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 ... Insomnie, quand tu nous tiens... [Aldric-Irélia]

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MessageSujet: ... Insomnie, quand tu nous tiens... [Aldric-Irélia]  ... Insomnie, quand tu nous tiens... [Aldric-Irélia] EmptyMar 19 Avr - 11:37

Il y a toujours eut un placard ici ?


I

rélia était incapable de s’endormir cette nuit-là. En proie à des cauchemars et des insomnies depuis le bal, elle se tournait et se retournait dans son lit, ne trouvant pas les bras de Morphée. Elle avait les yeux grands ouverts, fixant le sommet de son lit, et jouant avec les rideaux verts velours du bout des doigts. Elle pensait à trop de choses, tout s’emmêlait dans sa tête, comme si toutes ses pensées s’étaient décidées à sortir à ce moment précis. Elle se redressa dans son lit, passant ses mains dans ses cheveux, le cœur battant à tout rompre. Le dortoir était silencieux, les filles de sa maison dormaient profondément. Comme si ici, le fait que les mangemorts aient attaqué Pré-au-Lard n’était pas important. La seule qu’elle avait vu partir « au combat », c’était cette nouvelle, Eva. Elle attrapa un élastique, ramenant ses longs cheveux blonds en une haute queue de cheval, posa ses pieds sur le sol  un peu froid du dortoir. Discrètement, elle attrapa un gilet long gilet en maille gris qu’elle enfila par-dessus son débardeur et son pantalon de pyjama. Elle attrapa même son sac en bandoulière. Elle avait envie de marcher, peut-être trouverait-elle le sommeil à force d’avancer. Et à défaut, elle trouverait un coin pour lire.  

Ses pas la menèrent vers la salle commune, puis rapidement, elle sortit de la salle commune, en prenant soin de ne pas être suivit, et que personne ne pouvait la voir. Elle serra ses bras contre elle, en croix, restant prudente. Sa baguette brillait légèrement, juste de quoi voir où elle mettait les pieds. D’ailleurs elle venait de se rendre compte qu’elle avait oublié de mettre des chaussures, et qu’elle était pieds nus. Tant pis, elle était déjà au troisième étages, et ne se voyait pas redescendre au cachot pour une paire de chaussures. Non, elle allait monter, dans l’idéal, elle voulait se réfugier dans la tour d’astronomie. C’était peut-être son deuxième endroit préféré après le terrain de Quidditch. Elle y trouvait le calme dont elle avait besoin pour se ressourcer. Et même avec ça, elle restait une petite peste.

A force de penser et d’avancer, elle arriva bien vite au Septième étage, près de la salle commune des Gryffondors. Un bruit se fit retentir non loin de là, elle aperçut la statue pas loin, et elle se déplaça sur la pointe des pieds derrières. Elle était accroupit, elle murmura juste « Nox » pour éteindre sa baguette. Elle attendit comme ça un instant, regardant autour d’elle si quelqu’un arrivait, mais personne ne daignait se montrer. Irélia en conclut donc qu’un chat avait dû passer par la et faire tomber quelque chose. Elle se redressa doucement en se tenant à la statue pour ne pas tomber royalement. Elle regarda autour d’elle, puis recula sur une dizaine de mètre, sans prêter attention derrière elle, et sans rallumer sa baguette. Et elle aurait dû, car elle percuta un truc grand et imposant. Elle sursauta, son cœur battant à tout rompre, et se retournant, en faisant voler quelques parchemins de son sac au passage, tout en donnant un coup de poing dans le « truc » qu’elle avait percuté. « - Ha mais bordel ! » Elle plaqua sa main contre sa bouche, se rendant compte qu’elle avait parlé un peu fort. Il ne manquerait plus qu’elle se fasse chopper ici.
 
 
 

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MessageSujet: Re: ... Insomnie, quand tu nous tiens... [Aldric-Irélia]  ... Insomnie, quand tu nous tiens... [Aldric-Irélia] EmptyMar 19 Avr - 12:37

Il y a toujours eut un placard ici ?


Mains dans les poches de l'uniforme, baguette dans les cheveux. Aldric retourne comme depuis trois jours de suite à sa salle commune après une retenue. Nettoyer encore une fois la salle des coupes, à force, ils devraient penser à jeter un sort anti poussière. Dire que l'idée était intéressante, et c'est ce que le courageux avait essayé de faire. Sauf que le concierge était passé pile au moment où il allait jeter le sort... Grommelant dans sa barbe non présente, il avance vers le septième étage. Lui, le né moldu, ne comprenait pas pourquoi les sorciers n'utilisaient pas la magie pour les travaux du quotidien. Franchement, un recurvit et tout serait fini et ils pourraient faire autre chose de leur journée. Bon, Aldric est connu pour sa paresse après tout. Quand il n'est pas en retenue car il a voulu sauver la veuve et l'orphelin ou plutôt ses camarades des heures de ménages, il se retrouve en retenu pour s'être endormi durant un cours. Ou car un prof n'a pas apprécié l'une de ses blagues. Enfin bon...

Ses yeux mit clos, faisant semblant d'être somnambule au cas où il tombera sur un prof, le septième année aperçoit au loin une lueur s'approchant de l'entre des gryffon. Sur le coup, il pense à un autre qui rentre d'une retenue tardive. Et il reprend son chemin. Une seconde, deux secondes, trois secondes... Un chat poursuit une souris, faisant tomber une armure. La lueur s'éteint et la personne se cache. C'est à ce moment là qu'il comprend que la personne n'est pas un rouge et or. Mais qui viendrait par ici à cet heure-ci? Doucement, il se faufile derrière l'intru, quand la fille. Car c'est une fille lui rentre dedans. Il recule d'un pas sous le choc. Il va pour parler mais se tait en reconnaissant la voix. Irélia, franchement. Qu'est-ce qu'elle peut venir faire ici. Il va pour lui demander quand il se ramasse un coup dans l'estomac et encore un. La seule pensée qu'il a à cet instant est qu'il n'a encore rien fait pour qu'elle le tape.

Des bruits de pas se font entendre dans le couloir. Le concierge, un préfet ou un prof. La salle commune est à quelques mètres, il pourrait la laisser là. C'est ce qu'il compte faire, essaye de faire. Mais à la place sa main se ferme sur le bras de la jeune fille et la tire à l'opposé.
Suits-moi Morgan. Il la tire sans trop savoir où ils vont aller. Lui, peut toujours dire qu'il revient d'une retenue. Mais elle... Qu'est-ce qu'elle peut faire ici à cet heure-ci?
 

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MessageSujet: Re: ... Insomnie, quand tu nous tiens... [Aldric-Irélia]  ... Insomnie, quand tu nous tiens... [Aldric-Irélia] EmptyMar 19 Avr - 13:17

Il y a toujours eu un placard ici ?


S

es réflexes défensifs étaient plutôt bons, la preuve, elle avait frappé directement sans se poser de questions, sans même prendre la peine de savoir qui était la personne derrière elle. Elle n’avait jamais pris la peine de réfléchir avant de frapper. De toute façon quand elle reconnut la personne derrière elle, elle ne s’en voulut pas tellement de lui avoir mis une droite directement dans l’estomac. Oui parce qu’Irélia était assez petite par rapport à lui, du coup le seul endroit atteignable était son torse. Et puis, il lui avait fait peur, c’était de sa faute après tout. C’était toujours de sa faute. Depuis la première année, c’était de sa faute. Et Irélia allait râler encore, seulement, elle entendit des bruits de pas dans le couloir, non loin de là. Elle savait que lui pouvait rejoindre sa salle commune en moins de deux, et elle est quasiment sûre qu’il va le faire. Irélia regarde alors autour d’elle où se cacher, sans trouver autre chose qu’un pan de mur vide sans rien. Elle sent que la retenue va tomber, quand soudain, elle sent la main de Johansson saisir son bras, et la tirer dans l’autre sens. Bordel, mais il foutait quoi là ? « - Mais qu’est-ce que… ? » Elle se taisait un moment, avant d’attirer encore plus l’attention sur eux.

Mais où se cacher dans cet étage ? Elle connaissait les coins et recoins, et elle savait qu’aucun placard n’était par ici. Elle râla quand même doucement « - Tu me fais mal au bras ! ». C’était juste par principe qu’elle disait ça, étrangement cela ne la dérangeait pas plus que ça. Mais non ma fille, ne pense pas à ça. Ne pense plus jamais à ça. Elle secoua la tête frénétiquement. Elle regarda autour d’eux, et remarqua une porte qu’elle n’avait jamais vue auparavant. Et sans trop réfléchir, elle attrapa à son tour le jeune homme par le poignet, l’entraina comme elle pouvait vers celui-ci, ouvrit la porte de ce qui se révélait un placard à balais relativement petit. Comment ce placard avait-il  atterrit ici ? Pas le temps de réfléchir, elle ferma la porte, doucement pour ne pas qu’elle s’entende, et pria pour que personne ne regarde ici, et surtout que personne ne les entendent. Elle colla son oreille contre la porte, mais elle n’entendait rien du tout.

Elle finit par se retourner vers lui. Elle sentait la veine de son front ressortir, et son cœur qui battait à tout rompre. Irélia prenait ça pour de la colère. Le pire dans tout ça, c’est qu’elle se rendait compte qu’elle était en pyjama, pieds nus, pas maquillé, devant  lui, comme ça. En y pensant, Irélia attrapa les pans de son gilet, et le croisa sur son ventre pour cacher le débardeur blanc qu’elle portait en dessous. Elle posa son sac de côté, puis reporta son regard colérique sur le jeune homme. « - Tu peux m’expliquer ce qui t’as pris ? » Elle aurait pu le remercier au moins. Mais non, elle ne voulait pas dire merci, pas à lui. Elle était trop fière pour ça, et elle avait trop de rancune envers lui.    

 
 
 

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MessageSujet: Re: ... Insomnie, quand tu nous tiens... [Aldric-Irélia]  ... Insomnie, quand tu nous tiens... [Aldric-Irélia] EmptyMar 19 Avr - 14:33

Il y a toujours eut un placard ici ?


Il aurait pu la laisser là et rentrer tranquillement dans sa salle commune. Cette morveuse réussissait toujours à se mettre dans l'embarras, et c'était encore à lui à jouer au héro, en lui évitant une retenue. C'était pas pour elle qu'il faisait ça. Plus pour lui et son mental. Car avec sa poisse, Irélia risquerait de se retrouver en retenu avec lui. Et ça, pas moyen.

Main sur son bras, il la tire, la faisant courir nul ne sait où. Il la tire, sentant son manque de sommeil disparaître. Sentant le besoin de la protéger encore et toujours.
Tu me fais mal au bras ! Ses doigts lâchent la laine en entendant ses mots. Presque comme une brûlure sur sa propre peau, il la lâche, se retournant. Son coeur accèlère d'un coup en s'imaginant qu'il lui a fait mal. Pourtant, il ne voit rien sur le visage de la jeune fille, aucune douleur.

Aldric cherche un endroit pour eux se cacher, sachant très bien qu'il n'y a rien ici. Sauf des rideaux, des tableaux. Elle le tire à son tour vers une porte qui n'était pas là il y a une minute. Il entre après elle, et sourit en se prenant un balai dans le dos. Franchement, Poudlard est un endroit toujours aussi magique après sept ans.

Le gryffondor prend appui contre le fond, la regardant dans l'obscurité tout e lançant un faible Lumos pour éclairer la pièce. Et c'est là qu'il remarqua la façon dont elle était vêtue. Il déglutit tout en détournant les yeux, se sentant rougir.
Tu peux m’expliquer ce qui t’as pris ? Ce qui lui a prit? Elle parle de quoi là. Ca l'oblige à la regarder de nouveau pour lui répondre. Il passe sa main nerveusement dans ses cheveux, essayant de les applatir, se sentant d'un coup mal à l'aise. Se disputer avec Irélia, pas de soucis. Mais pas se retrouver seul avec elle, dans un endroit aussi petit. T'expliquer quoi?

Son sourire supérieur pourtant, refait surface tout en secouant sa tête pour chasser les idées qu'il lui vienne à l'esprit en la voyant si proche de lui. Oh! tu veux que je t'explique comment me remercier? Il s'approche d'elle, mettant une main derrière la tête de la serpentarde pour se pencher vers son oreille. Oublie, c'était cadeau.
 

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MessageSujet: Re: ... Insomnie, quand tu nous tiens... [Aldric-Irélia]  ... Insomnie, quand tu nous tiens... [Aldric-Irélia] EmptyMar 19 Avr - 16:18

Il y a toujours eu un placard ici ?


E

lle le suit sans se poser de questions. Une grande première pour la demoiselle, qui jamais ne l’avait laissé l’occasion de la toucher, de façon si amicale, si on peut dire ça comme ça. Elle ne comprenait vraiment pas ce qu’il lui avait pris, le fait qu’elle soit en retenue devrait le réjouir pourtant. A force d’essayer de comprendre les Gryffondors, elle allait perdre la tête. Sentir ses doigts relâcher son bras lui fit une sensation étrange, comme si en vérité ce contact lui avait fait un petit quelque chose. Elle était malade, le manque de sommeil, les événements, tout ça, ce n’était pas bon pour sa santé mentale. D’ailleurs quand elle attrapa son poignet, elle sentit son cœur faire quelque chose qu’il n’avait jamais fait avant. C’était quoi ça encore ? Elle secouait vivement la tête, non, non elle s’interdisait de penser à ça.

Elle respire doucement, le laisse s’approcher, il place sa main derrière sa tête, Irélia ne bouge plus, les yeux gros, ne bougeant plus d’un pouce. Il faisait quoi ? Pourquoi il faisait ça ? Elle tentait de garder son calme, ses mains se rattrapant au deux murs trop proche. Et lui aussi, il était trop proche. Tout ce placard était trop petit, Irélia commença à paniquer, elle sentait son cœur commencer à battre fort. Entendant sa phrase juste à son oreille, son souffle si près d’elle quand il lui parla, son odeur qui lui faisait tourner la tête, elle ferma les yeux une seconde. Non, ce n’est juste pas possible. Elle prit un élan pour se reculer d’un coup, en se plaquant elle-même contre la porte, le regardant comme s’il était fou, et en le repoussant de ses deux bras. « -Non mais ça va pas la tête. Un coup de poing ça ne te suffit pas ? ». Elle ressent un léger pincement, elle ne comprend pas ce qu'il se passe. Elle ne sait pas pourquoi elle se sent aussi perturbé. Elle n'est pas claustrophobe, et pourtant, à ce moment, elle se sent mal dans ce placard.

Il avait réussi à la faire sortir de ses gonds. Elle était furax… Furax qu’il ait joué au héro alors que sa salle commune n’était pas loin, furax qu’il ait osé faire ce mouvement vers elle, elle était juste en colère après lui. Pourtant, elle aurait dû tirer profit de cette situation, ce n’était pas tous les jours qu’elle pouvait se retrouver avec un garçon si beau dans un placard si petit. C’est vrai quoi, il faisait du Quidditch, il avait une carrure de super héros, et il fallait avouer qu’il plaisait bien à Irélia qui commençait à divaguer complètement. Elle secoua la tête, en refermant son gilet qui s’était rouvert quand elle avait rejeté le jeune homme. « - Pourquoi t’es pas retourné dans ta salle commune ? » demanda t’elle en détournant la tête, l’air toujours aussi furieuse, mais résigné à ne pas oublier, ni même à lâcher. Elle veut savoir ce qu’il lui à prit, elle saura.
En y repensant, il n’y a qu’avec lui qu’elle était toujours en colère et toujours sur ses gardes. Jamais elle ne s’était remise en question avant le début de cette année, et encore, elle avait juste avoué qu’elle le trouvait attirant. Mais elle préférait se refermer complètement, les vieilles rancœurs étaient tenaces chez elle. Elle n’était pas à Serpentard pour rien.
   

 
 
 

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MessageSujet: Re: ... Insomnie, quand tu nous tiens... [Aldric-Irélia]  ... Insomnie, quand tu nous tiens... [Aldric-Irélia] EmptyMar 19 Avr - 16:55

Il y a toujours eut un placard ici ?


Il pige pas trop pourquoi il se comporte ainsi. Enfin, si, c'est le comportement qu'il utilise pour flirter avec des filles. Mais Morgan n'est pas une fille et encore moins une femme. Pourtant là, à quelques centimètres d'elle, il ferme ses yeux en lui murmurant une connerie. Aldric ne sait rien faire d'autre en la présence de la serpentarde. Faut aussi dire qu'elle est la seule à ne pas sourire ou quoi que ce soit quand il parle. Et nul ne peut dire que le gardien des rouges et or, n'a pas son petit charme auprès des filles. Bon, pas comme les autres garçons de son dortoir.

Et là, comme à leur habitude, il se retrouve bousculer. Sentir les deux mains de la septième année sur son torse, lui arrache un frisson. Il recule pour lui faire plaisir avant de rigoler faiblement pour ne pas se faire remarquer par le concierge ou le prof dans le couloir. Le bout de sa baguette éclaire toujours le placard, et il sourit en voyant le regard remplit de colère qu'elle lui lance. Là, il retrouve la gamine qui l'a énervé lors du premier voyage dans le Poudlard express.
Non mais ça va pas la tête. Un coup de poing ça ne te suffit pas ? Un coup de poing? Il faut un petit temps Aldric pour se souvenir de celui dont elle parle. Tu sais que j'aime quand tu me frappes, c'est le seul moment où tes douces mains me touchent. Il s'assied sur le sol, calant son dos contre le mur.

Le septième année, essaye de regarder ailleurs pour ne pas se mettre à rougir en regardant l'accoutrement de la jeune fille. Ce serait si simple, si elle ne le regardait pas avec un regard qui lui annonce mille et une mort. Sa tête contre le mur, il ferme à mi clos ses yeux. Ne pouvant vraiment ne pas s'empêcher de l'admirer. Pourquoi t’es pas retourné dans ta salle commune ? Alors, là, même lui, ne pouvait pas s'expliquer le pourquoi il ne l'avait pas abandonné là. Il soupire, ferme les yeux en tapant le sol à côté de lui. Il se décale un peu, enlevant la veste de son uniforme et la lui passe. Mets ça sur le sol, tu auras pas froid ainsi.

Il laisse passer du temps, faisant comme si il n'avait pas entendu la question. Juste pour la voir s'énerver. Car un des trucs que Aldric aime par dessus tout est de voir Irélia s'énerver contre lui. Il l'aime la voir ainsi, c'est le seul moment où il a l'impression qu'elle ne voit que lui. Pourtant, au bout d'un moment, il tourne la tête vers elle, haussant les épaules. Le syndrome du super héro ou je suis suicidaire, qui sait?
 

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MessageSujet: Re: ... Insomnie, quand tu nous tiens... [Aldric-Irélia]  ... Insomnie, quand tu nous tiens... [Aldric-Irélia] EmptyMar 19 Avr - 17:54

Il y a toujours eu un placard ici ?


E

lle bouillonnait, et pourtant elle se sentait bizarre. Elle avait cette envie de passer sa main dans les cheveux du jeune homme quand il est proche d’elle, mais elle sert les poings et préfère le rejeter, elle ne veut pas, elle ne peut pas l’avoir près d’elle. Elle n’arrive plus à comprendre. Ce comportement, elle ne l’avait jamais eu avec personne à ce point. Elle n’était pas forcément très agréable à supporter, et elle montrait son affection de façon étrange. Elle-même se trouvait étrange. Elle se protégeait de cette façon stupide qu’était la violence. Face à Aldric, elle n’arrivait pas à faire autre chose. L’habitude au bout de six longues années pensait-elle. Elle n’avait jamais été mal à l’aise avec un garçon. Elle prenait toujours les devants. Mais là, le savoir proche d’elle l’avait fait complètement paniqué, et ce sentiment s’était estompé seulement au moment où il s’était éloigné.

Elle a l’habitude de le bousculer, d’essayer de le frapper, c’est son traintrain quotidien. Chaque matin, il est là à lui envoyer des insultes ou des farces à la figure. Chaque matin, elle lui met une super gifle, et la journée commence. Et quand il n’est pas là, elle se sent bizarre. Elle ferme ses poings, il rigolait ce petit crétin. Elle s’énervait encore plus, comment pouvait-il rire ? Si elle avait eu une batte à portée, elle lui aurait envoyé à la figure, comme pendant les matchs de Quidditch, où elle s’amusait à le viser avec les cognards, et où parfois, sous la colère, elle envoyait sa batte sur les gens. Sa phrase la choque, Que… quoi ? Elle écarquille les yeux. Il est malade ? Elle le regarde s’installer sur le sol. Il était fou. « - Je me disais bien que tu devais être masochiste. Tu les cherches mes gifles. » Elle marmonne, mais elle est assez claire.

Elle avait beau porter un pantalon de pyjama, elle était mal à l’aise dans cette tenue. Qu’il l’a voit ainsi, ça la gênait, elle qui pourtant s’en fichait de se changer devant les autres. Elle garda la tête détournée, attendant une réponse à sa question. Il détourne encore la conversation, mais de façon étonnante. Elle ne s’y attendait pas. Elle saisit la veste, du bout des doigts. Irélia regarda la veste, puis Aldric, puis à nouveau la veste. Elle est perplexe, elle ne sait même pas comment réagir. Elle lève les yeux au ciel, et dans un soupire, elle laissa s’échapper un « Merci ». Elle posa la veste par terre, puis s’installa dessus, en tailleur. Elle était tellement petite et menue qu’elle passait tout juste dessus. Elle regardait le plafond d’un air intéressée. Elle aurait tout donné pour se sortir de là, mais elle se doutait que Rusard devait trainer dans le coin.

Elle espérait qu’il répondrait à sa question. Elle gardait son air furax, bougeant ses doigts nerveusement. Il l’énervait, rien que sa présence la rendait complètement nerveuse. Elle sentait ses narines se gonfler. Elle finit par baisser son regard furieux sur lui, et il lui répondit enfin. Le syndrome du super héros ? Il se prenait pour Thor où quoi ? Oui, Aldric lui rappelait Thor. Mais elle le garderait pour elle. Non parce que sérieusement, il l’a prenait déjà pour une folle, elle n’allait pas en rajouter. Non, elle préféra tourna la tête, et toujours avec mauvaise foi, elle déclara « - J’aurais pu m’en sortir seule, franchement… ». Oui, un merci lui arracherait la bouche.


 
 
 

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MessageSujet: Re: ... Insomnie, quand tu nous tiens... [Aldric-Irélia]  ... Insomnie, quand tu nous tiens... [Aldric-Irélia] EmptyMar 19 Avr - 18:13

Il y a toujours eut un placard ici ?


En temps général, Aldric aurait profité d'être seule avec une fille dans un placard à balai. Sauf que la fille était son pire cauchemar. C'est ce qu'il essaye de se dire en lui passant sa veste. Il essaye de se l'imaginer avec des verrues et tout autres choses qui essaye de chasser l'image qu'il a devant ses yeux. Elle parle mais il ne l'écoute pas vraiment. Si il l'écoute, il verrait ses lèvres bouger et il... Aldric ferme les yeux après avoir répondu. C'est plus simple.

Pourtant un sourire, étire ses lèvres en entendre la répartie de la verte et argent.
J’aurais pu m’en sortir seule, franchement… Un oeil s'ouvre doucement et la cherche à côté de lui. Il relève doucement sa tête, avant de se pencher vers elle pour lui murmurer encore une fois. Tu peux aussi dire merci, ça ne te tuera pas.

Puis va savoir pourquoi, il change de position encore une fois. Il bouge Irélia pour qu'elle se retrouve dans ses bras, ses mains à lui poser autour du cou de la jeune fille. Il se colle à elle, ne sachant pas trop pourquoi. Le menton sur son épaule, il parle d'une voix un peu mal assurer. C'est pour que tu n'attrapes pas froid. Je ne tiens pas à ce que tu me tues demain, car sa majesté sera malade..
 

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MessageSujet: Re: ... Insomnie, quand tu nous tiens... [Aldric-Irélia]  ... Insomnie, quand tu nous tiens... [Aldric-Irélia] EmptyMar 19 Avr - 18:50

Il y a toujours eu un placard ici ?


E

lle sert ses jambes contre elle, de façon à se protéger. De quoi, elle ne sait pas. Mais elle ne se sent pas bien. Elle voulait prendre ses jambes à son coup, elle voulait partir, mais elle ne bougeait pas. Incapable de faire autre chose que regarder vers le plafond, avec cette impression horrible qu’il s’éloignait d’elle. Elle se sentait vraiment mal. Ce sentiment, Irélia n’en avait pas l’habitude, et elle n’était franchement pas bien dans ses baskets. Même si elle n’en portait pas de basket à ce moment.

Elle souffle une seconde fois, comme exaspéré. Sauf qu’il fait un truc qu’elle n’aurait jamais pensé qu’il ferait. Il se rapproche d’elle. Elle se décale un peu, mais est déjà contre le mur. C’était elle ou les murs se rétractaient ? Elle ne supportait pas cette proximité, elle se sentait de plus en plus mal. Elle allait finir par tomber dans les pommes. D’ailleurs elle posa sa main sur le mur, comme pour le pousser et pouvoir s’enfuir. Qu’est-ce qu’il se passait dans ce placard ? Pourtant, dans un simple murmure elle dit « - Tu peux toujours rêver… »

Elle ne s’attendait pas à tout ce qui se passa par la suite. Elle fut tellement surprise qu’elle ne le dégagea pas de suite. Il se colle à elle, elle frémit sans le faire exprès. Elle va défaillir, elle veut le repousser, mais elle est incapable de bouger, les yeux toujours écarquillés. Elle devait être en train de rêver. Non ce n’était pas possible. Elle l’écoute, la même sensation qu’auparavant se produise, Irélia se sent défaillir. Elle veut répondre, mais elle ne trouve rien de cinglant à lui répondre. Elle est comme bloqué. Pourtant elle tourne doucement la tête, et frôle juste un instant ses lèvres. Elle percute, elle se recule, et la gifle part toute seule. Elle ne veut juste pas le laisser. Pas lui. Pourtant c’est le seul qu’elle voudrait vraiment. Et elle ne le laissera pas. Elle recule brusquement, se prend les pieds dans la veste par terre, et se cogne la tête contre le mur. Plutôt violement. Elle enrage encore plus. « - PUTAIN de BORDEL de M... » Sa tête tourne, mais elle reste à moitié assommé contre le mur.



 
 
 

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MessageSujet: Re: ... Insomnie, quand tu nous tiens... [Aldric-Irélia]  ... Insomnie, quand tu nous tiens... [Aldric-Irélia] EmptyMar 19 Avr - 19:16

Il y a toujours eut un placard ici ?


L'idée était pas mal, la prendre dans ses bras. Aldric voyait bien qu'elle avait froid. Et puis, c'était pas la première fois qu'il serrait une fille contre lui, pour la réchauffer. Non pas de manière pervers, en toute amitié. Mais en même temps, il avait envie de jouer un peu avec la jeune fille. Depuis quelques temps, ils jouaient un peu au chat et à la souris. Il la serre contre lui, son dos contre son torse. Et il ne se gêne pas pour sentir le parfum du shampoing que dégage ses cheveux.

Le pire c'est qu'il n'aurait qu'à bouger un peu sa tête pour poser ses lèvres sous l'oreille de la jeune fille. Il est comme hypnotisé durant un moment. C'est pas la première fois qu'il ressent ça, c'est même la ... Il ferme ses yeux essayant de se rappeler. C'est à ce moment là que la serpentarde se décide à bouger. Le faisant ouvrir les yeux. Leur regard l'un dans l'autre, il retient son souffle quand leur lèvre se frôle. Son coeur se met à accélerer d'un coup. Alors qu'il la lâche voulant prendre son visage dans ses mains. Mais l'instant est brisé quand elle revient à elle.

Tout se passe vite, Aldric tend la main pour l'attraper avant qu'elle tombe. Il se met sur ses genoux, s'avançant vers elle quand elle se cogne contre le mur.
Mor... PUTAIN de BORDEL de M... Si elle hurle c'est qu'elle va bien. Pourtant, il se sent inquet. Le gryffondor récupère sa veste avant de se pencher vers la jeune fille. Et Irélia, tu vas bien? Il lui relève la tête doucement pour la poser sur sa veste en boule. Parle-moi! Il se penche encore plus vers elle, caressant doucement le visage de la jeune fille, continuant à pencher sa tête vers celle couchée. Je savais que je te faisais de l'effet, Morgan. Tu tombes à mes pieds.

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MessageSujet: Re: ... Insomnie, quand tu nous tiens... [Aldric-Irélia]  ... Insomnie, quand tu nous tiens... [Aldric-Irélia] EmptyMar 19 Avr - 20:11

Il y a toujours eu un placard ici ?


I

l était plaqué contre elle, elle adorait le contact qu’il y avait eu entre ne serait-ce qu’un instant. Une partie d’elle l’aurait laissé faire volontiers, alors que l’autre voulait le rejeter. Elle ne voulait pas le laisser pénétrer son périmètre  de sécurité, celui qu’elle s’était toujours imposer avec lui. Elle ne voulait vraiment pas se laisser aller avec lui, pas après tout ce qu’ils avaient pu vivre depuis la première année. Pourtant au fond d’elle, elle avait envie de le garder contre elle, sentant l’odeur du jeune homme qui était en train de la rendre folle.

Et c’est d’ailleurs comme ça qu’elle se retrouva avec la tête dans le mur. Parce qu’elle se rendait compte que c’était de la folie. Elle était à deux doigts de l’embrasser, lui, qu’elle haïssait depuis toutes ces années. Non, elle ne devait pas faiblir. C’était stupide, certes, mais elle ne voulait pas craquer. Elle ne voulait même pas ressentir ce qu’elle ressentait, et c’était plus fort qu’elle. Elle sentait une larme poindre au coin de son œil. Elle ne savait pas si c’était dû à la douleur ou à la situation. Elle était complètement dépassée. « - Ca va je te dis. CA VA ! »  Elle s’en fichait qu’on l’entende, elle aurait même voulut qu’on l’entende. Elle était complètement à la masse, mais pourtant, elle ne voulait pas qu’il la touche.

Elle eut un rire mauvais, elle tombait à ses pieds. Hors de question, jamais. Elle préférait mourir encore. D’ailleurs, elle était fermement décidée à le repousser, même dans cet état. Elle poussa sa main, mais il se penche vers elle, et elle se sent complètement désemparé. Elle passa sa main sur son front, se redressant légèrement. Elle commence à voir de nouveau normalement, voyant toujours flou. Il a l’air de vouloir jouer, alors Irélia va jouer. Elle avait dû se prendre un sacré coup sur la tête. « - Tu crois que je tombe à tes pieds ? Laisse-moi rire… » Bon si elle avait été franche, elle lui aurait dit que : de un, il était tout à fait son genre, de deux elle lui aurait fait son affaire. Mais non, à la place, Irélia utilisa la même force qu’elle utilisait au Quidditch pour repousser le jeune homme en arrière, en attrapant ses poignets. Sauf qu’en faisant ça, elle retomba sur lui. Sûrement les contres coups de son coup sur la tête. Elle maintenait toujours ses poignets, et tentant vainement de faire croire que c’était voulu. « - Et maintenant, est-ce que tu fais toujours le malin ? ». La position était étrange, mais Irélia pensait maitriser la situation.



 
 
 

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J'ai posté : 79 hiboux. Grâce à moi ma maison a gagné : 0 A savoir sur toi : Je ne sers à rien. Le forum est mort, capout, finit!

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MessageSujet: Re: ... Insomnie, quand tu nous tiens... [Aldric-Irélia]  ... Insomnie, quand tu nous tiens... [Aldric-Irélia] EmptyMar 19 Avr - 21:08

  
  

  
Piégés !

  
L
e fantôme se promenait tranquillement dans les couloirs du château quand il entendit un bruit non loin de là. En bon samaritain, le fantôme rechercha la source du bruit. Il se retrouva face à un couloir vide, surpris, d’anciennement sorcier fronça des sourcils et haussa les épaules. Continuant son chemin vers un autre couloir, il entendit de nouveau du bruit en provenance d'un placard. Un sourire se plaqua sur les lèvres de Peeve qui passa sa tête à travers la porte en bois pour tomber nez à nez avec deux élèves dans une position assez étrange.

Tiens tiens, un lion et un serpent ensemble dans un placard ! Dit-il d'une voix assez forte et moqueuse.

Le fantôme les observa pendant un petit moment avec un sourire en coin, qu'est-ce qu'il pourrait bien faire à ses deux élèves ? Une idée brillante lui vint alors à l'esprit. Bien que toute ses idées soient brillantes celle-ci lui plaisait particulièrement !

Il ne fait pas assez chaud, vous ne trouvez pas ? Repris-t-il en rigolant et quittant le placard.

Bien entendu le fantôme lança un sort bloquant la porte jusqu'au petit matin, assez tard pour que d'autres élèves les surprennent. De toute évidence, les deux élèves ne seraient pas en mesure de paré de son sort. Le fantôme alla chercher quelques chose avant de retourner dans la pièce avec un grand sourire sur les lèvres.

Pour vous réchauffez les mignons ! Fit-il avant de partir en rigolant dans les couloirs.

Le gryffondor et la serpentard se retrouvait enfermé dans ce placard jusqu'au petit matin dans une pièce où la température finirait par atteindre les 40 ° C. Qu'est-ce que cela pouvait avoir du bon d'être un fantôme, depuis sa mort il avait le loisir de faire toutes les blagues qu'il souhaitait sans craindre personne. Presque personne. Seul le baron sanglant l'effrayé. Un frisson lui parcouru l’échine tandis qu'il continuait son chemin dans les couloirs de Poudlard. A qui pourrait-il faire un mauvais tour à présent ?

  
Peeves
© sobade.

  
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MessageSujet: Re: ... Insomnie, quand tu nous tiens... [Aldric-Irélia]  ... Insomnie, quand tu nous tiens... [Aldric-Irélia] EmptyMar 19 Avr - 22:09

Il y a toujours eut un placard ici ?


Elle s'est cognée la tête en essayant de le fuir. Logiquement Aldric aurait dû rigoler. Logiquement. Seulement, dès qu'elle s'est levée, il a voulu la retenir car il se sentait bien ainsi. Puis sentir les lèvres de la jeune fille durant une seconde contre les siennes, ça lui avait fait un choc. Il ne s'attendait certainement pas à ça. Bien entendu, il avait déjà pensé, même rêvé au fait qu'il embrasserait un jour la serpentarde. Après tout, elle était pas mal. Loin de la gamine d'avant. Ca faisait un petit bout de temps qu'il la regardait à la dérobé. Même deux ans, depuis qu'elle avait commencé à avoir des formes et que la gente masculine la suivait du regard aussi.

Quoi qu'il est en soit, il s'approche d'elle, ayant peur qu'elle se soit fait mal. Aldric se demande comment il ferait si elle s'était fait mal de sa faute, à cause de lui. Car on peut penser ce qu'on veut. Jamais, il ne l'a touché physiquement. Même moralement. Il fait toujours attention à ne pas la faire souffrir. Enfin depuis leur cinquième, avant, il s'en moquait.

A genoux à côté d'elle, il lui demande plusieurs fois pour savoir si elle va bien. Et la réponse, le soulage. Elle va bien, tant mieux. La voir couché ainsi, lui fait mal. C'est juste pour ça qu'il lui caresse le visage. Juste pour ça. Pas car il avait envie de savoir si sa peau était douce. Pas comme si il avait envie de gouter à ses lèvres là. Non, ça n'a rien avoir.
Tu crois que je tombe à tes pieds ? Laisse-moi rire… A la question, il hoche la tête. Bien entendu qu'elle tombait à ses pieds Qu'est-ce qu'elle venait de faire après tout. Mais il ne dit rien, souriant bêtement. Au moins, si elle répondait ainsi, c'est qu'elle allait bien.

Même un peu trop bien, vu quand une fraction de seconde, il se retrouve étendu sur son dos, la demoiselle sur lui, lui tenant les poignets.
Et maintenant, est-ce que tu fais toujours le malin ? Il la regarde surpris. La regardant dans les yeux. Waouh! Tu as de la forte. Oui, Aldric se fout d'elle un peu. Il vaut mieux qu'il se comporte ainsi pour ne pas être omnibuler par ses lèvres ici.

Tiens tiens, un lion et un serpent ensemble dans un placard Une voix moqueuse résonne au-dessus d'eux. Le gryffondor lève la tête avant de soupirer, murmurant plus pour lui-même. Peeves. Il repousse la serpentarde. Il ne fait pas assez chaud, vous ne trouvez pas ? D'un coup, le rouge et or a peur. Peur de ce que l'esprit frappeur va faire. Il se dirige vers la porte, et là, pas moyen de l'ouvrir. Par Saint Georges! Un jour je vais te l'attraper et je vais le ... Il se tourne vers Irélia en disant ça, tout en tapant contre la porte. Aaaaah! Il m'énerve et je... je... Il cherche après sa baguette, ne la retrouvant pas. Il m'a piqué ma baguette, dis moi que tu as la tienne, Morgan. C'est à ce moment-là, que le fantôme revient. Pour vous réchauffez les mignons !

Le voilà repartit, Aldric essaye encore d'ouvrir la porte. Alors que la température grimpe petit à petit. Au plus, il essaye de l'ouvrir, au plus il commence à avoir chaud. Et sans trop y réfléchir, il déboutonne sa chemise, avant de se rappeler que celle qui lui plait est là aussi. C'est pas ce que tu crois, Morgan. J'ai chaud c'est tout. Et si tu ne tiens pas à mourir de chaud, tu devrais enlever ton gilet et puis dormir.


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MessageSujet: Re: ... Insomnie, quand tu nous tiens... [Aldric-Irélia]  ... Insomnie, quand tu nous tiens... [Aldric-Irélia] EmptyMar 19 Avr - 22:57

Il y a toujours eu un placard ici ?


E

lle ne peut pas croire qu’il l’approche pour prendre soin d’elle. Elle n’a jamais laissé personne s’approcher dans ce but. Les gestes d’affections, ce sont ses rares amis qui y ont droit. Elle a eu quelques relations sans lendemain, pas non plus des masses, et des passades avec juste des embrassades, mais jamais elle n’avait ressenti ça. Partagée entre son envie de lui sortir les yeux de ses orbites et son désir qu’elle ne contrôlait limite plus avec cette action insensée, à savoir celle de lui grimper dessus littéralement, elle le regarde droit dans les yeux, regardant son sourire stupide. Elle est à moitié assommée, et lui se laisse faire par la demoiselle, se foutant d’elle limite. « - Et en plus tu te fous de moi. Si j’étais au top de ma forme tu pourrais être surpris » Sauf qu’elle n’est pas au top de sa forme, que sa tête tourne un peu,  et qu’elle est toujours sur lui, et qu’elle ne semble pas résignée à s’enlever. Manque de force ou juste l'envie d'être contre lui, elle n'en dirait jamais rien...    

Un rire, un bruit, Irélia avait déjà compris. C’était la deuxième fois en trois mois qu’Irélia se faisait piéger par Peeves. Sauf que cette fois, elle avait été sonnée par le coup d’avant, et qu’elle laissa le Gryffondor la repousser, sans trop réagir à la présence de l’esprit frappeur. Enfin pas de suite, elle resta assise un moment, puis regarda l’esprit frappeur d’un air mauvais. Elle regarda vers son sac dans le coin, l’attrapant du bout des doigts. Elle fouilla dedans, mais l’esprit frappeur lui avait volé la sienne aussi. « - C’est pas vrai, mais c’est pas vrai… » Elle commençait à se dire que Peeves avait une dent contre elle. Mais d’un autre côté-là, elle était contente. Même si elle savait qu’elle allait regretter cette pensée d’ici peu. « - Tu vas quoi ? Tu sais très bien qu’il est intenable… » Elle craignait la suite. Elle connaissait Peeves, elle savait qu’il n’allait pas se contenter seulement de voler leurs baguettes. « - Je suis désolé de te décevoir, Johansson. Il m’a pris ma baguette » Elle regarda Peeves revenir, et lancer cette magnifique phrase : Pour vous réchauffez… Elle a peur de comprendre, mais au vue de la température qui commence à grimper, au sens propre du terme. Et elle qui portait un bas de pyjama en coton bien chaud pour l’hiver.

Elle l’entendait tenter d’ouvrir la porte. Elle eut un petit rire moqueur. Elle qui voulait le fuir se retrouvait coincé ici avec lui. Qu’elle belle ironie. Elle se posa contre le mur, n’osant même pas retirer son gilet. Pourtant elle savait que si elle voulait survivre elle allait devoir l’enlever. Et elle avait un peu peur quand même de devoir faire ça. Non seulement elle ne voulait pas lui dévoiler ses jambe, mais en plus, étrangement, l’idée de se retrouver si peu vêtue devant lui la gênait. Elle gardait son mode grognon, et regarda ailleurs, alors qu’elle avait terriblement envie de le regarder lui. « - Je me doute bien que c’est pas ce que je crois. Je ne crois rien du tout d’ailleurs ! » Il ne disait pas grand-chose et elle s’énervait. « - Et je retire ce que je veux, quand je veux. » Bon elle retira son gilet, et sortit un livre de son sac. « - Tu crois que je me baladais ici par plaisir ? Je ne suis pas fatiguée. Je n’arrive pas à dormir. Et maintenant, je vais lire la fin de… » De ton comics Irélia, tu pourrais lui dire, il sait ce que c’est lui. Mais elle se tut et regarda son livre. Et elle relevait les bas de son pantalon, histoire d’aérer ses jambes.

   

 
 
 

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MessageSujet: Re: ... Insomnie, quand tu nous tiens... [Aldric-Irélia]  ... Insomnie, quand tu nous tiens... [Aldric-Irélia] EmptyMar 19 Avr - 23:31

Il y a toujours eut un placard ici ?


C'est pas vraiment le genre de soirée qu'apprécie Aldric. Aider quelqu'un, pas de soucis. Même quand c'est la fille qui l'énerve juste à sa seule présence. Mais passer la nuit dans un placard avec peu de place pour bouger avec cette même fille. Il essaye d'ouvrir la porte encore et toujours. Préférant mettre une distance entre eux deux. Le pauvre risquait de perdre la tête. Pas de baguette pour sortir de la pièce et la chaleur qui commençait à monter petit à petit. Essayant de faire abstraction que la fille qui l'obsède depuis deux ans se trouve là, il enlève sa chemise et la laisse glisser sur le sol à ses pieds, tout en lui disant que c'était pas ce qu'elle pensait. Je me doute bien que c’est pas ce que je crois. Je ne crois rien du tout d’ailleurs !

Aldric se tourne vers elle, les yeux écarquillés, prêt à lui demander si elle croyait en quelque chose. Mais il se tût. Elle risquait de lui dire qu'elle croyait que les gryffondors étaient stupides ou un truc ainsi. Et ils se seraient encore disputés juste car ça les amusaient de se chamailler. Non? Enfin, c'est ce qu'il pensait en tout cas. Et je retire ce que je veux, quand je veux. Elle enlève quand même son gilet. Et lui, tourne sa tête rougissant lègérement. C'était juste la chaleur de la pièce. Absolument pas le fait qu'elle porte un débardeur blanc qui ne cachait plus ses épaules. Il dû fermer les yeux pour ne pas aller la rejoindre directement et poser son bras autour des épaules de la verte et argent. Heureusement, qu'elle a toujours le chic pour le ramener sur terre. Tu crois que je me baladais ici par plaisir ? Je ne suis pas fatiguée. Je n’arrive pas à dormir. Et maintenant, je vais lire la fin de….

Toujours debout Aldric, essaye encore une fois d'ouvrir la porte tout en haussant les épaules. Tu sais, je m'en moque de ce que tu faisais dans les couloirs. Tu aurais pu revenir d'un rancard avec le concierge, c'est la même chose. Il se retourne vers elle, avant de se laisser tomber à ses côtés. Il penche légèrement sa tête pour lire le titre et sourit. Tu voulais trouver un endroit pour le lire sans que ceux de ta maison le voit? Avant de se reprendre, car il risquait de lui proposer de lui trouver une pièce où elle pourrait lire à son aise. Seulement, ils n'étaient pas amis. On peut trouver autre chose à faire tu sais. Une fille, un garçon, dans une pièce enfermé à l'intérieur. Ca ne te donne pas des idées? Bien entendu, il rigole. Jamais il lui viendrait à l'esprit de... Juste à penser à ça pourtant, il, il... Sa tête est tournée vers Irélia, un sourire, un vrai, un chaleureux sur ses lèvres. Alors?


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MessageSujet: Re: ... Insomnie, quand tu nous tiens... [Aldric-Irélia]  ... Insomnie, quand tu nous tiens... [Aldric-Irélia] Empty
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