Daphné ♦ Donne-moi ton cœur baby, ton corps baby

Caleb & Daphné
Donne-moi ton cœur baby, ton corps baby

Aujourd'hui Caleb était sur un gros coup, devant lui une bonasse qu'il travaillait depuis deux heures déjà, c'était qu'elle était lente celle là et elle avait refusé de faire ça dans une petite ruelle que lui savait calme et déserte. Il était donc obliger de la suivre pour acheter des bonbons, par le caleçon de merlin si elle n'avait pas un si beau cul il ne l'aurait pas suffit mais là il avait vraiment enfin de la serrer dans un coin peut-être que si il la bourrait de sucre il pourrait plus facilement s'occuper d'elle par la suite. Alors il avait grogner un peu mais en traînant des pieds il lui avait suivis jusqu'à Honeydukes ou personne à part eux et le vendeur ne se trouvait, pouvait-il la pousser dans les sucreries et l'embrasser à en perdre haleine ? Lui le pouvait pas sur que le gérant et la grognasse apprécierait, quand même elle préférait acheter des trucs qui allait faire doubler son cul de volume plutôt que de le laisser la prendre contre un mur cette fille devait être stupide mais elle était bonne cela pouvait donc lui être pardonner pour le moment mais si elle ne se laissait pas plus aller il la laisserait seule au village pour aller chercher une fille qui serait plus ouverte, et qui ouvrirait ses cuisses en moins de cinq minutes la patience ce n'était décidément pas le truc de Cab qui était à la limite de l’ébullition.

Quand sa greluche de compagnie eut fini ses achats elle osa lui dire qu'elle voulait maintenant aller voir les robes de sorcières, non mais elle le prenait pour le père noël elle ou quoi lui voulait juste tirer son coup pas faire le toutou derrière elle pendant qu'elle faisait le tour de toute les boutiques du village. Il avait tirer le mauvais numéro en choisissant cette fille avant de partir du château. Bordel il n'avait pas de chance, dégoûte et énervé il laissa sa pouf en plan en lui lançant une phrase typique de lui tout en vulgarité. - Tain moi je suis juste là pour ton boule, alors sois tu me laisse te ramoner sois tu te tire.
Il n'allais pas se laisser mener par le bout du nez, c'était lui qui avait le pouvoir pas la fille jamais et cela n'allais pas changer aujourd'hui. Vexée la fille quitta la boutique le laissant seul, et perdu il ne savait pas quoi faire du coup il n'avait pas prévu de plan b pour cette sortie, il devait donc réfléchir à toute vitesse pour ne pas passer la journée tout seul comme un con à cause de cette coincée du bulbe.

Il pris un peu de temps pour s'acheter deux trois sucreries il avait beau faire attention à son corps il n'était quand même pas dans le délire de ce privé de tout ce qui était sucré et gras. Peut-être qu'une nouvelle bombe allait venir ici faire quelque achat, ou alors devait-il allait rejoindre son pote Tib ? Hum ou chercher une fille facile au Trois balais ? Non il ne savait pas et ne pas savoir quoi faire l'énervait encore plus que de ne pas avoir réussis à avoir une nouvelle fille à son tableau de chasse. Mauvaise journée pour lui. Ne sachant pas quoi faire il sortit fumer une clope devant la boutique. Fumer ça aidait toujours.

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En ouvrant sa malle ce jour-là, la jolie Daphné a une petite moue dépitée en remarquant que son petit coffret à gourmandise est vide. Poussant un soupir, la jeune femme prend un peu d'argent en se disant qu'elle va devoir se rendre à Honeyduke, dans le village de Pré-au-Lard pour refaire quelques emplettes en vu de refaire les stocks. La sorcière quitte donc son dortoir afin de remonter les cachots pour gagner le hall d'entrée de la bâtisse. Elle s'arrête quelques minutes pour bavarder avec quelques amis, puis elle se dirige vers la sortie et traverse le parc pour gagner le portail afin de sortir. A la hâte, la sorcière marche vers le village en resserrant frileusement son manteau sur ses épaules. Elle presse l'allure, ayant hâte de pouvoir se mettre au chaud dans la boutique.

Le village de Pré-au-Lard est comme d'ordinaire pas mal fréquenté en cette journée par un lot d'étudiants en quête d'amusement et de boissons, de jeu, d'oubli. Daphné a un sourire devant les premières années qui ont l'air de vraiment s'amuser en courant dans les rues et la jeune femme poursuit sa route dans les ruelles de la ville pour gagner la confiserie. Elle croise sur sa route une jeune femme à l'air contrarié, qui sort d'une rencontre avec Caleb, ce que la brune ignore. Elle entre dans la boutique inconsciente que le sorcier y est aussi et fait ses petits achats en prenant surtout des plumes au sucre et des chocogrenouilles.

L'attente est longue afin de pouvoir payer mais enfin la jeune femme peut sortir de la bâtisse, tombant alors nez-à-nez avec Caleb Carlton, un vert et argent lui aussi, que la sorcière n'apprécie pas comme elle se souvient vaguement avoir eut un soucis avec lui. Il avait mit un truc dans son verre une fois et elle avait finit la soirée complètement morte, dans les bras de l'ami Poufsouffle du sorcier, c'est à dire Tibus Tagel. Depuis, partageant pourtant la même salle commune, ils n'avaient pas eut l'occasion d'en reparler, ou plutôt de se disputer à ce sujet. Mais en le voyant là, tout seul, sans son ami Poufsouffle à ses côtés, Daphné se dit que c'est peut-être le bon moment d'avoir une petite discussion avec le sorcier. En guise de discussion, la sorcière se dirige vers le serpentard et lui colle une gifle magistrale dans la face, furieusement, avant de le dévisager d'un air plein de colère.

"- Pardon, je n'avais pas encore eut le temps de te remercier pour la fantastique nuit d'amour que tu m'a offert avec ton amis Tagel. Tu sais, quand tu as mis je ne sais quoi dans mon verre, Carlton !" rugit la sorcière en le regardant l'homme qui lui fait face. "Alors je répare ma bêtise, je te remercie platement pour cette nuit magnifique !" dit-elle d'un ton sentant l'ironie, avant de se détourner pour partir, elle n'a pas envie d'entendre des excuses - il n'en fera de toute façon pas - à ce sujet.

Caleb & Daphné
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Il était donc resté comme un con dans la boutique de sucreries et il en avait profité pour remplir à un peu sa réserve de bonbon, il en aurait surement besoin pour reprendre sa recherche d'une fille à sauter dans la journée. La première était partie, elle voulait juste de la compagnie pour la journée, mais lui n'était pas là pour la suivre dans toutes les boutiques du village, il avait déjà fait l'effort de la suivre jusqu'ici après qu'elle l'est repoussée une première fois, il n'allait pas en supporter une deuxième. Il avait donc pris le temps d'acheter des friandises pour savoir où il allait chasser après soit il retournait à Poudlard sois, il faisait le tour du village sorcier pour trouver une fille seule sur laquelle il pourrait sauter en deux minutes et demi-maximum.

Cependant, Merlin sembla être contre lui, car quand il quitta la boutique, il tomba sur Daphné qui sortait elle aussi du magasin de bonbon, maudit qu'il était aujourd'hui. La jeune fille était bonne, mais elle était surement en colère contre lui pour l'histoire du verre, il n'avait rien fait de mal vu que ce n'était pas lui qui avait profité de la Serpentarde mais son copain Tib, et il allait encore tout prendre dans la face, c'était sûr, il suffisait de voir son regard pour le comprendre. Bordel, il était mal barré aujourd'hui, sans doute aurait-il dû rester au lit à dormir toute la journée pour laisser passer le mauvais jour et reprendre sa vie comme si de rien n'était, mais non, il avait voulu sauter la bonasse qui l'avait planté là. Et maintenant, il avait une autre bonasse sous les yeux et celle-ci lui colla une claque en plein visage ce qui suffit à énerver le brun, il était normalement gentil avec les filles, vulgaire et brusque, mais pas méchant, mais il ne supportait pas la violence surtout qu'il ne pouvait pas se mettre à taper sur une femme, c'était hors de question et cela le foutait en rogne.

Il ne réagit donc pas tout de suite pour ne pas laisser exploser sa colère. Il l'écouta utiliser une sorte d'humour noir ironique pour lui faire passer sa colère, mais il n'avait pas fait tant que cela, il n'avait mis qu'une drogue douce dans son verre pour qu'elle soit un peu dans les vapes, ce n'était pas lui qui l'avait baisé ensuite alors elle ne pouvait pas venir lui faire une scène comme cela en plein public. Pour quoi allait-il passer à cause de cette furie. Surtout qu'elle ne semblait pas vouloir lui laisser l'occasion de placer un seul mot, car après ses tirades assassine et lui tourna le dos comme pour partir. Il lui attrapa donc le poignet pour la retenir hors de question pour lui de ne rien dire. " Pour commencer la prochaine fois que tu me frappes femme ou pas, tu t'en manges une danse la face, pas besoin d'utiliser la violence pour ce faire comprendre, c'est une technique de faible" Oui, il était totalement contre la violence physique et morale, ce n'était pas pour lui et il refusait d'en être la victime. " Ce n'est pas non plus ma faute si mon pote n'a pas réussi à te contenter, mais je n'ai pas si mal agit que cela, j'aurais pu te baiser et te laisser ensuite avec lui je ne l'aie pas fait. J'ai juste aidé un pote, c'est un truc normal d'aider ses amis même pour ce genre de chose. Je ne suis pas un gentil, je suis un Serpentard, je ruse, j'agis dans le dos dès autres et cela ne devrait pas t'étonner, tu es peut-être bonne, mais j'espère que tu n'es pas stupide. Tu veux quoi que je te dise que je suis désolé pour toi ? Je ne le suis pas et je ne suis pas un menteur en plus de cela. Tib c'est Tib si il me demande de lui kidnapper une fille pour la sauter, je lui rapporte la fille point à la ligne"

Caleb ne savait pas pourquoi il prenait autant de temps à se justifier, elle n'était pas son amie, c'était juste une fille qui avait débarqué au début d'année et qui était bonasse, mais qu'il n'avait pas pu encore sauter et qui n'allait pas écarter ses jolies cuisses facilement à cause de cette histoire.

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TW v*ol Daphné commence à partir comme d’après elle tout est dit, qu’elle n’a rien à ajouter. Elle se sent trop furieuse envers le sorcier, à vrai dire, pour rester d’avantage en sa présence et il l’horripile, en étant simplement trop près d’elle. Elle a envie de le fusiller du regard, envie de le frapper encore, de lui dire à quel point il est abject. La colère qui l’a envahie… La jeune femme préfère ne pas laisser libre-court à cette dernière parce que cela pourrait devenir explosif. Oh oui on lui a apprit la décence, la retenue et toutes ces qualités qu’une femme est sensé avoir, afficher. Mais elle a été… utilisée, bafouée, souillée. Qu’elle se donne est une chose, mais que l’on fasse ce que le duo a fait… Et Caleb est responsable, autant que Tibus, malgré ce qu’il semble pouvoir dire. Il est celui qui a piégé le verre, c’est cinquante pourcent du crime aux yeux de la verte et argent et le fait d’être un serpent ne justifie pas, aux yeux de celle-ci, un tel comportement. Elle le regarde avec colère.

Sauf que l’homme ne l’entends pas de cette oreille et que la jeune femme se retrouve avec le poignet attrapée. Il ne devrait pas trop jouer à ce jeux-là. Il ne devrait pas s’amuser avec cela. Il devrait simplement fermer sa gueule, parce qu’il a eut tord. La jeune femme ne lui demande pas d’excuses après tout. Simplement qu’il se taise, qu’il ne cherche pas à lui donner une justification aussi fumeuse qu’inutile. C’est juste bon pour qu’elle tente de se donner bonne conscience, mais pas plus. Qu’il le garde donc pour lui, la brune n’en a rien à faire. Il ne devrait pas non plus la menacer. Sait-il qu’elle a une baguette ? Qu’elle est membre d’une importante communauté de sorciers relativement… forts ? Qu’elle s’est déjà battu et qu’elle a déjà tué pour sa vie, pour cette de sa sœur, pour le bien ? Oh elle ne le tuerai pas, probablement pas en tout cas. Mais il ne faudrait pas, non plus, la prendre pour un agneau délicat.

«- Je ne parle pas de savoir si j’ai aimé ou pas, je ne parle pas non plus des prouesses de Tibus sous une couette, pauvre tâche ! Je te parle pas non plus de la loyauté envers un pote, c’est bien joli tout ça. Mais ça n’empêche pas que ce que vous avez fait c’est grave. C’est grave bordel et vous êtes trop cons, aveugles, pour vous en rendre compte, en plus de ça ! J’ai beau avoir des amis, je ne les aide pas, par des moyens fumeux, à violer une fille. Parce que c’est ce que vous avez fait ! Je n’étais pas consciente de ce qui se passait à cause de ta drogue ! Que tu m’aie touché ou pas, un jury dirait que tu es coupable, Carlton. Et je te laisse imaginer deux secondes la réaction de sang-purs s’ils savaient que vous en avez drogué une pour faire… vos petites affaires. Je ne te demande pas d’excuses, je ne te demande même pas de parler. Je veux juste que tu ferme ta gueule en fait, et que tu te souvienne que dans la vie il y a des limites à ne pas dépasser, qu’on ne kidnappe pas des gens pour son pote, qu’on ne les drogue pas pour les contraindre à des rapports. Parce que c’est illégal. Et passible d’années à Azkabhan, au cas où cela t’aurait échappé."

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Caleb ne pouvait pas accepter qu'une fille lui parle de la sorte qu'elle vienne lui hurler cela au visage, elle pouvait bien crier et hurler qu'il méritait d'aller en prison il n'en n'avait rien à faire, il ne voulait pas l'écouter et si elle ne voulait pas qu'il parle, elle n'avait cas fermer sa propre gueule et promener son cul de prude loin de lui. Si elle voulait qu'il aille en prison qu'elle aille voir son fameux jury et qu'elle en parle rien ne l'attendait après Poudlard il pouvait aussi bien aller en prison pour ce qu'il en avait à faire elle pouvait le menacer pendant mille ans lui cela ne l'atteignait pas il ne l'avait pas violé, il ne l'avait pas touché et il lui faudrait la pauvre que c'était lui qui avait mis quelque chose dans son verre parce que déjà il aimerait bien qu'elle lui dise pourquoi c'était lui qu'elle était venue trouver parce qu'elle avait fini la nuit avec Tib surement et qu'il été toujours associé ensemble. Mais elle hurlait sans avoir de preuve que cela soit lui qui avait mis quelque chose de grave dans son verre après tout, il n'avait pas utilisé une réelle drogue juste un produit vendu dans une boutique de farce et attrape, ce n'était pas censé avoir cet effet-là, normalement, elle aurait dû être déboussolée pendant dix minutes pas être totalement à l'ouest pendant plusieurs heures ce n'était pas prévu au programme, mais elle ne le laissait pas s'expliquer.

Il la regardait s'exciter et s'énerver sur lui alors qu'il tentait de carder son calme. Parce qu'il avait tout de même reçu une éducation qu'il lui avait appris à ne pas se mettre en colère contre les femmes, il devait les respecter normalement. Il ne le faisait pas vraiment au niveau sexuel parce qu'il voulait profiter de sa jeunesse et ne pas se prendre la tête et cette fois Daphné la gonflait vraiment. Sinon il allait perdre le contrôle de ses nerfs et là, elle pourrait se plaindre de son comportement pour une bonne raison, il avait beau être cool et sympa, il ne fallait pas pousser le bouchon trop loin, il n'était pas un foutu blaireau qui allait fermer sa bouche et se laisser faire pour le bond plaisir de madame, je me prends pour une princesse. Il devait la remettre à sa place et plus vite que cela. " Mais ferme, ta propre gueule si tu ne veux pas que je te réponde putain. Tu te prends pour la reine du monde en proférant tes menaces débiles, mais si tu veux que j'aille en prison va donc en parler aux aurors vas-y ramène ton cul là-bas et dit leur que je paye mon vilain crime. J'en ai putain de rien à foutre d'aller ou non en prison, je vis moi et tu devrais apprendre à la faire. Il ne devait rien avoir de grave avec ce que je t'avais versé, tu devais juste être déboussolé pendant dix putains de minutes par être stone. Je ne t'ai pas drogué débile, c'était une farce et attrape disponible à Zonko, alors, ne menace pas les gens sans demander d'explication avant parce que cela te rend stupide. On se fiche bien d'être sang pur né moldu ou sang-mêlé bordel de merde pourquoi le sang revient-il partout. J'aurais mille fois préféré être un moldu que d'être un putain de sang-pur alors dit ce que tu veux à qui tu veux, mais arrête de me hurler dessus"

Il était à bout oui, parce qu'il avait l'impression d'être devant son père qui lui récitait tout ce qu'un bon sang-pur ferait ou ne ferait pas, mais lui s'en fichait comme de sa première fois de bien faire ou de mal faire, il voulait vivre et quand on vivait à fond, on ne pouvait pas empêcher des erreurs d'arriver, oui sans doute n'aurait-il pas dû s'amuser à mettre la potion dans le verre de la jeune femme s'en l'avoir testé avant, mais elle n'était pas morte ce n'était pas si grave que cela à ses yeux. Elle en rajoutait beaucoup trop à son goût.

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La jeune femme soupire. Mais ce qu'il peut agacer la verte et argent celui-là ! Pour qui la prend-il au juste ? Si son but était de porter plainte contre lui alors ce serait déjà fait et depuis un moment, elle n'aurait pas eut besoin de s'occuper de le prévenir. Non parce que le magenmagot l'aurait fait pour elle. La sorcière le fusille du regard. Si elle a évoqué les sangs-purs et la réaction potentielle de ces derniers ce n'est que pour le faire réagir. Pas parce qu'elle apporte beaucoup de crédit aux pensées de ces derniers même si ses parents lui ont inculqué la suprématie du sang. Mais elle se fiche de cela.

Par Merlin la voilà obligée de se mordre la lèvre inférieure comme il ouvre la bouche et ne l'agace qu'un peu plus. Ne comprend-t-il pas celui-ci que la sorcière se fiche bien de l'entendre se justifier. Ce n'est pas ce qu'elle veux non. Ce que la brune souhaite c'est qu'il prenne conscience de sa bêtise, de son erreur. Elle veut que le sorcier comprenne qu'il y a des limites à ne pas dépasser dans la vie. Elle veut que le serpentard malgré son appartenance à la maison des fourbes comprenne que certaines choses ne se font tout simplement pas. On ne drogue pas une personne. Point.

"- Et bien ce n'est pas l'effet que ça a eut." dit-elle dans cacher une certaine amertume avant de poser son regard sur lui. "Tu avais bien lu les contre-indications je suppose ? Tu avais par exemple demandé au vendeur s'il y avait des risques à mélanger cette préparation avec des alcools ?" demande la jeune femme sceptique.

Ils commencent à ennuyer la brune, tout les deux, à force de se renvoyer la balle de l'un à l'autre sans accorder leurs violons et le pire dans tout cela c'est qu'ils ne se rendent même pas compte de la gravité de leur geste. C'est tout de même incroyable. Ils ne se rendent pas compte que ce n'est ni plus ni moins qu'un viol. Que même si elle "n'en est pas morte" ça reste un geste grave. Un geste qu'ils ne doivent pas refaire. Même si la belle ne demande pas tant, cela mériterait bien que tout deux fassent preuves de remords et viennent s'excuser. Mais il ne faut pas trop en demander non plus. Alors non, Daphné ne veut pas que les deux étudiants s’excusent, parce que cela ne changera de toute façon jamais ce qui s’est passé. Pour autant, elle voudrait aussi que ces deux-là comprennent… Quoi au juste ? Elle soupire en regardant Caleb Carlton. Comme si Tibus et Cab étaient capable de comprendre quoi que ce soit. Ces deux-là ne pensent qu’à s’amuser et faire lever les cuisses des filles. Ils ne les respectent pas, se fichent bien de savoir ce qu’elles pensent ou ressentent. Alors pourquoi espérer de leur part qu’ils se rendent compte de quoi que ce soit de mauvais dans leurs actions ? Elle regarde le sorcier et soupire, que dire de plus ? Au milieu de cette rue devant la confiserie, Daphné se sent on ne peut plus démunie. Vide. Et salie, aussi.

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Caleb est clairement saoulé de la moral qu'est en train de lui faire Daphné, pour peu, il avait envie de la planter là devant la boutique et de fuir d'ici, mais ce n'était pas vraiment la chose à faire, car elle lui ferait sa crise à Poudlard et là-bas, il avait trop de greluches prêtent à coucher avec lui pour qu'il la laisse hurler au scandale à cause d'une malheureuse farce qui n'avait pas tourné comme il l'avait prévu. Comme si lui et Tib avait besoin de violer les filles pour pouvoir enfourner leur baguettes magique vraiment, il y avait bien assez de fille aux cuisse ouverte pour ne pas avoir besoin d'aller dans ce genre d'extrême. Et la Greengrass qui lui ressort un couplet sur les sang-pur alors qui lui, il les a en horreur ses foutus snob avec leurs idéaux bidons, leurs principes qui les poussaient à renier leurs enfants si ils ne rentraient pas parfaitement dans le moule.

Il était agacé et en même temps, il ne savait pas quoi dire, pour que tout cela cesse et qu'elle arrête de lui casser les oreilles avec ses histoires qui était du passé maintenant enfin à priori que pour lui, car la brune ne semblait pas être passé à autre chose au vu de ses paroles et de sa colère. Il n'avait vraiment pas besoin de cela aujourd'hui, il voulait juste être au calme avec une belle fille puis la sauter et la renvoyée voir ailleurs, il voulait se faire plaisir, sans réfléchir et sans avoir à beaucoup parler tout partait de travers d'un coup et ce n'était pas du tout au goût du jeune Carlton. Il passa une main dans ses cheveux en entendant les questions de la jeune fille, oui, il avait lu les contre-indications, mais sur le flacon, il ne parlait pas d'alcool juste du fait qu'il ne fallait pas mélanger la potion avec une autre potion et il avait obéi docilement en mettant cela dans son verre, sans doute aurait-il dû demander au vendeur quels étaient les effets de la potion mélangée à de l'alcool, mais il n'avait pas pensé que tout irait aussi loin. Rien de grave n'était censé se passer avec sa blague.

" J'ai lu oui, mais il ne parlait pas de l'alcool, il disait juste de ne pas mélanger le contenu du flacon avec une autre potion et j'ai écouté. Je n'ai pas pensé que cela agira comme ça avec de l'alcool. Rien de grave n'était censé arriver et ce n'était pas censé aller aussi loin, tu ne devais même pas coucher avec Tib, juste raconté des conneries sur un canapé. Bordel ça devait être drôle juste drôle, c'est devenu grave et compliqué parce que Tib n'a rien remarqué et à coucher avec toi" Parce que oui, il n'avait pas voulu ça, mais bon pour lui tout ce qu'il disait n'était pas écouter par la jeune fille qui avait décidé d'en faire le coupable de toute manière. Il n'était pas coupable, lui n'avait prévu que de faire une blague, une stupide blague, mais dans le genre de celle qu'il s'amusait à faire à chaque soirée pour embêter un peu une fille, il n'était pas un violeur ni un méchant, il n'avait pas mérité qu'on lui hurle dessus à cause d'une stupide erreur surtout que la Serpentarde ne voulait pas réellement qu'il s'explique le condamnant dès le début à cause des paroles de Tibus. Celui-là, il penserait à le remercier quand il rentrerait au château et la prochaine fois, il ne lui laisserait pas à la bonasse du coin cela lui apprendra à ouvrir un peu trop sa bouche. " Mais de toute manière, je ne sais même pas pourquoi je t'en parles-tu t'en fiche, tu m'as déjà rangé dans la catégorie du vilain violeur trop méchant" Et cela lui déplaisait grandement, Cab n'était jamais rangé dans la catégorie des méchants, il était le bon copain, le bon coup, le mec populaire et aimé et ne pas l'être était déstabilisant pour lui qui n'avait pas l'habitude d'autant de haine à son égard. Pour peu, elle pourrait sans s'allier avec son père. " Tu devrais aller raconter ça à mon père, il serra ravi de l'apprendre" Paroles que lui seul pouvait comprendre, mais ce n'était pas bien grave.

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Daphné soupire. Là, maintenant, tout de suite, la jeune femme a seulement envie de partir, envie d’être enfin tranquille, de tourner la page sur toute cette sordide histoire. Après tout, elle a dit au sorcier en vert et argent ce qu’elle avait à lui dire, alors pourquoi reste-t-elle plantée là à l’écouter parler, alors que cela ne fait que l’agacer encore un peu plus ? Pourquoi ne peut-elle pas tout simplement faire demi-tour, s’en aller, le planter ici ? Après tout, elle n’a pas besoin de ses explications, pas non plus besoin d’entendre les excuses qu’il veut lui fournir. Alors pourquoi s’attarde-t-elle devant honeyduke ? C’est bon maintenant, elle n’a qu’à tourner les talons. Ah oui, mais non, parce qu’elle pense soudain à quelque chose. Quelque chose de très important.

«- Je t’avertis par contre, Carlton. Si l’un de vous deux, toi ou ton imbécile d’ami, vous touchez à ma sœur, je risque d’être beaucoup moins gentille. Et retenez bien que ce n’est qu’une gosse, elle a quinze ans ok ? » lance la brune en fixant le sorcier d’un regard intransigeant.

Non, on ne touche pas à sa petite sœur, on ne fait pas de mal à Astoria. On ne lui vole pas sa pureté, on ne la drogue pas… En fait on ne pense même pas à elle dans cette situation là, c’est carrément mieux. La jeune femme ne laisserait pas passer. Astoria c’est son tout, l’autre moitié d’elle. Il est hors de question que ces deux garçons fassent couler ses larmes en ne se rendant pas compte de la portée de leur geste ça non. Non, on ne s’en prend pas à Astoria sans subir la colère de Daphné. A la limite, s’ils ne peuvent pas tenir leurs hormones, Daphné veut bien leur payer une fille ou deux du bordel du coin. Mais ils ne touchent pas à Astoria, c’est tout.

«- Et bien la prochaine fois, pense à demander à un vendeur. Parce que… ce n’est pas glorieux. Mais qu’une prochaine fois ça pourrait être bien plus grave que ce qui m’est arrivé à moi. Je sais que… vous passez votre temps à vous amuser tout les deux. Mais vous devriez penser à prendre vos responsabilités, aussi.» dit-elle au sorcier sans relever les propos de ce dernier au sujet de son père.

Qu’elle inconscience, vraiment. Mais il ne faut pas croire que seul Caleb est responsable aux yeux de la jeune femme. Elle est aussi en colère après Tibus, après tout ce dernier n’a rien vu, rien remarqué. Lui, quand il peut tirer son coup, qu’est-ce qui peut bien l’intéresser dans les conséquences après tout ? Pourquoi s’en soucier ? Pourquoi se faire une montagne de ça, ce n’est pas si grave… Bien sûr que non après tout, ce n’est qu’une fille avec qui il a couché sans qu’elle le veuille, sans qu’elle ne tienne à servir de compagne de soirée.

«- Ne crois pas que je te donne tout les tords de ce qui est arrivé ça non ! Crois bien que j’en veux à Tib aussi qui n’a rien vu, probablement trop bourré pour faire attention à quoi que ce soit, ou trop heureux de pouvoir tirer une fille sans avoir à faire d’efforts pour la séduire au préalable. Oh non il n’y a pas qu’à toi que j’en veux, je lui en veux à lui aussi !» assure la brune en le dévisageant. Et puis elle se tait comme il ne lui semble pas nécessaire d’ajouter quoi que ce soit d’autre. Elle n’a plus rien à dire, ils ne vont pas épiloguer cinquante ans sur tout cea, ça ne changerai rien de toute façon à ce qui est arrivé.

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Cab n'en pouvait plus, il avait mal à la tête d'autant parler pour rien, au final cela ne servait à rien, et puis qu'est-ce qu'elle avait d'un coup à parler de sa sœur, comme si il en avait quelque chose à faire de sa sœur. Bordel que les filles pouvaient être compliquées quand elle ouvrait la bouche pour faire autre choses que gémir Merlin n'aurait pas du leur donner l'usage de la parole parce que clairement, elles l'utilisent à très mauvais escient parlé d'une chose passé pour rien, menacé dans le vent, et faire des mises en garde débile quelle perte de temps vraiment. Il soupira passant une nouvelle fois sa main dans ses cheveux, c'était son tic quand il commençait à en avoir marre de quelque chose et qu'il était sur le point d'exploser et ce n'était pas ce qu'il voulait, depuis son plus jeune âge seul son père avait réussi à le faire sortir de ses gonds, l'année dernière quand il lui avait parlé de mariage arrangé, de rentrer dans les rangs et toutes ses conneries à trois francs six sous. " Clairement, je m'en contre-fiche de ta sœur, alors tu peux remballer des menaces à deux balles une bonne fois pour toute parce que tu commences à sérieusement me gonfler. J'ai bien assez de filles à mes pieds en trois mots pour aller taper dans les bébés merci bien. Et je ne suis pas le père de Tib je ne gère pas les personnes chez qui il trempe son pinceau" Non mais elle le prenait pour une foutu baby-sitter ou quoi ?

D'accord, il avait merdé avec elle à la soirée, et encore ce n'était pas lui qui l'avait touchée, donc bon la plus grosse partie du problème de la brune n'était pas de son fait à lui, mais il ne fallait pas pousser le bouchon trop loin, il avait bien assez à faire avec les septièmes et sixièmes années pour aller chercher parmi les bébés de l'école une fille facile à qui écartée les cuisses. Il respectait tout de même les femmes quoi qu'on en dise et on en pense chaque fille qui couchait avec lui savait à quoi s'attendre et était consentante, c'était donc fait dans les règles de l'art et il ne supportait pas vraiment de passer pour un goujat de première alors qu'il n'avait jamais fait d'acte qui pouvait laisser penser une telle chose. Décidément la Greengrass l'énervait beaucoup cela faisait partir tout le charme qu'elle aurait pu avoir grâce à son physique bien foutu. Il avait bien compris qu'elle était en colère et blablabla, elle allait continuer à lui casser les oreilles pendant encore combien de siècles. " J'ai compris oui, je ne suis pas complètement débile, ce n'est pas glorieux, ce n'est pas cool, j'ai pigé, mais je ne peux pas revenir en arrière et ne pas verser la potion dans ton verre alors bon." Oui, il aurait pu s'excuser aussi, mais ce n'était pas son genre et il n'en n'avait pas envie après la façon dont la jeune fille l'avait abordé. " Ce n'est pas parce qu'on s'amuse qu'on n'est pas responsable. D'accord, on ne dirait pas en nous voyant, mais on peut l'être si on en a envie, c'est sûr qu'en pleine soirée avec de l'alcool dans le sang s'est plus compliqué, mais c'est pareil pour tout le monde"

Il avait trop bu lors de la soirée pour se rendre compte que la jeune fille était plus dans les nuages qu'elle aurait dû l'être et puis il n'avait pas remarqué que Tib en avait profité pour coucher avec sinon il aurait été lui dire qu'elle n'était pas dans son état normal. Il n'était quand même pas bête à ce point-là. Mais pour lui, il ne servait à rien d'en parler plus vu que la brune n'était pas décidée à passer à autre chose en parler pendant des heures ne changerait rien au problème. " Je ne pouvais pas prévoir qu'il allait vouloir de toi ce soir-là sinon je l'aurais mis au courant de la potion, on peut paraître con, mais on n'est pas des violeurs, on n'en a pas besoin" Et c'était un fait réel les deux compères trouvait bien assez de filles pour avoir besoin d'en arriver à ce point-là.

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Elle le gonfle ? Fort bien, alors ils sont deux à se gonfler, c’est au moins ça, non ? C’est sympa, au moins ils se renvoie l’ascenseur de ce qui est chiant. Elle soupire en le regardant, pense à sa sœur au moment de partir et elle lui fait finalement comprendre qu’il n’a pas intérêt à s’occuper d’Astoria. Sa mini-elle, son tout, son adorable frangine. La sorcière ne supporterait pas que Cab et Tibus s’octroient le droit d’être inconvenant avec la jeune demoiselle, d’autant plus qu’elle n’est pas bien grande et que ce serait… parfaitement incorrect, dégueulasse, pourrie, de lui faire quelque chose comme ce que Daphné a subit. La jeune femme ne menace pas vraiment Caleb, à vrai dire ce sont surtout des mots, mais sa sœur, c’est ce qu’elle a de plus cher. On ne la touche pas.

«- Je te prévenais simplement Carlton, c’est tout.» dit-elle en haussant les épaules avant de lui accorder un regard noir.

Il a toutes les filles qu’il veut prête à sauter dans son plumard dès qu’il le demande ? Tant mieux pour lui, grand bien lui fasse. La sorcière, même si elle s’amuse quelques fois et ne s’en cache pas, ne voit pas l’intérêt de se vanter d’un tel « exploit » est-ce que l’on peu seulement considérer que cela en est un ? Elle n’est pas certaine de cela, il n’y a pas de quoi se féliciter pour si peu. Mais qu’importe, si cela lui fait plaisir, si cela le rassure de savoir que toutes les filles sont absolument folles, raide dingues de lui, grand bien lui en fasse. Néanmoins Daphné soupire un peu. C’est agaçant, d’entendre quelqu’un chercher à se justifier, se dédouaner. Mais elle préfère ne plus rien dire à ce sujet et hausse seulement les épaules. Comme il voudra.

«- Je suppose que tu as raison, l’alcool n’aide pas à réfléchir.»

Autant aller dans son sens, cela permettra de finir plus vite. La jeune femme commence à être vraiment lassée de cette discussion et puis, entendre qu’un homme considère que ce n’est pas bien grave, ou du moins que c’est normal, de faire des conneries sous le simple prétexte que l’on est bourré… Non, elle préfère s’en aller que d’entendre tout cela. Mais non, elle reste là. Il y a comme une tension entre eux. De la colère oui, mais pas seulement. Il y a autre chose, Daphné le sent bien.

«- Je veut bien croire que c’était un simple accident, que tu ne l’as pas fait exprès, que Tibus ne savait pas… Comme je te l’ai dit il me semble ce ne sont pas des excuses que je veux mais simplement que vous réalisier, tout les deux, que parfois le jeu peu aller trop loin et avoir de graves conséquences. Parce que j’ai été seulement stone c’est vrai, mais j’aurai put avoir de plus graves séquelles de cet accident. Aussi tout ce que je demande, en fin de compte, c’est que vous fassiez un peu plus attention quand vous vous amusez. Je suis jeune aussi, moi aussi j’ai envie de m’éclater. Mais doit on pour autant mettre des vies en danger ? Seulement pour s’amuser quelques minutes ? Non, je ne pense pas. »

Elle a l’impression qu’il va répondre à ce qu’elle vient de dire, qu’il va ajouter quelque chose, mais elle n’en a pas besoin, elle n’a pas besoin de réponse ou de protestation à ce qu’elle dit. La sorcière maintenant veut seulement la paix et quitter cette tension bizarre. Retourner au château, se reposer, penser à autre chose tout simplement. Retrouver sa sœur et faire ses devoirs, des choses simples de la vie d’une étudiante. Ou aller boire un verre, c’est bien aussi. Sans alcool, vu les circonstances.

«- Non. Stop. Je ne veut pas que tu réponde à ça. Ni promesse que tu ne tiendra pas, ni rien d’autres. Je crois que nous avons dit ce que nous avions à dire. »

Caleb & Daphné
Donne-moi ton cœur baby, ton corps baby

Caleb ne comprenait pas cette fille et pourtant en temps normal, il s'en sortait pas mal avec la gente féminine, mais Daphné n'était pas du tout normal et logique, elle venait le trouver pour lui crier dessus, lui faire des reproches et le menacer, mais elle ne voulait pas qu'il parler à quoi cela pouvait-il bien lui servir de ce pointer ici si c'était pour parler dans le vide ? Elle aurait pu parler seule au milieu du village que l'effet aurait-été le même vu qu'elle ne souhaitait pas l'entendre en retour ce qui était un peu bête, car il était certains qu'il n'allait pas rester debout comme un imbécile à se faire engueuler sans rien répondre. Il n'était pas un faible, pas un bébé non plus il avait le droit à la parole et si elle venait le trouver, elle le trouvait forcément. Personne ne pourrait rester silencieux pendant plusieurs minutes alors que quelqu'un l'accuse d'être un violeur et un imbécile Cab encore moins ne supportant pas les critiques, depuis que son père s'était mis à tenter de faire de lui une bonne personne selon ses critères lui ne supportait plus qu'on critique son comportement. Il voulait être libre de ses actes même si il avait merdé à la soirée en voulant jouer un peu avec la jeune fille, il l'assumait, mais il n'avait pas besoin qu'elle vienne en rajouter soixante couche, une suffisait amplement surtout quand elle le menaçait, il connaissait Astoria mais il n'avait pas que cela à faire d'aller draguer des bébés pour lui, il avait bien assez de travail avec les jeunes filles de son âge.

Et Daphné devait bien le savoir, parce qu'il s'en vantait assez souvent et les bruits de couloir l'aidaient bien aussi, souvent les filles avec qui il avait passé un bon moment parlaient sur lui échangeant avec d'autre fille, c'était ce qui avait fait sa réputation. Lui n'était pas gêné de ce fait et ne se privait pas d'en parler, c'était sa manière à lui de vivre et si quelqu'un n'était pas d'accord, c'était du pareil au même pour lui qui ne se fiait pas souvent au jugement des autres. L'adolescent voulait découvrir la vie par lui-même et faire ses propres erreurs pour en tirer des leçons. Aujourd'hui, il savait qu'il ne fallait pas mettre de potion dans de l'alcool, car les effets étaient différents de ceux annoncer. C'était une leçon et il l'appliquerait à sa prochaine soirée, c'était ainsi qu'il fonctionnait et les morales ne servaient à rien sur lui qui se braquait systématiquement. Il avait ses défauts comme tout le monde et il souffla un bon coup répondant tout de même à la jeune fille." Rien n'était censé être dangereux si j'avais voulu du danger, j'aurais signé, j'ai le fou furieux" Elle saurait surement de qui il parlait après tout elle était une Serpentarde. " Tu me diras pourquoi tu es venu me voir si tu ne veux pas que je parle. Tu es complètement illogique depuis le début, tu me cries dessus, tu me reproches des choses, tu me menaces et je devrais rester là comme un abruti à te laisser faire sans rien répondre, sans rien dire ? Pourquoi ne parles-tu pas à un mur dans ce cas ?"

Il ne supportait pas le comportement illogique de la jeune fille et puis elle l'avait assez gonflé avec tout cela pour qu'il ai le droit à de lui répondre. " Si tu ne veux pas que je parle pourquoi es-tu encore là ?" Sérieusement pourquoi restait-elle avec lui, elle aurait dû partir directement après son monologue pour ne pas entendre sa réponse.

BY .SOULMATES

Le fou furieux ? La jeune femme ne voit pas de qui il parle non. Mais ne pose pas de questions à ce sujet. Enfin, dans un premier temps, parce que d’un coup elle a comme un éclair de génie. Le fou furieux, évidemment… Il veut parler de voldemort, qui d’autres ? La brune avait d’abord pensé qu’il s’agissait d’un élève, ce pour quoi elle ne voyait pas de qui il parlait, mais évidemment s’il parle bien de lord Voldemort alors sa réplique prend tout son sens, d’un coup. La sorcière semble pâlir une seconde. Mais heureusement il n’est pas sérieux et très vite elle retrouve un visage normal, comme si rien ne s’était passé, comme si elle n’avait rien entendu. Elle fait parti de l’ordre du phénix pour la seconde fois maintenant, alors parler du seigneur des ténèbres n’est franchement pas le genre de discussions qu’elle préfère. Soit, elle n’est pas obligé d’en parler d’avantage.

«- Oui j’ai bien compris ce que tu veux dire Caleb, ce n’est pas nécessaire de me le répéter cinquante millions de fois. Je ne suis peut-être pas une serdaigle mais je pense que mon cerveau n’est pas encore trop limité pour comprendre ce que tu dis... » fais remarquer Daphné un brin amusée par le sorcier, à force de répéter les mêmes choses depuis tout à l’heure.

Daphné soupire de ce qu’il ajoute. Bon, il n’a pas tout à fait tord elle a réagit comme une véritable furie en le voyant. Mais dans un sens, à son goût, il l’avait bien cherché et en prime, elle était dans sa mauvaise, très mauvaise période du mois, ce qui explique probablement qu’elle soit d’une humeur à ce point maussade. A ce point sur les nerfs. Oui, elle monde vite sur ses grands chevaux mais elle ne va sûrement pas lui demander pardon pour cela, alors que lui ne l’a pas fait, n’a pas présenté d’excuses vis à vis de la jeune femme, alors que pour le coup le vrai fautif à la base, c’était lui. Enfin, elle a quand même subit un préjudice, ne serait-ce que psychologique. Donc non, Daphné ne compte pas présenter d’excuses alors que lui ne l’a pas fait, il ne faut pas non plus pousser mémé dans les orties.

«- Tu ne veut pas vraiment le savoir. » se contente de répondre la jeune femme qui ne compte pas avouer que si elle est si dure aujourd’hui c’est en partie à cause des hormones. Non, il ne faut pas déconner non plus.

Pourquoi elle est encore là ? Mhhh parce qu’il l’a rattrapé, si elle se souvient bien. Elle ne le dit pas et le dévisage quelques instants. Bon, il y a aussi le fait qu’il lui plaît mais non, dans ce cas de figure et depuis qu’il a fait ça… elle s’est clairement refroidie, alors ce détail n’est probablement pas en cause. Ce qu’il y a de sûr c’est que ça, elle ne va pas le lui dire, il serait par tout les dieux bien trop content de l’apprendre et la jeune verte et argent ne tient pas à lui faire ce plaisir, non.

«- Parce que tu m’as rattrapé le poignet, si je ne me trompe pas. » répond la sorcière.

Oui, autant dire que ça vient de là. Cela vaux mieux. Daphné s’écarte alors de lui, le saluant quand-même par politesse et puis elle s’éloigne, achète un jus de citrouille à emporter aux trois balais, puis elle reprend le chemin de Poudlard afin de rentrer au château et finir son travail.

» It would never be the same ft. Daphné
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