Please do not hurt them, even if they deserve it
Elliot & Ian
Courir, courir et, encore courir, ce matin c’était mon occupation principale, alors que j’étais sorti de ma salle commune, pour me rendre dans la grande salle, pour prendre mon petit-déjeuner, j’étais malencontreusement entré en collision avec un groupe d’élève de la maison de Serpentard, des plus grand que moi, certainement en quatrième année. Sans plus attendre, je m’étais confondu en excuses, mais il semblerait que pour ses brutes, ce n’était pas suffisant. Et alors qu’ils avaient décidé de me faire passer un sale quart d’heure, je réussis tant bien que mal à m’échapper de leur emprise et, c’est ainsi que ma journée de courses se mit en route.
Sans vraiment savoir quelle direction, je prenais, je courais dans les couloirs, évitant parfois de justesse, les élèves qui se trouvaient sur mon chemin, lançant des excuses rapides à ceux que par mégarde, je bousculais, jetant de temps en temps des regard dans mon dos, mes bourreau, semblant ne pas vouloir me lâcher était rapide et, ne me lâchais pas d’une semelle, me suivant à la trace comme une bouse collée aux fesses d’un sombral. Dans certains des couloirs, je passais devant bon nombre de tableau dont j’avais l’habitude de parler avec, leur lançant un bonjour rapide et m’excusant au passage de ne pas pouvoir rester, certains essayèrent d’arrêter mes poursuivants en leur lançant des menaces, mais rien n’y faisait, il continuait de me poursuivre.
Merlin il vont pas me lâcher ceux la … Pourquoi, c’est toujours sur moi que ça tombe ?
Je continuais ma course dans les couloirs, tournant le plus souvent possible, changeant de direction de façon imprévisible essayant de les semer, quand soudain, la collision fut rude, je tombais a la renverse et alors que je relevais les yeux vers la personne dans qui j’étais rentré, je vis mon frère, Elliot. Je laissais échapper un soupir de soulagement, avant d’entendre le bruit de mes poursuivants s’approcher rapidement. J’attrapais alors mon frère par le bras, d’un air paniqué et, le tirais dans le placard à balais devant nous, avant de refermer la porte et de m’appuyer dessus, me laissant tomber assis. Je relevais alors le regard vers mon frère, lui faisait un petit sourire.
Elliot ! Tu peu pas savoir comme je suis content de te voir !
Dans le couloir, je pouvais entendre les autres continuer à chercher après moi, se disant que je devais être caché dans l’une des classe ou l’un des placard se trouvant dans le coin et qu’il fallait chercher, que lorsqu’il m’aurait trouvé, il me ferait regretter de les avoir fait transpirer. Mon cœur battait la chamade, mais heureusement pour moi et, malheureusement pour eux, je n’étais plus tout seul. Je posais alors une fois de plus mon regard sur Elliot et lui dit.
Ils sont coriaces dans ta maison…