qu’ils sont inférieur. Et si les mangemorts gagnaient ? Et s’ils traquaient tous les né moldu. Spencer devrait se cacher. Et il voulait pouvoir compter sur Daphné. Alors épuisé, abattu contre le mur, il posa la question à son amie. Elle ne voulait pas y croire et dans ses explications elle parla de sa sœur, de Poudlard. Spencer n’y avait pas pensé, mais peut-être que l’école de magie avait aussi été touché par les mangemorts. Il ne savait pas, mais il pensa à Allison. Elle était comme une petite sœur, il l’aimait plus que tout au monde et même s’il savait qu’elle pouvait se montrer forte, voilà qu’il se mettait à avoir peur pour elle. Pourquoi ne pouvait-il pas mettre les gens qu’il aimait en sécurité ? Pourquoi il n’était pas capable de sauver la vie de ceux qu’il aimait ? Il n’était jamais là quand il fallait. Daphné avait perdu la vue parce qu’il n’était pas là. Et maintenant Allison allait peut-être perdre la vie parce qu’il n’était pas avec elle … Il ne savait pas. « Poudlard … Poudlard à été touché ? Est-ce que tu le sais ? » Sa voix n’était pas sereine. Il ignorait tout, il en venait presque à s’en ficher de sa propre vie. Daphné lui promit que si tout se passait mal, elle serait là. Finalement elle lui demanda où ils étaient. Aller il fallait se reprendre, Allison était une femme forte, il fallait qu’elle trouve cette force en elle. Il savait qu’elle y arriverait, elle pouvait le faire. S’inquiétait pour Daphné d’abord qui était avec lui, qui ne pouvait se défendre sans lui. « Dans un couloir, dans un secteur assez éloigné de tout ça. J’ai voulu nous amener dans nos chambres, mais je ne savais pas si c’était une meilleure idée. Et je me voyais mal t’amener chez ma mère. » Mais peut-être que cela aurait été la meilleure idée. Alors qu’il prononçait ses derniers mots, il entendit une voix. Elle est loin, c’est une voix d’homme. Un autre mangemort à l’horizon ? Pas vers eux en tout cas. Spencer regarde le couloir vers la droite. Dans cette direction, il y a la bibliothèque. De ce qu’il en sait, elle n’a pas encore été touché, mais si la voix provient bien de là, faudrait-il faire quelque chose ?

electric bird.

Si on voulait vraiment, mais vraiment insulter un Serpentard, il suffisait de le traiter de Gryffondor. Pour eux, c'était l'insulte suprême. JAMAIS il ne fallait faire cette bourde si vous voulez vous en sortir sans égratignures! C'était tout autant injurieux que de traité une née-moldu de Sang-de-bourbe. Les Serpentards se vantaient d'être meilleurs que les rouges et ors. Alors que quelqu'un s'imagine qu'ils sortaient d'une telle maison avait le don de les mettre en rogne. Principalement Rogue qui le fusillait du regard en commençant à ressentir un fourmillement dans son bras tenant sa baguette. NON! Ce dernier n'eux pas le chois d'avancer vers Lily jusqu'à ce qu'elle soit à ses pieds.Il essayait de lutter contre le sortilège, mais il n'y arrivait pas! Il était tellement traumatisé physiquement par le stupéfix et son effort pour utiliser la légilimencie sur Lullaby qu'il était incapable de protéger son esprit avec l'occulumentie.

-Serpentard...,il grommela avant de jeter un regard désolé à sa meilleure amie en essayant de se retenir le mieux qu'il pouvait, mais sa baguette le démangeait tellement... Je suis désolé Lily... Je n’ai pas le choix...

Il pointa sa baguette vers elle et une lumière sortit de sa baguette. Le sortilège Doloris... Il ferma les yeux pour ne pas la regarder. Il ne voulait pas la voir, mais il l'entendait hurler...Il n'y avait rien de plus horrible pour le vert et argent. Ce n'était pas n'importe qui... Ce n'était pas un inconnu... C'était la meilleure amie qu'il n'avait jamais eu, son premier amour et il devait la faire souffrir de sa propre baguette.

- Un jour je vous retrouverais... et je vous ferais subir le même traitement que vous m'avez obligé à faire..., il dit au mangemort avant de jeter une nouvelle fois le sortilège interdit sur la rouquine.

Quand, enfin, le Mangemort s'eu lacé d'eux et Severus fût libéré un peu après, il se dépêcha de prendre Lily dans ses bras. Il allait l'emmener à l'infirmerie, l'y cacher et retourner dans le parc chercher Lullaby. Heureusement, il ne croisa pas Crabbe et Goyle qui se trouvaient dans le coin et il put mettre Lily en sécurité puis sécuriser l'infirmerie avec un sort de protection. Maintenant, il retournait chercher Lullaby dans le parc.

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Attaque Mangemort

Université Sorcière de Londres

PNJ Guilherme

Face à son fils Guilherme était serein. Il n'avait rien à craindre de lui. Ce garçon qui avait renier sa famille, qui avait renier son éducation, qui lui avait tenu tête pendant des années, qui semblait être irrécupérable. Guilherme ne savait même pas comme Caleb pouvait être issus de son propre sang, il était si différent de son père, si décevant. Si seulement il avait pu le contrôler mieux que ça, s'il avait pu ne pas l'envoyer à Poudlard, pour qu'il rencontre ce moins que rien de Tibus Tagel, ce poufsouffle qu'il ne connaissait pas, mais qui semblait avoir une certaine influence sur son fils. Si seulement son propre enfant, n'était pas lui. Il aurait préféré en avoir un autre, il aurait aimé pouvoir le jeter dans une rivière à sa naissance s'il avait sut que ce serait une telle déception. Mais peut-être y avait-il un espoir. Caleb tenait surement à quelque chose, quelque chose ou quelqu'un que Guilherme pourrait utiliser contre son enfant, qu'il pourrait manipulait aisément afin que son fils soit celui qu'il devait être. Mais non il faisait honte aux Carlton. Si seulement il n'avait pas pris les armes contre sa propre famille, contre les mangemorts, contre le seigneur des ténèbres. Mais le voir ainsi dans cette bataille tenter vainement de lancer de sortilège, le mangemort était certains que son fils allait être irrécupérable. Il aurait put lui lancer un imperium afin de le faire rejoindre les rangs, il aurait pu le forcer à porter la marque, à être traquer. Mais Guilherme avait louper quelque choses dans son éducation. Enfin pouvait-on vraiment en vouloir au père d'avoir essayer ? Il lui avait pourtant appris que le sang pur était supérieur à ses crétins de sang-de-bourbe. Il lui avait montré la puissance qu'on pouvait avoir face aux autres, ces capacités à parler et manipuler comme on le souhaitait. Sur son langage Guilherme ne pouvait pas nier qu'il n'avait pas foiré dans son éducation. Caleb avait une façon de parler assez intéressante, dommage que ces mots de serpents soient destinés à son paternel. Le mangemort se tenait là, alors que celui qui avait attaqué son fils ne bougeait plus ayant reconnu Monsieur Carlton, sans doute avait-il compris que le jeune homme qui leur faisait face était le traître à leur camp. Traître c'était un grand mot, Guilherme pensait que Caleb était toujours sauvable. Même si pour y arriver il allait devoir lui donner une correction. Sous son masque il sourit aux premiers mots de son fils. Pourtant qui n'était pas heureux de revoir son père ? « On ne se débarrasse pas d'un arbre aussi facilement, Caleb. ET quoiqu'on fasse on ne se débarrasse jamais de sa famille. » répondit-il d'une voix calme. Guilherme était amusé de la situation. Son fils stupéfia le mangemort qui l'avait attaquer en premier. Père et fils étaient face à face, prêt à s'affronter. Le mangemort se mit en position de duel. « Aller ! Nous allons voir si tu mérites de porter mon nom. Mais faisons vite je n'ai pas que ça à faire. » Guilherme lança le sortilège Confrigo afin de détruire le sol au niveau des pieds de Caleb. Malheureusement pour lui, le sort ne donna pas l'effet voulu et alla émettre quelques petits flammes dans l'herbe. Le mangemort bouillonnait de rage. Tel fils, tel père.

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'Sorts mangemorts' :
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Daphné hoche la tête, elle ne dit rien comme l’homme avoue être à l’origine de l’incendie qu’elle devine se propager dans cette salle d’entraînement pour les aspirant Aurors. Il n’est pas seul à avoir pensé que le feu était une bonne arme, puisque des mangemorts ont apparemment utilisé, sans que la brune ne puisse le remarquer, le même maléfice. A croire que tout le monde a pensé que c’était un super endroit pour faire une party endiablée, mettre «le feu à la scène.» L’humour jusqu’au bout, pied au plancher. Parce que concrètement quand t’es potentiellement pas loin d’y passer, il vaux mieux chercher à en rire qu’en pleurer, histoire d’emporter dans la tombe quelques bons souvenirs, au moins.

«- Hé ben ! Je savais que je te rendais chaud comme la braise mais là quand-même trésor, t’as fait fort !»

L’humour, encore, pour ne pas sombrer et pour garder Spencer en bonne forme pour la suite. Parce que Daphné sait très bien que la situation est angoissante pour ce dernier. Malheureusement la panique n’a jamais sauvé la mise à personne et elle ne veut pas que le jeune homme s’angoisse. Elle ne veut pas qu’il fasse quelques folies que ce soit, par inadvertance, pour avoir prit une mauvaise décision. Alors blaguer, même si au fond elle n’a pas le cœur à rire, cela lui permet d’avancer et, jusqu’à maintenant, cela leur permet de s’en sortir. Alors Daphné a prévu de continuer, s’il lui tend la perche, si elle est inspiré.

Alors que le jeune homme essaie d’aveugler un de leurs assaillant, la jeune femme lève un sourcil et le questionne, plus pour tendre une perche que pour vraiment le réprimander. Et il lui en donne une en retour, que la jeune femme saisit au vol. Elle ne sait pas bien comment cela pourra être interprété cependant. Mais tant pis, ce n’est pas comme si la situation lui permettait de vraiment prendre le temps de réfléchir, elle a besoin de spontanéité.

«- Oui en effet, évite si tu ne veut pas que je tâte de ton joli p’tit derrière !» menace Daphné. «Et ne dis pas que je ne le vois pas, c’est pas parce que je ne le vois plus aujourd’hui que je ne l’ai jamais vu hein !» prévient la brune.

Il se pourrait qu’un ou deux regards, autrefois, aient «accidentellement» glissé sur Spencer, sans aller plus loin. Parce qu’elle était fiancée, préoccupée, qu’elle devait surveiller Astoria, penser à rentrer chez eux, qu’elle avait Terry dans les parages aussi et que Spencer était un 1977. Pour autant ne pas l’envisager sérieusement ne voulait pas dire que la brune n’avait jamais regardé son ami. Et pour le voir, elle l’avait vu.

A l’abri, la jeune femme demande où ils sont, en parlant de poudlard, où sa sœur doit être à l’abri. Mais Spencer la fait douter tout à coup et elle redoute l’idée que peut-être, d’autres mangemorts attaquent l’école. Mais ça paraît impossible, parce que somme certains diraient, il n’y a pas d’endroit plus sûr que Gringott, sauf Poudlard. Et puis il y avait Dumbledore et quelques excellents professeurs, qui repousseraient l’idée d’une attaque dans la tête de n’importe quel mangemort saint d’esprit. A moins qu’ils ne le soient pas.

«- J’espère pas… C’était tellement le bordel chez nous que je préfère penser que tout va bien...»

Mais tout ne pouvait que bien aller pour Poudlard, en soit et la sorcière fermant les yeux, ce qui ne changeait pas grand-chose pour elle, poussa un long soupir. Elle sourit en entendant les propos du sorcier, mais c’est un sourire un peu crispé.

«- La chambre carrément, j’vois que t’y pense souvent… l’idée du danger, l’adrénaline de se faire surprendre au moment inopportun, tout ça ouai j’vois c’est carrément excitant.» lance la brunette. «Mais c’est pas un peu tôt pour les présentations officielles à ta mère ? Si, hein !?»

Mais comme elle entend des bruits, des voix, elle aussi, la sorcière se raidit. Elle ne sait pas d’où ça vient, elle ne sait pas ce qui se passe. Mais elle sait qu’il vaut mieux qu’on ne les trouve pas, au fond. Bien que ce soit égoïste.

«- On devrait bouger de là… Faudra que tu m’aide pour ma réorientation…. Je suis vraiment bonne dans le rôle de l’Auror en carton !»

Event n°9: mangemorts à l'université

- Tyler Wilson -

Ma vie s'est complètement retournée quand tu es arrivé. Je sais plus ce que je fais, mais pour rien au monde je te lacherais.

Tyler était arrivé en plein milieu d’un champ de bataille. Cinq minutes auparavant, il tenait son fils dans ses bras, le confiant à sa mère, avant de les quitter tous les deux. Un matin normal comme il l’avait pensé. Seulement un cours puis ensuite il aurait passé la fin de sa journée avec sa famille, tranquillement. Au lieu de cela, il se retrouvait une nouvelle fois au milieu d’une attaque impromptue. Et évidemment cela faisait ressortir de mauvais souvenirs : cette attaque au ministère de la magie quelques mois plus tôt. Autour de lui, des jeunes étaient déjà à terre. Chacun essayait de se battre comme il le pouvait pour tenter de résister, de survivre, et de mettre à mal le plan de destruction de l’ennemi. Pendant un instant, il resta pétrifié face à cette scène absolument horrible. Puis il attrapa sa baguette, il était grand temps de se bouger. En tant que futur auror et membre de l’ordre, il devait faire quelque chose. Il eut une pensée pour son fils, avant de totalement l’enlever de son esprit. Il ne pourrait pas prendre de risques s’il pensait à son bébé, et au fait qu’il pourrait se retrouver son père. Il le chassa de son esprit, et avança dans la cours.

Il voulut se précipiter vers les deux pauvres jeunes gens à terre. Une fille et un garçon qui venaient de subir des sortilèges de torture. Ils étaient tellement mal en point qu’ils restaient allongés sur le sol froid de la cours de l’université. Il fallait les bouger de là avant que quelqu’un ne décide de venir finir le travail. Mais alors que Tyler se dirigeait vers eux, un mangemort arrivait en courant vers lui. Il se jeta à terre pour éviter un sortilège de justesse, se blessant légèrement au visage par la même occasion. Il attrapa sa baguette et lança un stupefix pour le mettre hors d’état de nuire. Le garçon venait de se relever, et était prêt à reprendre sa course … Mais quelqu’un lui tapota l’épaule. Tyler se retourna sa baguette en main. Un homme venait de poser sa propre baguette sur sa tempe. Tyler ne bougea pas d’un cil, se rendant compte qu’il était maintenant en très mauvaise posture, totalement à la merci du mangemort devant lui. Il le regarda dans les yeux, avant d’entendre sa voix sadique. Une demi-seconde plus tard, le sortilège était lancé.

Tyler se retrouva rapidement sur le sol, se tordant de douleur face à ce que cet homme était en train de lui infliger. Ce n’était pas la première fois qu’il subissait ce genre de sort, et pourtant il n’était toujours pas prêt mentalement à absorber ce genre de douleur. C’était comme si quelqu’un était en train de casser un à un chaque os qui se trouvait dans son corps, lui assenant des coups de couteau en même temps. Insupportable, c’était le mot. Tellement douloureux, que le jeune homme ne pouvait s’empêcher de laisser des gémissements s’échapper de sa bouche. Que cette douleur cesse …

– Arrêtez cette douleur.

Articula-t-il dans un souffle tandis qu’il continuait de gémir. Il voulait que cette douleur s’arrête complètement. Sa baguette dans la main, il la leva en direction de l’homme, essayant de rassembler son esprit pour pouvoir lancer un sortilège de protection. Mais il en était incapable. Il n’arrivait pas à penser, il n’arrivait pas à réfléchir à cause de cette souffrance. Il était coincé dans sa douleur et dans son impossibilité de jeter un sort pour l’arrêter.

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