  ❝ Minerva McGonagall ❞ Bonjour ! J'appartiens à la maison : Gryffondor J'ai posté : 376 hiboux. Grâce à moi ma maison a gagné : 14 pour une aventure ! Je suis de la génération : 1977 . Je suis un aventurier : qu'on peut blesser  |  Sujet: (SETH) Je n'ai jamais mangé personne Sam 3 Sep - 23:39 | | |
Minerva sortait tout juste du cours de Métamorphose avec les Septièmes années de Poudlard. Elle ne savait pas vraiment quoi penser. Le cours s’était bien déroulé comme d’habitude, de ce côté, elle n’avait jamais eu de soucis à se faire. Les élèves avaient tendance à être obéissants, en même temps, quand un professeur avait la réputation d’être plutôt stricte, sévère et exigeante, et d’autres adjectifs synonymes pourraient lui convenir, les pauvres ou chanceux, à voir, étudiants qui suivaient ses cours avaient tendance à se tenir à carreaux. Mais vraiment, le comportement de son adjoint à la fin, puéril. Elle ressentait encore la colère couler dans ses veines et le sang lui bouillonner au visage. Il lui avait fait une scène, juste parce qu’elle ne l’avait pas prévenu qu’il y aurait un cours de Métamorphose. En même temps, elle l’avait fait exprès. Heureusement qu’il avait eu l’intelligence de lui faire sa petite scène ridicule et enfantine à la fin du cours, une fois que tous les élèves étaient sortis de la salle. Maintenant, elle se promenait dans les couloirs de Poudlard. Se promener, ce n’est pas vraiment le terme qui convenait à ce qu’elle faisait actuellement. Peut-être que l’écrivain devrait plutôt utiliser le mot patrouiller ou placer l’expression faire une ronde. Cela serait plus logique et compréhensible.
Alors, on va reprendre du début, Minerva sortait du cours de Métamorphose, en colère contre son imbécile d’adjoint, un peu trop Mangemort à son goût, ou ce qu’elle en pensait, et faisait la ronde de journée dans les couloirs de Poudlard, afin de s’assurer que rien d’anormal ne se passait entre les murs. L’attaque de Pré-au-Lard était encore fraîche dans ses esprits et elle était d’autant plus méfiante. Elle faisait donc les tours de Poudlard, la baguette rangée, mais prête à être sortie au cas où le besoin se ferait sentir. Elle regardait partout dans tous les coins et s’assurait de n’oublier aucun endroit. |
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