Drago L. Malefoy . Toutes les passions ne sont autre chose que les divers degrés de la chaleur, et de la froideur, du sang

Bonjour, Bonsoir,

Je me présente, je m'appelle Drago Lucius Malefoy what else, le beau, le magnifique le parfait fils de Narcissa Black épouse Malefoy et de Lucius Malefoy, à nous trois, nous formons une famille de Sang-Pur dont le seul enfant est moi-même, je suis née un beau matin d'été le cinq juin mille neuf cent quatre-vingts pour être exact. Et depuis mon plus jeune âge, je voue un véritable culte à mes deux parents, ne remettant jamais en cause leur jugement, méthode ou choix me concernant. Je pense qu'ils veulent me voir réussir, dans une société des plus critiques et des plus froides, alors ils m'ont forgé à l'image de mon paternel, froid, manipulateur, vaniteux, hautain, énervant et piquant son dès adjectif qui me décrivent à merveille, mais beaucoup ne voient pas que derrière tout cela ne se cache pas que des préceptes appris par cœur, je suis avant tout une personne intelligente, qui apprend beaucoup et très rapidement. Mon enfance, c'est dérouler pour le moins normalement mes deux parents passaient du temps à m'éduquer aussi bien sûr ma magie que sur les coutumes des Sang-Pur, j'avais même le droit à un précepteur le meilleur de la région qui venait chaque jour me faire la classe. J'ai aussi pu avoir le droit à des leçons de Quidditch pour savoir jouer dès mon plus jeune âge. J'étais heureux dans ma vie et dans ma famille, même si je n'avais pas le droit d'être faible, d'échouer, je n'avais le droit à de la tendresse, j'étais dans un magnifique manoir, avec une famille et assez d'argent pour avoir ce que je voulais, je n'étais donc pas à plaindre. Et pourtant mon estime de moi même chuta d'un seul coup quand j'entra dans le monde réel et ou on me rabaissa, critiqua je n'était plus l'enfant parfait choyé par ses parents j'étais pour la première fois que dans la société il faut s'adapter aux autres et non attendre qu'eux s'adapte à nous. Surtout qu'au dehors de mon manoir tout le monde n'était pas en accord avec les principes de mon père qui me permettait d'être bien vu dans la haute société et non pas par les autres, la majorité d'ailleurs. N'allez pas croire que je suis pour autant devenu un gentil petit garçon non loin de là.


À mon arrivé à Poudlard mon caractère m'a valu le droit de me faire mes premiers ennemis, Harry Potter et Ronald Weasley, la faute de se foutue roux qui avait ramener sa fraise lors de ma tentative d'amitié avec le héros national. Père n'était pas contente de moi, mais j'avais décidé de mener la vie dure à ses deux loosers qui n'avait pas voulu de moi comme amis. Pour Granger c'était différent pas d'animosité entre nous contrairement à ce que pensaient tous les autres, cette fille était mon amie, bien que je ne le dise jamais à voix haute. Il faut bien préserver les apparences et surtout ma réputation personnelle. Un jour, le Seigneur noir revint à la vie, et là pour moi tout changea, mon père ne pensait plus à moi, mais à son maître, je n'étais plus son fils, mais un moyen de se faire bien voir quitte à sacrifier sa chair et son sang. Sur les ordres du Seigneur des Ténèbres, je fus marqué comme du bétail près à être sacrifié à l'abattoir, j'appartenais à vie à cette horrible face de Serpents et je devais désormais suivre ses ordres sans rechigner. Malheureusement pour lui, je ne suis ni un tueur, ni un fou pro sang-pur, j'ai donc échoué par deux fois, ne tuant pas Dumbledore et laissant le mérité de la chose à mon parrain Severus Rogue et ne voulant pas dénoncer Potter lorsque celui-ci s'était fait attraper par des rafleur. Je ne voulais pas faire partie des méchants de l'histoire, j'étais bien trop lâche pour tuer, et bien trop peureux pour me rebeller alors je suis resté là sans rien faire...


Mais ma vie à encore basculer quand après un sort, je me suis retrouvé moi aussi propulser dans le passée, près de mes parents encore jeune qui ne doivent pas savoir qu'ils ont eu un fils ensemble, qu'ils ont fait de très mauvais choix et que leur vie n'est pas aussi belle qu'ils ne le croient... Finalement, j'aurais mieux fait de ne jamais grandir. Ainsi je n'aurais pas vu, pas compris la noirceur du monde, m'a propre noirceur puissante et étouffante qui m'empêche de m'améliorer, qui m'oblige à toujours rajouté une parole blessante, méchante, piquante pour rester dans le droit chemin établis par mon père. Le changement n'est pas une chose facile certes mais c'est encore plus difficile quand notre nature profonde se rebelle contre se changement.