Je vous présente mes excuses Monsieur. - ft Tristan Allister.

Je vous présente mes excuses Monsieur.Marilyn et Monsieur Allister ;

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Marilyn était restée de longues heures dans le parc après sa sortie expresse du cours de soin aux créatures magiques. Elle avait fait pas malade connerie depuis son arrivée et des fois elle s’en voulait. C’était le cas aujourd’hui, ce professeur était nouveau et elle ne l’avait pas ménagé, pire que ça elle avait failli tuer ses camarades. Sa retenue ainsi que son 0 étaient amplement mérité…Shootant dans un des cailloux, elle décida de faire quelque chose qu’elle n’avait encore jamais fait jusqu’à aujourd’hui : trouver ce débile de prof et s’excuser pour avoir faire exploser sa carte. Simplement pour cela pas pour le reste ça il le mériter bien !

Passant devant les sabliers elle remarqua que celui de Serdaigle avait baissé, normal. Montant les marches de l’escalier quatre à quatre jusqu’à la salle commune de Serdaigle, elle entra pour terminer ses devoirs et mettre son emplois du temps à jour. C’était long et fastidieux, mais si elle voulait intégrer le département journalistique ou juridique de ministère de la magie cela était aussi nécessaire. Lorsque l’horloge sonna ses 8 coups, Mary fit claquer la couverture de son livre. Autant descendre tout de suite retrouver le professeur de soin aux créatures magiques. Matière débile. Mais bon, matière nécessaire pour la suite tous comme les potions avec ce Slughorn et ses chouchou, à celui-là si elle pouvait le stuphéfixer sur place !

Sa première pensée à l’encontre du professeur Allister était la vengeance, elle était descendue une nuit dans la salle de potion histoire de trouver un moyen de lui faire regretter, mais sa[url=#74045542] rencontre[/url] avec une élève de Serpentard lui avait fait oublier son but premier. Trainant les pieds dans les escaliers elle arriva face à la salle des professeurs et leva le poing pour toquer contre la lourde porte de bois, mais elle se ravisa. De toute façon cet idiot avait déjà du le dire à tout le monde et le professeur Rosier lui mettrais une seconde couche de retenue et de punitions. Alors qu’elle faisait demi-tour, elle se tourna une dernière fois et toqua contre la porte alors que les gargouilles se moquait d’elle :

- - Encore toi ! Tu n’en as pas marre de causer des ennuis à tout le monde !

Mais Marilyn ne répondit pas, cela n’en valait pas le coup. En revanche la salle des professeurs semblait vide, ce prof allait la faire courir dans tous le château ! Sa dernière chance était la salle de coin aux créatures magiques, c’est-à-dire le parc en espérant que ce gars soit un couche tard. Marilyn fit attention à Rusard et courut à travers le hall pour passer la porte d’entrée et dévaler les marches de l’escalier répétant intérieurement les paroles qu’elle devrait prononcer « Je suis désolée » c’était assez difficile pour elle comme ça ! La jeune Serdaigle arriva enfin vers la cabane du garde-chasse cherchant des yeux le professeur.

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“Les excuses d'une élève légèrement insolente. ”

Marylin & Tristan

La journée du professeur de Soins aux créatures Magiques avait été plutôt longue. Il avait donné son premier cours ce matin, puis avait enchainé. Malheureusement pour lui tout ne s’était pas passé comme prévu. En effet, les sixième et septième années avaient été plutôt agité, la faute entre autres à deux éléments perturbateurs : Mathéo Collins et Marylin Kampfer. Si le premier pouvait être considéré comme un gamin ne sachant pas se tenir deux minutes en place, il n’avait néanmoins pas commis de faute grave, autre que de perturber le cours. La deuxième jeune femme, en revanche, appartenant à la maison Serdaigle, avait été trop loin. En plus de déranger ses camarades et d’être totalement insolente, elle avait mis en danger la vie de ses camarades en lançant une carte explosive sur une créature magique plutôt instable. Tristan avait, heureusement, été réactif et avait pu protéger ses élèves avant que quelque chose de grave n’arrive. Pour faire comprendre à cette élève insolente et insouciante son comportement déplacé, le jeune professeur s’était montré assez sévère en lui infligeant une retenue, lui mettant un zéro pointé à son devoir et en la renvoyant de cours. C’était un comportement que l’ancien Serdaigle ne pouvait absolument pas tolérer dans sa classe. Les élèves devaient comprendre que l’école n’était pas un grand terrain de jeu où ils pouvaient faire absolument tout ce qu’ils voulaient car ce n’était pas le cas. Après donc ce premier cours plutôt éprouvant, la journée avait été un peu plus calme. Les classes suivantes avaient pour la plupart été assez sage et ne lui avait pas posé de problèmes majeurs. Il avait adoré faire cours avec les troisièmes années qui s’étaient montrés très intéressés. Ils avaient été adorables, actifs, et avaient posé de nombreuses questions au sujet de cours. C’était pour ce genre d’élève que Tristan aimait faire cours. Il y aurait toujours des élèves pour venir perturber le bon fonctionnement d’une classe bien évidemment, mais il y avait quand même des élèves qui savaient où était leurs places et qui comprenaient que ce qu’ils apprenaient ici, à Poudlard, pourrait leur resservir dans leur vie de tous les jours.

A l’heure du déjeuner, Tristan avait retrouvé Destiny. Les deux amis continuaient de manger ensemble dès que leur emploi du temps le leur permettait. Cette fille était sa meilleure amie. Depuis longtemps, depuis le début de leurs études à Poudlard. Ils avaient traversé de nombreuses épreuves ensembles et ils étaient encore là des années après. Elle était une partie importante de sa vie, car le jeune professeur savait qu’il n’avait pas besoin de faire semblant avec elle, il pouvait être lui-même, sans masque, sans mensonges. L’après-midi s’était déroulé calmement. Il n’avait eu à donner qu’un seul cours, et avait donc eu le temps de corriger les copies de ses élèves. Certaines copies étaient plutôt bonnes. D’autre étaient totalement catastrophique. C’était vraiment étrange puisque les questions portaient sur le cours qu’ils avaient vu quelques minutes auparavant. Au moins avec ces devoirs, Tristan pouvait déjà faire une liste des élèves qui s’étaient montrés peu attentif lors de son premier cours.

*Tu pourras mieux les surveiller comme ça.*

Tristan était dans le parc, non loin de la lisière de la forêt interdite. Le temps était plutôt clément et il s’était décidé à s’installer dehors pour préparer ses cours du lendemain. Il essayait de trouver les sujets qui intéresseraient le plus ses élèves. Car pour lui l’important était bien sûr de suivre le programme mais également de donner l’envie d’apprendre à ses élèves. Il ne voulait pas qu’ils viennent à son cours seulement par obligation mais aussi par envie. Cette vision de l’enseignement était peut-être un peu trop optimiste, et peut-être que dans quelques années, il ne penserait plus du tout comme ça, mais pour l’instant c’était comme ça qu’il voyait les choses.

Tristan avait enfin fini de préparer tous les cours pour le lendemain. La nuit commençait doucement à tomber. Il s’apprêtait à rentrer quand il aperçut une silhouette marcher en direction de la cabane. Le jeune professeur attendit patiemment en essayant de voir qui venait le voir à une heure aussi tardive. Et puis il vit le visage. C’était une élève de Serdaigle, la fameuse Marylin Kampfer qui lui avait causé tant de problèmes ce même matin. Que faisait donc-t-elle là ? Les élèves n’étaient surement pas censés se balader en dehors du château à cette heure-ci. Très sincèrement, Tristan n’avait pas vraiment envie de supporter l’arrogance de la demoiselle ce soir, après les heures de cours, au moment de se détendre un peu.

– Miss Kampfer, vous n’êtes pas censé être en dehors du château à cette heure-ci.

Commença-t-il. C’était le cas, c’était un fait. Qu’est-ce qui pouvait bien amener cette élève à sortir du château un soir pour venir voir son professeur. Oui il imaginait bien qu’elle était là pour le voir lui, puisqu’il était le seul dans le par cet à cet endroit maintenant.

– Quelle est la raison de votre visite ?

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Je vous présente mes excuses Monsieur.Marilyn et Monsieur Allister ;

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La jeune Serdaigle n’avait pas voulu mettre en danger ses camarades, puis la magie résout tous non ? Une brûlure, un bras en moins, une tête un coup de baguette et sa repart non ?
Insolente ? Elle ? Il n'avait rien vu encore le coco. C'est en traînant les pieds, maugréant sur tous les coups possibles et inimaginables qu'elle pourrait lui faire subir, elle avait déjà vu cela avec une certain Hermione Ocny, qu'elle avait rencontré un soir dans le château fouillant le bureau de Slughorn. Une petite potion de babillage c'est marrant n'est-ce pas ? Le prof avait des réflexes du tonnerre, en un instant il avait protéger les élèves de son petit jeu, normal, il est prof mais bon, le jeune âge du professeur Allister faisait douter Marilyn qui le jugeait bien moindrement. De plus, elle n'avait pas envie que tous ces cours se transforme en une véritable guérilla avec tête d'ange. Elle en avait assez comme ça avec les retenues de Selwyn x2. Il devait faire ses preuves certes, mais elle, elle devait aussi ne pas se laisser faire, elle s'amuser trop même si cela lui valait un beau T. Puis si elle continuait ses bêtises se serait alors Rosier qui lui mettrait une vilaine raclée et là, elle se tairait. De plus n'importe qui qui fait son premier cours devrait s'attendre à ce comportement non ? C'était amusant...Les serdaigles étaient réputés pour être un peu coincouillé du jong, autant s'amuser un peu.
Mary arriva près de la cabane d'Hagrid cherchant la touffe de cheveux débile du professeur. Ce type avait une tête de hippie, il devait aimer les arbres et les fleurs...C'est alors qu'à la lisière de la foret, elle entraperçut le sujet de ses réflexion. Au moins elle ne le chercherait pas plus longtemps celui-là. Prenant une grande inspiration, elle se demanda si elle ne devait pas faire demi-tour immédiatement. Présenter des excuses ? Elle ne l’avait jamais fait et ne savait surtout pas comment faire et Mary savait qu’elle ne supportait pas un énième sourire débile de ce prof à la mormolneu. La jeune femme soupira, en plus de cela pour s’excuser elle commettait une infraction de plus se balader la nuit dans le château était strictement interdit par Monsieur le Directeur. Qu’il était rassoir celui-là. De plus elle savait qu’Allister n’avait pas envie de la voir, ni elle ni surement Mathéo qui s’était aussi amuser avec cette bichette de prof. Soupirant, elle s’approcha de lui. Il ne la salua pas. Il lui fit directement une réflexion sur sa position nocturne ce a quoi elle répondit doucement et fermement :
- Vous êtes désagréable. Vous pourriez au moins me dire bonsoir. Bonsoir Professeur Allister, mima la jeune femme en se foutant de sa gueule.
Marilyn soupira en saisissant une brindille par terre elle la tendit à l’homme dans un sourire mielleux :
- -Tenez. La brindille de la paix c’est pour vous présenter mes excuses. Pas que je le pense sincèrement pour moi vous n’êtes qu’un type impolie et qui pense tous avoir avec sa belle gueule et ses grands sourires. Mais je n’aurais pas dû mettre la vie de mes camarades chéries en danger. Vous avez de bon réflexes.
C’était un semi compliment. ¾ de moqueries et ¼ de compliments. Il ne fallait pas trop lui en demander non plus.

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Marylin & Tristan

Sa première journée avait été longue et éprouvante, mais il pouvait enfin commencer à se détendre un peu. La nuit commençait doucement à tomber. Le jeune professeur aimait beaucoup ce moment. Quand le soleil commençait à se coucher et que les couleurs se confondaient dans le ciel. Ce soir, le bleu s’entremêlait avec du rose et de l’orange. Cette explosion de couleur et le calme si apaisant du parc. Oui malgré quelques petits bémols aujourd’hui, il se sentait bien. Il savait au fond de lui qu’il avait fait le bon choix en proposant sa candidature à l’école de sorcellerie Poudlard. C’était ici qu’il trouverait enfin sa place et qu’il pourrait s’épanouir professionnellement parlant. Il avait fait des études pour pouvoir enseigner les années qui avaient suivis sa dernière année à Poudlard. Il avait décroché son diplôme peu de temps avant que sa femme ne meure tragiquement dans un accident de voiture. Et il n’avait simplement pas pu trouver un travail à ce moment-là. Cette période de sa vie avait été très dur. Il n’était certes pas amoureux d’elle, mais ça ne changeait rien à l’affection qu’il portait à cette femme. C’était l’une des personnes les plus exceptionnelles qu’il avait rencontré autour de sa vie : elle était tellement gentille, toujours souriante, et tellement belle. Elle aimait tellement la vie, et savait en profiter comme personne. Mais elle était morte, à seulement vingt-deux ans. Après quelques années de mariage avec Tristan. Le jeune professeur ne pourrait jamais oublier cette fameuse nuit, cette dernière nuit. Il aurait toujours ce sentiment de culpabilité en lui, et même avec tous les efforts du monde, il y aura toujours une part de lui qui se sentirait coupable de ce qui était arrivé à sa femme. Cette nuit-là, elle était revenue tellement heureuse à la maison, elle semblait tellement épanouie, et elle lui avait annoncé la grande nouvelle : elle était enceinte. Quand une femme annonce ça à son mari, elle doit s’attendre à une explosion de joie qu’ils peuvent partager ensemble. Mais ce n’était pas le cas. Tristan n’avait pas eu la bonne réaction. Il avait eu peur, et il ne se sentait pas prêt. Pas prêt du tout à assumer un enfant, alors qu’il n’était même pas capable d’assumer qui il était. Sa réaction n’était pas celle qu’attendait sa femme et ils eurent une dispute, peut-être la plus grande qu’ils n’aient jamais eu. Et elle est parti, lui n’avait même pas cherché à la retenir, pensant qu’elle reviendrait quand elle serait calmée. Mais elle n’était jamais revenue. Un homme ivre avait percuté sa voiture, la tuant sur le coup.

En regardant ce coucher de soleil, il pensait à elle. Eristia. Ils avaient été tous les deux beaucoup pris par leurs études, mais ils se retrouvaient chaque soir pour regarder le soleil se coucher ensemble. C’était leur moment de retrouvaille après une longue journée. Il avait toujours une photo d’elle avec lui, parce qu’il en avait besoin. Il avait besoin d’elle près de lui, même si ce n’était qu’un bout de papier. Il pouvait la voir sourire encore et encore. C’était stupide, elle était partie et elle ne reviendrait pas. Mais ce soir après sa longue première journée en tant que professeur, Tristan s’évadait à penser à Eristia. Ils auraient tous les deux étés là, tandis que lui se plaignait sur sa journée, et qu’elle lui remonterait le moral, et lui montrait tous les côtés positifs que cette journée avait pu avoir. Parce qu’elle était comme ça : un petit rayon de soleil. Cette soirée était donc placée sous le signe de la nostalgie. Une nouveauté dans sa vie qu’Eristia avait loupé. Et il y en aurait plein d’autre évidemment. Mais c’était leurs rêves à tous les deux. Alors le réaliser sans elle lui faisait un petit pincement au cœur. Mais ce soir, il ne pourrait pas rester entièrement seul avec ses souvenirs. Puisqu’un élément perturbateur s’était invité à sa cabane.

*Pauvre chaton, je crois que cette gamine ne te laissera pas tranquille, si elle continue même de te traquer le soir jusqu’à chez toi.*

Marylin Kampfer, élève de Serdaigle. Sans vouloir être méchant, elle était sans doute la dernière personne que Tristan avait envie de voir ce soir. Elle lui avait déjà gâché sa première heure de cours, et maintenant elle voulait l’empêcher de se détendre. Tristan rangea immédiatement la photo de sa femme et la glissa entre une pile de devoirs. Il n’avait pas très envie que cette gamine ne sache quoi que ce soit sur sa vie privée. Ainsi il commença par lui rappeler qu’elle n’était pas censée être en dehors du château à cette heure-ci, et ensuite lui demanda la raison de sa présence ici. Il espérait qu’elle avait une bonne excuse et qu’elle serait brève, parce que Tristan n’était pas vraiment d’humeur à gâcher une heure de son temps libre pour une jeune fille qui lui avait déjà fait perdre beaucoup de son temps lors de son premier cours.

La jeune femme commença par lui dire qu’il était désagréable, et qu’il pourrait au moins lui dire bonsoir. Avant de le saluer à son tour. Ok les choses commençaient déjà mal. Tristan n’avait aucunement envie d’avoir de la visite ce soir, alors si cette petite insolente commençait comme ça, la discussion ne serait sans doute pas courtoise, pire qu’un simple oubli de saluer. Miss Kampfer se baissa ensuite, ramassa une brindille et lui tendit. Visiblement pour elle cela était son moyen de présenter des excuses. Des excuses auquel elle ajoute immédiatement des insultes, même si par la même occasion elle lui dit qu’il a de bons réflexes. En même temps avec des élèves comme ça, heureusement que ses réflexes sont bons.

*Reste calme, étrangler un élève est toujours interdit par le règlement.*

– Ecoutez Miss Kampfer, je ne vois absolument pas l’intérêt de présenter des excuses, si vous vous permettez de m’insulter dans la même phrase.

Répondit-il doucement. Non il n’avait pas envie de lever la voix ou de s’énerver maintenant. Il avait juste envie de retrouver le calme du parc, et profiter de ce moment pour regarder quelques photos d’Eristia et des bons moments qu’ils avaient passés ensemble. Au lieu de ça pour le moment, il devait supporter une élève effrontée qui n’avait rien de mieux à faire que de venir insulter un professeur. Dire qu’il pensait finir son boulot avec ses élèves en même temps que son dernier cours de la journée. Il s’était bien trompé.

– Vous semblez penser que le monde est à vos pieds, Miss. Jouer les arrogantes ne vont emmènera pas très loin. Grandissez un peu et arrêtez de me faire perdre mon temps.

*Bah dis donc, tu as vraiment aucune patience toi ce soir, qu’est-ce qu’il t’arrive ?*

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Marilyn n'avait pas vraiment envie de présenter ses excuses. Lorsqu'elle vivait encore dans le monde des moldus, elle avait été dans une école très disciplinée et à la moindre inquartade c'était directement notifié au responsable de famille. Elle n'avait pas vécue dans une famille violente, loin de là, ces parents étaient stricte mais comme il le fallait. En revanche elle était plus proche de son frère qui lui avait mal tourné le jour ou elle avait reçu sa lettre de Poudlard elle l'avait insulté de colère et ne s'était jamais excuser. Aujourd'hui pourtant, elle descendait dans le parc en pestant pour présenter des excuses à Miss Bouclette comme le surnommé si bien l'un de ses camarades de Poufsouffle. De toute façon une fois que cela serait fait, elle savait qu'elle remonterait au château pour s'occuper du cas du concierge ou alors des Selwyns. Elle avait bien suggéré à Sirius Black de lui donner un coup de main pour s'occuper du cas Allister, mais pour le moment c'était en stand by. Elle observa au loin le professeur regardait quelque chose dans sa main. Un reflet l’éblouit quelques secondes avant qu'elle ne s’aperçoive que c'était un cliché photo. De toute façon, elle allait passer un sale quart d'heure puisque ce crétin ne lui pardonnerait surement pas sa connerie. Il ne s'était jamais amuser celui là ? Rangeant sa rage dans sa poche, elle décida de ne pas pester tous de suite d'attendre que le professeur frappe en premier. Mais le calme platonique qu'il avait démontré dans son cours été un véritable obstacle. Dh'abitude les professeurs ne l'ignoraient pas ils criaient et cela représentés une sorte de satisfaction personnel pour la jeune femme. Provocatrice elle aimait bien jouer ce rôle du moins c'était le seul qu'elle aimait. Le meilleur rôle.
Elle aperçut le petit regard dégouté du professeur et lui offrit un regard provocateur. Honnêtement elle aurait bien passée sa soirée en compagnie d'un fantôme ou d'un bouquin sur la guerre des trolls, les boucles arrogantes du professeur n'étaient pas non plus la chose qu'elle voulait voir. Marilyn observa le professeur rangeait sa photo/ Elle n'était pas si provocatrice que cela mais si il la gonflait trop, elle prendrait ce papier qui semblait si important. Ce n'était pas la première fois qu'elle se baladait dehors et ordre ou pas elle le ferait quand même. Il ne lui avait pas dit bonsoir, au moins ca c'était fait, il ne voulait pas être courtois avec elle. Cela allait rapidement tourner au vinaigre, récemment Hermione Ocny l'avait aider à préparer une potion de babillage et elle avait prévu de la verser dans son déjeuner ou quelque chose dans le genre. Elle eut un petit rire en triturant sa brindille dans ses doigts de toute façon, c'était peine perdus. Soupirant, elle prit place sur le sol jetant sa petite feuille en l'air :
- Cela reste des excuses Monsieur Allister. Peux importe la façon dont je vous les présentes. Si vous n'êtes pas content, je pourrez aussi ne pas venir vous voir et continuer de pourrir vos cours et vos soirées. Pas que je ne vous aime pas, vous êtes cool et tous, mais j'ai passé 6 ans à être adorable avec tous le monde.
Cette phrase était d'une stupidité affligeante. Regardant le professeur, elle soupira une fois de plus. Il n'avait pas vraiment de chance le pauvre. Grandir. Marilyn attrapa le bout de papier photo sans le regarder et sautilla en arrière :
- Le monde des adultes est d'un ennui mortel Monsieur Tristan. Vous êtes obligé de faire semblant d'être hypocrite, moi je ne veux plus être hypocrite, je refuse. Dites moi c'est votre fille sur cette photo ? Elle est jolie. Continua Marilyn en observant le cliché.
- Jouez avec moi. Si vous arrivez à me la reprendre je vous respecterez, je ne vous ennuirez plus jamais. Vous n’endenterez plus parler de moi. Sage comme une image.

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“Les excuses d'une élève légèrement insolente. ”

Marylin & Tristan

Tristan n’avait pas la moindre envie de se faire déranger ce soir après sa première journée en tant que professeur de soins aux créatures magiques à Poudlard. Il aurait préféré rester tranquille, à se relaxer, à penser à sa vie, à ce qu’elle aurait pu être et à continuer de regarder cette photo magnifique d’Eristia pendant des heures. Mais on ne lui avait pas laisser ce choix. Un invité indésirable était apparu et il semblait plus que compliqué de le faire partir. En effet, une jeune élève de Serdaigle, Miss Marylin Kampfer s’était décidé à rendre visite à son professeur à cette heure tardive. Voir n’importe quel élève à cette heure-ci l’aurait déjà ennuyé mais voir celle-là était encore plus désolant. En effet, cette même jeune fille avait provoqué un terrible grabuge dans sa classe ce jour-là. En plus d’être très insolente, elle s’était même débrouillé pour faire sauter la classe. Heureusement que Tristan avait de très bons réflexes sinon un ou plusieurs élèves auraient pu être blessé. C’était le genre de gamine très arrogante qui pensait être au-dessus de tout, qui pensait pouvoir tout faire sans qu’on ne lui dise jamais rien. C’était un comportement que Tristan ne pouvait pas supporter. Les élèves devaient apprendre où était leur place. Cette fille n’arriverait pas à grand-chose si elle continuait d’agir de la sorte. Est-ce qu’elle faisait cela seulement dans son cours ou dans tous ? A un moment, elle devrait apprendre à grandir, et se rendre compte à quel point être assidu en cours peut être important. Si elle avait un projet professionnel, elle était en train de se mettre des bâtons dans les roues toute seule à agir de la sorte. Mais ça elle était sans doute trop immature pour le moment pour s’en rendre compte toute seule. Destiny était la directrice de la maison Serdaigle. Tristan allait peut-être lui parler du cas de Miss Kampfer, pour qu’elle fasse quelque chose parce que ce n’était pas possible de continuer comme ça avec une élève pareille.

Bref, visiblement son petit moment trop court de tranquillité était bel et bien fini puisque la jeune femme n’avait pas l’air très pressé de le quitter. Tout son comportement, sa façon d’être était insupportable et imbuvable, que ce soit ces paroles, ces petits rires ou ces regards. Elle avait tenté de s’excuser auprès de son professeur, mais au lieu de rester dans la simplicité, elle avait continué en l’insultant, de quoi rendre fou le jeune professeur. Heureusement il avait un très bon contrôle de ses émotions et pouvait rester très détendu face à ce genre de tête à claques. Il lui fit remarquer donc qu’il n’y avait pas d’intérêt à s’excuser et à insulter dans la même phrase. Il rajouta ensuite qu’elle semblait penser que le monde était à ses pieds. Elle pouvait jouer les arrogantes mais ça ne l’emmènerait pas loin. Il lui conseilla de grandir et d’arrêter de lui faire perdre son temps. Oui parce c’était exactement ce qu’elle était en train de faire ce soir. Elle s’ennuyait peut-être dans sa salle commune mais Tristan n’avait pas besoin qu’une gamine ne lui gâche sa soirée. Surtout une gamine aussi imbuvable.

*Reste calme mon garçon, après tout ce n’est qu’une enfant. On ne grandit pas tous à la même vitesse.*

Au lieu de se taire une bonne fois pour toute et se rendre compte que l’adulte avait raison, elle continua de surenchérir, pensant surement qu’elle détenait la vérité absolue. Elle lui annonça que peu importe la façon dont elle lui avait présenté, cela restait des excuses. Tristan laissa échapper un rire cynique. Elle ajouta ensuite que s’il n’était pas content, elle pouvait aussi continuer à pourrir ses cours et ses soirées. Etait-ce une sorte de menace ? La jeune femme ajouta ensuite quelques paroles incompréhensibles, sur le fait qu’il était cool mais qu’elle avait passé six ans à être adorable. Ce n’était peut-être pas très sympathique à dire mais le jeune professeur n’avait pas la moindre envie d’écouter la gamine. Elle lui avait déjà pourri sa première heure de cours, alors il ne fallait pas trop exagérer.

– Je n’ai pas besoin d’excuses hypocrite, mademoiselle.

Se contenta-t-il de répondre calmement. Elle devait comprendre et se rendre compte que les excuses qu’elle lui avait présentées n’était pas digne d’être dite à un professeur. Il n’était pas son copain, ni même son camarade de classe. Il était son professeur de soins au créatures magiques et elle lui devait un certain degré de respect.

Et en plus d’être totalement ennuyante dans ses propos, cette petite idiote attrapa la photo d’Eristia, avant de sautiller en arrière avant que Tristan ne puisse la récupérer. Qu’est-ce qu’elle cherchait ce soir ? A faire sa retenue immédiatement dans la forêt interdite ou quoi ? Insupportable. Elle prit la parole en annonçant que le monde des adultes était d’un ennui mortel, qu’ils étaient obligés de faire semblant et d’être hypocrite. Elle ne voulait pas l’être. Très intéressant, très mélodramatique, mais Tristan n’en attendait pas moins d’une gamine immature. Elle lui demanda si c’était sa fille sur la photo avant de dire qu’elle était jolie.

– Si vous avez à ce point besoin d’attention, je doute que votre vie soit plus intéressante que celle d’un adulte, Miss.

Tristan essayait de rester calme face à ce genre d’élève. S’énerver ne l’aiderait en rien de toute façon donc autant ne pas perdre son énergie à crier. Et si elle était venue le voir un soir, c’est que la vie d’un élève de Poudlard ne devait pas être si folichonne que ça. Bref, la gamine avait toujours sa photo. Tant qu’elle ne la détruisait pas, Tristan n’avait pas trop de soucis à se faire. Il n’avait pas corrigé la gamine. Elle pensait que c’était sa fille. Très bien, il s’en fichait, il n’avait pas besoin de raconter sa vie à une élève de Poudlard. Elle lui demanda de jouer avec lui. Tristan leva un sourcil. Puis elle continua sa phrase en lui expliquant que s’il arrivait à lui reprendre la photo, elle serait sage comme une image à partir de maintenant.

– Accio Photo.

Son sort fut une totale réussite et la photo s’envola dans la main de Tristan. Parfait. Il avait rempli le contrat finalement. Il avait récupéré la photo, et la gamine pouvait être sage comme une image dans son cours à partir de maintenant. Tristan se doutait bien qu’elle ne pensait pas à ça quand elle lui avait proposé le marché. Mais Tristan avait quand même respecté les règles, et la gamine se sentirait surement stupide de ne pas avoir pensé à quelque chose d’aussi simple. Peu importe, Tristan était quand même fier de lui pour le coup.

– Très bien, comme vous le voyez, j’ai réussi. Vous pouvez commencer dès à présent à avoir un comportement exemplaire en retournant dans votre salle commune par exemple, qu’en pensez-vous ?

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» [Hermione] Miss je sais tout et monsieur grognon en mission
» Tristan ♠ Tu te fiche de moi ?
» Ciliah ♣ Les excuses sont de mises...
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