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 Le paradis, à n'en pas douter, n'est qu'une immense bibliothèque. || with Elisabeth Rowle

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Le paradis, à n'en pas douter, n'est qu'une immense bibliothèque. || with Elisabeth Rowle Empty
MessageSujet: Le paradis, à n'en pas douter, n'est qu'une immense bibliothèque. || with Elisabeth Rowle  Le paradis, à n'en pas douter, n'est qu'une immense bibliothèque. || with Elisabeth Rowle EmptyDim 29 Jan - 15:25
Les cours venaient de se terminer, la jeune blonde habillée dans sa robe de sorcière avait bien travaillé aujourd'hui, comme tous les jours d'ailleurs. Les études étaient une chose importante pour elle et elle ne remettait jamais ce qu'elle pouvait faire le jour même au lendemain. Elle ne travaillait pas non plus comme une acharnée, il ne faut pas croire, elle était dans la partie de sa classe à avoir plus que la moyenne sans y mettre trop d'effort, et même si elle voulait, elle aurait pu être une des meilleures, mais cela ne lui intéressait vraiment pas. 


Fatigué de sa longue journée, Pansy se mit à marcher dans les couloirs, pendant que tout le monde se dirigeaient vers leurs dortoirs pour pouvoir y poser leurs affaires de cours et ensuite pouvoir se rassasier dans la grande salle avec le buffet. Bien sûr, la blonde ne ferait pas cela, elle profiterait de la bibliothèque t'en que personne n'y était présent ou alors avec peu de monde, car arriver la fin du repas tout le monde viendrait étudier. Et oui, c'était cela la période d'examen. 



La blonde avait pris la décision depuis bien longtemps de ne plus travailler dans ce lieu, non parce que finalement, elle n'arrivait pas à se concentrer avec tout ce monde, et puis la serpentarde n'appréciait pas vraiment réviser avec quelqu'un à côté d'elle, elle aimait sa solitude vu que c'était elle qui l'avait engendré. Par habitude, elle travaillait donc ses cours sur son bureau dans son dortoir, ou dans la salle commune quand elle était vide donc tard le soir. 



Ne pas étudier à la bibliothèque ne voulait pas dire ne pas y aller, au contraire ! La blonde en profitait pour s'instruire, surtout sur ses deux sujets favoris. Poussant les portes de ce lieu à l'odeur particulière, Pansy fit un hochement de tête pour saluer la bibliothécaire sans ouvrir la bouche, comme tous les jours. 
La jeune étudiante se dirigea alors vers un rayon en particulier, celui de l'astronomie, puis passant son doigt sur les différentes tranches de bouquin, elle finit par trouver celui qu'elle voulait lire aujourd'hui. 



Son livre sous le bras, Pansy se dirigea vers le coin le plus reculé de la grande salle remplie de livre. C'était une habitude, personne ne venait près de se petit recoin en règle générale et comme cela, la blonde pouvait lire tranquillement. Elle s'assit donc sur une chaise et mit son ouvrage sur la table puis commença à le lire. On pouvait voir le regard de la blonde changeait, il s'était illuminé d'émerveillement comme si on venait de donner un bonbon à un enfant, on aurait pu voir une aura apaisante autour de la blonde, mais malheureusement, elle était tellement solitaire que personne ne pouvait la remarquer.
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Le paradis, à n'en pas douter, n'est qu'une immense bibliothèque. || with Elisabeth Rowle Empty
MessageSujet: Re: Le paradis, à n'en pas douter, n'est qu'une immense bibliothèque. || with Elisabeth Rowle  Le paradis, à n'en pas douter, n'est qu'une immense bibliothèque. || with Elisabeth Rowle EmptyDim 29 Jan - 19:20
L’heure du couvre-feu venait tout juste d’arriver, et une des missions qu’avaient les gardiens quand l’heure fatidique du couvre-feu tombait, était de s’assurer que tous les élèves se trouvaient bien tranquillement et en sécurité dans leurs dortoirs respectifs, et si ce n’est pas le cas, de ramener tous ceux qui essaieraient d’enfreindre de façon complètement débile le règlement, bien sagement dans leurs lits, en les menaçant d’en parler à un professeurs qui pouvaient donner des retenues à ces petits garnements.
 
Elisabeth était donc dans les couloirs de Poudlard à recherche un quelconque élève essayant de se cacher pour ne pas se faire repérer. Mais il semblerait que les élèves soient plutôt sages, car elle ne rencontra personne. En tout cas, jusqu’à maintenant… Rappelons que l’Ecole de Sorcellerie et de Magie Poudlard était une très grande école, qui se situait dans un magnifique vieux château, et qu’en faire le tour, ce n’était pas une simple question de trois minutes. Surtout que ce lieu magique renfermait des passages dont une bonne centaine de personnes en ignoraient l’existence. Même le vieil homme un peu loufoque qui leur servait de directeur, avouait ne pas connaître tous les secrets de cette école, et pourtant cela faisait un moment qu’il y vivait. Etait-il seulement possible d’en connaître un jour tous les secrets ?
 
Elisabeth n’eut pas le temps de répondre à cette question qu’elle s’était posée dans sa tête. Elle venait de passer devant les grandes portes en bois de la bibliothèque et elle voyait de la lumière. Soit, la bibliothécaire se trouvait encore dans son lieu de travail, mais cela l’étonnerait, elle n’était pas vraiment du genre à faire des heures supplémentaires, soit, elle avait oublié d’éteindre les bougies du château, mais là encore la jeune gardienne n’y croyait pas, car Madame Pince protégeait ses livres comme une mère protégerait ses enfants, et des bougies sans surveillance pourraient très facilement créer un incendie. Et il est connu de tous que les livres détestent le feu. Alors, c’était soit un élève qui se trouvait dans cette bibliothèque, soit pire, un Mangemort par exemple.
 
Elisabeth sortit sa baguette, durant sa formation d’Auror on lui avait répété qu’on n’était jamais trop prudent, et elle rentra discrètement dans la bibliothèque. Au premier abord, il ne semblait s’y trouver personne. Mais bon, là encore, il en fallait jamais se fier aux premières apparences. Elle rentra donc encore un peu plus dans la pièce remplie de livres, quand elle vit dans une table, dans un coin de la salle, Pansy en train de lire. La jeune gardienne garda sa baguette. Qu’est-ce qui lui disait que c’était une élève et non un Mangemort métamorphomage ou sous Polynectar ?
 
Elle s’approcha discrètement de la jeune fille, et une fois arrivée à sa hauteur, elle commença à parler :
 
Miss Parkinson, votre livre est si intéressant que vous ne voyez pas l’heure passer ?
 

Elle avait parlé d’une voix neutre, ni douce, mais ni froide, la voix qu’elle arborait d’habitude.
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MessageSujet: Re: Le paradis, à n'en pas douter, n'est qu'une immense bibliothèque. || with Elisabeth Rowle  Le paradis, à n'en pas douter, n'est qu'une immense bibliothèque. || with Elisabeth Rowle EmptyJeu 9 Mar - 0:06
Pansy était de ce genre de personne à ne pas voir le temps passer quand elle était dans sa lecture, surtout quand c'était une lecture tardive, car la blonde profitait un maximum de la bibliothèque pour pouvoir se coucher tard, d'ailleurs la bibliothécaire avait finit par le comprendre et n'essayant pas de sortir la blonde par tous les moyens, les personnes chargés de faire des rondes s'en chargeait souvent pour elle, pouvant laisser un peu plus de temps à la serpentarde. 

Aujourd'hui, c'était un livre sur l'astronomie, c'était d'ailleurs souvent des bouquins sur l'astronomie qu'elle emprunter ou alors sur les dessins, sur les photos, tout ce qui était un temps soit peu artistique intéressait Pansy. 

Plongé dans son livre depuis des heures, elle n'entendit malheureument pas Madame Rowle rentrer dans la bibliothèque. C'est seulement quand elle entendit une voix lui parler qu'elle comprit facilement que son moment de répit et de vagabondage était terminé, ou alors elle ressortirait de son dortoir comme à son habitude pour aller vers la tour d'astronomie, elle ferait d'ailleurs surement ça.

La blonde ferma alors son livre, releva la tête puis parla de sa voix douce et basse. "Veuillez m'excuser Madame, je n'ai pas vu l'heure passer, vous savez, les lumières étant toujours allumé et on ne m'a pas prévenue que le couvre-feu allait bientôt s'approcher, alors je suis resté ici à lire.

Elle savait pertinemment que le couvre-feu était déjà passé, mais la blonde ne le respectait jamais, elle ne ferait pas d'exception ce soir.
La blonde remarqua alors la baguette de la personne devant elle, était-ce vraiment Madame Rowle ? Un mangemort peut être ? Ou alors c'était elle qu'on prenait pour un mangemort ? 
"Vous pouvez baisser votre baguette s'il vous plaît ? Je ne me sens pas en sécurité, vous armez et moi avec un livre entre les mains."
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MessageSujet: Re: Le paradis, à n'en pas douter, n'est qu'une immense bibliothèque. || with Elisabeth Rowle  Le paradis, à n'en pas douter, n'est qu'une immense bibliothèque. || with Elisabeth Rowle Empty
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