AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-39%
Le deal à ne pas rater :
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON AVR-X2800H, Enceinte ...
1190 € 1950 €
Voir le deal

Partagez
 

 Ayla ▬ Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Aller à la page : 1, 2  Suivant
AuteurMessage
NEUTRE
Mathéo A. Collins
Mathéo A. Collins
Bonjour ! J'appartiens à la maison : Anciennement Slytherin, actuellement à l'école des sports de Londres. J'ai posté : 627 hiboux. Grâce à moi ma maison a gagné : 6 pour une aventure ! Je suis de la génération : Etudiant de 1977. . Je suis un aventurier : on peut me blesser A savoir sur toi : « Un peu trop fêtard parfois, j’ai surtout le chic pour me m’attirer des ennuies. Vraiment pour le coup, j’ai pas de chance du tout, donc faites attention quand vous m’approchez. Sinon je suis quelqu’un de gentil et de doux, même si je peux être un peu trop caractériel quand j’ai fini ma limite. En clair, me cherchez pas trop. J’ai toujours ce problème avec les filles. Du mal à les approcher et encore plus à conclure. Vous voyez le gars qui transpire, avec les mains tremblantes, et qui bégaye à chaque fois qu’une fille lui adresse la parole ? Bah ce type c’est moi … »

Ma carte de chocogrenouille
Epouvantard: Lui-même en mangemort.
Patronus: Renard
Capacité spéciale: Aucune

Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. Empty
MessageSujet: Ayla ▬ Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.  Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. EmptySam 11 Juin - 23:40


“Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.”



Ayla & Mathéo





Le jeune homme était assis sur son lit. Les cours étaient terminés et il était revenu dans le dortoir pour se préparer. Il avait encore une heure et demie voir deux heures avant que le repas ne commence. Sa tête se tenait entre ses mains comme s’il avait mal à la tête ou alors peut-être réfléchit-il. Peu importe, pas un chat dans la salle commune ni même dans le dortoir des garçons. A cette heure-ci, les gens étaient en train de faire leurs devoirs afin d’en être débarrassé quand viendrait l’heure du diner. Le Serpentard pourrait faire la même chose, mais il n’en avait pas envie et puis d’ailleurs, il avait quelque chose d’autre à faire maintenant. Et puis au pire il pourrait confier son travail à Lullaby Williamson. Elle se fera bien un plaisir à en faire un peu plus. Et puis quand Mathéo n’avait pas le temps, il lui confiait ses devoirs et il ne l’avait jamais vu refuser. Ce n’était pas aujourd’hui que ça allait commencer quand même. Bon certes, à chaque fois il devait le payer de sa poche mais ça faisait quand même beaucoup d’heures et d’énergie économisé. Bref, il savait qu’il devait se dépêcher. Il était déjà en retard. Il regarda rapidement sa montre. Dix-sept heures 40. Déjà dix minutes de retard et il ne semblait pas complètement pressé. En fait, il flippait un peu et retarder le moment où il devrait y aller en se cherchant des excuses. Ce qui était totalement stupide, car ce n’était pas comme si c’était le premier rendez-vous qu’avait le jeune homme avec Ayla Abbot. En effet, il lui avait fait passé un petit mot en classe un peu plus tôt dans la journée pour lui donner rendez-vous, près du lac après les cours.

*Tu ne peux pas partir tant que tu ne t’es pas massé la cheville, tu risquerais de te la casser OU Non ça ne se fait pas d’arriver trop à l’heure, tu passeras pour un bizu OU Non coiffe toi encore les cheveux, ils ne sont pas tout à fait plat, la 50ème sera la bonne*

Bref que des excuses plus ou moins intelligentes, plus ou moins censé. Mais bon vous vous demandez peut-être ce qui lui arrive au petit Mathéo. Et bien pour une personne normale, tout irait bien mais vous savez, c’est de Mathéo qu’on parle là. C’était leur second rendez-vous, et tout s’était plutôt bien passé jusqu’ici, les deux jeunes continuaient d’apprendre à se connaître doucement et surement. Il y avait même eu quelques contacts physiques, comme une main tenue, ou alors une tête sur une épaule. Rien de plus, évidemment, parce qu’il ne fallait quand même pas trop en demander au petit Mathéo trop vite. Bon un petit allé vers la salle de bain. On met un peu d’eau sur son visage et c’est parti. Bon maintenant qu’il s’était mis un peu d’eau sur lui, il en avait mis un sur ses cheveux aussi. Ah mince, il fallait les sécher maintenant puis les recoiffer une bonne dizaine de fois.

*Non mais genre Mathéo, tu crois vraiment t’en tirer comme ça ! Tu t’en fous de tes cheveux mouillé, t’y vas comme ça*


Le jeune homme était donc sorti de son dortoir, cette fois-ci prêt à y aller, pour ne pas arriver en retard. Du moins pas trop en retard, car il l’était déjà de toute façon. Mais malheureusement pour lui, il avait croisé Rebecca dans les escaliers. En ce moment la Serdaigle était très en forme pour faire un peu de bourrage de crâne à Mathéo, et visiblement, elle était d’humeur à ça, aujourd’hui aussi.

Rebecca ne semblait pas apprécié beaucoup Ayla, et ne prenait pas de gants pour le dire à Mathéo. Le jeune homme évitait de trop donner son avis dans ce genre de cas, car il n’avait vraiment pas envie de se mettre l’une des deux filles à dos. Mais il n’avait pas pu éviter Rebecca et il savait pertinemment que la jeune femme allait le retarder. Et ça ne manqua pas, elle commença à lui parler pour savoir ce qu’il pouvait bien faire dans les couloirs. Ainsi Mathéo essaya de lui expliquer rapidement qu’il avait un rendez-vous avec Ayla au lac, et qu’il fallait qu’il se dépêche car il était déjà en retard. Mais ce n’était pas le genre de chose qui arrêtait Rebecca, bien au contraire.

*Tu es dans de beaux draps, mon pauvre petit Mathéo.*

Et Rebecca commença à lui expliquer sa théorie à propos d’Ayla Abbot. Elle lui raconta qu’elle savait beaucoup de choses sur la jeune femme et que Mathéo ne devait pas lui faire confiance. Elle lui annonça d’ailleurs qu’elle était sûre qu’elle voyait quelqu’un d’autre en cachette. Mathéo commença à rigoler de la bêtise de son amie, mais elle semblait tellement convaincue par ce qu’elle disait que ça en devenait déroutant. Pour Rebecca, Ayla n’avait jamais cessé de voir Irélia, qui était d’ailleurs également une amie de Mathéo, depuis qu’il avait commençait à se « fréquenter ». Elle avait entendu ça dans la salle commune des Serdaigles. Rebecca était très clairement en train de l’embrouiller juste avant son rendez-vous avec Ayla, et ce n’était pas bon du tout.

*Tu deviens complètement parano Mathéo. Arrête de parler avec Rebecca, elle te pourrit l’esprit, sérieux !*

Le jeune homme avait donc donné rendez-vous à Ayla à dix-sept heure trente après les cours. Mais il était 18h00 et … Non si ça se trouvait, elle en avait eu déjà marre et elle était rentrée plus en colère que jamais.

*Oui c’est possible mais tu te bouges et tu vas minimum vérifier !*

Rebecca l’avait retenue trop longtemps, ce qui faisait qu’il avait maintenant plus d’une demi-heure de retard, ce qui serait surement assez dur à justifier, si la jeune femme avait eu la patience d’attendre autant de temps après lui. Mathéo s’excusa auprès de Rebecca en lui disant qu’il fallait absolument qu’il y aille, et qu’ils reparleraient de ça plus tard. La jeune femme sembla néanmoins vexé que Mathéo ne lui accorde pas tout le temps qu’elle voulait, mais il n’avait vraiment pas le choix.

A peine arrivé dans le hall, Mathéo fut à nouveau distrait. Cette fois-ci un de ses camarades Serpentard l’appela. Ils étaient en train de faire un mini tournoi d’échecs version sorciers et voulait que le jeune homme y participe. La dernière fois qu’il y en avait eu un entre les élèves de Serpentard, Mathéo avait gagné haut la main. Un oui sortit de la bouche du jeune homme sans qu’il ne réussisse à le contrôler.

*Non mais n’importe quoi, t’as la mémoire d’un petit écureuil tout rabougris ou quoi ! Tu vas la faire attendre combien de temps pour voir ta magnifique personne ?*

Ah oui Ayla. Non ça ne se faisait pas trop de la laisser comme ça surtout qu’il avait déjà plus de trente minutes de retard. Une seule partie ?

*Non.*

Une demi-partie ?

*Non plus.*

Bon Mathéo n’avait pas bien le choix. Et puis il fallait qu’il prenne son courage à deux mains et qu’il aille la voir. Après tout, il n’avait pas le droit de la laisser en plan alors que l’idée venait de lui. Oh et puis tout ça c’était de la faute à Rebecca. Si elle n’avait pas mis son grain de sel dedans, rien de tout ça ne serait jamais arrivé. Pourquoi avait-il fallu qu’elle passe sa semaine à faire de la propagande anti-Ayla et qu’elle le monopolise autant de temps pour lui parler de diverses rumeurs qu’elle avait entendu à son sujet. Mathéo avait perdu du temps de tous les côtés, et il était dans de beaux draps. Il n’était pas sûr qu’avec du retard comme ça, Ayla l’accueille les bras ouverts sans rien lui demander. Mathéo rattrapa le coup en annonçant au garçon qu’il ne pouvait vraiment pas jouer avec eux et qu’il était attendu quelque part.

Ouais mais bon ce n’était pas de sa faute s’il y avait plein d’attraction autour de lui au moment même où il devait aller voir Ayla avec pleins de minutes de retard. Oh non, en plus Rebecca était dans le Hall. Mais elle avait un détecteur pour savoir où il se trouvait à n’importe quelle heure de la journée ou quoi. Elle avait sans doute compris qu’il n’avait pas le temps puisqu’elle se contenta de lui lancer un regard noir avant de tracer son chemin. Ouf c’était déjà ça d’éviter.

Bref, oublions un peu Rebecca. Il fallait aller au Parc avant qu’il ne soit trop tard quand même. Le jeune homme sortit et sentit une douce brise lui caresser le visage. C’était très agréable. L’air pur faisait tellement de bien. Le jeune homme commença à avancer doucement, très doucement. Oui c’est que maintenant qu’il avait plus de 35 minutes de retard, une minute de plus ou de moins, ça ne changeait plus grand-chose maintenant. Il avait l’impression de marcher super vite pourtant il allait vraiment à deux à l’heure. Son cœur battait de plus en plus fort et de plus en plus vite. Peut-être valait-il mieux aller à l’infirmerie pour s’assurer qu’il ne faisait pas une crise cardiaque.

*Mais bien sûr, mais t’as complètement raison quoi ! Et ce sera quoi ta prochaine excuse ?*

Bon d’accord. Le jeune homme continuait donc son chemin. Voilà il y était presque. Elle était dos à lui et ne pouvait donc pas le voir arriver. Mathéo se demandait dans quel était d’esprit elle était. Allait-elle le tuer ? Non quand même pas. Bon là il hésitait à faire un bruit. Bon il n’allait pas rester planter là, il devrait lui montrer sa présence d’une seconde à l’autre. Inspiration. Expiration. C’est parti. Il avança donc à son niveau de façon qu’elle le voit puis tout en regardant le sol lui annonça.

– Salut Ayla. Je suis un peu en retard désolé.

*Un petit peu en retard ? T’arrives plus de 40 minutes après l’heure et tu dis que tu es seulement un peu en retard ! Tu cherches à être drôle ou à te recevoir une baffe ?*

– Euh … Ca va sinon ? Tu … n’as pas trop attendu ?

*Maintenant tais toi et laisse la parler avant de t’enterrer toi-même !*

Oui il était totalement stupide et ne savait pas quoi dire car il avait absolument aucune excuse convaincante pour expliquer son histoire, du moins pas pour Ayla. Il savait qu’elle n’aimait pas Rebecca, alors si il lui disait qu’il était avec elle juste avant et que c’était à cause d’elle qu’il était en retard, il n’était pas sûr qu’elle le prenne très bien.

Il n’arrivait pas à sortir une phrase sans bégayer, et ne voyait vraiment pas comment se sortir de ce pétrin. Il n’avait plus qu’à espérer qu’Ayla se montre un peu indulgente.




par humdrum sur ninetofive
Revenir en haut Aller en bas
Invité
avatar
❝ Invité ❞

Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. Empty
MessageSujet: Re: Ayla ▬ Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.  Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. EmptyDim 12 Juin - 23:28

❝ L'espoir fait vivre mais parfois il détruit.. ❞See you again !Sa journée avait démarré comme à l'ordinaire, elle s'était levée, lavée, puis habillée aux couleurs de sa maison avait pris ses affaires de cours et avait quitter sa tour pour la grande salle et le petit-déjeuner, les différents cours étaient passer les uns après les autres, une petite pause pour le déjeuner et toute était repartie de plus belle, c'était donc une réelle et bonne surprise quand Mathéo s'était approché d'elle pour lui donner rendez-vous à la fin des cours dans le parc du château, il prenait les devants et venait l'inviter cela avait grandement améliorer la journée de la blonde qui avait eu l'impression que le temps ne passait plus lors des dernières heures de la journée, une fois la sonnerie de dix-sept heures trente entendues, elle s'était dépêchée pour retourner à son dortoir posé ses affaires, se changer en vitesse et vérifier son maquillage. Cinq minutes plus tard montre en main, elle était vêtue d'un pantalon noir effet cuir et d'une blouse blanche légèrement transparente, par-dessus elle passa une cape de sorcier noir, car on était en hiver et le climat n'était pas des plus chaud à cette période de l'année. Ainsi, elle se plaisait et était donc partie pour traverser le château jusqu'au lieu de rendez-vous fixer par le brun, une fois arrivée elle ce mis à attendre, elle avait été vite et le brun prendrait surement un peu plus de temps qu'elle pour faire l'aller et retour salle commune parc. Au bout de cinq minutes de retard, elle ce mis à faire les cent pas, elle était loin d'être une fille patiente et attendre sans rien faire était un calvaire pour elle-même si cela ne durait que depuis quelques minutes. Pourtant, Mathéo n'arrivait pas et le temps continua de défiler sous les yeux d'Ayla qui ne faisait que regarder sa montre, pour voir les minutes s'égrener sans voir apparaître le garçon qu'elle attendait. Au bout de vingt minutes de retard elle eut envie de rentrer et de tout laisser tomber, il apparaissait clairement pour elle que le serpentard venait de lui poser un beau lapin et qu'il devait surement en rire avec ses camarades serpentard. Oui Ayla se sentait réellement mal, blessée du retard du brun et perdue dans ce qu'elle ressentait, deux parties d'elle-même s'affrontait férocement, l'une voulait renter et oublier cette humiliation, l'autre voulait encore attendre et voir si il finissait un jour par arriver pour pouvoir entendre ses explications. La deuxième partie emporta la partie, c'était difficile d'être une fille qui avait le béguin pour un homme cela nous faisait faire n'importe quoi et sa marche repris, trente minutes maintenant et toujours rien, elle arrêta enfin de marcher pour regarder le ciel et l'horizon pour se perdre dans ses pensées et imaginer ce que pouvait bien faire le brun pour ne toujours pas être venu au rendez-vous qu'il avait lui-même donné quelque heure plutôt. Quarante minutes de retard, désormais, s'en était assez, elle allait rentrer. Mais avant qu'elle n'est pu se retourner pour revenir dans le château la voix de Mathéo se fit entendre et lui donna envie d'éclater de colère un peu en retard était-il en train de ce foutre d'elle encore un peu plus ? Quarante minutes, ce n'était pas un petit retard, c'était un grand manque de respect pour elle qui ne pouvait accepter une chose pareille avec un simple désolé.


Elle le regarda et lui jeta un regard noir puis elle passa à côté de lui sans un mot prête à rejoindre sa salle commune pour laisser exploser sa rage et sa tristesse une fois à l'abri des regards, mais elle ne pues empêcher une tirade de sortir de sa bouche tendue " La prochaine fois que tu décide de me manquer de respect ne me fait pas l'affront de venir comme si de rien n'était" Et elle ce remis à marcher en direction des larges portes. La serdaigle ne voulait pas réellement s'emporter face au brun parce qu'il n'avait pas été méchant envers elle, mais elle revoyait son ex qui la laissait attendre des heures comme si elle n'était faite que pour attendre sa venue et le retard de Mathéo la renvoyait à cette image d'elle-même, soumise et docile qui accepte tous les retards sans rien dire, elle avait changée, elle avait décidée de ne plus laisser un homme lui manquer de respect est, c'était pour cela qu'elle réagissait de la sorte face au garçon de chez Serpentard. Parce que c'était lui qui était venu la trouver pour lui proposait un moment à deux et qu'elle avait espéré que cela aboutirait à un nouveau moment de bonheur comme leurs autres moments à deux, parce qu'elle avait apprécié tout leur moment ensemble même les parties confidence difficile et là, elle tombait de haut, c'était la désillusion quand elle avait vu les minutes passer encore et encore jusqu'à attendre un nombre impressionnant. Elle était un peu plus loin du brun désormais et elle s'arrêta le visage fermé les yeux triste et elle fixa le serpent en lui disant " J'espère que la personne avec qui tu était fallait la peine de me prendre pour une cruche... tu pourra la féliciter elle à réussie" Sans citer de nom Ayla envoyait une petit pique à sa rivale, même si l'autre blonde ne voulait pas le coeur du brun elle le voulait rien que pour elle et la présence d'Ayla semblait lui faire de l'ombre, elle l'avait vu redescendre de leur salle commune et dire qu'elle voulait voir Mathéo mais elle avait cru et espérer que le garçon ayant rendez vous avec elle saurait repousser son amie et lui faire comprendre qu'elle n'était pas la seule personne ayant le droit à de l'attention de sa part mais il ne devait pas l'avoir fait et devait avoir passé toutes ses minutes de retard avec elle alimentant encore un peu plus la haine d'Ayla envers Rebecca. Celle-ci venait de gagner, elle avait semé la zizanie dans leur début de relation pourtant idéale malgré quelques bourdes
© 2981 12289 0
Revenir en haut Aller en bas
NEUTRE
Mathéo A. Collins
Mathéo A. Collins
Bonjour ! J'appartiens à la maison : Anciennement Slytherin, actuellement à l'école des sports de Londres. J'ai posté : 627 hiboux. Grâce à moi ma maison a gagné : 6 pour une aventure ! Je suis de la génération : Etudiant de 1977. . Je suis un aventurier : on peut me blesser A savoir sur toi : « Un peu trop fêtard parfois, j’ai surtout le chic pour me m’attirer des ennuies. Vraiment pour le coup, j’ai pas de chance du tout, donc faites attention quand vous m’approchez. Sinon je suis quelqu’un de gentil et de doux, même si je peux être un peu trop caractériel quand j’ai fini ma limite. En clair, me cherchez pas trop. J’ai toujours ce problème avec les filles. Du mal à les approcher et encore plus à conclure. Vous voyez le gars qui transpire, avec les mains tremblantes, et qui bégaye à chaque fois qu’une fille lui adresse la parole ? Bah ce type c’est moi … »

Ma carte de chocogrenouille
Epouvantard: Lui-même en mangemort.
Patronus: Renard
Capacité spéciale: Aucune

Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. Empty
MessageSujet: Re: Ayla ▬ Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.  Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. EmptyLun 13 Juin - 20:21


“Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.”



Ayla & Mathéo




Mathéo avait donc quarante minutes de retard. Oui n’importe quelle personne aurait pu trouver ça exagéré sur le coup. Surtout que c’était lui qui avait donné rendez-vous à Ayla, la moindre des choses aurait sans doute d’arriver à l’heure. Mais bon, le temps ne se remontait pas, et voilà qu’il allait se pointer au parc pour retrouver la Serdaigle. Il avait envie de dire que d’un côté ce n’était pas totalement de sa faute. Certes les dix premières minutes étaient à cause de lui, il était repassé dans la salle commune, s’était coiffé pendant un peu trop longtemps et s’était longuement observé dans le miroir. Mais encore dix minutes, c’est pardonnable. Du moins dans la logique de Mathéo. Car le jeune homme n’était pas fervent de la ponctualité en général. Il arrivait à peu près à l’heure en cours, parce que c’était obligatoire. Et encore, il arrivait, la plupart du temps, pile à l’heure ou avec quelques minutes de retard. Donc ce n’était pas l’une de ses grandes qualités. Ses amis avaient l’habitude de ses retards, mais ils n’étaient jamais seuls à l’attendre donc bon. Aujourd’hui, c’était différent, Ayla avait dû l’attendre toute seule, dehors, pendant presque quarante minutes.

Mathéo savait qu’il était bête. Il aurait dû courir et ne pas se faire distraire sur le chemin. Rebecca lui avait fait perdre beaucoup de temps à lui parler de la Serdaigle, à lui confier tous ses doutes, et tout ce qu’elle avait entendu dans la salle commune. Et puis son amie savait très bien qu’il avait rendez-vous. Le jeune homme avait du mal à se positionner. Il avait eu peur de faire de la peine à Rebecca en ne lui laissant pas le temps de s’exprimer. Parce qu’il savait pertinemment que s’il l’envoyait sur les roses, elle était capable de lui faire la gueule pendant des semaines. Et ce n’était pas non plus ce que voulait le Serpentard. Mais à force de ménager les sentiments de Rebecca, c’était Ayla qu’il risquait de froisser.

*A un moment il va falloir que tu penses à établir tes priorités.*

Donc qu’aurait-il dû faire ? Prendre le risque de se fâcher avec Rebecca et arriver à l’heure à son rendez-vous, ou prendre le temps pour Rebecca et froisser Ayla. Mon dieu que la vie était compliqué en réalité. La réponse était évidente, c’était lui qui avait demandé à la belle Serdaigle de le rejoindre au lac, alors il aurait dû laisser Rebecca en plan pour honorer sa proposition. Surtout que vu ce que la Serdaigle avait à lui dire, ça ne valait quand même pas la peine de rester presque vingt minutes en sa compagnie.

Donc voilà, après quarante minutes à se faire désirer, le voilà qui arrive enfin. Et il avait aperçu la jeune femme qui était déjà là, et qui devait être là depuis un bon moment déjà. D’un courage exemplaire, il avait regardé le sol avant de la saluer et de s’excuser furtivement de son retard. Oui il savait qu’il était en faute, c’était d’ailleurs pour ça qu’il avait pris la peine de s’excuser. Mais l’idiot avait ajouter le qualificatif « un peu » devant retard. Quarante minutes de retard ce n’était pas un peu, c’était surement beaucoup pour toutes personnes normalement constitué. Puis le jeune homme lui demanda comment elle allait, et si elle n’avait pas trop attendu. En réalité il se sentait vraiment gêné car il ne savait pas du tout comment agir après ça. Allait-elle être en colère, ou juste rire de la situation.

*Tu crois vraiment que se les geler pendant quarante minutes pour attendre un petit idiot qui s’excuse à peine en arrivant va la faire marrer ? Non mais tu réfléchis de temps en temps ou pas ? T’étais pas là à la distribution des cerveaux ou quoi ?*

Oui puis, il ne voyait vraiment pas ce qui pourrait lui dire d’autre. D’ailleurs s’il pouvait éviter de raconter la raison pour laquelle il était en retard, ce ne serait pas si mal. Parce que Mathéo avait déjà bien vu par le passé qu’Ayla et Rebecca ne semblait pas s’entendre, alors si Ayla savait qu’il était en retard parce qu’il se trouvait avec la Serdaigle, elle allait surement le prendre encore plus mal. Du moins, si c’était possible.

La jeune femme le regarda, lui jeta un regard noir puis passa à côté de lui sans dire un mot. Ah bah il ne s’attendait pas du tout à ça par contre. Donc elle allait juste partir sans lui dire un mot. Mathéo était totalement surpris, il s’attendait peut être à ce qu’elle lui cri dessus, mais pas qu’elle se barre sans même lui adresser la parole.

*En même temps tu l’as cherché, abruti.*

Mais finalement, elle lui balança que la prochaine fois qu’il décidait de lui manquer de respect, qu’il ne lui fasse pas l’affront de venir comme si de rien n’était. Et bien, elle était visiblement très énervée, ce qui était assez déroutant pour Mathéo qui ne l’avait jamais vu dans un état pareil. La jeune femme se remit à marcher vers le château. Mathéo resta un instant, planté là, ne comprenant vraiment pas ce qui pouvait bien se passer. Bon certes, il était en retard, mais il ne pensait pas lui avoir totalement manqué de respect, et puis il était venu, ce n’était pas ça l’important après tout ?

Et oui, comprendre une fille était assez difficile et c’est pourquoi il avait tellement besoin de Daphné au final. Parce que pour lui, une réaction comme ça était un peu exagéré par rapport à la situation. Quoi que, il était peut-être de mauvaise foi aussi. Mais il ne comprenait pas vraiment la colère de la jeune femme. Qu’elle lui fasse une ou deux réflexions sur le sujet, pourquoi pas, mais c’était idiot de gâcher un rendez-vous juste pour un peu de retard.

Mathéo la vit s’arrêter de nouveau, elle le fixa et lui annonça qu’elle espérait que la personne avec qui il était valait la peine de la prendre pour une cruche, puis elle ajouta qu’il pourrait la féliciter puisqu’elle avait réussi. Le Serpentard avait la désagréable impression qu’elle savait déjà qu’il était avec Rebecca pendant le moment où il l’avait fait attendre. Comment avait-elle pu le savoir si elle était arrivée à l’heure ?

*Je te rappelle qu’elles font parties de la même maison.*

– Attends Ayla.

Oui il avait crié ça, il ne voulait pas qu’elle reparte dans le château comme ça, sans qu’ils n’aient eu le temps de discuter. Le jeune homme la rattrapa et arriva bientôt à son niveau. Il n’était pas sûr de pouvoir vraiment se rattraper par rapport au retard, mais il n’avait pas envie qu’ils se quittent sur une dispute. Surtout que ce serait vraiment idiot, étant donné que tout avait si bien commencé entre eux. Mais le jeune homme était sur un terrain glissant. Trop glissant, il y avait du savon partout et le jeune homme était pieds nus, comment se sortir de là ? Non sérieusement, les seules disputes qu’il avait eu avec une femme étaient avec sa mère : autrement dit, dans un contexte totalement différent. Ah si, après il s’était bien disputé avec Rebecca quelques fois, mais elle était facile à suivre, il la connaissait bien alors il savait quel comportement adopter avec elle. Mais ça ne risquait pas de coller avec Ayla s’il agissait de la même façon, bien au contraire.

– Ecoute c’est pas de sa faute.

*Tu voudrais bien arrêter de défendre cette fille contre vents et marrées s’il te plait, ça en devient vraiment très agaçant.*

Mathéo n’était pas très sûr si Ayla parlait de Rebecca ou de quelqu’un d’autre. Mais il avait supposé qu’elle parlait de son amie. Parce qu’en même temps c’était avec elle qu’il était juste avant. Il aimerait tellement avoir une excellente excuse qui puisse tout arranger, diminuer la colère d’Ayla et leur permettre de finalement passer un bon moment tous les deux. Mais la situation semblait assez compliquée à démêler, et comme Mathéo n’était pas très doué dans les relations avec les filles en général, il avait peur d’envenimer la situation à chaque parole qu’il prononcer.

– J’étais avec Rebecca, et elle trouvait important de me mettre au courant de trucs avant que je vienne.

*Et tu crois que balancer toute la vérité va t’aider à t’en sortir ?*

Oui ce n’était surement pas la meilleure manière d’apaiser la situation. Surtout car après ce qu’il venait de dire, la jeune femme pouvait très bien comprendre que Rebecca avait voulu cracher son venin à propos des choses la concernant. Et puis de toute façon, augmenter l’animosité entre les deux jeunes femmes n’était absolument pas bon pour lui non plus. Mais alors comment pouvait-il juste améliorer les choses ? Il n’avait jamais voulu se disputer avec Ayla, et il ne cherchait absolument pas à la rendre triste bien au contraire. En fait, au final, il avait essayé de ne faire de mal à personne, mais tout semblait avoir fonctionné de travers. Car les deux Serdaigle étaient désormais énervé contre lui.

Mais le pire c’est que Mathéo s’en fichait totalement de ce qui lui avait dit Rebecca à propos de la Serdaigle. Ce n’était que des rumeurs, et il n’y portait pas vraiment attention. Même si ça le dérangerait quand même si Ayla continuait à voir Lia de façon intime. C’était assez déconcertant de s’imaginer la fille qu’il aimait bien, avec l’une de ses amies qu’il avait un jour vu totalement nue. Oui cette fameuse histoire qu’il essaie tant bien que mal d’oublier.

– Je suis vraiment désolé …

*Bon c’est un bon début déjà, t’es obligé de t’excuser et de reconnaître un peu tes tords pour le coup mon petit Mathéo.*

– Mais tu t’excites pour rien là aussi.

*MAIS POURQUOI TU N’AS PAS FERME TA GRANDE BOUCHE ? Si tu t’étais arrêté aux excuses, ça aurait pu s’arranger plus vite. Tu es vraiment un triple idiot, doublé d’un abruti, à la cervelle totalement atrophiée. Mais qu’est-ce que j’ai fait au bon dieu pour être la conscience d’un mec comme toi. Comment veux-tu que je rattrape tes conneries ?*




par humdrum sur ninetofive
Revenir en haut Aller en bas
Invité
avatar
❝ Invité ❞

Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. Empty
MessageSujet: Re: Ayla ▬ Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.  Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. EmptyLun 13 Juin - 21:32

❝ L'espoir fait vivre mais parfois il détruit.. ❞See you again !Quand elle avait commencé à partir la blonde était sure d'elle la meilleure chose à faire était de rentrée au château et oublier le fait d'avoir une chance de vivre un jour une réelle histoire sérieuse avec le brun parce que Rebecca serait toujours entre eux et elle ne pourrait pas supporter une telle situation bien longtemps, ils n'étaient même pas réellement ensemble que déjà, elle arrivait à les éloigner et le brun la laissait faire comme si c'était normal, il venait tout juste de la défendre face à elle et s'en prenait maintenant à elle lui disant qu'elle en faisait trop et qu'elle n'avait pas de raison de s'énerver autant elle n'arrivait pas à croire ce qu'il venait de lui dire et maintenant, elle hésitait grandement entre hurler, lui mettre une claque ou partir et ne plus jamais le revoir, elle ne pouvait pas accepter le fait qu'il s'en prenne à elle alors qu'il arrivait avec plus de quarante minutes de retard à cause d'une pétasse qui rêvait de lui nuire, et de la voir finir sa vie seule. Elle ne savait pas pourquoi là deuxième Serdaigle ne l'aimait pas à ce point-là, et pourquoi elle était toujours en train de lui pourrir sa vie alors qu'elle ne lui avait jamais réellement parlé, n'étant pas la même année les deux blondes n'était pas obligée de ce côtoyait tous les jours alors Ayla évitait le plus possible d'avoir des contact avec elle. Elle devait se concentrer sur Mathéo et sur ses derniers mots, elle devait lui répondre et remettre les choses au clair, les points sur les i et tout le blabla habituel de la remise à niveau entre deux personnes qui était en pleine dispute. Elle ne voulait pas en arriver là, c'était pour cela qu'elle avait commencé à fuir, pour ne pas avoir à s'énerver et à crier sur le serpentard, mais quand il s'était mis à reparler c'était trop pour elle et son sang-froid, la jeune fille avait beau être gentille, elle n'aimait pas qu'on joue avec elle et avec ce qu'elle ressentait, elle aimait vraiment beaucoup Mathéo, mais elle avait trop souffert d'être le jouet d'un homme pour recommencer à ressentir la même chose maintenant. " C'est jamais de sa faute à t'écouter, mais c'est à moi que tu as donné rendez-vous et avec elle que tu as passée ses dernières minutes et toi, tu trouves son normal ? Je devrais ne rien dire et peut-être te remercier d'être finalement venue" Elle était proche du cri quand elle s'exprima et la colère se sentait dans chaque mot qui traversa ses lèvres.


Il venait de lui avouer qu'il était bien avec sa principale rivale, celle-ci ne voulait pas spécialement sortir avec Mathéo, mais juste faire pour que le petit brun soit juste à elle et elle ne perdait pas une minute pour cracher son venin sur elle pour arriver à ses fins et alors que le serpent devait venir la voir, il avait encore une fois écouté ses salades, rien de tout cela n'était logique pour l'aigle qui ne voyait pas pourquoi Mathéo ne disais pas à sa meilleure amie de ce mêler de ses affaires et de le laisser vivre sa vie comme il l'entendait, il avait dix-sept ans pas trois, il n'avait pas besoin que la jeune fille lui dise à qui parler, avec qui sortir et tout ce genre de choses pour être avec elle, il allait devoir changer des choses dans sa relation avec l'autre Serdaigle où cela ne serait pas possible pour elle. Même si elle ne voulait pas mettre leur amitié en danger, ou posé un ultimatum ce n'était pas son genre du tout, mais elle voulait être prise en considération, avoir de l'importance et de la valeur pour la personne qui était avec elle. " C'est sûr que cela devait être super urgent pour elle de venir une nouvelle fois me rabaisser auprès de toi, si tu continues à la faire passer avant tout le reste, je n'accepterais plus aucun rendez-vous avec toi. Je t'ai confié des morceaux de ma vie dont personne n'est au courant, je pensais que cela fallait quelque chose que tu ne serais pas comme les autres et que j'aurais de l'importance à tes yeux, j'en ai moins qu'une peste qui ne fait que de te mentir. Je me suis trompée une fois de plus je ne peux m'en vouloir cas moi-même" Si elle ne se contrôlait pas elle allait se mettre à pleurer et ce n'était pas ce qu'elle voulait, les dernières larmes qui avaient coulé pour un homme avaient été en première année après un énième coup de son ex petite amie, elle ne voulait pas retomber dans ce cercle vicieux, mais aujourd'hui, elle ne semblait pas être en mesure de se contrôler aussi bien cas l'ordinaire, car les larmes coulèrent sur ses joues, au delà du retard, elle se sentait humilié par le fait que le garçon qu'elle appréciait trouve plus urgent et important d'écouter des choses fausse sur elle plutôt que de passer du temps en sa compagnie, le fait le plus douloureux se trouvait là, surtout qu'ensuite, il prenait la défense de la mauvaise personne et l'accablait-elle au lieu de se remettre lui en question. Ayla n'était qu'un être humain, doté de sentiments, d'un cœur et d'une âme, elle ne pouvait rester de marbre devant chaque situation de la vie, elle pouvait prendre les choses trop à cœur parce qu'elle était jeune et qu'elle ne pouvait et ne savait pas encore prendre le recul nécessaire pour protéger son cœur. Elle n'avait pas de juste-milieu pour éviter de souffrir l'étudiante avait maintenu les hommes à distance de son cœur, Mathéo lui avait eu accès à son organe vital, parce qu'elle le pensait différent des autres, qu'elle croyait ne pas souffrir en sa compagnie, la dispute du jour lui prouvait le contraire. Prouvait que même une Serdaigle faisant partie des plus intelligente de l'école pouvait se tromper comme une enfant, le cœur et souvent faible et dans ce genre de situation l'esprit et le mentale doivent prendre la relève en ce moment debout dans le parc Ayla n'as pas la force de se battre, elle baisse les bras et souffle " Rebecca à gagner, j'abandonne la partie, je serais toujours fautive pour toi vu qu'elle est parfaite à tes yeux. Félicite là quand tu la croiseras..." Et elle tourna le dos au brun prêt à repartir de nouveau vers le château, elle voulait trouver un coin ou pleurer librement pendant des heures, sans personne pour la regarder et la juger, personne pour voir sa tristesse, seule une nouvelle fois pour affronter le fait qu'elle n'aurait pas le droit à un bonheur simple que dans sa vie son rapport aux hommes serait toujours complexe et douleur qu'elle devait accepter ce fait et aller de l'avant une nouvelle fois. Ayla paraissait être une fille forte en apparence, mais elle ne l'était pas, elle était faible et détruite, proche du gouffre et à la limite de tomber dedans.
© 2981 12289 0
Revenir en haut Aller en bas
NEUTRE
Mathéo A. Collins
Mathéo A. Collins
Bonjour ! J'appartiens à la maison : Anciennement Slytherin, actuellement à l'école des sports de Londres. J'ai posté : 627 hiboux. Grâce à moi ma maison a gagné : 6 pour une aventure ! Je suis de la génération : Etudiant de 1977. . Je suis un aventurier : on peut me blesser A savoir sur toi : « Un peu trop fêtard parfois, j’ai surtout le chic pour me m’attirer des ennuies. Vraiment pour le coup, j’ai pas de chance du tout, donc faites attention quand vous m’approchez. Sinon je suis quelqu’un de gentil et de doux, même si je peux être un peu trop caractériel quand j’ai fini ma limite. En clair, me cherchez pas trop. J’ai toujours ce problème avec les filles. Du mal à les approcher et encore plus à conclure. Vous voyez le gars qui transpire, avec les mains tremblantes, et qui bégaye à chaque fois qu’une fille lui adresse la parole ? Bah ce type c’est moi … »

Ma carte de chocogrenouille
Epouvantard: Lui-même en mangemort.
Patronus: Renard
Capacité spéciale: Aucune

Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. Empty
MessageSujet: Re: Ayla ▬ Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.  Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. EmptyMar 14 Juin - 4:11


“Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.”



Ayla & Mathéo




L’un des plus gros défauts de Mathéo était d’être maladroit dans ses paroles. En fait, il parlait comme il pensait, et ne prenait pas souvent le temps de remanier ses phrases dans un langage plus correct avant de les dire à haute voix. Et si la plupart du temps, ça pouvait être drôle, à certains moments ça pouvait grandement le desservir. Comme par exemple, quand il était en retard à un rendez-vous et essayait de se rattraper auprès d’Ayla. Evidemment, les différentes phrases qu’il avait sorti depuis le début avait eu l’effet inverse, au lieu d’apaiser la situation, il l’avait plutôt envenimé. Il avait réussi à mettre la belle et douce Ayla hors d’elle.

Pour être honnête, le fait de se faire gueuler dessus n’était pas la chose qui dérangeait le plus Mathéo, parce que ça il avait l’habitude. Il s’était fait enguirlandé de nombreuses fois par sa mère et par son oncle Phil, et il ne comptait même plus les fois où le professeur MacGonagall l’avait invité dans son bureau pour des quarts d’heure de remontrances sévères. Oui c’est sûr, personne ne peut dire que se faire crier dessus par quelqu’un est agréable, mais ce n’était pas la partie la plus dérangeante on va dire. Etant dans le parc, les deux jeunes sorciers n’avaient, néanmoins, pas de spectateurs indiscrets, ce qui n’était pas plus mal non plus. Il n’avait pas envie que cette histoire ne fasse le tour du château. Déjà que très peu de monde était au courant pour le rapprochement entre le Serpentard et la Serdaigle.

Le problème venait donc bien du retard de Mathéo. Et ça il ne pouvait rien y faire, c’était totalement de sa faute. Il n’avait qu’à se bouger les fesses pour arriver plus rapidement. Et c’est ce qu’il avait tenté de lui expliquer mais bon comme il n’était pas très doués avec les mots le pauvre petit chéri, ça devenait bien compliqué. Bref, il avait quand même pris le temps de rectifier que ce n’était pas la faute de Rebecca s’il était arrivé en retard. Bon en soit, elle était peut-être un peu responsable, étant donné qu’elle avait absolument voulu lui parler de trucs soi-disant urgent qui finalement ne l’étaient pas du tout. Enfin, peu importe, il avait voulu dire que ce n’était pas totalement sa faute puisqu’au final, c’était Mathéo qui ne l’avait pas congédié plus tôt. Mais ducoup, l s’étaient enfoncé et par la même occasion avait sans doute rallumer l’animosité qui brûler entre les deux jeunes femmes de la même maison.

*Tu te rends compte que tu es en train de te disputer avec la fille dont tu rêves depuis des années, simplement à cause de l’autre pouf ? Non mais je sais pas si tu comprends. Faudrait peut-être penser à faire quelque chose, non ?*

Mais le truc c’est qu’il ne savait vraiment pas comment gérer la situation. Pendant leurs six premières années à Poudlard, il n’y avait toujours eu que lui et elle. Bon Rebecca avait eu un tas de mec, mais Mathéo n’avait jamais eu personne, donc ce n’était pas une situation à laquelle il était habitué. Et c’était sans doute à cause de ça, que chacun y compris Mathéo avait du mal à trouver sa place. Il ne savait pas quel était le juste milieu entre donner trop d’importance ou pas assez à Rebecca. Car c’était son amie, et il ne voulait pas la perdre. Mais de l’autre côté, il y avait Ayla, et il ne voulait vraiment pas laisser cette chance qu’il avait tant attendu de côté.

La jeune femme avait mal pris le fait qu’il défende Rebecca, encore une fois. Elle lui reprocha que ce n’était jamais de la faute de la Serdaigle, selon lui. Elle lui rappela par la même occasion que c’était à elle qu’il avait donné rendez-vous mais que c’était avec Becca qu’il avait passé ce temps-là. Elle lui demanda s’il trouvait ça normal. Elle supposa qu’elle ne devrait rien dire et peut-être même le remercier d’être venu. Non ce n’était absolument pas ça. Il n’avait jamais voulu dire ça. Mathéo avait l’impression qu’elle prenait chaque phrase que le jeune homme disait dans le mauvais sens. Alors que non. Bien sûr qu’elle avait le droit d’être remonté contre lui pour son retard, mais il n’avait jamais pensé que cela prendrait des proportions pareils, ce n’était absolument pas le but.

*Mais chéri, c’est toi qui t’ait créé cette situation, maintenant il va falloir assumer. Quand je te dis que Rebecca ne t’apporte que des problèmes de toute façon.*

Mathéo avait sous-estimé la dangerosité d’aborder le sujet Rebecca avec la Serdaigle. Lui qui imaginait peut-être qu’elle pourrait s’entendre un jour s’était bien trompé sur la chose. Ayla rajouta que cela devait être vraiment urgent pour Rebecca de venir la rabaisser une nouvelle fois auprès de lui. Elle lui annonça en plus que s’il continuait à la faire passer avant le reste, elle n’accepterait plus aucun rendre vous avec lui. Oh mon dieu, cela commençait donc à être sérieux. Il était peut-être un peu stupide mais il ne s’était jamais vraiment compte qu’il faisait passer Rebecca avant tout le reste, surement car avant il n’avait vraiment qu’elle dans sa vie. Mais maintenant qu’Ayla lui faisait remarquer, il était obligé d’admettre qu’elle avait un peu raison. On en revenait toujours au même point, il ne savait pas comment gérer la situation. Elle lui rappela qu’elle lui avait confié des morceaux de sa vie dont personne n’était au courant et qu’elle pensait que ça ferait quelque chose, et qu’il ne serait pas comme les autres et qu’elle aurait de l’importance à ses yeux. Elle annonça qu’elle en avait moins qu’une peste qui ne faisait que lui mentir.

*Oui elle a raison, Rebecca te manipule. Mais vas-y continue, passe à côté d’une gentille fille pour cette manipulatrice.*

Elle annonça qu’elle s’était trompé une nouvelle fois et qu’elle ne pouvait en vouloir qu’à elle-même. Mathéo était totalement dépassé par la situation et ne comprenait vraiment pas ce qui lui arrivait. Il avait du mal à rassemblé ses idées pour pouvoir répondre quelque chose de censé à cette situation qui lui avait totalement échappé. Il ne contrôlait plus rien, et tout ce qu’il disait semblait simplement mettre de plus en plus en colère la Serdaigle.

Et finalement, elle rajouta que Rebecca avait gagné, qu’elle abandonnait la partie. Qu’elle serait toujours fautive pour lui vu qu’elle était parfaite à ses yeux. Elle lui conseilla même de la féliciter quand il la croisera. Et elle tourna le dos au Serpentard, visiblement prête à retourner au château et à le laisser planter là.

– T’as pas le droit de me faire ça.

Avait-il finalement crié à la jeune femme. C’était les premiers mots qui avaient enfin pu sortir de sa bouche après avoir entendu les reproches de la jeune femme. Non elle ne pouvait pas faire ça, juste abandonner la partie et le laisser là, sans qu’il ait même pu lui parler correctement. Elle n’avait pas le droit de laisser tomber aussi vite et aussi facilement.

*En même temps, tu lui donnes du fil à retordre à la petite.*


Mathéo avait envie de s’arracher les cheveux. Il ne comprenait pas, vraiment. Cette situation était totalement incompréhensible. Ils étaient quand même en train de se prendre la tête à cause de Rebecca. Ça lui paraissait fou, peut-être parce qu’il ne comprenait rien aux filles, ou peut-être parce que tout ça n’était pas aussi grave que ça paraissait dans son petit monde à lui. Mais c’était déroutant. Et puis bordel, il n’avait pas la moindre envie qu’elle abandonne la partie, et que Rebecca gagne, c’était complètement insensé.

– Ecoute, j’en ai absolument rien à foutre de ce que Rebecca peut raconter sur toi, rien de ce qu’elle peut dire me fera changer d’avis à ton sujet.

*Bon au moins tu me rassures moi par rapport au fait que tu ne prennes pas tout ce qu’elle dit comme parole de dieu.*

Il la connaissait depuis des années. Rebecca était le genre de fille qui mettait son nez partout et qui adorait tout ce qui était potin et rumeur. Mais Mathéo était loin d’être comme elle. Il ne s’attardait pas sur les rumeurs, ou sur les bruits de couloirs concernant tel ou tel personne. Au contraire, il préférait ne pas entendre ce genre de stupidités. Et Rebecca pouvait user toute l’énergie qu’elle voulait en racontant des choses à Mathéo sur Ayla, il ne changerait pas d’avis sur la jeune femme pour autant. Il préférait croire la personne qu’il avait en face d’elle, plutôt que des rumeurs. Et Mathéo ne comprenait vraiment pas pourquoi Ayla pouvait penser une telle chose. Elle n’avait pas plus ou moins d’importance à ses yeux que Rebecca, leurs relations étaient juste totalement différentes et tout simplement impossibles à comparer.

– Je suis complètement paumée, je contrôle plus rien et je comprends absolument rien à ce que je ressens.

*Tu m’étonne. Ca fait peur l’inconnu, mon petit bébé.*

– Et je suis terrifié, tout comme toi. Mais la différence c’est que toi tu as tellement peur de souffrir que tu es prête à me condamner au premier faux pas.

Le jeune homme prit une pause. Il avait crié, il s’en était rendu compte. Ce n’était pas d’un ton forcément méchant, mais sa voix avait été plus forte. Et puis dans un dernier souffle, il lui lança :

– Vas-y abandonne si c’est ça que tu veux. Moi j’abandonnerais pas.




par humdrum sur ninetofive
Revenir en haut Aller en bas
Invité
avatar
❝ Invité ❞

Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. Empty
MessageSujet: Re: Ayla ▬ Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.  Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. EmptyMar 14 Juin - 22:32

❝ L'espoir fait vivre mais parfois il détruit.. ❞See you again !Elle s'apprêtait à partir à laisser derrière le brun avec ses excuses et ses reproches, mais la voix du garçon s'était de nouveau élevé plus forte qu'à l'ordinaire, pour être sur elle qu'elle l'entende surement alors elle resta sur place de dos et laissa les mots du serpentard l'atteindre et les entendait les encaissait puis les comprenait, mais elle ne regardait pas pour ne pas avoir à affronter son regard, parce qu'elle n'arrivait pas aujourd'hui à faire face, elle ne savait pas pourquoi en temps normal, elle se serait énervée, aurait tempêté et non pas fui, mais Mathéo la changeait, elle ne voulait pas ce fâchée avec lui alors elle préférait fuir la dispute pour pouvoir aller se calmer, mais le brun ne semblait pas être d'accord avec cela vu qu'il n'arrêtait pas de crier prêt d'elle, qu'elle n'avait pas le droit de partir, que lui était perdu et effrayé et qu'il ne savait pas comment faire, mais aussi qu'il se fichait de ce que Rebecca pouvait dire sur elle, mais elle ne pouvait pas s'en ficher parce que la blonde était la meilleure amie du brun et que si pour le moment, il arrivait à n'en n'avait rien à faire cela ne durerait pas, parce qu'un relation sérieuse ne pouvait pas avoir lieu si son amie ne cessait de se mettre entre eux à chaque fois qu'ils avaient un rendez-vous, parce qu'elle ne pouvait pas supporter une telle situation parce qu'elle ne supportait pas d'être bafouée et humiliée par une fille dont elle ne savait rien et qui ne savait rien de bien vrai sur elle. Parce que la méchanceté gratuite n'était pas tolérable pour elle et qu'il fallait que le brun fasse quelque chose qu'il agisse et qu'il se rend compte du mauvais comportement de sa meilleure amie, qu'il ne prenne pas toujours sa défense, sinon il arrivait à perdre Ayla. " Je ne pourrais pas supporter la méchanceté de Rebecca juste parce que c'est ta meilleure amie, elle n'a pas le droit de me faire ça... Je n'ai peut-être pas le droit de partir comme sa alors que tu viens de t'excuser, mais comprend que je ne peux pas encaisser les remarques incessantes ce n'est pas vivable pour moi"


Elle aussi avait peur, pas peur réellement de l'inconnu parce qu'elle était plus expérimentée que Mathéo, elle avait peur de ce retrouvée de nouveau détruite par un homme, peur d'avoir mal comme le disait si bien le brun et oui, elle avait tendance à fuir dans ce genre de situation, parce qu'elle voulait ce protégé comme elle le faisait depuis sa deuxième année, parce que la fuite était plus simple que la bataille et qu'elle était lâche quand on lui parlait d'amour et de garçon, elle ne savait pas si elle était vraiment prête à ouvrir à nouveau son cœur, tout était remis en question dans son esprit est, c'était une grosse pagaille qu'elle était en train de subir dans sa petite tête, elle ne se faisait pas confiance, alors elle doutait beaucoup, elle avait peur de ne pas être assez bien pour Mathéo que le brun cherche une fille meilleure que lui, parce qu'elle avait fait beaucoup d'erreurs dans sa courte vie et que cela pouvait lui être justement reproché comme semblait le faire Rebecca. Elle ne voulait pas qu'un jour les mots sorte de la bouche de Mathéo alors Ayla ne savait plus quoi faire, quoi dire pour arranger les choses pour ne pas les compliquer plus, mais pour montrer au serpentard qu'elle lui en voulait quand même et qu'elle ne passait pas à autre choses. Son petit cœur n'avait aucune envie d'abandonner parce qu'elle tenait à sa relation avec le serpentard qui était plutôt bien partie jusqu'à ce deuxième rendez-vous officiel gâché pour un retard qui aurait sans doute pu être évité si le brun avait fixé ses priorités correctement, elle n'était pas stupide, elle pouvait comprendre qu'il devait être difficile de faire passer son amie après une autre fille quand celle-ci n'avait pas l'habitude, mais il allait pourtant falloir sinon Ayla n'allait pas rester à attendre le garçon éternellement, elle l'aimait beaucoup, mais il fallait d'abord qu'elle pense à elle, pour ne pas finir de nouveau le cœur en miette. " Oui, j'ai peur, j'ai sans cesse peur que mes erreurs me reviennent à la figure et que tu m'envoies paître loin de toi, parce que pour moi ça arrivera un jour, c'est une chose que je redoute et que je sens se rapprocher au fur et à mesure du temps" L'aigle ne comprenait pas elle-même pourquoi elle ressentait cette peur incontrôlée de se faire rejeter sans doute parce qu'elle l'avait trop été pour pouvoir avoir totalement confiance. " Tu ne comprends pas... Tu ne peux pas comprendre" Souffla la blonde en se retournant en larmes et perdue, elle ne pouvait l'expliquer parce que le problème venait d'elle, de sa fragilité, elle n'était pas sure de pouvoir tenir le coup, c'était de sa faute à elle.

Ayla aurait aimé pouvoir, être plus forte, pouvoir, tenir tête au brun et lui crier dessus pour son retard plutôt que d'être là en train de pleurer comme une fillette, ce n'était pas ce qu'elle voulait, elle n'était pas triste, elle était en colère et pourtant, c'était ses larmes qui l'exprimait et qu'il l'exprimait mal, elle n'avait aucun contrôle sur ses sentiments et sur sa manière de les montrer aux autres et elle s'en voulait vraiment beaucoup pour cela sa colère contre Mathéo, c'était transformé en colère contre elle-même. C'était sans doute le monde à l'envers, mais la jeune étudiante n'était pas une fille comme les autres, elle avait son caractère, son vécue et ses défauts, elle était encore en pleine recherche de sa vraie personnalité. Elle n'avait que seize ans et il était difficile à cet âge de réussir à réagir de manière rationnelle à ce qui pouvait arriver dans la vie. " Je ne sais pas comment réagir, je ne sais pas quoi faire quoi dire ou comment me comporter, je pleure et je ne sais même pas pourquoi je le fais. Je me sens débile à être là dans le froid alors que toi, tu n'es pas venu à l'heure, je devrais déjà être rentrée et t'en vouloir à mort et je n'y arrive pas"
© 2981 12289 0
Revenir en haut Aller en bas
NEUTRE
Mathéo A. Collins
Mathéo A. Collins
Bonjour ! J'appartiens à la maison : Anciennement Slytherin, actuellement à l'école des sports de Londres. J'ai posté : 627 hiboux. Grâce à moi ma maison a gagné : 6 pour une aventure ! Je suis de la génération : Etudiant de 1977. . Je suis un aventurier : on peut me blesser A savoir sur toi : « Un peu trop fêtard parfois, j’ai surtout le chic pour me m’attirer des ennuies. Vraiment pour le coup, j’ai pas de chance du tout, donc faites attention quand vous m’approchez. Sinon je suis quelqu’un de gentil et de doux, même si je peux être un peu trop caractériel quand j’ai fini ma limite. En clair, me cherchez pas trop. J’ai toujours ce problème avec les filles. Du mal à les approcher et encore plus à conclure. Vous voyez le gars qui transpire, avec les mains tremblantes, et qui bégaye à chaque fois qu’une fille lui adresse la parole ? Bah ce type c’est moi … »

Ma carte de chocogrenouille
Epouvantard: Lui-même en mangemort.
Patronus: Renard
Capacité spéciale: Aucune

Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. Empty
MessageSujet: Re: Ayla ▬ Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.  Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. EmptyMer 15 Juin - 19:50


“Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.”



Ayla & Mathéo




Cette histoire était en train de prendre une mauvaise tournure. Et même si tout cela avait commencé par l’incroyable retard de Mathéo, plus la conversation avançait, plus il avait l’impression que ce n’était pas ça le véritable fond du problème. Le jeune homme ne comprenait absolument pas comment ils avaient pu en arriver là. Certes c’était sa faute sur le fond, mais il avait vraiment l’impression que tout prenait des proportions énormes. Bon le jeune homme était du genre à relativiser, et à penser que rien n’était grave.

Donc malheureusement les choses avaient dérapé sur le sujet Rebecca. Et c’était bien un sujet que Mathéo n’aimait absolument pas aborder, surtout en zone conflit. La première fois qu’ils avaient parlé d’elle ensemble, le jeune homme avait senti qu’il ne valait mieux pas trop insister. C’était au marché de noël, et la Serdaigle avait clairement exprimé qu’elle n’appréciait pas la meilleure amie de Mathéo, qui était méchante avec elle sans raison. Elle n’aimait pas le genre de fille peste comme ça. Mais le problème était bien là, c’est que les deux personnes ne voyaient absolument pas les choses de la même façon. Ayla voyait en Rebecca une peste manipulatrice et menteuse qui prenait plaisir à faire du mal aux gens autour d’elle, qu’elle les connaisse ou pas. Alors que Mathéo voyait en elle son amie de toujours, qui avait toujours été gentille avec lui, avec qui il avait fait les quatre cents coups et avec qui il passait le plus clair de son temps. La différence de point de vue était bien le problème pour le coup. Il connaissait les défauts de son amie, du moins certains mais il les acceptait car elle l’acceptait comme il l’était, elle aussi.

Alors quoi faire, que dire pour arranger les choses et ne pas les empirer au final. Il lui avait finalement dit qu’il n’en avait rien à foutre de ce que Rebecca pouvait bien lui dire à son sujet. D’ailleurs c’était tout à fait le cas. Il n’avait pas envie d’entendre de stupides rumeurs qui lui diraient qui était Ayla. Il l’a connaissait, du moins il apprenait à la connaître, et les seules choses qu’il voulait savoir à propos d’elle, c’est ce qu’il allait bien découvrir par lui-même et pas ce que les gens, y compris Rebecca aurait décidé de lui raconter. Il n’arrivait pas à saisir pourquoi et comment Ayla ne pouvait pas comprendre ça. Pourquoi parce qu’il avait une amie comme Rebecca, qui était friande de ragot, il était obligatoirement susceptible de succomber et de finir par la croire.

La jeune fille finit par reprendre la parole. Elle lui annonça qu’elle ne pourrait pas supporter la méchanceté de Rebecca juste parce qu’elle était sa meilleure amie. Pour elle, elle n’avait pas le droit de faire ça. Elle admit qu’elle n’avait peut-être pas le droit de partir comme ça alors qu’il venait juste de s’excuser mais elle voulait qu’il comprenne qu’elle ne pouvait encaisser les remarques incessantes. Ce n’était pas vivable pour elle. Bien sûr qu’il comprenait qu’elle n’avait pas envie d’avoir à faire à une fille méchante et à des réflexions incessantes, mais lui n’avait jamais vu Rebecca comment ça. Et qu’est ce qu’elle attendait de lui ? Il n’avait aucun pouvoir sur qui était Rebecca. Il ne pouvait pas la forcer à dire ou à faire des choses.

*Mais tu comprends rien ou quoi ?*

Elle avait peur, sans cesse peur que ses erreurs lui reviennent en pleine figure, et qu’il l’envoie paître loin de lui, parce qu’elle pensait que ça arriverait un jour. Apparemment c’était une chose qu’elle redoutait et qu’elle sentait arriver, se rapprocher au fur et à mesure du temps. Comment pouvait-elle douter à ce point de lui à cause d’un fichu retard finalement, c’était un peu incompréhensible pour le jeune homme, qui se sentait vraiment perdu dans les paroles de la Serdaigle. Elle pleurait et ça le jeune homme l’avait bien remarqué. Il ne pensait pas que ce qu’il avait fait lui ferait de la peine à ce point, et il se sentait vraiment gêné à cause de son comportement stupide, il n’avait jamais cherché à la blesser, loin de là.

Puis elle finissait par lui dire qu’il ne comprenait pas, et qu’il ne pouvait pas comprendre avant de se retourner toujours en larme. A vrai dire, Mathéo était totalement déstabilisé. Qu’elle lui crie dessus il pouvait comprendre mais qu’elle en soit à ce point bouleversée, c’est vrai que ça lui échappait quelque peu.

– Ecoute, elle n’est pas moi. Ce n’est pas parce que c’est mon amie que je pense comme elle, ou que je vais croire toutes ses paroles comme si c’était la parole divine, c’est clair ?

Elle devait absolument comprendre ça. Le Serpentard et son amie Serdaigle avait beau être très proche, il ne se ressemblait pas. Il ne pensait pas comme Rebecca et avait souvent des points de vue très différents. Il ne croyait pas tout ce qu’elle pouvait lui raconter, surtout quand elle était incapable de citer des sources ou parler de rumeurs. Elle ne dictait pas ses pensées, et ses actes. Ayla devait comprendre. Elle était seulement son amie, et même si c’était une amitié étrange, elle était vraiment importante dans la vie de Mathéo. Il ne voulait pas qu’elle en sorte. Mais il voulait également que la belle Serdaigle reste dans sa vie elle-aussi.

Il ne pouvait pas choisir entre les deux, du moins pas maintenant. Car Rebecca avait été là depuis le début, et Ayla avait fait son entrée que depuis quelques temps. Le choix était bien trop difficile pour le moment. Peut-être que dans quelques temps, si tout marche bien entre les deux jeunes gens, il arriverait à tourner son choix vers Ayla, mais pour le moment c’était trop dur et il ne savait absolument pas quoi faire pour arranger la situation.

– Bien sûr que je ne comprends pas. Parce que moi je n’ai rien vécu dans ce domaine. Je sais pas ce que ça fait.

Et même s’il connaissait l’histoire d’Ayla, s’il savait désormais ce qu’elle avait vécu avec les hommes, il ne pouvait pas comprendre. Il ne pouvait qu’essayer. Car lui n’avait rien vécu, absolument rien. Il ne savait pas ce qu’était d’aimer une fille, d’être proche d’elle. Alors il avait peur, tout comme elle, mais pas pour les mêmes raisons. Il faisait des efforts à chaque fois pour repousser ses limites et ses gênes. Il faisait de son mieux. Mais ce n’était pas facile, et c’était effrayant. Mais il avait surtout l’impression qu’elle ne lui faisait pas confiance, qu’elle n’avait pas envie d’essayer parce qu’elle pensait qu’il lui ferait bien assez tôt des reproches et qu’il partirait tout simplement.

Elle lui confia qu’elle ne savait pas comment réagir, qu’elle ne savait pas quoi dire ou comment se comporter, qu’elle ne savait même pas pourquoi elle pleurait. Elle se sentait aussi débile de l’avoir attendu et d’être encore ici dans le froid, alors qu’il n’était même pas arrivé à l’heure. Elle aurait dû rentrer et lui en vouloir à mort mais il n’y arrivait pas. Voilà ces derniers mots. Et finalement Mathéo retrouva enfin la parole.

– En réalité, t’as peur parce que c’est différent avec moi. T’as peur parce que tu contrôle plus rien parce que je suis pas un simple mec avec qui tu passeras une seule nuit. T’as peur parce que tu as lâcher prise et que tu as perdu le contrôle. T’es morte de trouille parce que tu sais que moi je peux te faire souffrir.

Lui avait-il crié. Parce qu’elle était toujours dos à lui et qu’elle ne voulait pas se retourner pour le regarder. Il n’était pas qu’un coup d’un soir, et c’était la première fois depuis bien longtemps. C’était surement ça qui lui faisait peur, du moins c’est ce que pensait Mathéo.

– J’ai aucune idée du genre de vie qu’on aura mais je veux être avec toi.

Voilà c’était dit. Il se fichait des peurs irrationnelles d’Ayla, et s’il devait y croire deux fois plus parce que la jeune femme partait défaitiste, il le ferait. Il n’avait pas envie d’abandonner, et il ne le ferait pas, quoi qu’elle pouvait dire. Parce qu’il savait qu’ils pouvaient être heureux et bien ensemble, mais seulement elle devait leur laisser une chance et ne pas laisser ses peurs avalaient toute leur histoire.

– Tu peux m’en vouloir, tu peux me crier dessus. Fais ce que tu veux, tu me feras pas fuir de cette manière.



par humdrum sur ninetofive
Revenir en haut Aller en bas
Invité
avatar
❝ Invité ❞

Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. Empty
MessageSujet: Re: Ayla ▬ Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.  Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. EmptyJeu 16 Juin - 20:11

❝ L'espoir fait vivre mais parfois il détruit.. ❞See you again !La jeune fille savait, elle n'était pas bête et tout en elle savait faire la différence entre les propos de Rebecca et ceux de Mathéo le problème n'était pas réellement là, elle ressentait une peur, incontrôlable dû au fait que la deuxième blonde sois plus proche qu'elle du brun et que de ce fait, elle est plus facile à influencer le choix du garçon, car Ayla savait et se doutait que sa rivale ne s'arrêterait pas de sitôt et que la situation allait devenir pesante pour Mathéo et qu'elle-même n'était pas en mesure de gagner un duel contre sa meilleure amie, parce qu'elle n'était dans sa vie que depuis peu de temps et que même si ils s'entendaient bien et était en train de nouer un lien plutôt fort, celui avec Rebecca était là depuis des années. Là résidait sa peur et la source de sa grande détresse émotionnelle, une peur d'être reléguée en deuxième place, d'être rejeté et mise de côté, le rejet l'effrayait au point qu'elle en pleure désormais comme une enfant. " Je ne dis pas que tu es comme elle ou que tu vas écouter tout ce qu'elle te dit, mais elle est ton amie et fait tout pour gâcher une histoire qui n'as même pas officiellement commencé et si elle continue, tu vas finir par en avoir marre et je n'ai pas les armes pour que tu me choisissent moi plutôt qu'elle. Parce que tu la connais depuis des années et que moi, je suis seulement dans ta vie depuis quelque temps" L'aigle avait enfin dis le fond de sa pensée, la conversation serait plus facile si elle parlait au lieu de se braquer et elle le savait en plus. Mais il était difficile de gérer tout le temps son caractère. Comme elle ne pouvait pas non plus gérez sa peur de perdre les gens qu'elle aime et à qui elle est attachée. Ce n'était pas supportable de vivre en ayant toujours peur de perdre tout le monde, mais c'est ainsi que la petite blonde vit depuis maintenant quatre années lui prouvant que son passée avait encore une trop grande influence sur son présent et son avenir. Les choses ne pouvaient plus durer ainsi et Ayla devait combattre son propre esprit pour pouvoir avancer dans sa vie.

" Je n'ai pas réellement vécu une belle histoire d'amour. Je n'ai jamais ressentis ce que je ressens quand tu est près de moi, tu bouscules tout les repère que j'avais dans ma vie" Tous les deux découvraient des choses qui leur étaient, pour le moment, inconnus, c'était une nouveauté pour les deux, et l'inconnu lui faisait peur et lui donnait envie de reculer pour mieux sauter ensuite pour être sur d'elle afin de pouvoir faire totalement confiance à Mathéo, mais pour le moment, elle devait l'écouter lui répondre parce que le brun se livrait une nouvelle fois à elle et que cette fois-ci, ses paroles la concernait directement. Bien sûr que tout ceci lui faisait peur parce qu'elle n'était pas maîtresse de la situation, elle ne pouvait qu'espérer que le brun ne lui fasse pas de mal, même si cela serait surement inconscient si cela venait à arriver. Elle savait que le serpentard était un peu maladroit et qu'il pouvait faire des erreurs à cause de ce trait de caractère là. Ayla savait aussi que le problème venait principalement de sa propre personne parce que Mathéo voulait tenter, mais qu'il ne pouvait pas le faire si elle ne le laissait pas approcher par peur d'avoir le cœur brisé une nouvelle fois. Il fallait qu'elle se laisse aller totalement, voir si le risque en fallait la peine, si une belle histoire pouvait naître le jour entre eux, parce que c'était ce que la blonde espérait réellement pouvoir un jour être la petite amie de ce garçon qui lui avait donné l'envie de parler d'elle-même sans filtre et sans pudeur. " Bien sûr que j'ai peur que tu me fasses souffrir, bordel, j'ai refusé d'aimer un homme pendant des années et j'avais réussi à trouver un semblant d'équilibre, mais toi, tu remets tout en cause, on n'a pas passé beaucoup de temps ensemble et déjà, je me mets à rêver comme une adolescente qui trouve son prince charmant. Et je flippe, j'ai peur de tout, de mal faire, d'avoir mal, de te faire mal, je ne suis pas simple à aimer vu que je repousse l'amour et je suis effrayée de réussir moi-même à te faire fuir" Elle aurait voulu crier elle aussi, mais elle n'y arrivait pas elle était là devant lui en train de le regarder, puis elle essuya ses larmes rageusement, les traîtresses auraient dû rester en elle et ne pas la trahir maintenant, mais c'était trop tard, il l'avait bel et bien vu en larmes. Chacun son tour même si Ayla n'avait pas voulu pleurer pour un simple retard et qu'elle s'en voulait déjà d'avoir réagi de la sorte alors qu'elle n'avait pas pu contrôler son propre corps. Corps qui pris le dessus sur elle une nouvelle fois, elle avait besoin de réconfort alors elle s'était approché du brun, l'avait regarder en se mordant la lèvre puis l'avait serrer contre elle. Oui Ayla était là debout dans le parc en train de faire un câlin forcé à Mathéo parce qu'elle en avait envie et besoin pour se redonner la force d'y croire, d'avancer avec lui, qui venait de lui avouer vouloir être avec elle. C'était tellement bon à entendre que le sourire de la blondinette tranchait avec ses yeux encore humides. La bataille contre elle-même allait être rude, mais si elle avait son prince charmant à ses côtés, elle pourrait surement y arriver. " Tu veux être avec moi ? Vraiment ? Le couple officiel et tout et tout hein ? Parce que moi, c'est aussi ça que je veux"

Elle l'avait dit à voix haute plus de retour en arrière possible désormais, elle devrait assumer son envie, de vivre enfin une vraie relation sérieuse, respectueuse, et joyeuse, finalement ce retard n'avait pas que du mauvais parce qu'il avait permis à la Serdaigle de se rendre compte de l'importance qu'avait déjà le Serpentard dans son quotidien, sa vie était déjà bouleversé au bout de quelques rendez-vous, elle ne pouvait pas ignorer ce fait, et cela rendait tout différent, parce qu'elle était déjà accro au maladroit adolescent et qu'elle ne pouvait pas simplement baisser les bras et le laisser filer. Elle allait devoir trouver du courage, ou en emprunter à un gryffondor, faire tomber une à une toutes ses barrières et celle du brun pour enfin qu'ils arrivent tous les deux à goûter au bonheur d'être amoureux et heureux. Ce n'était pas donné à tout le monde de trouver une personne qui réveillait de telles choses en soit, elle avait fini par trouver aux détours d'un simple match de poursuiveurs, puis d'une conversation sérieuse et profonde dans une tour au beau milieu de la nuit, et enfin aujourd'hui dans ce parc gelée ou elle avait attendue quarante minutes. Elle avait attendu, sans doute parce que son cœur savait déjà ce que son esprit s'avouait seulement. Ayla Abbot en pinçait plus qu'elle ne l'imaginait pour Mathéo Collins
© 2981 12289 0
Revenir en haut Aller en bas
NEUTRE
Mathéo A. Collins
Mathéo A. Collins
Bonjour ! J'appartiens à la maison : Anciennement Slytherin, actuellement à l'école des sports de Londres. J'ai posté : 627 hiboux. Grâce à moi ma maison a gagné : 6 pour une aventure ! Je suis de la génération : Etudiant de 1977. . Je suis un aventurier : on peut me blesser A savoir sur toi : « Un peu trop fêtard parfois, j’ai surtout le chic pour me m’attirer des ennuies. Vraiment pour le coup, j’ai pas de chance du tout, donc faites attention quand vous m’approchez. Sinon je suis quelqu’un de gentil et de doux, même si je peux être un peu trop caractériel quand j’ai fini ma limite. En clair, me cherchez pas trop. J’ai toujours ce problème avec les filles. Du mal à les approcher et encore plus à conclure. Vous voyez le gars qui transpire, avec les mains tremblantes, et qui bégaye à chaque fois qu’une fille lui adresse la parole ? Bah ce type c’est moi … »

Ma carte de chocogrenouille
Epouvantard: Lui-même en mangemort.
Patronus: Renard
Capacité spéciale: Aucune

Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. Empty
MessageSujet: Re: Ayla ▬ Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.  Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. EmptyVen 17 Juin - 5:03


“Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.”



Ayla & Mathéo




Mathéo s’était quand même senti obligé de rappeler à une Ayla très énervé que lui et Rebecca étaient quand même deux personnes distinctes qui ne partageaient ni le même cerveau ni les mêmes pensées. C’est vrai quoi, on pouvait très bien être ami avec une personne et ne pas être pour autant toujours d’accord avec elle. Et d’ailleurs c’était très souvent le cas dans l’amitié entre le Serdaigle et le Serpentard. Ils ne se ressemblaient pas, ils n’avaient peut-être pas grand-chose en commun même mais ils étaient unis et toujours là l’un pour l’autre. Elle avait toujours été son repère dans le château. Elle l’avait toujours défendu envers et contre tous, et jusqu’à maintenant Mathéo avait toujours fait de même, c’est comme ça que ça marchait entre eux. Bien sûr quand ils n’étaient pas d’accord, ils ne se le cachaient pas.

Mathéo avait du caractère, même si ça ne se voyait pas tout le temps forcément. En fait, il était plutôt relax en temps normal, il était la force douce. Il laissait faire, laissait couler la plupart du temps, mais quand il s’énervé, il était totalement différent et c’était presque choquant pour toute personne qui connaissait un peu Mathéo de le voir dans un état pareil. Rebecca était quant à elle le feu. Elle s’énervait, elle criait, elle parlait. Elle n’était la plupart du temps pas calme. Son contraire, son total opposé. Et leur relation leur avait toujours été. Il n’y avait jamais eu rien à redire, du moins jusqu’à maintenant. Mathéo n’avait pas l’habitude qu’on critique Rebecca, directement à lui. Il n’avait d’ailleurs pas l’habitude non plus qu’on lui fasse des reproches sur sa relation avec la Serdaigle. Alors tout cela était vraiment étrange et incompréhensible pour lui qui ne voyait dans cette histoire que des malentendus et des non-dits.

*Oui enfin Rebecca n’est pas une sainte non plus, il serait tant que tu ouvres les yeux mon grand.*

La jeune femme lui répondit donc qu’elle n’avait pas dit qu’il était comme elle ou qu’il allait écouter tout ce qu’elle lui disait, mais elle était son amie, et selon elle, faisait tout pour gâcher une histoire qui n’avait même pas officiellement commencé, et si elle continuait, Ayla pensait que Mathéo allait sans doute en avoir marre et elle n’avait pas les armes pour qu’il la choisisse plutôt que Rebecca. Parce qu’il connaissait la Serdaigle depuis des années et Ayla était dans sa vie depuis quelques semaines tout au plus.

Mais là était tout le problème, Mathéo n’avait absolument pas envie de choisir, et ne comprenait pas pourquoi il devrait le faire. C’était totalement incompréhensible dans sa petite cervelle de moineau. Le fait est que Rebecca était sa meilleure amie, cette fille qui était dans le train avec lui, qui avait partagé une banquette et ses bonbons pendant le trajet. Elle était sa personne. Son amie qui avait toujours été là, depuis le début de cette grande aventure, depuis son entrée dans le monde magique. Elle avait été là, et ne l’avait jamais abandonné. Elle était celle avec qui il se prenait des caisses quand il n’arrivait pas à dormir, celle avec qui il passait des heures après les cours, celle qu’il suppliait tous les trois quatre matins de faire ses devoirs à sa place parce qu’il n’y arrivait pas. C’était une relation qui s’était construite depuis maintenant plus de six longues années. Et maintenant il y avait Ayla. Cette magnifique fille qu’il avait déjà remarquée depuis sa cinquième année, cette fille devant laquelle il avait bavé plus de fois que nécessaire, cette fille avec qui il avait enfin une chance grâce à un heureux concours de circonstance, cette fille qu’il commençait vraiment à apprécier, et à qui il faisait confiance pour partager une partie douloureuse de sa vie. Elles apparaissent chacune dans une partie différente de sa vie. Il avait besoin des deux. Et il ne voulait en lâcher aucune. Etait-ce obligatoire d’ailleurs ? La vie était-elle faite de choix ? Mais Mathéo ne voulait pas choisir, ça c’était bien clair dans sa tête. Il connaissait Rebecca, il savait la gérer, et ce n’était certainement pas elle qui finirait par le lasser de la belle Ayla. Ça au moins il en était certain.

*Les filles ne pensent absolument pas comme toi mon petit Mathéo, tu devrais penser à en parler avec Daphné la prochaine fois d’ailleurs.*

– Je ne peux pas choisir. Je te le dis sincèrement, je peux pas et je le ferais pas.

Ce n’était absolument pas pour blesser la jeune femme qu’il disait ça. Mais il voulait que les choses soient très clairs. S’il y a bien quelque chose sur lequel il ne céderait pas, ce serait ça. Que ce soit d’un côté ou de l’autre, il espérait qu’aucune d’entre elles ne le mettraient un jour devant la situation de devoir obligatoirement faire un choix. Car il ne le voulait pas. Il voulait garder sa meilleure amie, et en même temps ne pas perdre Ayla, et il ne voyait vraiment pas en quoi les deux choses pouvaient être incompatibles.

Ayla lui avait dit qu’il ne pouvait pas comprendre. Bien sûr, Mathéo était totalement d’accord. Il ne savait pas de quoi elle parlait. Toutes ces histoires d’amour, de fleurs, et de compagnie, il n’y connaissait absolument rien. Il n’avait jamais eu de relation amoureuse avant, alors comment pouvait-il savoir. Tout était tellement nouveau autour de lui. Et elle avait peur, mais lui aussi, il ne comprenait vraiment pas ce qui lui arrivé, il ne comprenait pas ses sentiments, ses envies. C’était comme si tout d’un coup, il ne se reconnaissait plus lui-même. C’était dur et terrifiant, mais il ne fuyait pas pour autant. Et le fait que la jeune femme pouvait abandonner la partie pour une histoire aussi stupide lui avait fait quand même de la peine, même s’il ne le dirait pas explicitement à haute voix. Ayla lui avoua quand même qu’elle n’avait jamais réellement vécu une belle histoire d’amour, elle n’avait jamais ressenti ce qu’elle ressentait quand Mathéo était prêt de lui, il bousculait tous ses repères. Elle lui faisait la même chose, évidemment. C’était la première fois qu’il ressentait ce genre de chose, il ne pouvait pas encore vraiment mettre de mot, mais tout d’un coup sa vie était devenue beaucoup plus difficile à comprendre qu’à l’ordinaire. C’était l’inconnu, pour eux d’eux, mais est-ce que ça voulait dire qu’il ne fallait quand même pas tenter sa chance ? Mathéo n’était pas de sa vie, mais Ayla c’était dur à dire.

Mathéo ne prit pas de gants pour lui balancer exactement ce qu’il pensait. Elle était juste morte de trouille parce que c’était différent avec lui, parce qu’elle était en train de perdre le contrôle et qu’elle savait qu’il pouvait le faire souffrir. Le Serpentard n’était pas du genre à y aller par quatre chemins pour dire quelque chose, et encore une fois aujourd’hui il n’échappait pas à la règle. Il avait crié. Peut-être parce qu’il avait l’impression qu’elle ne l’entendait pas, qu’elle ne comprenait pas qu’il était sincère avec elle et qu’il ne jouait pas de double jeu étrange avec Rebecca dedans. Parce qu’il ne voulait pas qu’elle ait envie d’abandonner juste parce qu’elle avait la trouille, parce qu’il voulait qu’elle se réveille un peu et qu’elle ne passe pas à côté d’une histoire à cause de ses fichues barrières émotionnelles.

*Détend toi, la pauvre quand même.*

La jeune femme lui donna raison, bien sûr qu’elle avait peur qu’il la fasse souffrir parce qu’elle avait refusé d’aimer un homme pendant des années et qu’elle avait réussi à trouver un semblant d’équilibre avant qu’il vienne mettre son nez dans sa vie. Elle lui avoua qu’elle commençait déjà à rêver comme une adolescente qui trouve son prince charmant. Et elle avait peur de tout de mal faire les choses, de lui faire mal. Elle avoua qu’elle n’était pas simple à aimer puisqu’elle repousser l’amour et elle avait même peur de réussir à le faire fuir.

Elle n’avait pas crié, pas comme lui. Elle se contenta d’essuyer ses larmes rageusement. Finalement les émotions étaient très fortes aujourd’hui, mais dans un autre contexte que le rendez-vous précédent quand même.


"On éprouve une douleur particulière quand quelqu'un formule nos propres peurs et nous dit que non seulement toutes les pensées noires qu'on a sur soi-même sont réelles, mais que les autres peuvent les avoir aussi. Une douleur qui nous tire les larmes des yeux et nous enserre le coeur dans une barrière de fer, et nous fait comprendre que, oui, être seul, c'est terrible, mais que ce ne sera jamais aussi difficile que ce sentiment-ci. "

– Arrête de réfléchir. Tu peux passer le reste de ta vie prisonnière de tes peurs, mais tu peux aussi choisir de les affronter et sauter dans le vide avec moi pour voir ce qui arrive.

Elle le mettait vraiment dans tous ses états. Et il ne savait pas comment réagir. Crier, hausser la voix, pour montrer qu’il était là, et qu’il avait des choses à dire, qu’il n’était pas qu’un gamin stupide qui était arrivé quarante minutes en retard. La jeune femme était dans tous ses états aussi. Submergé par la colère qui semblait se transformé en crise de larme chez elle. Il lui avait avoué son envie d’être avec elle, et elle s’était approché de lui, le prenant dans ses bras. Et maintenant un sourire était apparu sur son visage, qui tranchait sérieusement avec ses yeux remplis de larmes. Elle lui demanda s’il voulait être avec elle, vraiment, le couple officiel et tout. Parce que c’était aussi ce qu’elle voulait.

Alors là, choc complet, et revirement total de situation. Incompréhensible.

– Je pensais que c’était clair.

Répondit finalement le jeune homme à sa question. Oui parce que dans sa tête, il pensait que la jeune femme savait déjà tout ça, qu’elle savait déjà qu’il voulait être avec elle. Comment avait-elle pu passer à côté de ça ? Ce retard avait peut-être finalement aidé à clarifier la situation des deux côtés et de percer l’abcès en ce qui concernait Rebecca. Même si cette histoire n’était sans doute pas encore finie. Il ne savait pas vraiment ce que la jeune femme entendait par « couple officiel », mais il voulait être avec elle voilà tout, c’était aussi simple que ça. Il se fichait que les gens savent ou non, ça lui importait peu, tant qu’eux savaient.

– Tu me rend fou.

Lui lança t-il avec une expression mi-amusé mi-étonné. Mon dieu qu’une fille était compliqué. Alors pour le coup, Mathéo ne comprenait vraiment pas ce qui s’était passé. Elle était énervée, avant presque envie de le tuer, et là, elle souriait ? Mais qu’est ce qui pouvait bien se passer dans le cerveau féminin ? Mathéo n’en revenait pas.

– Et tu es complètement dingue.

*Je sais t’es sous le choc bébé, mais c’est une fille, va falloir t’habituer à ce genre de chose.*




par humdrum sur ninetofive
Revenir en haut Aller en bas
Invité
avatar
❝ Invité ❞

Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. Empty
MessageSujet: Re: Ayla ▬ Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.  Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. EmptyVen 17 Juin - 20:17

❝ L'espoir fait vivre mais parfois il détruit.. ❞See you again !L'aigle ne voulait pas lui demander de choisir, parce qu'il ne devait pas avoir à faire un choix, mais c'était sa meilleure amie qui rendait les choses compliquées, parce qu'elle ne voulait pas voir Ayla auprès de Mathéo, c'était elle la source du souci et c'était avec elle que le serpentard devait avoir une vraie conversation pour qu'elle lui laisse la liberté de vivre sa vie comme il le désire pour qu'elle arrête de vouloir leur mettre des bâtons dans les roues alors qu'ils n'était encore qu'en pleine découvertes l'un de l'autre. Pour que les choses soit clair de chaque côté, il était certain que les deux jeunes filles ne seraient jamais amies, elles ne s'entendraient surement jamais, mais Rebecca devait tolérer le fait qu'Ayla passe du temps avec le brun, et que celui-ci aime faire pareil avec elle. La serdaigle plus âgée ne devait pas avoir l'habitude de partager son ami, mais il fallait apprendre dans la vie qu'un être humain ne nous n'appartenions pas et qu'il était libre de ses mouvements, de ses rapprochements et autres actes humains. Si il ne le faisait pas la blondinette ne pourrait pas tenir le coup alors qu'elle n'avait qu'une envie, passé du temps, beaucoup de temps en compagnie de ce garçon qui avait bouleverser sa vie et sa façon de voir les hommes. Elle ne pouvait pas faire semblant, elle était trop attirée par le garçon en question pour pouvoir demi-tours et s'éloigner de lui définitivement, alors qu'elle n'était pas encore vraiment proche de lui, les contacts était court et souvent venait d'elle, mais cela ne la dérangeait pas pour le moment. Elle faisait avec un sourire aux lèvres malgré sa crise de larmes, elle se sentait bien dans les bras du brun, malgré le fait qu'il n'ai pas vraiment bougé pour lui rendre son étreinte. " Je ne veux pas que tu choisisses, je veux juste que tu es une vraie discutions avec elle pour qu'elle apprenne ou son les limites à ne pas dépasser et les paroles qu'elle ne doit pas prononcer. Je ne cherche pas les histoires, je ne suis pas comme ça, mais je ne pourrais pas toujours rester sans rien dire" Parce que cela était lourd de toujours entendre des critiques, de capter des regards noirs ou de travers et d'entendre des chuchotis sur son passage dans les couloirs de l'école. Tout ceci était pesant et si Ayla arrivait à garder son calme pour le moment, elle ne pourrait pas toujours le faire.

Le serpentard lui disait qu'il fallait qu'elle arrête de réfléchir et qu'elle lâche prise pour ne pas laisser ses peurs la bloquer pour le restant de sa vie, mais elle ne pouvait pas faire autrement, c'était plus fort qu'elle, et se combattre sois même était difficile, les prochains jours. Les prochaines semaines, et même les prochains mois allaient être de perpétuel effort pour l'adolescente qui allait devoir combattre ses peurs et ses faiblesses les plus profondes pour ne pas passer à côté d'une des plus belles rencontres de sa vie. Mathéo semblait lire en elle comme dans un livre ouvert, il avait saisi sa frayeur s'en qu'elle n'ai besoin de s'épancher dessus. Et ce point-là faisait du bien à la jeune fille qui ne se sentait pas obligée de s'expliquer sans cesse, elle était comprise, enfin assez pour qu'il sache les choses les plus importantes sur elle. Même si elle savait que dans l'esprit du brun, elle devait passer pour une folle à avoir de tels changements d'attitude et d'émotions, les filles étaient bien souvent difficiles à suivre pour un garçon mais Ayla était encore bien plus complexe que la moyenne, avec elle, il fallait s'accrocher, l'aimer réellement pour pouvoir la supporter à longueur de temps, pour gérer ses crises d'angoisse et son mal-être enfouie en elle. Cela demandait du temps et de la patience, mais certaine personne y arrivait plutôt bien, elle avait bon espoir que cela soit aussi le cas de Mathéo. " Il est dur pour une Serdaigle de mettre son cerveau sur pause ou même sur veille, j'ai l'impression de devoir tout analyser à chaque fois. Sautons alors, mais je compte sur toi pour ne pas me laisser m'écraser trop fort une fois arrivé en bas. Je n'arriverais pas à gagner contre mes peurs seul, tu vas devoir subir d'autre jour comme celui-ci ou je douterais de tout crois-tu pouvoir me supporter ?" Ils n'avaient jamais vraiment parlé de la naissance d'une relation entre eux et si les deux savaient être attiré l'un par l'autre et que l'inverse était vrai, il n'avait jamais cherché à se séduire comme le faisaient la plupart des personnes, la blonde avait donc ressenti le besoin de préciser les choses, de les mettre au clair pour être sûr de ne pas faire fausse route et elle avait été rassurée par la réponse du garçon qu'elle tenait dans ses bras. " Est ce mal d'être fou ? Surtout qu'être fou de moi ou à cause de moi est plutôt une bonne folie. Enfin ceci n'engage que moi et moi, je suis complètement folle, dingue, timbrée et tous les adjectifs dans ce genre-là" Elle-même était folle de son petit brun qui lui en faisait voir de toutes les couleurs, mais qu'elle n'arrivait pas à repousser pour autant.


La folie en amour pouvait avoir ses avantages, donnant des ailes aux personnes touchées pour les libérer plus facilement pour qu'elles mettent leur timidité de côté cela n'était pas plus mal et Ayla en avait bien besoin pas à cause d'un côté d'elle un peu timide ou réservée, elle ne l'était pas le moins du monde, mais plutôt pour se sentir en confiance plus facilement. Les sentiments étaient toujours difficile à contrôler à accepter aussi et ils leur faudrait surement du temps pour se rendre compte de la réelle importance de l'autre dans leur vie, mais du temps, ils en avaient encore devant eux. " Là je suis bien mieux, j'avais besoin d'un câlin"
© 2981 12289 0
Revenir en haut Aller en bas
NEUTRE
Mathéo A. Collins
Mathéo A. Collins
Bonjour ! J'appartiens à la maison : Anciennement Slytherin, actuellement à l'école des sports de Londres. J'ai posté : 627 hiboux. Grâce à moi ma maison a gagné : 6 pour une aventure ! Je suis de la génération : Etudiant de 1977. . Je suis un aventurier : on peut me blesser A savoir sur toi : « Un peu trop fêtard parfois, j’ai surtout le chic pour me m’attirer des ennuies. Vraiment pour le coup, j’ai pas de chance du tout, donc faites attention quand vous m’approchez. Sinon je suis quelqu’un de gentil et de doux, même si je peux être un peu trop caractériel quand j’ai fini ma limite. En clair, me cherchez pas trop. J’ai toujours ce problème avec les filles. Du mal à les approcher et encore plus à conclure. Vous voyez le gars qui transpire, avec les mains tremblantes, et qui bégaye à chaque fois qu’une fille lui adresse la parole ? Bah ce type c’est moi … »

Ma carte de chocogrenouille
Epouvantard: Lui-même en mangemort.
Patronus: Renard
Capacité spéciale: Aucune

Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. Empty
MessageSujet: Re: Ayla ▬ Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.  Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. EmptySam 18 Juin - 19:57


“Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.”



Ayla & Mathéo




Choisir entre les deux filles était totalement impossible pour lui et il avait voulu le faire comprendre à Ayla. Et bien sûr, plus tard, il le ferait également comprendre à Rebecca. Mathéo n’était pas un objet et n’appartenait pas à l’une ou à l’autre. Il avait quand même le droit de côtoyer qui il voulait sans pour autant devoir rendre des comptes à quelqu’un. Il n’avait jamais dû à s’expliquer sur ses différentes relations. Bien sûr, il n’avait jamais eu de petite amie jusqu’à maintenant et c’était peut-être pour ça que tout commencer à changer mais il ne voulait pas rentrer dans ce terrain miné, où quelqu’un lui dit qui a le droit de voir ou non. Sa mère n’avait jamais fait ça, donc ce n’était pas une fille qui allait le faire, que ce soit Ayla ou Rebecca. Bon certes, sa mère ne s’était sans doute jamais assez intéressé à ses histoires et à sa vie à Poudlard pour lui dire qui il avait le droit de fréquenter ou non. Elle l’imaginait surement comme un coureur de jupons comme était, soi-disant, son père, alors qu’il n’était pas du tout comme ça bien au contraire.

Avec Ayla, c’était sa première relation qui sortait un peu de l’ordinaire amitié. Il n’avait pas peur des filles, il avait des amies filles, mais ce n’était jamais allé plus loin que ça depuis qu’il était arrivé à Poudlard. Et même le passage à l’adolescence et les hormones en folie ne l’avait pas emmené rapidement vers la gente féminine. Peut-être avait-il peur des relations ou peut-être avait-il pensé pendant trop longtemps que les filles étaient trop compliquées. C’était le cas, les filles étaient compliquées et Ayla ne dérogeait pas du tout à la règle. Elle était assez difficile à suivre et était capable de passer à des humeurs totalement opposées en l’espace de quelques secondes.

*Je me demande comment tu vas réussir à ne pas finir ta vie tout seul si tu n’essaies pas un peu plus de comprendre les filles.*

Pour que tout soit dit, Mathéo lui avait clairement dit qu’il ne pouvait pas choisir entre elle et Rebecca et que de toute façon il ne le ferait pas. Elle lui répondit qu’elle ne voulait pas qu’il choisisse. Ah enfin une bonne nouvelle, elle semblait donc avoir compris le point de vue du Serpentard. Elle voulait juste que le jeune homme ait une vraie conversation avec elle pour qu’elle apprenne ou sont les limites à ne pas dépasser et les paroles qu’elle ne doit pas prononcer. Elle lui annonça qu’elle ne cherchait pas les histoires, qu’elle n’était pas comme ça, mais qu’elle ne pouvait pas rester sans rien dire. Mathéo comprenait ce qu’elle voulait dire mais ça allait quand même être compliqué de parler à Rebecca de ça, et il le savait pertinemment.

A vrai dire, si Mathéo avait toujours été très franc avec la Serdaigle, il ne lui avait néanmoins jamais posé de limites quant à son comportement avec lui. Il n’en avait jamais vraiment eu besoin jusqu’à présent non plus. Mais cette perspective lui semblait déjà compliqué. Déjà qu’il ne comprenait pas grand-chose aux histoires des filles, alors s’il devait s’immiscer dedans et ensuite faire l’entremetteur, cela risquait quand même d’être très compliqué pour lui.

*Au pire tu lui dises juste un truc dans le genre : laisse Ayla tranquille sale garce. C’est net, clair et concis et au moins elle saura exactement ce qu’il faut faire.*

Mathéo ne parlerait jamais comme ça à Rebecca. Il la respectait quand même et tenait à son amitié avec elle. Mais visiblement, cela semblait aussi important pour Ayla qu’il fasse le geste d’aller parler à Rebecca. Mon dieu, elles ne s’entendraient donc jamais et ça c’était bien dommage. Il y aurait surement beaucoup de moments de tensions à cause des histoires d’une l’une ou de l’autre. Quand cela arriverait, ça risquait de ne pas être vraiment très facile pour le pauvre Mathéo, qui n’avait absolument pas l’habitude de se prendre la tête pour des histoires comme ça.

– Tu pourrais aussi lui parler. Vous pourriez mettre les choses à plat une bonne fois pour toute, non ?

Proposa le jeune homme.

*Très courageux, tu veux lui refiler le travail pour ne pas à avoir à affronter Rebecca sur ce sujet délicat, on reconnait le vaillant Serpentard pour le coup.*

Certes, ce n’était pas très courageux mais au fond ce n’était pas non plus l’idée la plus pourrie du siècle. Si les deux jeunes filles arrivaient à avoir une conversation calme et posée, elles pourraient peut être essayer de se parler à cœur ouvert et faire s’envoler toutes ces tensions inutiles. Mais oui d’un autre côté, l’avantage c’est que Mathéo n’aurait pas à parler de ça lui-même à Rebecca, et ça lui faciliterait grandement la tâche. Mais il allait quand même s’abstenir de révéler ce petit détail à voix haute, au cas où Ayla ne l’aurait pas compris toute seule.

Mathéo lui avait dit qu’il fallait qu’elle arrête de réfléchir un peu et qu’elle lâche prise et arrêter de se bloquer complètement à cause de ses peurs. Il savait que c’était difficile, mais si elle voulait vraiment une histoire avec le Serpentard, à un moment, elle serait bien obligée de me faire. Elle ne pouvait pas sans cesse rester sur la retenue de peur qu’il le fasse souffrir. Car il n’était pas le même homme que celui dont elle était tombée amoureuse en première année. Ayla lui confia qu’il était dur pour une Serdaigle de mettre son cerveau sur pause. Elle avait l’impression de devoir tout analyser à chaque fois. Elle reprit la métaphore du jeune homme et proposa donc de sauter, mais elle comptait sur lui pour qu’il ne la laisse pas s’écraser, arrivé en bas. Elle n’arriverait pas à gagner contre ses peurs seuls, elle le prévint qu’il allait surement devoir subir d’autre jour comme celui-ci om elle douterait de tout et n’importe quoi. Elle lui demanda donc s’il se pensait capable de le supporter.

– Tant que tu ne me frappes pas au visage, ça devrait aller.

Lança le jeune homme pour essayer de détendre quelque peu l’ascenseur. Oui des disputes il pouvait le supporter, de toute façon il en était habitué depuis qu’il était tout petit. Les disputes avaient été incessantes dans la maison des Collins. Mais il ne voulait pas se disputer de la même manière avec Ayla. Il ne voulait pas la détester à cause de ça, et il ne voulait pas la perdre pour des broutilles, comme l’histoire de Rebecca. C’était à elle ensuite d’essayer de se contrôler et de réfléchir avant de s’énerver. La plupart du temps il faut choisir ses batailles et l’énergie qu’on met dedans, car certaines ne valent absolument pas la peine qu’on se batte.

Mathéo lui avait dit qu’elle le rendait fou et qu’elle était dingue. Bah oui quoi, c’était complètement incroyable et étrange de passer à une colère aux larmes, et à un sourire et à la joie en l’espace de même pas une heure. La jeune femme lui demanda si c’était mal d’être fou. Surtout qu’être fou d’elle ou à cause d’elle était plutôt une bonne folie. Elle avoua qu’elle était complètement cinglée. Au moins, elle le reconnaissait c’était une bonne chose. Mais Mathéo aurait vite besoin d’un traducteur si la jeune femme s’amusait à changer de comportement et d’humeur toutes les cinq minutes.

– Je pense que tu vas devoir m’expliquer, parce que j’ai toujours pas compris ce retournement de situation soudain.

Lança le jeune homme avec un sourire. Elle lui faisait un calin et lui annonça qu’elle était bien mieux et qu’elle en avait besoin. Le jeune homme lui rendit donc son étreinte, un peu maladroitement et gêné. C’était étrange, et il n’avait pas l’habitude.

– Combien de temps ça dure en général ?

*Abruti, tais toi.*




par humdrum sur ninetofive
Revenir en haut Aller en bas
Invité
avatar
❝ Invité ❞

Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. Empty
MessageSujet: Re: Ayla ▬ Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.  Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. EmptyMar 21 Juin - 21:23

❝ L'espoir fait vivre mais parfois il détruit.. ❞See you again !L'aigle n'était pas stupide, elle voyait bien ce qu'essayait e faire le brun en voulant la faire, aller voir elle-même Rebecca il ne voulait pas se mouiller et prendre le risque de se fâcher avec elle et Ayla trouvait cela vraiment lâche et cela ne lui plaisait pas du tout, il allait réalimenter sa colère si il n'agissait pas avec un peu plus de courage ce n'était pas à elle de régler les choses parce que ce n'était pas elle qui avait commencé, les deux jeunes filles n'étaient pas dans la même année et jamais la plus jeune n'avait parler à la plus vieille. C'était Rebecca qui était venue la voir méchamment pour s'en prendre à elle. Ayla ne voulait plus avoir à faire à la jeune femme, tenter d'améliorer les choses alors qu'elle n'avait rien faire pour empirer n'était pas dans son genre, elle voulait seulement avoir la paix dans sa vie et que la deuxième serdaigle se mêle de ses affaires personnelle plutôt que de vouloir parler de celle des autres. Et Mathéo allait devoir le comprendre si il ne voulait pas la perdre, si la blondinette était gentille, elle n'en restait pas moins une femme de caractère qui savait ce qu'elle voulait et ce qu'elle ne voulait pas. Et l'aigle volait un véritable homme dans sa vie, qui savait agir quand il le fallait pour ne pas laisser les problèmes s'aggraver. Quand elle s'adressa à lui, elle lui dit " N'essaye pas de refiler ton sale job, c'est ton amie, pas la mienne, c'est elle qui crache sur moi et pas l'inverse, et c'est toi qui arrive en retard à cause d'elle, à toi de régler le souci. Ne compte pas sur moi pour aller voir cette peste, elle ne mérite pas un seul regard de ma part" Il ne fallait pas chercher Ayla Abbot sinon on réveillait son mauvais côté, un peu rancunier sur les bords, elle pardonnait peu et mettait parfois des années avant de ne plus en vouloir à une personne qui lui avait fait du mal, même si le mal en question était léger. Et même si elle aimait beaucoup le brun, elle n'allait pas se forcer à jouer les hypocrites avec une femme qu'elle ne supportait pas de voir.

L'étudiante ne voulait plus vraiment penser à cette fille, ses mots et tout ce qui pouvait tourner autour d'elle, elle avait déjà perdu assez de temps sur son rendez-vous à cause de cette peste pas besoin d'en perdre encore plus. Elle préféra se concentrer sur le reste des mots du brun qui semblait ne pas avoir compris pourquoi elle était passé des larmes au sourire, de la crise de nerfs au câlin, c'était vrai que cela ne devait pas être compréhensif pour une personne qui ne pouvait savoir ce qu'il se passait à l'intérieur d'elle. Ayla avait parfois du mal à se comprendre toute seule alors s'expliquer allait être une épreuve pour elle, mais Mathéo allait avoir besoin d'un peu d'aide pour pouvoir, savoir comment agir, comment faire quand elle changeait aussi brusquement de manière d'agir et surtout pour qu'il ne la prenne pas pour une folle, elle devait être un peu plus explicite. Profitant encore un peu de son câlin, elle prit une grande inspiration avant de reculer un peu, l'aiglonne n'avait pas envie de quitter les bras du serpent et à peine reculer, elle avait de nouveau envie de le serrer entre ses bras. Elle ne le fit pas et prit la parole à la place pour tenter de mettre des mots sur ses actes, ses ressentis et tout le bazars qui pouvait y avoir à l'intérieur de son corps et de son esprit " Je ne frappa jamais, je suis contre la violence physique et je n'abîmerais pas un aussi beau visage" La partie la plus simple était dite à la suite maintenant " Je t'ai parlé de mon manque de confiance en moi... Et disons que je doute toujours de tout, j'ai toujours l'impression que tout le monde est mieux que moi et que je vais toujours être mise en second plan... Et du coup en ne te voyant pas arriver, j'ai paniqué et je me suis mise à cogiter, et le fait que tu me dises que tu veux réellement être avec moi ça a un peu calmé mes doutes, et mon côté, j'ai peur de ne pas compter pour toi... Enfin, je ne sais pas si c'est ce que je dis est plus compréhensif que ma façon d'agir, les filles sont compliquées, mais je te le dis, je suis dix fois pire, tu n'as pas fini de voir des situations comme celle-ci avec moi et je te rassure, j'ai mois même du mal à me suivre"




Ayla souffrait encore beaucoup de ses angoisses bien souvent infondées et si la plupart du temps, elle arrivait à contenir ses peurs en elle aujourd'hui, elle n'avait pas réussi et était passer pour une folle aux yeux du garçon qui l'intéressait, mais pour le moment, elle voulait lui répondre, mais elle ne savait pas si sa dernière question concernait les câlins ou ses crises de folie et de changement de comportement. Ses périodes lunatiques n'étaient pas vraiment soumises à duré particulière pour les étreintes par contre elle ne savait pas quoi dire, parce qu'elle aimait rester le plus longtemps possible dans les bras de la personne qu'elle était en train de câliner, mais cela pouvait parfois déranger, tout le monde n'était pas tactile, ou n'aimait pas même les contacts physiques ce qui rendait le tout plutôt aléatoire et sa réponse était donc incertaine." Tu parles des câlins ou du fait que je sois complètement folle et que je fasse des crises pour rien ? Bon, la réponse et dans le fond, la même, je ne peux te donner de durer précise, tout dépend de la personne en face et des conditions dans lesquelles, on se trouve" Il fallait dire qu'elle n'avait pas pour habitude de serrer contre elle toutes les personnes qu'elle croisait et elle ne se mettait pas non plus à pleurer devant eux.
© 2981 12289 0
Revenir en haut Aller en bas
NEUTRE
Mathéo A. Collins
Mathéo A. Collins
Bonjour ! J'appartiens à la maison : Anciennement Slytherin, actuellement à l'école des sports de Londres. J'ai posté : 627 hiboux. Grâce à moi ma maison a gagné : 6 pour une aventure ! Je suis de la génération : Etudiant de 1977. . Je suis un aventurier : on peut me blesser A savoir sur toi : « Un peu trop fêtard parfois, j’ai surtout le chic pour me m’attirer des ennuies. Vraiment pour le coup, j’ai pas de chance du tout, donc faites attention quand vous m’approchez. Sinon je suis quelqu’un de gentil et de doux, même si je peux être un peu trop caractériel quand j’ai fini ma limite. En clair, me cherchez pas trop. J’ai toujours ce problème avec les filles. Du mal à les approcher et encore plus à conclure. Vous voyez le gars qui transpire, avec les mains tremblantes, et qui bégaye à chaque fois qu’une fille lui adresse la parole ? Bah ce type c’est moi … »

Ma carte de chocogrenouille
Epouvantard: Lui-même en mangemort.
Patronus: Renard
Capacité spéciale: Aucune

Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. Empty
MessageSujet: Re: Ayla ▬ Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.  Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. EmptyJeu 23 Juin - 4:14


“Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.”



Ayla & Mathéo




Ok Mathéo avait été très loin d’être courageux en essayant de refiler le mauvais travail à Ayla. Bon pour sa défense il y avait bien une raison si le choixpeau magique n’avait pas pensé une seule seconde à l’envoyer dans la maison des Rouges et Or. Alors oui, il avait essayé subtilement de faire comprendre à la Serdaigle qu’elle ferait mieux d’aller parler elle-même à Rebecca afin de calmer les tensions, de mettre tout à plat une bonne fois pour toute et pouvoir repartir de zéro et offrir un peu de répit à Mathéo. Oui parce que lui n’avait certainement pas envie d’être spectateur de cette gueguerre entre fille où il devrait choisir à chaque fois entre les deux filles dont il prendrait la défense ou pas, et il savait qu’à la fin il s’attirerait dans tous les cas des ennuis. Alors pouvait-on vraiment lui en vouloir de vouloir laisser son sale boulot de côté ? Puis après tout, Mathéo n’y était pour rien dans ses histoires, ce n’était pas lui qui avait dit aux jeunes femmes de se détester ou quoi. Il n’était qu’une pauvre victime coincée au milieu de toute ces histoires en fin de compte.

*Mon pauvre chéri, franchement tu es vraiment à plaindre.*

Bon ok, victime était peut-être un bien grand mot. Mais Mathéo n’avait pas la moindre envie d’avoir cette discussion avec Rebecca, il savait déjà comment ça allait se finir, et lui aimait le calme et pas la guerre. Mais malheureusement pour le Serpentard, il n’allait sans doute pas y échapper. Ayla avait visiblement bien compris l’une de ses arrières pensées, elle lui annonça de ne pas essayer de lui refiler son sale job car c’était son amie et pas la sienne, que c’était elle qui crachait sur elle et pas l’inverse et que c’était lui qui arrivait en retard à cause d’elle, donc c’était à lui de régler le soucis. Elle rajouta qu’il ne fallait pas compter sur elle pour aller voir cette peste, elle ne méritait pas un seul regard de sa part, selon elle. Elle était en colère, et c’était fatiguant. Vraiment, car elle ne comprenait pas vraiment le fond de l’histoire.

– Est-ce que tu t’entends au moins ?

*Euh … Joue pas sur cette pente glissante mon cher, c’est un conseil.*

Les dernières paroles de la jeune femme n’avaient pas forcément plu au Serpentard. Certes, il n’avait pas forcément à lui refiler son sale boulot, comme elle disait si bien, mais elle l’agresser encore une fois à cause des actes de Rebecca. Et puis elle l’insultait ouvertement devant lui, en disant qu’elle valait mieux que ça. Bref, la jeune femme en avait marre que Mathéo défende contre vents et marées son amie. Mais il fallait qu’elle imprime bien que oui cette fille c’était sa meilleure amie, et que si elle ne voulait pas l’apprécier, elle devrait la supporter. Car elle allait comprendre que Mathéo ne pouvait pas vivre sans elle. Elle faisait partie intégrante de sa vie, et peut-être même plus qu’Ayla pouvait se l’imaginer.

Elle était avec lui du matin au soir. Elle connaissait sa vie, ses petites histoires. Et ils continuaient de se voir pratiquement tous les soirs. C’est ensemble qu’ils passaient la plupart du temps. C’était sa meilleure amie, et qu’Ayla ne l’aime pas, il pouvait le comprendre, mais de là, à l’insulter juste devant lui ? Cela allait peut-être un peu trop loin non ? Mathéo faisait de son mieux pour comprendre la jeune femme, pour essayer de se caler sur ses humeurs, mais elle devait comprendre qu’elle n’était pas seule.

*Arrête Mathéo, ça en vaut pas la peine.*

– C’est mon ami et alors ? Ça veut dire que je dois régler tous les problèmes ? Ecoute j’irais lui parler, si ça t’intéresse pas de faire des efforts avec elle.

C’était quand même fou toute cette histoire autour de Rebecca. Et ça continuait, le jeune homme avait vraiment l’impression que ce sujet serait un sujet récurrent dans leurs disputes si leur relation continuait. Mais il n’avait pas envie que s’en soit un. En réalité dans son cerveau, Rebecca et Ayla ne pouvait pas vraiment cohabiter. Il n’imaginait pas son monde sans Rebecca ou sans Ayla, mais il ne voyait pas son monde avec les deux dedans en même temps. Oui le cerveau de Mathéo était dur à suivre. De toute évidence, il était loyal envers ses amis. Il était loyal envers Rebecca parce que c’était une fille qu’il appréciait plus que tout. Ayla serait, elle aussi, apprécier cette loyauté quand elle sera à son profit.

Il ne voulait pas lui faire du mal, ce n’était pas son but. S’il avait un moyen de régler les problèmes avec Rebecca il le ferait d’un claquement de doigt mais ce n’était pas si facile. En réalité, il en avait marre de penser à son amie. Il n’avait plus envie de se prendre la tête avec la Serdaigle pour ça, et espérait secrètement qu’ils puissent passer vite à autre chose et enfin profiter quelque peu de ce rendez-vous au début gâché. La jeune femme semblait s’apaiser un peu en entendant la suite des mots du jeune homme. Il voulait être avec elle, voilà tout, c’était aussi simple que ça, et d’une manière ou d’une autre, Ayla devrait se laisser un peu aller, et arrêter de se bloquer complètement avec ses peurs.

La jeune femme lui annonça qu’elle ne frappait jamais, qu’elle était contre la violence physique et qu’elle ne voudrait pas abimer un si beau visage. Mathéo s’en vu immédiatement rassuré. A vrai dire, la colère il avait l’habitude, mais il n’avait pas envie de voir la Serdaigle, énervé, à cause de lui au point d’en devenir violente. Elle continua en lui rappelant qu’elle lui avait parlé de son manque de confiance en elle, et à cause de ça, elle doutait de tout, elle avait toujours l’impression que tout le monde était mieux sans elle, et qu’elle allait toujours être mise en second plan. En ne le voyant pas arriver, elle avait donc paniqué et elle s’était mise à cogiter. Elle continua, le fait que le jeune homme lui ait dit qu’il voulait réellement être avec elle avait un peu calmé ses doutes. Elle ne savait pas vraiment si ce qu’elle disait était compréhensif, du moins plus que sa façon d’agir. Les filles étaient compliquées, mais elle lui précisa qu’elle était dix fois pire et qu’il n’avait pas fini de voir des situations comme celle-ci avec elle. Elle le rassura en lui disant qu’elle avait elle-même du mal à se suivre de temps en temps.

En effet tout cela avait l’air bien compliqué, et Mathéo n’était pas totalement sûr d’avoir bien compris. Bon au moins, il savait que c’était à cause de ses mots qu’elle avait subitement changé de réaction. Mais le problème c’est qu’il n’était pas sûr de retrouver les bons mots à la prochaine dispute. Ce qui pouvait être quelque peu inquiétant.

– Arrête d’angoisser. Je suis franc avec toi et si je veux plus de toi, je te le dirais. Sinon considère que tout va bien et que je n’ai pas l’intention de te laisser tomber.

*Tu sais que tu es quand même vachement maladroit dans tes paroles quand tu ouvres la bouche. Non je précise, parce que tu as vraiment pas l’air de t’en rendre compte.*

Mathéo avait demandé à la jeune femme combien de temps ça durait en général. Ayla n’avait visiblement pas bien compris à quoi il faisait allusion. Elle lui répondit que malgré tout, la réponse était sensiblement la même, qu’elle ne pouvait pas vraiment donner de durée précise, tout dépendait de la situation.

– En fait je parlais des calins.

Annonça le jeune homme avec un sourire en coin de lèvres. Il est vrai que ça aurait pu être aussi intéressant de savoir combien de temps elle pouvait rester énervé avant de finalement se fatiguer et se calmer naturellement.

– Mais savoir combien de temps tu mets à te calmer peut m’aider aussi.



par humdrum sur ninetofive
Revenir en haut Aller en bas
Invité
avatar
❝ Invité ❞

Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. Empty
MessageSujet: Re: Ayla ▬ Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.  Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. EmptyVen 24 Juin - 23:37

❝ L'espoir fait vivre mais parfois il détruit.. ❞See you again !Ayla s'était pourtant calmée, elle était passée à autre chose, mais le brun lui semblait décider à lui faire péter un plomb, il se remis à parler de Rebecca et s'en était pris à elle, elle ne comprenait pas ou était le problème du brun, la blonde pouvait parler de l'autre en mal, mais elle n'avait pas le droit de lui rendre la pareille. C'était injuste de la part du brun de s'en prendre à elle alors qu'elle ne faisait que de se défendre des attaques de son amie, si lui ne savait pas mettre des barrières à l'une, il n'allait pas pouvoir en fixer à l'autre, c'était comme ça et cela ne serait pas autrement. Hors de question pour elle de se laisser faire, elle avait été une fois une victime, elle n'en serait une deux fois. Elle avait pris du caractère et elle ne se laissait pas marché sur les pieds. Si Mathéo la poussait dans ses retranchements, il allait finir par la trouver et cela ne serait sans doute pas bon pour leur relation. Elle recula prenant ses distances physiques avec le brun, son visage se ferma une nouvelle fois, elle ne devait pas rester ici leur conversation ne finirait de toute manière pas de la bonne façon cela ne servait à rien de surenchérir vu qu'il n'était pas prêt à entendre la moindre critique sur précieuse amie qui avait elle le droit d'en faire sur tout le reste du monde ce n'était pas dérangeant quand on s'appelait Rebecca. Il fallait se rendre à l'évidence, elle n'aurait jamais la préférence du brun, elle devait laisser, tomber et limiter les dégâts pour ne pas trop souffrir par la suite. D'un ton froid, elle s'adressa au garçon " Quand on ne s'appelle pas Rébecca, on n'a pas le droit de critiquer les autres, mais bizarrement quand elle vient te parler en mal de moi, tu l'écoutes. Laisse tomber ne fait rien, n'allons surtout pas remettre en question l'amie qu'elle est. Je ne suis pas la cause du problème, je ne t'ai jamais parlé d'elle avant qu'elle ne se mette à tenter de faire des histoires entre nous, mais tu as visiblement choisi ton camp et je ne serais plus jamais la victime de personne dans son genre. Sur ce, je pense que nous avons fini de discuter"


Et elle se retourna pour retourner au château là ou elle aurait déjà dû être depuis un moment, elle n'aurait même pas dû attendre pendant le retour du brun, elle aurait du rentrée et se mettre à travailler. Où faire d'autres choses susceptible de lui changer les idées, elle ne devait plus penser ni à Rebecca ni à Mathéo, elle devait d'abord penser à elle. Pour ne pas souffrir de nouveau, Ayla ne savait plus sur quel pied danser, elle pensait que tout, c'était arranger, entre eux qu'il pouvait penser à autre chose et vraiment profiter de leur rendez-vous qui avait déjà été pas mal agité, mais rien ne se passait jamais comme elle le prévoyait, ou l'imaginait, elle était sans cesse blessée par les autres que cela soit intentionnel ou non, elle se sentait toujours mise de côté et relégué au second plan. Même si le serpentard semblait dire l'inverse, la politesse l'obligeait à attendre la fin des paroles du brun pour ne pas passer pour une impolie, mais quand celui-ci finis de parler, elle commença à marcher pour retourner vers les grandes portes. Il faisait froid de toute façon, elle n'avait plus rien à faire dehors, elle voulait maintenant elle tranquille, que plus personne ne vienne parler sur elle ou avec elle, pour pouvoir réellement se calmer, une bonne fois pour toute. Et pour cela, il lui fallait vraiment du temps, parce qu'elle pouvait être rancunière. " J'ai besoin de temps pour me calmer et vu que tu ne sembles pas décider à me laisser tranquille avec ta superbe amie parfaite, je vais rentrer pour le faire" Elle avait élevé la voix pour être entendue. La colère se faisait entendre dans sa voix.


" Et sache que je ne ferais jamais aucun effort avec elle que cela te plaise ou non " Ayla en avait terminé pour la journée, elle en avait assez bavé depuis quelques minutes, elle ne supporterait pas plus pour la journée, elle avait beau paraître forte, elle n'arrivait pas à encaisser énormément de reproche et de phrase un peu méchante, parce qu'elle était fragile et qu'elle se laissait facilement abattre par les mauvaises paroles des autres, et que la plupart ne pouvaient pas savoir ce que leurs mots pouvaient lui faire comme effet. Personne n'était pareil alors personne ne réagissait de la même manière aux disputes, Ayla, elle les fuyait, elle n'aimait pas les problèmes, les conflits n'étaient pas pour elle parce qu'elle n'avait pas la force de tenir longtemps devant une personne et de lui hurler dessus. Elle était pour la paix, la joie et la bonne humeur. Pas de guerre pas pour elle. La blondinette avait presque atteint les portes de l'établissement si elle arrivait à les passer sans que le brun ne l'arrête, elle se mettrait à courir pour aller exploser dans un coin à l'abri des regards, elle n'irait sans doute pas dîner ce soir, son moral était tomber bien bas à la suite de leur première confrontation. Elle se sentait une fois de plus seule et incomprise et cela était douloureux à encaisser, mais elle arriverait à se relever, il lui fallait juste du temps pour le faire comme à chaque fois. Mais rien n'était impossible dans la vie et elle ne laisserait plus aucun homme la mettre à terre, elle avait appris de ses erreurs. Même si elle savait qu'elle aurait dû réagir différemment aujourd'hui, moins montrer ses ressentis et garder le contrôle de sa colère pour limiter la casse et contourner la dispute, elle n'était qu'une adolescente et elle n'arrivait pas à faire preuve d'assez de recul pour pouvoir encaisser sans rien dire, un jour peut-être, mais pas aujourd'hui. Pas après avoir attendu quarante minutes pour s'entendre reprocher des choses dont elle ne pouvait rien changer. C'était juste trop pour elle.


© 2981 12289 0
Revenir en haut Aller en bas
NEUTRE
Mathéo A. Collins
Mathéo A. Collins
Bonjour ! J'appartiens à la maison : Anciennement Slytherin, actuellement à l'école des sports de Londres. J'ai posté : 627 hiboux. Grâce à moi ma maison a gagné : 6 pour une aventure ! Je suis de la génération : Etudiant de 1977. . Je suis un aventurier : on peut me blesser A savoir sur toi : « Un peu trop fêtard parfois, j’ai surtout le chic pour me m’attirer des ennuies. Vraiment pour le coup, j’ai pas de chance du tout, donc faites attention quand vous m’approchez. Sinon je suis quelqu’un de gentil et de doux, même si je peux être un peu trop caractériel quand j’ai fini ma limite. En clair, me cherchez pas trop. J’ai toujours ce problème avec les filles. Du mal à les approcher et encore plus à conclure. Vous voyez le gars qui transpire, avec les mains tremblantes, et qui bégaye à chaque fois qu’une fille lui adresse la parole ? Bah ce type c’est moi … »

Ma carte de chocogrenouille
Epouvantard: Lui-même en mangemort.
Patronus: Renard
Capacité spéciale: Aucune

Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. Empty
MessageSujet: Re: Ayla ▬ Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.  Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. EmptySam 25 Juin - 19:11


“Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.”



Ayla & Mathéo




Bon visiblement les choses étaient quand même mal barré pour s’arranger aujourd’hui. Alors que Mathéo avait réussi une première fois à calmer la jeune femme. Visiblement ses derniers mots l’avaient remise en colère. Rebecca était donc un grand sujet sensible pour les deux jeunes gens. Mais le Serpentard ne pouvait donner raison à Ayla sans défendre Rebecca. Il n’arrivait pas à comprendre qu’elle ne comprenne pas leur relation. Ne ferait-elle pas la même chose pour ses amis ? Si la situation était totalement inversée et que Mathéo avait lui-même critiqué ouvertement l’un de ses meilleurs amis, aurait-elle réagi comme lui ? Franchement il ne comprenait vraiment pas la réaction de la jeune femme. Il ne pensait pas avoir tort non plus dans cette discussion, ce qui compliquait grandement les choses. Mathéo n’était pas quelqu’un de méchant, bien au contraire, il ne s’amusait pas à faire du mal aux gens pour le plaisir. Mais il était têtu, très têtu. Et quand il pensait avoir raison, il ne voulait pas en démordre.

*A un moment va falloir que l’un d’entre vous calme le jeu, sinon ça peut vite dégénéré.*

Bien sûr, il comprenait que l’un d’entre eux allait devoir faire la part des choses. Mais pourquoi lui ? Parce qu’il était ami avec une jeune femme qu’Ayla ne pouvait visiblement pas supporter. La Serdaigle avait sous-entendu qu’il devait régler tous les problèmes avec Rebecca, parce qu’elle était son amie. Mais Mathéo ne voyait absolument pas les choses comme ça. Après tout, lui n’avait aucun problème avec Rebecca ou avec Ayla (enfin jusqu’à maintenant), le problème était entre les deux Bleues et Argent, alors pourquoi n’essaieraient-elles pas d’avoir une discussion ensemble au calme, plutôt que de tout faire passer par le Serpentard. Oui dans son cerveau de garçon, tout ça paraissait tellement logique qu’il ne voyait pas pourquoi elle s’énervait encore à propos de ça. Finalement Mathéo en eut marre, et lui annonça qu’il irait lui parler si ça ne l’intéresser pas de faire des efforts avec Rebecca.

Bien sûr, le petit pic était quand même là. Pour lui montrer que c’était son choix à elle de ne pas faire d’effort avec quelqu’un d’important dans la vie du jeune homme. Si elle ne voulait pas accepter que Rebecca était son amie et que c’était normal qu’il y ait un lien fort entre les deux personnes, ça allait être compliqué. Mais visiblement il était difficile de faire entendre raison à Ayla aujourd’hui. D’ailleurs, elle repartit de plus belle. En effet, elle lui répondit froidement qu’avec lui quand on ne s’appelait pas Rebecca on n’avait pas le droit de critiquer les autres, mais bizarrement quand c’était l’autre Serdaigle qui venait lui parler en mal d’Ayla, il l’écoutait. Elle lui proposa de laisser tomber et de ne rien faire pour ne surtout pas remettre en question l’amie qu’elle était. Elle n’était pas la cause du problème, elle ne lui avait jamais parlé d’elle avant qu’elle se mette à tenter de faire des histoires entre eux. Mais pour Ayla, il avait visiblement choisi son camp et elle ne serait plus jamais la victime de personne dans son genre. Elle finit par conclure qu’ils avaient fini de discuter.

Ah oui donc ça se passait comme ça avec elle. Elle parlait puis elle décidait ensuite que la discussion était close sans laisser l’opportunité à la personne en face d’elle de répondre. S’ils avaient une discussion fermée comme ça, Mathéo ne pourrait pas expliquer son point de vue, ce qui risquait de l’agacer fortement.

*Calme toi, elle n’a pas tout à fait tort. Tu as toujours fait passer Rebecca avant tout le monde même quand elle ne le méritait pas.*

Mais c’était bien ça le problème, il avait toujours fait passer Rebecca avant tout le monde parce qu’il n’avait personne à faire passer devant elle. C’était sa meilleure amie depuis près de six ans, et avant elle n’avait jamais eu aucune compétition dans le cœur de Mathéo. Elle avait la main mise dessus et s’était habitué à être le centre de l’attention par rapport au jeune homme. Le rapport de force s’était désormais inversé, et tout le monde semblait un peu bouleversé par ce changement. Mathéo le premier.

Ayla s’était retourné pour partir, encore une fois. Elle avait annoncé la fin de la discussion et était visiblement bien décidé à retourner au château cette fois-ci. Alors, elle avait vraiment envie qu’ils se quittent sur une mauvaise note comme ça. Mathéo n’était pas trop de cet avis. A part pour les relations dans sa famille, il n’aimait pas rester sur un conflit. Tout simplement parce qu’il ne savait pas les gérer du tout. Elle lui annonça de loin qu’elle avait besoin de temps pour se calmer et vu qu’il n’était pas décidé à la laisser tranquille avec sa super amie parfaite, elle allait rentrer pour le faire. Rien qu’à sa voix, Mathéo se rendait compte qu’elle était vraiment en colère.

Puis elle ajouta qu’elle ne ferait jamais aucun effort avec elle que cela lui plaise ou non.

*Allez pam prend ça, tu l’as bien mérité tiens.*

Elle était presque arrivé aux portes du château mais le jeune homme ne voulait pas laisser les choses tel quel. Autant mettre les choses à plat maintenant plutôt que de ruminer chacun de son côté pendant des heures et finalement se sentir mal. Mathéo n’avait pas envie de ça. Il la rattrapa avant qu’elle ne puisse entrer dans le château, lui attrapa la main pour la tirer quelque peu vers lui de façon qu’elle lui fasse face au lieu de fuir encore une fois.

– Tu vas m’écouter et tu vas arrêter de t’enfuir.

Lança le jeune homme. Oui il préférait parler avec elle maintenant plutôt qu’elle s’en aille, qu’elle se monte la tête avec des histoires qui n’avaient pas lieu d’être. Mettre les choses à plat une bonne fois pour toute.

– Elle est toujours passé avant n’importe qui. Elle a été mon soutien, mon rayon de soleil, et parfois même mon pire cauchemar. Je l’ai toujours défendu contre vents et marées parce qu’elle était plus importante que quiconque pour moi.

*Mais qu’est-ce que tu fous au juste là, je suis pas sûr que ce soit la meilleure des défenses.*

Il essayait. Il voulait qu’elle comprenne pourquoi il agissait comme ça avec Rebecca. Car pendant très longtemps, elle avait été son unique repère ici à Poudlard, et qu’il était dur de changer des habitudes quand ça faisait aussi longtemps.

– Fuis. Ne fais pas d’effort. Je me battrais tout seul s’il le faut.

Lui lança-t-il. Il marqua une pause avant de reprendre.

– Tu sais, j’ai passé ma vie à attendre que la fille de mes rêves se présente et tout d’un coup t’es apparu. Tu ressembles en rien à la fille que j’imaginais, tu es dingue et colérique et impossible. Mais pour être franc avoir à t’affronter c’est la meilleure chose qu’il me soit jamais arrivé.

Il la fixait, prononçant ses paroles qui venaient du fond de lui. Il ne savait pas quoi dire, quoi faire pour la garder, pour qu’elle ne veuille plus abandonner, pour qu’elle ait un peu confiance en lui l’espace d’un instant. Les relations amoureuses étaient bien plus dur qu’il ne l’avait jamais imaginé. C’était un mélange de bonheur et de souffrance et c’était très déstabilisant.

– Je t’ai fait du mal en arrivant en retard, avec Rebecca. Mais si tu cherches à me faire souffrir en retour, sache que tu réussis plutôt bien.




par humdrum sur ninetofive
Revenir en haut Aller en bas
❝ Contenu sponsorisé ❞

Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. Empty
MessageSujet: Re: Ayla ▬ Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.  Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. Empty
Revenir en haut Aller en bas
 
Ayla ▬ Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 2Aller à la page : 1, 2  Suivant
 Sujets similaires
-
» [Hermione] Une rencontre dans le passé pour parler du présent qui se trouve être le futur
» Minerva ♥ Vous m'avez fait peur !
» Mila Mitchell : "Un lien est unique. Il n'y en aura jamais deux pareils. Alors du coup, je veux savoir, quel est le notre ?"
» Je suis ton fils... Mais dans le futur... Donc... Bah, tu ne le sais pas encore... Recommençons du début, veux-tu ? Moi c'est Harry ! (avec Lily, dans la salle commune des Gryffondors)
» "- Tu veux être mon ami ? - J'ai une tête à avoir des amis ?" - Becca.

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Love Always Lives  :: Un coin de paix... :: Le ministère du patrimoine :: Archives des RPS classiques-
Sauter vers: