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 La peste soit les collègues trop amicaux ! (avec Abraham)

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MessageSujet: La peste soit les collègues trop amicaux ! (avec Abraham)  La peste soit les collègues trop amicaux ! (avec Abraham) EmptyVen 14 Oct - 23:28


◈◈◈ La peste soit les collègues trop amicaux !◈◈◈

Elisabeth se promenait dans les couloirs de Poudlard. Elle ne pensait pas y remettre un jour les pieds, mais il semblerait que l’avenir en est décidé autrement. Mais cette fois, elle ne parcourait pas les longs et sinueux couloirs en tant qu’élève, comme elle le faisait auparavant, dans son passé, qui se trouvait dans le futur, mais en tant que gardienne. 

On ne pouvait pas vraiment dire qu’elle était heureuse de travailler à Poudlard, mais elle avait choisi de quitter le bureau des Aurors pour rejoindre le rang de gardienne afin de mieux surveiller ses parents, qui ne connaissaient même pas son existence. Elle ne savait pas vraiment si c’était une bonne idée de revenir dans ce lieu qui avait permis de vivre une liberté qui lui avait été refusé chez elle, certes, mais qui en même temps, avait été l’endroit de diverses révélations qu’elle n’aurait peut-être préféré ne pas connaître.

En se promenant dans ces couloirs, elle ne put s’empêcher de repenser à la fin de sa scolarité. Décidément, elle n’en gardait vraiment pas un bon souvenir.

Mais bon, cessons de remuer le couteau du passé, elle devait revenir à l’instant présent, et bien effectuer sa mission : protéger Poudlard.  Elle faisait une ronde, et croisait des élèves, qu’elle ne regardait que trop peu, elle n’essayait pas d’interagir avec eux, elle devait juste les protéger, pas leur taper la discute ; des professeurs, qu’elle saluait vaguement d’un signe de tête, et parfois un autre gardien. 

Quand on parle du loup, on en voit souvent la bout de la queue apparaître. Et quand on parlait d’un de ses collègues gardiens, il y en a un qui apparait au bout du couloir. Abraham ! Elle pressa le pas pour l’éviter, afin d’empêcher toute tentative de conversation de la part de l’homme. Mais il semblait que toutes ses tentatives pour l’éviter fut vaines, car même en marchant beaucoup plus vite, il avançait toujours plus rapidement qu’elle. Elle pesta intérieurement sur les collèges trop amicaux, et sur le fait que l’on ne puisse pas transplaner à Poudlard. 

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MessageSujet: Re: La peste soit les collègues trop amicaux ! (avec Abraham)  La peste soit les collègues trop amicaux ! (avec Abraham) EmptyVen 21 Oct - 19:15

Cours d'auto-défense
Abraham Hamilton & Elisabeth Rowle
 Le dur travail de gardien. Ne rien faire, déambuler dans les couloirs dans l'espoir peut-être de pouvoir accomplir son devoir. Mais ne rien faire la plupart du temps à part observer les morveux qui se baladent joyeusement dans les couloirs, gloussant, jacassant, une vraie basse-cours. Et ils allaient tous rentrés dans le monde du travail à un moment où un autre. Abraham se demandait bien où irait le monde avec tous ces gamins devenus adultes. Le monde partirait à la dérive, il fallait les canaliser maintenant dès le plus jeunes âge. Abe avait parfois des réflexions étranges et il se demandait tous les jours ce qu'il fichait là. Pourquoi monsieur White l'avait envoyé ici. Certes il y avait certains élèves qui pouvaient être intéressants, mais d'autres étaient barbant. Et encore ils l'étaient moins quand ils ne le regardaient pas. Abraham appréciait sa carrure de colosse dans ce genre de cas. Tout simplement parce qu'il pouvait faire peur aux élèves et notamment aux premières ou aux deuxièmes année. Cela l'amusait beaucoup parce que même s'il n'aimait pas être présent ici  à devoir protéger des gamins, il le faisait quand même parce que c'était son devoir de gardien. Et il ne l'avouerait sans doute pas, mais il donnerait sans aucun doute sa vie pour que toutes les têtes blondes soient en sécurités. Certes cela serait mieux si les gamins pouvaient se défendre par eux-mêmes, mais ils étaient innocents pour le moment. Un jour dans le monde des adultes, ils devraient faire face à des choses que l'on ne leur apprenait pas à Poudlard. Quoiqu'il en soit, Abraham ce colosse de muscle, arpentait les couloirs en observant de haut les têtes des élèves qui circulaient dans les couloirs. Ils étaient tout petits, ils bougeaient très vite et le gardien bien que costaud avait dû mal à se mouvoir parmi eux. Quelle horreur de devoir les garder ! Il aurait dû attendre que tous les marmots rentrent dans leur salle de cours. Un instant, un élève tout petit, sans doute de première année le percuta. Abe baissa la tête tandis que le jeune garçon, lui, levait la tête. Il resta bouche bée devant le colosse. Le gardien haussa un sourcil et l'élève s'enfuit surement apeuré de l'avoir vu. Abraham espérait quand même ne pas l'avoir traumatisé à vie, ce n'était pas son intention.

Le gardien continua sa ronde, sa grande veste marron volant derrière lui. Il arriva au quatrième étage et peu à peu les élèves disparaissaient dans leur salle de classe. Ainsi, le grand colosse se retrouva rapidement seul dans les couloirs. C'était très agréable le silence d'un coup qui pesait. Certes le bruit de ses bottes raisonnaient sur le sol. Et c'est à ce moment-là qu'il l'aperçut. Elizabeth Cuimhne, l'une des gardiennes qui était avec lui dans cette calamité. Elle n'était pas très sociable, mais Abraham l'aimait bien. Il s'était donné pour mission de réussir à la faire sourire, ou à la faire rire. Mais il remarqua qu'elle ne semblait pas vouloir le voir, lui. Cela amusait beaucoup le colosse que Lisbeth n'ait pas envie de l'avoir dans les pattes. Il était vrai que parfois il pouvait être agaçant. Elle était en face de lui et essayait d'avance plus vite que lui pour éviter de le croiser, sans doute pour tourner au croisement du couloir. Mais Abraham se prit au jeu et avança aussi vite qu'elle. Il faisait de grandes enjambés et arriva rapidement à sa hauteur. Il se mit bien devant elle pour éviter qu'elle ne s'en aille. «  Hé ben Lisbeth on cherche à m'éviter ? Tu ne veux pas faire un gros câlin à ton collègue préféré ?  » Il lui sourit. Il comptait bien l'embêter autant qu'il pourrait. Il ouvrit grand les bras comme s'il allait lui faire un câlin. Il savait pertinemment que Lisbeth ne lui en ferait pas.

electric bird.
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MessageSujet: Re: La peste soit les collègues trop amicaux ! (avec Abraham)  La peste soit les collègues trop amicaux ! (avec Abraham) EmptyDim 23 Oct - 1:24


◈◈◈ La peste soit les collègues trop amicaux !◈◈◈


Il semblerait que Elisabeth ne soit pas la seule à se plaindre de l’ennui que le travail de gardien pouvait très, et même le mot trop pourrait parfaitement convenir, facilement procurer. En même temps, avant d’être gardienne de Poudlard, elle avait fait une formation d’Auror, et son formateur n’avait pas arrêté de lui répéter que le métier qu’elle pourrait enfin faire après cette formation était plein de surprises et d’imprévus, et qu’aucun Auror ne pouvait deviner de quoi serait fait le lendemain. Mais elle n’eut pas le temps de vérifier la citation de son mentor, pour la simple raison qu’elle avait fini sa formation juste avant le voyage dans le temps, et que dans le passé, au lieu de commencer son métier d’Auror, elle s’était inscrite comme gardienne de Poudlard, en se servant du prétexte de surveiller les élèves, pour en fait surveiller ses parents, qui ignoraient tout d’elle, jusqu’à son existence. Et là, par contre dans ce métier, il y avait zéro imprévu, que de la routine, une répétition, qui recommençait tous les jours, ponctuée de bêtises d’élèves, mais rien d’autres. En somme, très lassant. Et pas très divertissant.


Mais bon, était-elle en droit de se plaindre ? Elle se le demandait quand même quelquefois. Pas vraiment. C’était elle qui avait choisi son métier, c’était elle qui avait choisi de rejoindre Poudlard, même si ce choix la faisait souffrir, à cause de ce lieu, témoin de mauvaises nouvelles, de révélations, que maintenant, elle n’aurait peut-être jamais voulu connaitre, découvrir. Mais personne ne l’avait forcé à rejoindre le rang de gardien de Poudlard, pas même ce père qui avait dirigé sa vie, dans une prison d’argent, durant toute son enfance.


Mais voilà, elle devait déjà travailler dans un lieu, qui, en quelque sorte, lui procurait plus de peine que de joie mais elle devait rajouter à cela des collègues un peu trop, et même vraiment trop amicaux, sympathiques, ou n’importe quel adjectif qui voudrait exactement la même chose. Car au fond Abraham n’était pas vraiment méchant, il était juste un peu trop collant, et n’avait pas l’air de comprendre que Elisabeth ne souhaitait qu’une seule chose, la paix. C’est vrai qu’elle souhaitait aussi tuer Darius de ses propres mains, et cela faisait deux, mais vous l’avez comprise. Juste pour dire que Elisabeth ne souhaitait pas la compagnie de Abraham, tout simplement parce qu’elle préférait être seule afin de mieux réfléchir et puis, au moins, personne en face d’elle pourrait l’analyser. Et elle ne voulait absolument pas que quelqu’un réussisse à lire à travers elle. Ainsi elle restait seule, et cela, elle se souvenait, que pendant sa propre scolarité, elle s’était éloignée du jour au lendemain des jumeaux Weasley, et qu’au début, ils eurent du mal à s’y faire et eurent du mal à la laisser seule. Et elle eut du mal à les éviter. Il semblerait qu’ils connaissaient tous les passages secrets de Poudlard.


Mais bon, pour revenir au fond de ma pensée, au fond, elle ne détestait pas son collègue, elle voulait juste passer le moins de temps possible en sa compagnie.


Et là, elle avait beau essayé de marcher vite pour éviter toute signe de politesse avec, lui, elle n’avait pas sa carrure, et elle n’arrivait pas à le semer. Quelques grandes enjambées et il se trouvait à son niveau. Elle soupira intérieurement. Décidément ! Et elle ne pouvait même pas essayer de continuer d’accélérer la cadence, car cet abruti de collègue, au sens affectueux, lui bloquait le passage. Il lui demanda si elle essayait de l’éviter et si elle voulait lui faire un câlin. Il étendit même les bras, au cas où elle dirait oui. Mais il pensait quoi ? Et Lisbeth ? Lui avait-elle donner l’autorisation de lui donner un petit nom ? Non. Elle baissa les yeux pour éviter de croiser son regard.


« Je ne cherche pas à vous éviter Monsieur Hamilton ! »

L’utilisation du Monsieur et du nom de famille permet de mettre une certaine distance, elle trouvait.


« Et je crains que mon nom soit Elisabeth Cuimhne. »


Délibérément, elle ne répondit pas à la dernière question. Pensait-il y recevoir une réponse ?


« Je suis désolée d’interrompre ce moment, mais je crains avoir du travail qui m’attend. Bonne journée Monsieur Hamilton ! »


Elle essaya de passer derrière l’imposante carrure de son collègue, mais n’y arrivant pas, elle décida de faire demi-tour. 

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