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 Mathéo - Un besoin urgent ça n'attend pas

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NEUTRE
Victoria De Queensberry
Victoria De Queensberry
Bonjour ! J'appartiens à la maison : serpentard J'ai posté : 61 hiboux. Grâce à moi ma maison a gagné : 3 pour une aventure ! Je suis de la génération : maraudeurs . Je suis un aventurier : on peut me blesser A savoir sur toi : Mathéo - Un besoin urgent ça n'attend pas Tumblr_inline_p9bzlevhdw1rooebp_540

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MessageSujet: Mathéo - Un besoin urgent ça n'attend pas  Mathéo - Un besoin urgent ça n'attend pas EmptyLun 23 Juil - 19:55
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Une besoin urgent ça n’attend pas.
Victoria De Queensberry & Matheo Collins
Allongée toute seule dans son grand lit, bien trop grand pour elle seule, Victoria s’ennuyait. Et quand on était elle on ne s’ennuyait jamais, ce n’était tout simplement pas possible. Non elle se devait de toujours être en mouvement, toujours être là pour montrer sa superbe aux autres et leur indiquer sa présence. Mais dans ce grand appartement où elle vivait seule, personne n’était là pour la voir, ni pour observa beauté, ni pour lui parler ou l’écouter plutôt car après tout elle aimait s’entendre alors bon à quoi bon essayer de s’intéresser à la vie des autres. Lamentable journée et elle aurait pu aller dans pleins d’endroits, elle aurait pu se diriger vers l’université et s’incruster dans un cours, parce qu’elle le pouvait, que cela l’amusait de voir les professeurs ne pas comprendre ce qu’elle faisait là, voir les regards se retournaient vers elle comme cela lui était dû. Oui elle adorait ça, elle aimait être le centre d’un univers peu importe lequel et jusqu’alors elle vivait très bien avec sa conscience. Ho bien sûr il y avait toujours des idiots pour tenter de la rabaisser de lui montrer qu’elle ne pouvait pas agir de la sorte, mais ce qu’ils ne comprenaient pas c’était qu’elle avait le droit, bien plus que n’importe qui selon elle. Oui Victoria avait l’habitude qu’on lui cède tout, elle ne voyait pas pourquoi loin de ses parents, cela ne devrait pas être pareil. Et puis si certaines fortes têtes se permettaient de lui répondre, elle réagissait au quart de tour leur montrant sa magnifique capacité à remettre les gens là où était leur rang. La petite princesse, se redressa dans son lit, s’assit en tailleur et regarda l’immensité de la chambre dans laquelle elle se trouvait. Elle aurait pu lire un livre, mais là de suite tout ce qu’elle avait, Victoria les avait déjà lu et relu. Non il lui fallait quelques choses de nouveaux, un sentiment d’air frais et une envie soudaine de … oui c’était ça. Il fallait qu’elle aille le voir ! C’était pour évident non ? Pourquoi n’y avait-elle pas pensé plus tôt. Elle ouvrit sa garde-robe et enfila un pantalon de toile, un t-shirt qu’elle rentra à l’intérieur et sa veste en cuir d’un rouge presque Bordeau. Enfilant ses chaussures, elle prit le temps de balancer à l’intérieur de son sac tout un tas d’objets inutiles avant de se diriger vers la porte et de sortir. Et maintenant se posait la question fondamentale : aller à pieds ou aller en transplanant ? Après tous les moldus ne verraient pas l’établissement, le taxi n’était pas envisageable. Elle observa sa montre, puis ses chaussures. Non, pas questions d’y aller à pied. Elle sortit de l’immeuble où se trouvait son appartement, arrivant dans une petite résidence très calme pour un centre-ville et marcha un peu avant de transplaner en pleins cœur de Londres, là où se trouvait sa destination. Et forcément puisque les écoles magiques refusaient l’accès par transplanage, elle se mit frénétiquement à marcher. La bâtisse était un endroit correct, qui lui semblait plutôt propre et agréable, mais elle n’avait pas la moindre idée d’où elle pourrait le trouver. Alors elle ouvrit la porte en grand et commença à arpenter les couloirs. Deuxième année si elle ne se trompait pas, puisqu’il était plus jeune qu’elle mais qu’elle n’arrivait jamais vraiment à retenir son année de naissance. Ni son anniversaire d’ailleurs … mais était-ce le plus important. Et soudainement elle arriva dans les vestiaires, non pas féminine mais bien masculine comme c’était écrit sur la porte. Des regards se tournèrent vers elle, très surpris tandis que des garçons remettaient précipitamment une serviette autour de leur taille pour cacher leur parti. Vu ce qu’il y avait cela ne semblait pas nécessaire. Elle scruta les visages jusqu’à trouver celui qu’elle cherchait et s’avança d’un pas assuré vers lui. Victoria se planta devant lui : « Mathéo ! Je m’ennuie, amuse-moi.  » Oui c’était clairement un ordre, oui c’était pour cette raison qu’elle avait fait tout ce trajet et qu’elle se trouvait à présent dans les vestiaires entourés de garçons dont elle ignorait le nom. Alors qu’elle fixait Mathéo attendant sa réponse, l’un d’eux trouva intéressant de venir la voir et de lui balancer dans une sorte de rire : « Moi je peux t’amuser si tu veux.  » Elle se retourna sur ses talons, avec une certaine grâce, dans sa direction. Moche, pas vraiment son genre, et apparemment pas très bien doter. Elle roula des yeux avant de le fusiller du regard. « Déjà tu n’as clairement pas ce qu’il faut pour y arriver et ensuite te voir bander sous ta serviette me donne envie de vomir. Aller dégage, avant qu’il ne te reste plus rien pour t’amuser ! » Et dans un mouvement de cheveux, elle se retourna vers Mathéos pour lui afficher un petit sourire.  

electric bird.
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NEUTRE
Mathéo A. Collins
Mathéo A. Collins
Bonjour ! J'appartiens à la maison : Anciennement Slytherin, actuellement à l'école des sports de Londres. J'ai posté : 627 hiboux. Grâce à moi ma maison a gagné : 6 pour une aventure ! Je suis de la génération : Etudiant de 1977. . Je suis un aventurier : on peut me blesser A savoir sur toi : « Un peu trop fêtard parfois, j’ai surtout le chic pour me m’attirer des ennuies. Vraiment pour le coup, j’ai pas de chance du tout, donc faites attention quand vous m’approchez. Sinon je suis quelqu’un de gentil et de doux, même si je peux être un peu trop caractériel quand j’ai fini ma limite. En clair, me cherchez pas trop. J’ai toujours ce problème avec les filles. Du mal à les approcher et encore plus à conclure. Vous voyez le gars qui transpire, avec les mains tremblantes, et qui bégaye à chaque fois qu’une fille lui adresse la parole ? Bah ce type c’est moi … »

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MessageSujet: Re: Mathéo - Un besoin urgent ça n'attend pas  Mathéo - Un besoin urgent ça n'attend pas EmptyMar 24 Juil - 4:22
matheo collins + victoria de queensberry

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Tight like a rope, try to not reach for memories. Lover, lover, what have we done ? We made our heart leap, then it gave up. Lover, lover, let me in. You came in the door like thunder, then hit the floor like thunder. Laying me down you wonder. You came towards like thunder.
Journée de janvier. Pour un début d’année et un milieu d’hiver, il ne faisait pas si froid dans les rues de Londres. Heureusement pour l’école de sport, car peu importe le temps de l’extérieur, cela n’arrêtait pas les cours. Mathéo avait passé sa journée à l’école. Ce matin, il avait suivi des classes théoriques : histoire du quidditch, soins aux équipements, et techniques de jeux. Mais comme d’habitude, les après-midi étaient réservés à la pratique. Pour l’ancien serpentard, il n’y avait rien de mieux que de voler sur un balai. Là-haut dans les airs, il se sentait comme un poisson dans l’eau. Il avait l’impression d’être réellement doué pour quelque chose, et ce frisson qu’il ressentait à chaque fois qu’il jouait ne pouvait être égalé par quoi que ce soit. Il jouait toujours comme poursuiveur, son poste de prédilection. Le coach s’était montré particulièrement sévère avec ses joueurs aujourd’hui. En effet, depuis qu’ils étaient entrés en deuxième année, la pression avait nettement augmenté. Ici à l’école des sports, c’était pendant la deuxième année que les meilleurs joueurs se faisaient recrutés par les grandes équipes du pays. Alors si le garçon voulait réellement poursuivre son rêve, il n’avait d’autre choix que de travailler toujours plus dur. Et évidemment, c’était ce qu’il faisait. Mathéo passait beaucoup de temps ici à s’entrainer, à répéter encore et encore des figures, et des techniques pour les maitriser à la perfection. Le travail payait bien évidemment. Il était sans doute l’un des meilleurs de sa promotion. Mais de grandes facultés venaient avec des inconvénients également. Son coach était loin d’être tendre avec lui, et semblait en attendre plus de lui que d’autres de ses camarades. Aujourd’hui, il avait dû répéter les mouvements pendant près de quarante-cinq minutes tout en se faisant hurler dessus par son entraineur. Ca n’avait pas été facile, mais surtout très frustrant. Mais il savait que tout cela était pour son propre bien. Plus on était dur avec lui, plus il réussirait à réaliser son rêve. Alors quand le sifflet de leur coach sonna la fin de l’entrainement, Mathéo poussa un soupir de soulagement. Il était tout bonnement exténué. C’était à peine s’il sentait encore ses doigts et ses jambes. Ils eurent des conseils de dernières minutes avant d’être relâchés. Le jeune homme suivit ses camarades au vestiaire. Arrivé là-bas, il retira son uniforme et fila presque immédiatement sous la douche. Oh qu’est-ce qu’il en avait rêvé de cette douche bien chaude pour relaxer et détendre ses muscles. Il y passa bien un bon quart d’heure avant de laisser sa place au suivant. Le jeune homme, une serviette autour de la taille, arriva devant son casier. Il n’eut le temps d’enfiler seulement un caleçon et un tee-shirt avant que son attention fut attirée par les bruits de ses camarades.

Qu’était-il donc en train de se passer pour que les garçons semblent aussi excités ? Mathéo eut très vite sa réponse lorsqu’il vit l’objet de tous ces rires et pouffements. En effet, dans les vestiaires des hommes, se trouvait désormais une jeune femme qui ne semblait pas du tout gêné d’ailleurs pas la situation. Mathéo l’avait évidemment reconnu, il n’aurait pas pu la louper. Victoria … Mais qu’est-ce qu’elle faisait-là ? Victoria et Mathéo … cette histoire remontait très loin. En fait, il connaissait cette fille depuis aussi loin qu’il puisse se souvenir. Les deux habitaient le même village. Et alors que Victoria vivait dans la plus grande maison (entendre château), la mère de Mathéo travaillait pour sa famille. Elle faisait le ménage chez eux. A l’époque, elle emmenait son fils parce qu’elle n’avait pas les moyens de payer quelqu’un pour le garder. Alors Mathéo tenait compagnie à Victoria, de quelques années son ainée. Ils jouaient ensemble. Enfin … elle le traitait plus comme son mini-esclave qu’autre chose. Mais après tout, à cet âge, c’était plutôt amusant. Il aimait bien traiter cette petite fille comme une princesse. Après tout, dans ses yeux, elle en était une. Mais les années avaient passé, et Victoria n’avait pas perdu cette vilaine habitude. Il faut dire que Mathéo n’avait jamais réellement eu l’idée de se rebeller contre elle. Cela faisait donc que des années après, la dynamique entre les deux ‘désormais’ adultes n’avait pas changé tant que cela. Pas un bonjour, pas de futilités, la jeune femme lui apprit donc qu’elle s’ennuyait et qu’elle voulait qu’il l’amuse. Quoi ? S’il se fichait de ses agissements en général, ici, c’était clairement la honte. Tout le monde allait le prendre pour le bouffon de la princesse. « Hein ? ». Ce fut ce qui sorti de sa bouche. Elle l’avait légèrement surpris pour le coup. Mais avant qu’il ne puisse rajouter quelque chose, l’un de ses camarades était venu parler à la jeune femme. Oups mauvaise idée. Cela ne manqua pas, il se fit rembarrer en beauté par la petite peste. « Victoria … » Commença-t-il en essayant de parler le plus bas possible, histoire que tout le monde ne pouffe pas de rire devant cette situation risible. « Tu ne peux pas débarquer comme ça dans les vestiaires, pas quand je suis ici. » Et encore il avait eu de la chance, puisqu’il était quand même à moitié habillé. D’ailleurs le garçon récupéra son pantalon et l’enfila. Ainsi que ses chaussures. Il fit tout cela en vitesse, attrapa son sac, et prit le bras de la jeune femme pour l’emmener avec elle en dehors des vestiaires. Non franchement, il n’avait pas envie de spectateurs pour ce genre de conversation. « J’imagine que tu t’ennuyais pour venir me retrouver ici. J’ai passé une longue journée, je suis crevé. Qu’est-ce que tu attends de moi ? » Demanda le jeune homme. Il faut dire qu’il avait plus de trois heures d’entrainements intensifs dans les pattes. Bien sûr, il savait que la princesse se ficherait bien de cela.

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Victoria De Queensberry
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MessageSujet: Re: Mathéo - Un besoin urgent ça n'attend pas  Mathéo - Un besoin urgent ça n'attend pas EmptyMar 24 Juil - 15:22
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Une besoin urgent ça n’attend pas.
Victoria De Queensberry & Matheo Collins
Rien ne semblait gênée Victoria quand elle rentra dans l’école de sport. Non rien ne la gênait, le fait qu’elle n’ait rien à y faire ? Peu importait ? Le fait qu’elle ait consciemment était jusqu’au vestiaire des garçons ? A quoi bon attendre à la porte quand on pouvait rentrer aisément. Non la petite Vicky ne se refusait pas ce genre de chose, aucune porte ne lui était close selon elle, elle pouvait aller et venir comme elle le voulait et donc même fermée à clé, un petit coup de baguette et le tour était jouée. Nombreux avait été choqué parce qu’il appelait un ‘sans-gêne’ et que Victoria trouvait totalement normal. Ceux qui faisaient attention à elle arrivait à passer outre, mais il y en avait toujours pour croire qu’ils pouvaient y changer quelque chose. Ce n’était pas en lui criant dessus qu’elle allait changer ça, non, d’ailleurs plus on haussait la voix plus cela l’amusait. Victoria était capricieuse ça oui, elle était orgueilleuse également, mais colérique si on considérait ses caprices comme des colères oui, sinon elle haussait le ton uniquement pour se faire entendre. Et puis vu qu’un rien pouvait l’agacer, quelque chose qui n’allait pas dans son sens, elle haussait rapidement le ton. Dans le vestiaire de l’école de sport magique, Quidditch donc elle remarqua bien évidemment les regards qu’on portait sur elle, les murmures qui se faisaient, mais la jeune femme n’en avait tellement rien à faire. Tous les garçons auraient pu être tout nus, qu’elle aurait traverser la salle jusqu’au garçon qu’elle voulait à cet instant. Et elle se pointa devant lui, sans gêne, sans soucis, lui montrant clairement sa présence au cas où il ne l’aurait pas encore remarqué – chose qu’elle pensait inimaginable. Mathéo, elle avait l’impression de le connaitre depuis toujours. En même temps grandir avec lui aidait bien à savoir qui il était, même si elle ne connaissait probablement aucun détail de sa vie personnel, à part son envie de devenir joueur professionnel, Victoria avait rapidement vu en lui un potentiel d’esclave qui pourrait lui servir. Et puis elle devait bien avouer dans son grand manoir, ça lui faisait de la compagnie, même si vu les coups qu’elle avait pu lui faire le mot amitié était bien trop complexe pour qu’on l’utilise ici. Si enfants le côté princesse de la demoiselle semblait bien passé, le jeune homme était bien placé pour savoir qu’elle n’avait pas changé sur ce point. Lorsqu’elle l’entendit balancer un mot sans aucun sens, la jeune femme leva les yeux au ciel avant d’être interrompu par un imbécile qui pensait être dans le droit de lui parler. Après l’avoir remis à sa place, elle se retourna vers Mathéo, attendant sans aucun doute qu’il vienne et l’amuse comme elle l’avait demandé. Et il l’appela. Victoria continuait à sourire ‘oui c’était bien elle et il le savait parfaitement’. Elle croisa les bras sur sa poitrine attendant qu’il dise quelque chose de plus que son prénom, mais la seule chose qu’il peut lui dire ce fut qu’elle ne pouvait pas se ramener ainsi ici. Mathéo se rendait-il compte de la bêtise qu’il venait de faire en lui interdisant quelque chose. Elle haussa un sourcil. « Je-Ne-Peux-PAS ? » répéta-t-elle abasourdis par ces mots qu’il venait de prononcer. « Et pourquoi je ne pourrais pas ? Ce n’est pas comme s’il y avait grand-chose d’intéressant ou de gênant à voir. » reprit-elle en montrant les garçons présents encore dans la pièce. Victoria ne semblait pas vraiment s’occuper du fait qu’elle mettait sans nul doute Mathéo mal à l’aise, qu’elle lui foutait complètement la honte, il semblait que pour elle toute cette petite scène était normal. Vicky ne semblait pas très contente qu’il croit pouvoir lui interdire quoique ce soit et l’observa revêtir son pantalon et ses chaussures avant d’être entraîné à l’extérieur du vestiaire. A peine la porte fut passé qu’elle récupéra son bras dans un geste vif, avant de fixer d’un air presque meurtrier Mathéo. Bon il ne voulait sans doute pas la froisser, elle devait se calmer et lui exposer la raison de sa venue qui en soit été toute simple puisqu’elle n’avait pas attendu d’être dehors pour le lui dire. Elle l’écouta d’un air presque absent. Moui crevé, peut-être, mais il pouvait quand même bien tenir le coup quelques heures encore. Après tout c’était elle et pas n’importe qui. Mais la dernière question l’intéressa bien plus. Victoria tourna son joli visage vers le jeune homme et afficha un grand sourire. « Hé ben qu’on s’amuse un peu comme autrefois. C’est fou comme ça me manque de ne plus t’avoir dans les pattes. » commença-t-elle. Dans la bouche de n’importe quelle personne cela aurait pu sonner comme un compliment, mais dans celle de Victoria il ne fallait pas s’y fier. Donner à compliment à quelqu’un était pour elle comme lui arracher le cœur. « Aller viens, on va aller faire du shooping, j’ai besoin d’un porteur. » Oui oui il était crevé et alors ? Oui il voulait sans doute rentrer chez lui et ne rien faire, mais là tout de suite elle avait besoin de lui, et il était hors de question selon elle qu’il puisse le lui refuser. Et puis en plus ça ne lui ferait pas de mal de s’acheter des fringues décents aussi de temps en temps. Victoria ne voyait dans cette propositions que du positif.

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MessageSujet: Re: Mathéo - Un besoin urgent ça n'attend pas  Mathéo - Un besoin urgent ça n'attend pas EmptyMer 25 Juil - 2:18
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Mathéo n’avait jamais réellement trouvé important de s’inquiéter pour sa réputation lorsqu’il était à Poudlard, la fameuse école de sorcellerie. Il se fichait bien de ce qu’on pouvait penser de lui, ou dire de lui derrière son dos. Il n’était pas le plus populaire, ni le plus détesté. Il était seulement le poursuiveur de l’équipe de Serpentard qui avait un problème avec les filles. Mais il avait quitté Poudlard depuis un an et demi maintenant. Il avait changé, et évolué, et fréquentait désormais l’école des sport de Londres où il étudiait le quidditch sous toutes ces coutures. Dans cette nouvelle école, il n’était pas vu comme il l’avait été au château. Ici, il avait de bonnes relations avec les autres élèves. Il était considéré comme l’un des meilleurs joueurs de sa promotion. Et on le trouvait plutôt cool, pour être totalement honnête cela ne lui déplaisait pas vraiment. Au contraire, il était plutôt agréable de voir ses camarades heureux de le voir, l’inviter à des soirées, ou même juste à boire des verres après la fin des cours. On l’aimait bien ici. Mais ce que Mathéo n’avait surement pas calculé, ni même prévu, était le fait que Victoria débarque un jour à son école. Si déjà la voir ici aurait été une surprise, le fait qu’elle vienne directement dans les vestiaires des garçons, alors qu’ils étaient tous en train de se changer, en était une encore plus grande. Diable, pourquoi donc avait-elle fait ça ? Bien sûr, la petite princesse n’était pas connue pour respecter quoi que ce soit, ou qui que ce soit, mais généralement elle ne venait pas le déranger jusqu’ici. Mathéo ne pouvait être plus mal à l’aise qu’à ce moment précis. D’ailleurs, ses joues avaient rosies dangereusement tandis qu’il entendait la demoiselle remettre à sa place l’un de ses camarades. Qu’allaient donc t-ils pensaient tous de lui après ce navrant épisode ? Mathéo pouvait être sûr que dés le lendemain, il se ferait surement taquiner à cause de cela. Même si la réputation n’était pas la chose la plus importante dans sa vie, il aurait quand même préféré qu’on ne le voit pas comme le petit toutou de la reine Victoria. Clairement d’un point de vue extérieur, c’était ce qu’il semblait être en ce moment même. Non elle ne pouvait pas décemment agir de la sorte, elle devait connaître les limites. Mais il oubliait surement un peu trop vite qui il avait devant lui. La jeune femme était réellement une princesse dans son comportement, et de ce fait, elle pensait pouvoir faire ce qu’elle voulait quand elle le voulait. Elle prit très mal la ‘demi-interdiction’ du garçon, et répéta ses paroles comme s’il venait de dire la pire absurdité que le monde n’ait jamais entendu. Mathéo leva les yeux au ciel comme réponse. C’était du grand Victoria. Et elle reprit la parole, lui demandant pourquoi elle ne pourquoi, parce que selon ses dires, il n’y avait rien d’intéressant ici. Mon dieu, quelle honte. « C’est les vestiaires des hommes, princesse, ça devrait être une raison suffisante. » Répondit le jeune homme à voix basse, espérant que personne n’entende. Il aurait voulu pouvoir se cacher dans un petit trou de souris en ce moment même.

D’ailleurs le jeune homme se rhabilla en vitesse. Il n’était pas question de rester plus de temps que nécessaire dans les vestiaires. Et surtout, il ne tenait pas vraiment à ce que ses camarades de classe n’observent cette petite scène pathétique plus longtemps. Quand il fut habillé, il attrapa son sac, le bras de la jeune femme et l’entraina avec lui à l’extérieur du vestiaire. Heureusement le couloir était désert, ils allaient pouvoir parler (entendre V ordonner, et lui exécuter) sans avoir un public en train de les écouter. La demoiselle se libéra immédiatement de Mathéo à peine passé la porte. Visiblement, elle n’avait pas réellement aimé se faire trainer en dehors de cette pièce comme une enfant venant de faire une bêtise. Mathéo tenta de lui expliquer qu’il venait réellement d’avoir une grosse journée, et qu’il était très fatigué. En fait, il voulait simplement lui faire comprendre qu’il n’avait qu’une seule envie : rentrer chez lui, et se détendre tranquillement. Mais Victoria n’allait surement pas l’entendre de cette façon. D’ailleurs, Mathéo eut la sale impression qu’elle ne l’écoutait qu’à moitié. Ainsi, il lui demanda finalement ce qu’elle attendait de lui, en croisant les doigts pour que ce soit quelque chose de rapide. Elle lui fit comprendre qu’elle voulait trainer avec lui comme autrefois, car cela lui manquait. Hum. Ou alors, elle n’avait juste pas réussi à trouver meilleur esclave que lui. Mathéo opta silencieusement pour la deuxième solution. Dans un sens, ce comportement qu’elle avait avec lui était également de sa faute. Il ne lui avait jamais dit non. « C’est réciproque. Tu n’imagines même pas comment réaliser les moindres caprices de Queen V’ peut me manquer. Mon monde n’a pas de sens sans toi. » Répondit le jeune homme de façon légèrement sarcastique. Il n’était pas méchant pour autant, il aimait juste se moquer un peu d’elle et de ses grandes manières de temps en temps.

Finalement la demoiselle lui annonça enfin ce qu’elle avait en tête pour cette après-midi. Elle voulait aller faire du shopping et avait besoin d’un porteur. Oh god. Mathéo n’avait été un grand fan des magasins. Il n’aimait pas y rester des heures. Et encore moins quand c’était pour accompagner Victoria. Celle-ci pouvait rester trente minutes devant un miroir avant de se décider si elle voulait acheter ou non un haut. Mais Mathéo savait bien qu’il n’aurait pas réellement le choix que de dire non. Malheureusement pour lui. « Deux heures maximum, pas plus, Ayla m’attend à l’appart’. » Commença-t-il, il préférait la prévenir d’entrée de jeu. Il faut dire que dans sa tête, deux heures, c’était amplement suffisant pour faire quelques magasins. « De quel genre de fringue tu as besoin ? » Et intérieurement, Mathéo espérait simplement qu’elle n’allait pas l’emmener dans une boutique de sous-vêtements.


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Victoria De Queensberry
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MessageSujet: Re: Mathéo - Un besoin urgent ça n'attend pas  Mathéo - Un besoin urgent ça n'attend pas EmptyMer 25 Juil - 17:11
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Victoria De Queensberry & Matheo Collins
Victoria n’en avait pas grand-chose de ce qu’on disait d’elle, elle ne s’occupait pas des ‘on-dit’, des gens qui s’amusaient à classer les gens dans diverses catégories. Déjà elle trouvait ça stupide, mais en plus cela ne voulait absolument rien dire. Elle se souvenait de Poudlard ou loin d’être populaire, elle était sans nul doute plus crainte et détesté qu’autre chose. Victoria passait beaucoup de temps, seule ou dans la salle commune à observer, à parler avec des gens qu’elle considérait peu intéressant et bien souvent elle lisait un livre. C’était ainsi que sa scolarité s’était passée, très peu de véritable ami si on pouvait dire, elle avait bien eu évidemment comme esclave ainsi que tant d’autres qui par des petits chantages lui faisaient ses devoirs. Nombreux étaient ceux qui avaient pensé qu’elle n’aurait jamais ses examens, qu’elle se la jouait princesse mais n’avait rien dans la cervelle. Et ils avaient tout déchanter quand elle avait obtenu ses ASPICS, certains allant jusqu’à l’accusé de triche. Mais oui bien sûr comme si elle avait que ça à faire de tricher. Même si elle n’était pas populaire, dans tous les cas, on parlait d’elle et cela avait toujours énormément plu à Victoria.  La jeune femme avait toujours adoré par ailleurs laisser les rumeurs circuler, tant sur elle que sur les autres, afin de voir l’impact qu’un simple petit mensonge pouvait avoir. Non sans avoir blessé quelques personnes moralement au passage. Aujourd’hui en école de journalisme, plus souvent d’ailleurs à la Gazette du Sorcier qu’en cours, elle se plaisait à obtenir des informations pour les utiliser contre les autres. Critiquer était devenue une vocation qui lui convenait très bien, mais dans des moments comme cette fin d’après-midi, aucun sujet ne lui était venu en tête pour passer son ennuie. La seule personne qui était venu à son esprit avait été Mathéo avec qui elle se trouvait à présent dans les vestiaires pour hommes, endroit totalement interdit à la gente féminine. Pas complètement, elle était certains qu’il y avait eu couplage dans ce genre d’endroit. C’était évident, mais mon dieu que l’endroit puait la transpiration. Elle avait envie de mettre du déodorant dans toute la pièce, bien que son nez soit déjà agressé par l’odeur nauséabonde de celui qui avait oser l’aborder à l’instant même. Victoria ne se rendait pas compte que sa présence et ses paroles pouvaient se montrer très gênante pour Mathéo, ni même que cela pourrait influencer considérablement sa vie au sein de l’école. Non, non bien sûr qu’elle ne pensait pas à ça, n’appréciant pas par ailleurs l’interdiction de celui qui n’avait pas le droit de lui dire non selon elle. Elle avait tous les droits de venir ici et ce n’était pas Mathéo qui allait lui dire quelque chose. Vexée et quelques peu énervée, elle demanda les raisons de cette interdiction certaines qu’il n’y en avait de bonnes.  Vestiaire réservé aux hommes, non pas suffisamment bonne comme raison. Elle tourna son regard vers la pièce où le reste des étudiants semblaient très intrigués par la conversation qui se déroulait sous leurs yeux.  Mathéo parlait à voix basse, peut-être que les autres n’entendaient pas mais Victoiria parlait d’une voix claire. « Tu veux que je leur demande si c’est dérangeant que je sois là ? Non parce que certains ont l’air vraiment heureux de me voir. » répliqua-t-elle d’un air blasé. Elle entendit des bruits vifs, sans doute que ceux qui regardaient encore leur conversation venaient précipitamment de détourner le regard. Victoria n’avait pas envie qu’il lui dise une nouvelle fois qu’elle ne pouvait pas rester ici si elle le souhaitait. Mathéo était loin d’être stupide, il savait très bien comment cela se passait avec la jolie princesse.

Mathéo ne voulait pas continuer la discussion ici et l’attrapa par le bras pour la faire sortir des vestiaires. Elle se dégagea à peine furent-ils dehors. Elle pouvait très bien se déplacer toute seule, mais maintenant qu’elle avait enfin la personne qu’elle était venue chercher et ce pour elle toute seule, Vicky n’allait pas faire d’histoire. Mathéo commença à parler, mais déjà la petite princesse se retrouvait perdue dans ses pensées, montrant très clairement qu’elle n’en avait pas grand-chose à faire de ses soucis, bien que son oreille entendît chaque mot que prononça le jeune homme. Fatigué, hein ? Il n’était pas encore arrivé à la fin de sa journée, non Victoria comptait bien le garder aussi longtemps qu’elle le voudrait, peu importe les obligations de Mathéo. Dans un charmant sourire, elle lui parla du fait qu’elle avait envie de simplement passer du temps avec lui comme autrefois, ajoutant le fait qu’il lui manquait. Non ce n’était pas tout ça fait, elle savait simplement que Mathéo ne lui dirait pas non et que pour combler son ennuie elle préférait être avec quelqu’un qui l’écoute attentivement, lui obéisse et la suive. Ho elle aurait pu choisir quelqu’un d’autre, sans aucun doute, elle aurait trouvé, mais elle savait qu’elle ne serait pas dessus avec Mathéo. Ce dernier suite à ce que Vicky venait de lui dire, répondit sarcastiquement que c’était réciproque. Son sourire s’agrandit et telle une diva, elle passa la main dans ses cheveux. « J’imagine bien qu’il n’a aucun sens sans moi. Mais tu sais où me trouver si tu veux que j’illumine ta vie. » répondit-elle à son tour. S’il avait été sarcastique, Victoria l’était largement moins, y croyant complètement et légèrement amusée de telles confidences. Alors qu’elle exposait son plan pour la suite des évènements, c’est-à-dire prendre Mathéo avec elle et allait faire du shooping, le jeune homme ne semblait pas vraiment enjoué par l’idée. Il lui donna deux heures maximums pour l’accompagne. Pardon ? Quoi ? Pourquoi ? Et puis d’où il se permettait ça ? Elle afficha sa surprise, à nouveau abasourdis encore plus quand elle entendit le prénom de la douce copine du brun. Ho oui elle avait entendu parler d’Ayla, mais ne s’était jamais attardé sur la blonde, elle n’en voyait pas l’utilité tant que Mathéo restait disponible pour Vicky. « Elle attendra. En deux heures j’aurais a peine le temps de faire un magasin. » répliqua-t-elle, peu heureuse semblait-il non seulement de passer au second plan, mais en plus de se faire imposé un horaire. Mais soudainement sa bonne humeur reprit le dessus quand il commença à parler vêtements et notamment de ce qu’elle recherchait. Victoria le prit par le bras et commença à marcher tout en le lui tenant, bien trop enjouée pour ne pas cacher une idée derrière ce visage angélique. « Je crois que je vais refaire toute ma garde-robe. En commençant par les sous-vêtements et je suis sûre qu’en chemin pour les autres boutiques on pourra trouver quelque chose pour que tu es l’air plus présentable. » Vicky rayonnait, elle allait drôlement s’amuser.

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MessageSujet: Re: Mathéo - Un besoin urgent ça n'attend pas  Mathéo - Un besoin urgent ça n'attend pas EmptyVen 27 Juil - 15:49
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Oui c’était dérangeant qu’elle soit là. Evidemment que c’était dérangeant qu’elle se soit pointé dans les vestiaires des hommes alors qu’ils étaient tous en train de se changer. Sacré Victoria. Mais en même temps, malgré la surprise, c’était plutôt banal pour la jeune femme de faire ce genre de choses. Elle avait surement loupé le moment où les parents, généralement, enseignent aux enfants les règles de sociétés. Donc, elle était devenue une jeune femme sang gêne qui ne voyait aucun problème dans ce qu’elle était en train de faire. Mathéo, au contraire, était terriblement gêné de cette situation, et ne savait plus vraiment où se mettre pour le coup. S’il avait pu disparaître d’un coup de baguette magique, il l’aurait sans doute fait. Pas sûr que la demoiselle aurait apprécié se faire planter de la sorte. Il aurait simplement réussi à la mettre hors d’elle en faisant une telle chose, et elle l’aurait sans doute encore plus martyrisé par la suite. L’ancien serpentard n’avait pas pensé à cette possibilité, cependant. En fait, il essayait simplement de lui faire comprendre (même si ça ne marchait clairement pas). Pourquoi son karma était-il aussi mauvais aujourd’hui ? Pourquoi devait-il se taper la honte devant tous ses potes ? Il en prendrait surement pour son grade demain. Cela ne l’étonnerait pas qu’il soit le sujet de plusieurs blagues sur sa soumission auprès de la demoiselle. Si lui essayait de parler à voix basse pour que le moins de personnes possibles entende ce qu’il disait. Victoria ne prenait clairement pas cette peine, et continuait à parler à voix haute, se fichant clairement si quelqu’un les entendait. Pire, elle semblait vouloir que ses camarades sachent ce qu’elle lui disait. Oh mon dieu ! Allait-il finalement réussir à la faire taire, ou allait-elle continuer de faire son petit show devant tout le monde. Surtout qu’elle continuait à surenchérir, en déclarant que certains étaient contents de la voir. Mathéo ne voulait pas imaginer ce que cela signifiait réellement. Et il ne voulait pas non plus continuer cette conversation dans ce vestiaire avec un public aussi large. Alors il ignora les dernières paroles de la demoiselle, et l’entraina avec lui à l’extérieur de la pièce, dans un endroit plus calme, et surtout à l’abri des regards. Loin des rires et des commentaires de ses camarades. Si Mathéo l’avait tiré en dehors, elle récupéra très vite son bras, visiblement dégoûté de se faire traiter comme une malpropre. Comment osait-il, franchement ? Mais au moins, elle ne lui cria pas dessus. Dans un sens, ça devait l’arranger aussi. Elle avait gagné, elle avait réussi à extraire le garçon de sa vie pour qu’il ne s’occupe que d’elle. Logique dans un sens, et surtout terriblement efficace avec cette manière.

Mathéo était totalement crevé de sa journée. Il avait quand même passé des heures sur un balai dans un entrainement plus qu’intensif. La chose qui l’avait fait tenir était le fait qu’il pourrait bientôt s’affaler dans son canapé, et se détendre tranquillement avec Ayla, qui serait sans doute à la maison un peu plus tard. Malheureusement ses plans de détente venaient visiblement de s’envoler en même temps que l’apparition de Victoria. Maintenant que la demoiselle avait réussi à mettre la main sur lui, elle n’allait pas le lâcher de sitôt. Du moins pas avant qu’il n’ait répondu présent pour ses diverses caprices du jour. Bon au moins, elle venait de lui dire quelque chose d’assez gentil : il lui avait manqué et elle voulait passer du temps avec lui. En soit c’était plutôt mignon, si on ne réfléchissait pas plus loin à tout ce que cela impliquait pour l’ancien serpentard. Il se décida à la jouer sarcastique pour lui répondre, en lui disant que sans elle, sa vie n’avait pas réellement de sens, et qu’elle lui manquait également. Au moins, une bonne chose : le sourire de la jeune femme s’agrandit encore plus, surement contente des paroles de son interlocuteur. Ce qui fit sourire Mathéo à son tour. Quand elle souriait, elle semblait beaucoup moins terrible qu’à l’ordinaire. « Un vrai rayon de soleil qui me guide chaque jour dans ma vie. Qu’est-ce que je ferais si tu n’étais pas là, hein ? » Répondit-il en se moquant légèrement d’elle. Mais toujours avec bienveillance, il n’était pas connu pour être foncièrement méchant, lui.

Dans un sens, se montrer gentil et généreux en compliments avec Victoria allait peut-être l’adoucir. Plus elle était contente, plus il avait de chances de pouvoir retourner chez lui le plus rapidement possible. Autant continuer sur cette voie … mais allait-il réussir ? Parce qu’elle pouvait quand même se montrer particulièrement irritante parfois. D’ailleurs, elle lui avoua finalement la raison de sa présence : elle voulait aller faire du shopping, et qui de mieux que Mathéo pour tenir ses sacs pendant qu’elle passe des heures dans un magasin ? Le jeune homme savait qu’il gagnerait du temps à accepter sa requête, mais il mit un point d’honneur à la tenir au courant sur le fait qu’il n’avait que deux heures à lui consacrer. Une fois ce laps de temps écoulé, il rentrerait chez lui pour retrouver son amoureuse. Cela ne plut pas à Victoria. Evidemment … La demoiselle répondit fermement que la petite amie de Mathéo n’aurait qu’à attendre. Encore une fois, elle ne pensait définitivement qu’à elle. Mais lui, ça le mettait dans une position plutôt inconfortable. Il voyait qu’il avait peu de chances de pouvoir s’extraire du moment avec Victoria, mais il ne voulait pas qu’Ayla soit en colère contre lui après parce qu’il ne tenait pas ses engagements … « Hum … je veux bien être sympa, mais je n’ai pas envie de me prendre la tête avec Ayla, parce que je rentre tard, surtout si c’est parce que j’étais avec toi. » En effet, il n’était pas sûr qu’Ayla apprécierait réellement de savoir qu’il ne passait pas de temps avec elle, parce qu’il était avec la reine Victoria. Mais ça évidemment, elle s’en fichait totalement, puisque ça ne la concernait pas le moins du monde. Ah quel égoïsme. Bon ils allaient donc devoir aller faire du shopping. Et les deux commencèrent donc à quitter l’école des sports pour se rendre dans les rues de Londres, là où se trouvaient les différents magasins. Victoria voulait refaire sa garde robe. GENIAL. Donc ça allait prendre des heures et des heures. Mince alors. Mais quand elle continua, Mathéo s’arrêta de marcher. WHAT ? « Des sous-vêtements ? Tu rigoles, dis moi que tu te moques de moi, je t’en supplie. Je vais pas t’accompagner pour ça, et te regarder te pavaner à moitié nue, c’est un job de fille, ça ! » Oui il commençait clairement à paniquer à cette idée pour le coup.

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MessageSujet: Re: Mathéo - Un besoin urgent ça n'attend pas  Mathéo - Un besoin urgent ça n'attend pas EmptyVen 3 Aoû - 18:20
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Une besoin urgent ça n’attend pas.
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Victoria aurait pu aller voir n’importe qui, elle aurait pu aller faire n’importe quoi au lieu de venir à l’école des sport. Seule dans sa chambre, elle aurait très bien pu seulement aller faire un tour en taxi comme elle avait parfois l’habitude de le faire, mais elle avait pris la décision de ne pas être seule en cette fin de journée. Elle ne voulait tout simplement pas, son grand appartement lui rappelant le manoir de ses parents où seule dans l’immensité, elle s’ennuyait. Victoria n’aimait pas s’ennuyer et quand elle avait pensé à l’endroit où elle avait grandi, une seule personne lui était venue à l’esprit. Une personne qui ne lui refuserait rien, qui ne refuserait pas sa compagnie et qui serait toujours là pour elle. Bien sûr il était là question de combler l’ennuie qui la guettait, mais au moins elle avait quelqu’un sur qui compter ce soir-là. Alors elle était venue dans l’école des sports, elle s’était incrustée dans le vestiaire des hommes et sans aucune gêne, elle s’était planté devant Mathéo Collins, fils d’un domestique qui travaillait dans sa famille. Peu importait les garçons qui s’y trouvaient, peu importait qu’ils soient nus, en caleçons ou même choqué de sa présence, Victoria avait l’habitude d’aller où elle voulait. Elle faisait ce qu’elle voulait et personne ne venait la contredire. Ils auraient pu s’offusquer, ils auraient pu réagir, lui demander de partir, mais aucun des camarades de Mathéo ne fit un geste pour la déloger de là où elle se trouvait. Non ils la regardaient, ils ricanaient pour certains, et écoutaient attentivement la discussion qui avait lieu. Victoria ne se rendait sans nul doute pas compte de la gêne qu’elle pouvait occasionner à Mathéo, elle s’en fichait complètement d’autant que si un seul garçon présent ici était venu le taquiner devant elle, la jeune femme avait montré qu’elle avait suffisamment de répondant pour les remettre à leur place. Elle avait beau être méchante, désagréable, elle était également possessive et lorsqu’on s’en prenait à quelqu’un qu’elle appréciait – ne le nions pas elle ne resterait pas avec une personne si ce n’était pas le cas – elle pouvait facilement devenir encore plus mauvaise qu’à l’accoutumé. Elle aurait répliqué à sa manière, Victoria aurait réagi, mais pour le moment elle enchaînait les répliques en se fichant complètement des conséquences. Mathéo ne répliqua pas et s’habilla précipitamment pour l’emmener hors du vestiaire. Soit, il avait le droit de le faire, mais elle n’acceptait pas la manière dont il la prit pour l’en sortir. Comme une mal propre, comme si elle était une enfant qui avait fait une bêtise et qu’on envoyait punir. Alors elle enleva son bras précipitamment lorsque la porte fut franchie, observant le jeune homme qui semblait curieux de ce qu’elle allait lui demander. Et un sourire illumina le visage lorsqu’elle répondit. Oui elle voulait passer du temps avec lui, mais ce n’était clairement pas bon pour lui. Lentement elle lui fit comprendre que le monde de Mathéo ne serait plus aussi beau sans sa présence à elle et il lui renvoya des compliments qui continuèrent à ravir la jeune femme. Victoria adorait ça, elle souriait et l’énervement laissait place à la joie. Il lui répondit qu’elle était un rayon de soleil dans sa vie et qu’il ne savait pas ce qu’il ferait sans elle. Toujours aussi ravie et souriante, Vicky appréciait d’être traiter de cette manière, souhaitant presque qu’il continue avec ses flatteries, mais elle avait d’autres idées en tête. « Tu t’ennuierais j’en suis certaine, en même temps je suis tellement exceptionnelle. » répondit-elle absolument convaincu par ce qu’elle disait. En même temps elle le pensait au plus profond d’elle, c’était sans doute pour cette raison qu’elle n’appréciait pas que tout le monde ne soit pas d’accord là-dessus.

Mais peut-être que toutes les flatteries n’étaient là que pour empêcher Victoria de prendre trop de son temps. Après tout elle débarquait ainsi, Mathéo devait bien savoir que ce n’était pas pour rien. Elle ne se déplaçait pas si elle avait une raison et venir simplement voir comment le jeune homme allait n’était pas vraiment suffisant. La jeune femme ne tarda pas à lui exposer les raisons de sa venue, le fait qu’elle souhaitait qu’il porte ses sacs pendant qu’elle essayerait tout un tas de vêtements. Victoria avait déjà de nombreux vêtements à sa disposition, plus qu’on ne pourrait en mettre dans une vie, mais elle adorait s’habiller et surtout être à la mode, alors plus souvent qu’il ne le fallait elle courrait les boutiques pour trouver de nouveaux habits. Mathéo n’était pas au bout de ses peines, mais si elle pensait qu’il la connaissait bien, cela ne semblait pas être le cas quand il parla de lui donner uniquement deux heures de son temps. Tout ça à cause de qui ? De sa copine. Autrefois il ne lui aurait pas imposer une limite. Ayla pourrait bien attendre, Vicky n’avait pas l’intention de passer uniquement deux heures dans les magasins, c’était beaucoup trop peu quand on savait tout ce qu’elle comptait acheter. La jeune fille ne portait pas la copine de Mathéo dans son cœur, mais elle ne la connaissait sans doute pas suffisamment et puis vu que pour Vicky, le jeune garçon devait répondre à ses moindres désirs il n’était pas certains que la blonde soit vraiment heureuse de voir la brune dans la vie de son copain. Mathéo essaya à nouveau de parlementer expliquant tout ce que Victoria savait déjà et lorsqu’elle l’entendit, la jeune femme leva les yeux au ciel. « Mais non tu ne te prendras pas la tête avec elle, prends lui un joli truc et tu seras pardonner. » Oui pour elle tout pouvait fonctionner de cette manière surtout s’il omettait quelques détails de leur petites virées, s’il mentait à sa copine comme Vicky l’aurait fait. Il pouvait bien gérer une copine en furie et un cadeau ça faisait suffisamment plaisir pour qu’on oublie. Mais c’était le fonctionnement de la brune, il n’était pas certains qu’Ayla fonctionne de la même manière. Elle lui prit le bras et commença leur marche vers le centre-ville de Londres en exposant son plan précis de leur petite excursion dans les boutiques. Acheter pleins de choses, puisqu’elle avait un porteur, ça Victoria ne manquerait pas de le faire, d’autant qu’elle ne pouvait pas utiliser la magie pour porter les sacs donc il valait mieux un être humain pour ça. Soudain il s’arrêta de marcher à l’annonce du plan de la jeune femme et exaspéré elle se retourna vers lui, le fixant attentivement attendant qu’il lui explique ce qui était gênant, encore une fois. Il parla du fait qu’il ne voulait pas aller dans une boutique de sous-vêtement pour la voir se pavaner à moitié nue. Elle roula des yeux. « Et alors ? T’as jamais vu une fille à moitié à poil ? Par pitié tu vis avec une fille t’as bien dû la voir en sous-vêtements ne serait-ce qu’une fois dans ta vie. A moins que ça tu sois traumatisé, je ne vois pas en quoi ça change que ce soit moi. » Non elle ne voyait pas et elle commençait sérieusement à être agacée de le voir aussi réticent depuis qu’elle était arrivée aujourd’hui. Il pouvait bien faire un effort quand même.

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MessageSujet: Re: Mathéo - Un besoin urgent ça n'attend pas  Mathéo - Un besoin urgent ça n'attend pas EmptyLun 1 Oct - 20:19
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Victoria était un sacré personnage, le genre de personne très peste, narcissique, et autocentré. Totalement le genre de personne que Mathéo devrait éviter, devrait rester le plus loin possible, tellement différente de lui. Mais l’histoire entre Victoria et Mathéo remontait à très longtemps. Ils se connaissaient depuis qu’ils étaient petits. La jeune femme ne le savait surement pas, et s’en fichait probablement, mais elle avait été la première personne qui l’avait accepté comme il était. Elle ne l’avait pas repoussé comme beaucoup de ses camarades de classe à l’école moldu. D’une manière étrange, et peu saine, elle l’avait accepté dans sa vie. Et même si leur relation n’avait jamais réellement été celle d’un égal à égal, elle avait été une présence dans sa vie quand il se sentait rejeté, quand il ressentait une solitude extrême entre son père qui était parti, et sa mère qui ne pouvait à peine poser un œil sur lui sans ressentir du dégoût du fait de sa nature. Elle l’avait vu comme une personne à part entière, certes une personne qu’elle pourrait utiliser à sa guise, mais une personne quand même. La plupart des personnes qui étaient proches du garçon pensaient surement qu’elle ne le méritait pas, qu’il devrait clairement se débarrasser d’elle dans son entourage, qu’il devrait s’en éloigner et l’abandonner. Mais ils ne savaient pas, ils ne comprenaient pas. Malgré tout, Victoria était l’une des premières personnes dans sa vie qui ne l’avait pas abandonné, et il ne pourrait pas lui faire la même chose. Il était étrange de voir comment certains liens se forment dans la vie, comment chaque personne ressent la présence d’une autre personne. Victoria se plaisait surement à dire de lui qu’il était simplement son esclave, et peut-être qu’il n’était que ça pour elle. Mais pour Mathéo, Victoria était bien plus qu’un simple bourreau. Il ne lui avait jamais confié ce qu’elle représentait pour lui, ni même qu’elle avait été un pilier dans sa vie à un moment où il avait rudement besoin de quelqu’un. Peut-être qu’un jour, elle le saurait, peut-être pas. Mais elle savait qu’il ne la lâcherait jamais, et c’était sans doute le plus important. Peu importe son comportement, et la méchanceté dont elle faisait preuve avec le monde entier, elle devait savoir qu’elle ne se retrouverait jamais seule, et qu’il serait là si elle avait besoin, comme elle l’avait été, malgré elle, pendant des années.

Ce jour-là, Victoria avait débarqué dans les vestiaires des hommes, à l’école de sport. Bon c’était clairement le dernier endroit où Mathéo s’attendait à la voir. Pas qu’elle ne lui ait jamais fait ce genre de coup par le passé, mais il avait naïvement cru que rentrer dans une pièce rempli d’hommes à moitié à poil serait une limite pour elle. Clairement, il avait eu tort. Elle lui mit un peu la honte en le traitant comme son jouet devant tous ses potes. Alors Mathéo se urgea pour la faire sortir d’ici. Il n’avait pas besoin que ses coéquipiers le sachent à ce point soumis à une jeune femme. Il la prit par le bras et sortit. Evidemment, elle n’apprécia pas trop cette légère ‘violence’ et lui fit clairement comprendre. Mais Mathéo lui donna quelques compliments qui firent apparaître un joli sourire sur le visage de la jeune femme. Plus on la mettait en valeur, plus elle était contente. Au moins, il n’était pas trop dur de la satisfaire. « Exceptionnelle, exactement, tu m’enlèves les mots de la bouche V’ » Déclara-t-il. Plus il exagérerait, plus elle allait aimer. Et il n’avait clairement pas envie de la mettre de mauvaise humeur, sinon elle ne lui lâcherait jamais la grappe.

Bon la jeune femme lui annonça finalement qu’ils allaient faire les magasins. Oh non, ça allait prendre des heures avec elle, il en était sûr. Elle allait vouloir faire toutes les boutiques, regarder chaque rayon, et essayer une tonne de fringues. Mathéo se sentait mal à cette idée puisqu’il avait dit à Ayla qu’il rentrerait tôt ce soir pour qu’ils puissent passer un moment ensemble. Il n’était pas sûr que son excuse ‘je suis en retard parce que j’étais avec Victoria’ passe très bien. Ayla n’aimait clairement pas la jeune femme, et elle n’aimait pas l’influence qu’elle avait sur lui. La demoiselle avait de toute façon réponse à tout, et n’était clairement pas d’humeur à essuyer un refus. Mathéo comprit vite qu’il n’allait pas avoir le choix. « Le problème sera surtout que j’ai passé du temps avec toi, pas forcément que je sois en retard. T’auras réellement intérêt à me trouver un truc super à lui offrir. » Finit-il par dire. Avec cette dernière phrase, elle allait donc comprendre qu’il ne s’opposerait pas plus à cette petite virée. Il allait surement le regretter plus tard, lorsqu’il rentrerait à l’appartement. Et finalement, les deux étudiants quittèrent l’école des sports pour commencer à se promener dans les rues de Londres à la recherche des magasins. Mathéo posa quelques questions pour connaître le plan de la demoiselle. Savait-elle déjà quel genre de fringues elle voulait, où allaient-ils simplement déambuler dans les rues à la recherche de la perle rare ? Evidemment Victoria savait toujours ce qu’elle voulait, et son premier arrêt allait donc être dans un magasin de sous-vêtements. Oh non, c’était bien ce dont il avait peur. Il n’était pas réellement à l’aise à l’idée de voir la jeune femme se pavaner en sous-vêtements devant lui. C’était assez embarrassant, surtout pour un garçon comme Mathéo. Elle roula des yeux, comme si elle ne comprenait vraiment pas ce que pouvait être le problème, et elle commença par lui poser des questions et lui exposer son point de vue sur la question. Ah la la, elle avait réellement réponse à tout, et ça pouvait être parfois assez insupportable. Mais bon, il ne la changerait pas. Pas aujourd’hui en tout cas. Donc il allait devoir surement se plier à ses petits caprices. Quel autre choix avait-il ? « Bon, pour ta gouverne, j’ai déjà vu une fille nue, c’est pas le problème. Mais reconnais que c’est bizarre … de voir une autre fille en petite tenue … Tu peux essayer tes trucs sans me montrer, non ? Ce serait un bon compromis. » Dit-il espérant qu’elle accepte.

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