Caleb Carlton ○ Je veux des seins, de l'alcool et de la bonne humeur ♪♪

Un petit bébé pointa le bout de son né, au calendrier, nous étions le seize octobre mille neuf cent soixante, à l'horloge, il était six heures cinq du matin et dans la pièce un minuscule corps poussait ses premiers cris à en perdre sa voix. Caleb venait de voir le jour pour le meilleur et pour le pire, premier et dernier enfant de sa famille, il fut chouchouté dès ses premières heures, ses premières secondes, aduler et adorer par ses parents deux sang-pur enfin heureux d'avoir créé leur héritier, l'enfant avait eu de la chance de naître dans une famille aimante et non-froide et strict et ses premières années avait été heureuse, très heureuse, il était le petit prince et obtenait tout d'un claquement de doigts, il ordonnait, il était servi et autant vous dire que le petit Cab en a pris l'habitude qu'il s'agisse d'avoir le dernier bonbon ou la dernière bonnasse qui passe, il ne fait pas la différence et donne des ordres se montrant donc vulgaire et peu classe avec les autres. En dehors de sa vie princière, le petit garçon à montrer des signes de magie à l'âge de sept ans n'étant pas content d'aller au bain, il fit apparaître un véritable tsunami dans la salle de bains, sortant toute l'eau de la baignoire pour la faire choir sur le sol. Cela n'avait pas vraiment plu à sa mère, mais son père lui était véritablement aux anges de voir que son héritier était bel et bien un sorcier et ne manquait déjà pas de caractère à son âge à ce moment-là tout changea dans sa vie d'enfant. Son père décidé à en faire l'enfant parfait pour prendre sa relève dans le monde sorcier, il lui bourra le crâne de précepte et de règle en tous genre et cela énervait grandement le garçon qui n'osait pas réellement se rebeller.


Et le brun ne se rebella pas avant d'entrer à Poudlard où il retrouva sa liberté, sa joie de vivre et son caractère bien spécial. Il joua avec les filles trouva son acolyte Tibus en qui il trouva une sorte de jumeau et avec qui il commença à faire les quatre cent coups. Et quand il rentra chez lui, il réussit enfin à dire sa façon de penser à son paternel et la famille explosa le patriarche ne voulant pas d'un enfant rebelle lui dit alors que si il ne voulait pas se conformer au règle, il devrait quitter la maison directement après ses études, cela peina le brun qui ne montra rien voulant jouer le fier, mais qui était réellement blessé de voir que l'amour de son père était si facilement effaçable et c'est cela qui le persuada qu'il ne devait jamais aimer personne au risque d'être trahi et laisser pour compte à nouveau. Depuis il agit comme un salop avec les femmes, les prenant pour un objet jetable après un moment de plaisir.



Le seul à avoir sa confiance est Tibus, son poto, son binôme de drague et de soirée, celui à qui il dit tout ou presque. Il ne lui a jamais parlé de son père, mais ce n'était pas important, pour lui, il fallait mieux se bourrer la gueule avec des bonasses que d'avoir de longue conversation sérieuse. Même si cela lui arrive de temps à autre d'en avoir. Après tout, il est en septième année bientôt, il quittera Poudlard et au vu de son choix, il devra se débrouiller par lui-même pour subvenir à ses besoins ce qui l'inquiète un peu même si il ne montre rien étant toujours sûr de lui et souriant, il profite de sa vie et de sa jeunesse ne souhaitant pas se prendre la tête.