EVENT N°9 ♣ Howling, crying, praying ... useless

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'Sorts mangemorts' :
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Georgia avait observe la mangemort. Elle l’avait écouter et essayait de rester discrète dans ses mouvements. Elle était passer en face d’elle quand, pour s’amuser, la mangemort avait décider de mettre le feu à Trois Balais. La mangemort se trouvait devant l’entrée. Allison, une ancienne camarde de Poudlard mais qui était encore à Poudlard pour sa part avait essayer de lancer un stupéfix sur la mangemort mais avait rater son sort. Elle semblait apeurer.
Georgia se tenait près d’elle et dans un geste de réconfort lui pris la mains et lui sourit :

-On s’en sortira, crois moi.

Georgia leva sa baguette et rapidement lança un sort qu’elle cria haut et fort :

-Petrificus totalus !

Elle pris pour que sont sort fonctionne et pendant ces quelques secondes le temps parait long et s’étirer. Elle pense à sa famille qui est bien loin de tout ces problèmes et espère les revoir. Allison qui est à côté d’elle. Georgia se doit de la protéger, elle en s’en le besoin devant sa détresse. La jeune étudiante lui serre la main plus fort attendant les effets du sort.

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'Sorts adultes' :
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Event n°9: Attaque à Pré-au-Lard

- les mangemorts -

L'ennemi du mal l'emporte toujours à la fin ...

Cette douleur, qu’avait-il fait pour la mériter ? Etendu sur le sol, il se sentait impuissant, totalement inutile, incapable de bouger, de parler ou de se défendre. Cette douleur qui traversait sa peau était abominable. Ce n’était pas qu’une douleur physique, mais également une douleur psychologique. Les deux qui s’emmêlaient donnaient un résultat absolument terrifiant. En subissant l’un de ces sortilèges impardonnables, le jeune professeur prenait conscience des raisons pour lesquelles quelqu’un pouvait devenir fou en subissant un sortilège de torture. Alors que chaque parcelle de son corps était en train de le faire souffrir à la mort, Tristan avait laissé mûrir dans son esprit l’idée que la mort pouvait être une délivrance à ce qu’il était en train de subir. Qu’est-ce qui serait mieux : continuer à endurer cette souffrance ou l’arrêter une bonne fois pour toute ? S’il aurait toutes les raisons d’abandonner totalement, le jeune professeur ne pouvait pas. Il ne pouvait pas tout lâcher et prendre la facilité de la mort. Il devait se battre pour lui, pour Destiny et pour les personnes auxquels il tenait.

Si cette douleur était en train de le détruire à petit feu, il trouva une force inattendue de combattre et résister à ce sortilège dans les yeux de son agresseur. Cette femme qui voulait le voir souffrir de tout son être … Se concentrer sur ses yeux et sur sa voix permettait à Tristan de contrôler cette douleur intense qui parcourait son corps. Mais pour combien de temps ? Combien de temps pouvait-il résister avant de tourner complètement fou ? Elle était toute proche de lui maintenant, essayant de lui arracher les cheveux pour croiser son regard. Elle n’avait pas besoin de se donner cette peine. Sous cette douleur, Tristan ne voulait pas fuir son regard. Il ne voulait pas lui donner l’occasion de penser qu’il était quelqu’un de faible. S’il se rendait compte petit à petit à qui il avait à faire, il voulait qu’elle aussi comprenne qu’il n’était pas un jeune homme fragile capable de craquer sous la pression. D’ailleurs il essaya d’articuler cette pensée. Elle n’aurait pas ce qu’elle voulait avec lui, et au lieu de perdre son temps, elle ferait mieux de le tuer tout de suite. Il n’était peut-être pas prêt à mourir. Il était jeune et n’avait pas encore réellement vécu. Mais il n’était pas sans ignorer que c’était l’une des fins possibles pour lui. Il s’était engagé dans l’ordre du phoenix, en soit c’était déjà quelque chose de dangereux. Mais Tristan avait multiplié son implication auprès de l’ordre ces dernières semaines. Chaque moment qu’il avait de libre, il l’avait passé au quartier général, et en mission plus ou moins dangereuse. Il était un membre très actif. Et il en connaissait les risques. Il pouvait être tué en mission. Et c’était également à cause de cette implication qu’il était dans une mauvaise passe aujourd’hui. Cette femme savait qui il était, elle savait qu’il détenait des informations qui pourraient être utiles à son camp. Comme elle l’avait si bien dit elle-même, il avait plus de valeur vivant que mort. Pour le moment …

Il entendit son rire qui lui glaça le sang. Un rire sadique, froid, qui en annonçait long sur la psychologie de cette femme. C’était une psychopathe. Et elle allait s’amuser avec lui jusqu’à ce qu’elle obtienne ce qu’elle voulait. Toujours sous l’emprise du sortilège doloris, Tristan souffrait un peu plus à chaque seconde. Chaque morceau de son être le brûlait, le faisait souffrir comme jamais il n’avait souffert. Il ne savait pas combien de temps il allait encore pouvoir résister à cette terrible douleur. Quand elle arrêta de rire, elle lui annonça qu’il ne comprenait sans doute pas bien qui elle était. Elle n’était pas n’importe qui, selon elle, et il y avait des raisons pour lesquels on l’avait confié à cette folle.

– Vous êtes un mangemort sadique et psychopathe. Et vous allez perdre. Les gens ne cesseront jamais de se battre contre vous.

Il voulait se donner de la force. Ce qui sortait de sa bouche était plus des paroles pour lui-même que pour cette femme. Non il ne pouvait pas abandonner, parce qu’il n’était pas seul dans cette guerre. La société ne laisserait pas ces gens gagner. Et à son niveau, il lui mettrait des bâtons dans les roues tant qu’il le pourrait. La femme rompit le sortilège de torture, ce qui provoqua un soupir de la part de Tristan. Il prit une grande inspiration, comme s’il pouvait enfin remplir ses poumons après des heures d’apnées. S’il souffrait toujours, la douleur ne se faisait plus de plus en plus intense mais restait constante, ce qui était en soit déjà un progrès.

Elle lui parla un instant, marquant le commencement de leur jeu apparemment. Ce qu’il venait de subir n’était qu’un avant-goût du sadisme de cette femme. Elle n’en avait pas fini avec lui, et commençait juste. Elle pointa sa baguette sur lui une nouvelle fois. Tristan ferma les yeux un instant, essayant de se préparer psychologiquement à la douleur qui allait suivre, quelques secondes plus tard. Mais elle avait décidé de changer de sortilège. Doloris terminé, elle allait maintenant le soumettre à l’impero, un autre sortilège impardonnable. Lorsqu’il entendit la formule sortir de la bouche de la demoiselle, Tristan ouvrit subitement les yeux. La terreur, la souffrance, et la peur se lisaient dans ses grands yeux bleus. Elle allait le forcer à agir sans qu’il ne puisse avoir aucun contrôle. Il allait avoir conscience de ses faits et gestes sans pour autant les contrôler.

– Vous ne réussirez pas à me détruire.

Souffla-t-il dans un râle. Mais n’avait-elle pas déjà commencé ? …

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Torturons les tous.

- Leopold Zygler -

"Come on, this is ridiculous. I don’t have to answer to you. I don’t have to answer to anyone!"

Cette poufiasse de Gryffondor commençait vraiment à le mettre hors de lui. Pour qui elle se prenait cette petit conne, se croyant supérieur car elle défendait une cause dite noble. Mais non, elle était une moins que rien comme tous les abrutis de Poudlard. Elle était comme tous les autres, comme ces camarades qui n’avaient fait que d’harceler Léopold depuis qu’il était entré en première année. Ils l’avaient tous traité comme un moins que rien, avaient passé leur temps à se moquer de lui, à le rabaisser, à lui faire subir des blagues plus que douteuses. Alors maintenant aucun de ces abrutis ne devaient se plaindre d’être à leur tour devenu la cible du Serpentard. Ils l’avaient tous cherchés. Ces détritus n’avaient que ce qu’ils méritaient désormais. Pour faire comprendre à Serena qu’elle devait faire attention avec lui, il lui avait fait subir un sortilège. Un rictus mauvais commença à s’afficher sur son visage quand il vit des furoncles pousser sur le visage de cette fille. Normalement elle faisait parti des canons de l’école, maintenant elle allait être aussi pouilleuse que lui, et tout le monde lui tournerait le dos. Bien fait pour sa sale gueule.

Mais un mangemort était toujours là, tout près d’eux, les regardant avec attention. Lorsque sa fureur sur sa pouf de camarade fut passé, il se tourna vers cet homme qui représentait tout ce qu’il aimerait être plus tard. Et quelle ne fut pas sa surprise et sa joie lorsque l’homme posa son regard sur lui et commença même à lui parler. Il lui proposa de lancer le sortilège doloris sur Serena. Chose qu’il n’avait jamais fait de sa vie. Et pourtant, il était excité par cette idée … Encore plus quand il lui confia que le seigneur des ténèbres était toujours ravis d’accueillir de nouveaux partisans, cet homme pouvait lui parler de Popold.

*Et après on pourra faire cramer cette école de malheur avec toutes les poufiasses et les connards qui sont dedans.*

Mais cette crétine décérébré ne lui laissa pas le temps de se concentrer pour lancer son sortilège. A peine avait-elle entendu ces paroles qu’elle avait tenté de désarmer Léopold. Et malheureusement pour le Serpentard en quête de nouvelles sensations, elle avait brillement réussi. Alors comme ça, elle était décidée à lui enlever tout le fun de cette attaque. Il sentit une nouvelle fois la colère monter en lui contre cette fille. Il la rajouterait dans son top 10 de gens à faire exploser tiens si elle continuait comme ça. Sur cette liste, il y avait beaucoup d’élèves de Poudlard et certains anciens septièmes années aussi d’ailleurs.

– Espèce de snargalouf avariés croisé avec une otarie pourrie, tu dois être une descendue de moldu pour être aussi conne.

Lança-t-il plein de colère. Elle avait sa baguette dans ses mains. Et Léopold ne supportait pas que quelqu’un touche à sa baguette.

– Rend moi ma baguette ou sinon je te jure que tu vas finir en hachis pour les loups. T’as pigé crétine ?

Il la fixait, attendant qu’elle lui rende sa foutue baguette. De toute façon, elle ne risquait pas d’aller très loin avec le mangemort tout près d’eux.

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Event n°9, je crois que je vais faire une attaque cardiaque.

- Allison Carter -

Je voulais que tu me prouves que tu tenais à moi, je voulais que tu me dises que j’étais la seule fille qui te plaisait et que tu préférais passer le reste de ta vie tout seul, plutôt qu’avec une autre fille que moi.

Allison était réellement tétanisée par la peur. Jamais elle n’avait dû affronter une situation aussi terrifiante par le passé. Faire face à un mangemort, une femme totalement terrifiante et sadique qui ne voulait que le mal … Elle ne cessait de se demander ce qu’elle faisait là, et pourquoi le destin s’acharnait contre elle aujourd’hui. Alors qu’elle s’était un peu blessé au visage, voilà qu’elle était maintenant coincé dans un bar qui prenait feu. Pourquoi ? Pourquoi leur faisait-on subir cela ? La jeune fille était réellement en train de se demander si ce jour allait être le dernier pour elle. Si tout allait se finir comme ça. Mais non ça ne pouvait pas être possible. Elle était trop jeune pour mourir, elle n’avait pas vécu. Elle n’avait jamais connu l’amour, n’avait jamais eu de première fois avec un garçon, ni même de premier baiser. Il y avait tellement de choses qu’elle devait encore découvrir, tellement de chose à vivre. La mangemorte se tenait devant elle, l’empêchant catégoriquement de passer pour s’enfuir du bâtiment en flamme. Sa baguette en main, elle réfléchissait à un sortilège à utiliser pour la contrer. Mais son cerveau marchait au ralenti à cause de la peur. Et elle n’arrivait pas à lancer un sort aussi facile qu’une stupefixion.

Allison regarda derrière elle, et vit Georgia. Elle était en septième année l’année dernière à Poudlard, et avait toujours été gentille avec elle. Elle cherchait son regard des yeux pour trouver un soutien. Elle avait peur, et avait définitivement besoin d’elle. Les larmes aux yeux, les gouttes perlaient sur ses joues. Dans un geste de réconfort, l’ancienne Poufsouffle lui prit la main et lui sourit, comme pour la rassurer et lui faire comprendre que tout irait bien, qu’elles trouveraient un moyen de s’en sortir. Allison avait tellement envie de la croire. La demoiselle lança un sortilège. Et heureusement pour elles, la mangemorte se retrouva sur le sol, pétrifié. Allison eut un soupir de soulagement. Elle prit une grande inspiration, comme si elle pouvait à nouveau remplir ses poumons d’air après une apnée. Tenant toujours sa baguette fermement.

*Mon dieu, Merlin sois de notre côté.*

Allison attira sa camarade avec elle. Maintenant que leur ennemi était neutralisé, il fallait absolument qu’elles sortent d’ici avant que la bâtisse ne se consomme complètement et ne tombe en ruine. La préfète courut vers la porte d’entrée. Mais un morceau du plafond en bois tomba à quelques centimètres d’elle, bloquant le passage et les coinçant à nouveau à l’intérieur. Elles avaient définitivement la poisse, ce n’était pas possible autrement.

– Wingardium Leviosa.

L’énorme morceau de bois commença à léviter dans les airs. Soupir de soulagement avant l’horreur. Surement trop gros ou trop lourd, il retomba bruyamment sur le sol, propageant par la même occasion le feu. Allison commença à tousser. Respirer de la fumée n’était pas bon. Les deux filles allaient devoir trouver un moyen de sortir et vite, si elles ne voulaient pas s’intoxiquer. Encore une fois, Allison se tourna vers son ainée.

– Qu’est-ce qu’on fait maintenant ? On peut pas rester ici, et j’y arrive pas. J’arrive pas à me concentrer pour lancer un sort, je suis inutile.

La peur lui faisait perdre toute confiance en elle.

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'Sorts élèves' :
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La jeune femme n’avait pas imaginé, en volant cette baguette, que le sorcier face à elle serait autant en colère d’être privé de magie. Comment, le pauvre petit vert et argent se prenait pour un grand mais paniquait à la moindre disparition de sa baguette ? La sorcière ne comptait pas lui faire de cadeau. Il allait rapidement comprendre ce qu’être un rouge et or voulait dire. On avait pas peur des autres, on avait pas peur du danger, on avait pas peur de s’élever et de hurler non. On imaginait pas les conséquences, on vivait simplement, intensément, passionnément, chaque minutes de cette putain de vie. Serena avait le regard plein de haine pour ce garçon. Elle avait toujours considéré qu’avoir été victime devait, justement, nous faire comprendre qu’il n’y avait rien de bien à devenir un bourreau.

Face à lui, Serena s’amuse, même si l’autre sorcier les observe. La jeune femme a bien comprit qu’il n’allait pas intervenir, parce qu’il attend que Leopold fasse ses preuves et c’est pour le coup à son avantage. Parce que Leopold n’est finalement ni plus ni moins qu’un adolescent en colère. Un adolescent qui se cherche encore et qui n’est pas forcément sûr d’être en mesure de tuer un autre être humain. Pas aussi sûr qu’un mangemort. C’est ainsi que Serena voit la situation en tout cas.

«- Tu la veux ta baguette ? T’es sûr ?» minaude la blonde.

Rapidement, elle sourit. Vivement, elle pointe sa baguette sur celle de Leopold en la jetant vers lui, jetant un bombarda. Le bout de bois touché ne devient plus que des miettes qui tombent sur le sol. Ils ne s’étaient pas attendus à ça, assurément.

«- Alors j’te la rend. Va t’faire foutre, Zyegler !»

Et sur ces mots, Serena transplane pour s’arracher à la présence du mangemort et de son camarade de classe. Elle atterrit tout près de Kayla, qu’elle ne remarque pas encore.

(Lancé de dés pour savoir si elle brise la baguette)

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'Sorts élèves' :
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Georgia était très surprise mais contente que son sort soit une réussite. La mangemort tomba sur le sol pétrifier. Allison avança et tira un peu Georgia de son abasourdissement. Elles avançaient toutes les deux pour sortir quand un bout du plafond en flamme tomba devant elles. La jeune rousse recula d'un pas et tira Allison. La jeune Serdaigle lança un sort pour faire léviter le morceau de plafond qui leurs bloquait la sortis. Leurs seule issus étant derrière ce morceau de bois en feu. Allison commença à dire qu'elle n'arrivait à rien avec ses sorts à cause de tout ce qui ce passait mais sans le voir, elle venait de faire léviter le morceau de bois. Georgia la prit par les épaules et lui dit le plus calmement possible et gentillement :

-Écoute, ne doute pas de tes capacités. Dans ces moments difficile il faut savoir garder son sang-froid même si cela parait insurmontable. Allison tu peux le faire. Aller avançons avant que ton sort ne se dissipe.

Elle ne laissa pas le temps à sa cadette de répondre et la tira de nouveau par la main pour passer en dessous de la structure en feu. Georgia avait fait ce petit speech pour motiver Allison mais aussi pour se motiver elle-même car elle ne l’avouerait pas devant sa cadette mais elle avait peur que son sort ne dur pas assez longtemps pour les laisser passer la porte ou était la mangemort pétrifier. Elles se hâtaient vers la sortis et Georgia priait pour sortir avec Allison et survire aux flammes. Pour la suite, elles verront bien une fois dehors.

Event n°9, je crois que je vais faire une attaque cardiaque.

- Allison Carter -

Je voulais que tu me prouves que tu tenais à moi, je voulais que tu me dises que j’étais la seule fille qui te plaisait et que tu préférais passer le reste de ta vie tout seul, plutôt qu’avec une autre fille que moi.

La terreur. Ce sentiment de peur extrême, totalement incontrôlable, capable de totalement paralysé une personne. Allison n’était pas franchement quelqu’un de courageux. Elle n’était pas allée à Gryffondor pour cette raison, et elle s’en fichait normalement. Aujourd’hui, la demoiselle était en train de se rendre compte à quel point le courage pouvait être une qualité importante. Avec tout ce qui se passait autour d’elle, Alli n’y arrivait pas. Elle ne pouvait pas rassembler ses forces pour donner l’illusion qu’elle pouvait se battre, qu’elle n’était pas totalement terrifiée. Non elle était comme une gamine qui avait peur du noir. Et elle pleurait, ne pouvant s’en empêcher. Des larmes perlaient sur ses joues, et elle était incapable de se stopper. Tellement pathétique. Si tout le monde réagissait comme elle face à ce genre de situation, ils seraient tous dans de beaux draps. Elle avait tout de même de la chance d’avoir Georgia avec elle. Si cette fille n’était pas là, elle serait surement morte de peur, voir morte tout court à cette heure-ci. Mais sa camarade était là pour la rassurer. Rien qu’en lui tenant la main, et en lui disant quelques mots, elle lui réchauffait le cœur. Même si les choses tournaient mal, elle ne serait pas seule.

La bâtisse était en feu. Et maintenant que la mangemorte était un peu sonné, il était grand temps de se précipiter vers la porte avant de finir carbonisé. La jeune fille attira sa camarade avec elle, mais un bout du plafond en feu tomba sur le sol, les empêchant une nouvelle fois de passer. La fumée s’accentuait. Et Allison commençait déjà à tousser. Elle lança un sortilège de lévitation qui malheureusement ne dura pas assez de temps pour laisser les filles s’échapper totalement. Non mais Merlin était vraiment contre elles aujourd’hui ?

*C’est une blague ? Mon dieu.*

Allison se tourna une nouvelle fois et alors qu’elle allait se plaindre une nouvelle fois de sa magie déficiante, elle tomba nez-à-nez avec cette mangemorte. Visiblement, elle s’était relevée après avoir été touché par le sort de sa camarade. Le cœur d’Allison s’accéléra. Elle était encore plus terrifiante vu de près. Allait-elle la tuer ? Fermant ses doigts un peu plus sur sa baguette, Allison essayait mentalement de se préparer à lancer une attaque si elle voyait la femme bouger sa baguette. Et elle le fit. Allison leva immédiatement sa baguette, comme un réflexe. Mais ce n’était pas elle qu’elle visait. La mangemorte pointa sa baguette en direction de Georgia et lança un sortilège Doloris. Oh mon dieu.

– Nooooooooooooooooooon arrêtez-ça, je vous en supplie.

Cria la jeune femme. Elle connaissait les effets de ce sort pour les avoir étudié en cours, et Georgia allait subir une douleur tellement horrible. Pourquoi torturait-elle la pauvre jeune femme comme ça. Les larmes d’Allison se firent encore plus intense alors que la mangemorte continuait d’être sadique à prendre plaisir à voir la pauvre fille se tordre de douleur.

*Fais quelque chose.*

– BOMBARDA MAXIMA

Cria-t-elle en direction d’un meuble juste à côté de la mangemorte. Avec un peu de chance, l’explosion allait la distraire pour qu’elle laisse sa camarade tranquille.

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'Sorts élèves' :
EVENT N°9 ♣ Howling, crying, praying ... useless - Page 4 160330010920104528

La jeune femme n'est pas spécialement sérieuse quand elle parle d'un strip-tease évidemment, ce n'est dit que pour rebondir sur les propos tenus par Spencer quand ce dernier parle de moyens pour devenir bouillonnant. La demoiselle rit, parce que des méthodes pour devenir bouillant, elle en a plein en réserve, elle ne lui propose que la plus soft et seulement sur le ton de la plaisanterie, ni plus ni moins. Elle avait déjà regardé Spencer, de là à envisager réellement quelque chose avec lui, c'était une autre histoire. Quoi qu'il était tout de même vraiment bien fait et qu'aucune fille normalement constituée et hétérosexuelle ne refuserait les avances du bleu et bronze.

"- Oh tu cherche des moyens de devenir bouillonnant trésor, moi je propose simplement, c'est tout." répond la jeune femme avec un large sourire adressé au sorcier. "Déjà, si on arrive à se sortir de là, je serai déjà contente de pouvoir me déshabiller pout prendre une douche. Je la visualise déjà. Avec de l'eau chaude, beaucoup de savon, qui dure trèèèèès longtemps... Non, en fait, je prendrai un bain. Coloré. Avec plein de bulles. Ce serait vraiment le pied..." rêve déjà la demoiselle.

Mais pour mériter ce bain qu'elle évoque avec tant de ferveur, la verte et argent doit pour le moment réussir à quitter l'université ou se mettre en tout cas à l'abris, ce qu'elle ne saurait faire sans l'aide de son ami. Alors elle essaie de s'en sortir et se doute bien que c'est ce qu'il tente de faire aussi, en lançant des sorts qui plaisent plus ou moins à la jeune femme. Un, notamment, qui a pour but d'aveugler un ennemi, ce qui vaux à Spencer une amicale réprimande, dite sur le ton de l'humour. La sorcière sait bien qu'il n'a pas fait cela contre elle et que ce sort peu s'avérer être on ne peut plus utile. Mais comme elle souhaite détendre Spencer, la demoiselle joue, le taquine.

"- Tu tends des perches sur l'aveuglement et sur ton fessier que je ne peux même plus regarder oui. Et d'une manière générale si je voulais vraiment jouer sur les mots et aller au bout de tout ça... je dirais qu'en fait tu tend LA perche." lance la sorcière.

Ce n'est pas un reproche non et dans sa tête tout est toujours très clair. C'est de l'humour, rien que de l'humour pour s'en sortir, pour qu'il reste détendu, qu'il ne laisse pas son esprit être envahi par la panique. Même si en soit, il ne serait probablement pas désagréable sous une couette, tout ce que dit Daphné ici n'est pas spécialement envisagé. Ce sont des mots, surtout, avec un but bien précis, qu'ils semblent atteindre. Pour le reste, ils verront plus tard. Ils auront tout le loisir de rire de toute cela après en se disant que c'était des conneries, ou pas. Mais pour l'heure ce qui compte c'est de s'en sortir.

"- Ouai t'as raison ! Puis le côté positif au fait de ne pas crever, c'est que tu peux recommencer et ça c'est plutôt cool !"

Quand il parle de chocolat, Daphné se sent d'un coup revigorée et elle irait bien, d'un coup, chez la mère de Spencer pour un chocolat. Parce que même si elle dit que c'est trop tôt pour une rencontre officielle, sur le ton de la plaisanterie, l'idée de la sécurité et la chaleur d'un foyer où personne ne tente de la tuer, avec un bon chocolat chaud et de la guimauve, c'est plutôt séduisant. Quand Spencer dit que ce chocolat sera leur motivation pour s'en sortir, elle frissonne et hoche la tête, sentant déjà presque l'odeur de celui-ci.

"- Ouai youhou, j'ai réussi un sortilège, c'est limite le premier qui ne fait pas de dégât depuis la rentrée, je suppose que je dois sauter de joie !? J'ai faillis pétrifier le prof la semaine dernière, à ce qui parait... il bougeait un peu trop près de moi et réflexe quoi..." soupire la demoiselle.

Comme il lui a apprit qu'ils sont à Londres, elle semble se rassurer et aller mieux. Pourtant, elle lui fait une demande que le sorcier en bleu et bronze n'est pas près à entendre, n'a pas envie d'entendre et elle soupire. Elle veut qu'il le lui promette, au cas où. Parce que cette attaque prouve bien qu'on est jamais sûr de rien. Mais elle se laisse prendre dans les bras de Spencer, refermant ses propres bras autour de lui. C'est revigorant, c'est rassurant. Daphné ne peut pas dire que ce n'est pas agréable de se sentir en sécurité entre les bras d'un garçon.

"- N'importe quoi, on dirait le chevalier servant qui sauve la princesse là... J'parle pas forcément d'aujourd'hui tu sais Spency. J'parle de la vie en général... Dans ce monde de merde, qui sait ce qui nous attend demain ? Ou même à l'angle de la prochaine rue ? S'il m'arrive quelque chose, aujourd'hui ou n'importe quand... Promet moi que tu seras là pour me remplacer auprès d'elle..."

Même s'il ne pourra pas toujours l'être parce que dans l'idéal, Daphné souhaite qu'Astoria puisse rentrer dans leur époque. En attendant que ce jour arrive si elle ne peut pas veilleur elle-même sur sa sœur, elle tient à ce que quelqu'un le face pour elle, en sa mémoire.

"- Oui, moi aussi..." répond la sorcière avant de baisser la tête. "J'espère que tout va bien là-bas. Mais... mais si ce n'est pas le cas, je ne serais pas d'une grande aide et tu ne pourrais pas aller... protéger Allison par exemple, je serait un boulet plus qu'autre chose sur ta route."

Ce n'était peut-être pas l'idée du siècle que d'emmener une aveugle sur une bataille, si effectivement Poudlard n'était plus un lie sûr. Mais Daphné avait pour une fois confiance en Dumbledore pour repousser Voldemort : les livres d'histoire n'avaient jamais fait mention de la chute de Poudlard pendant la première guerre des sorciers, elle songeait de fait que ça n'arriverait pas non plus cette fois. Alors elle songeait qu'une vérification, ça ne coûtait pas grand chose.

"- Allons y, puis préviens ta mère pour le chocolat." répond la sorcière en se relevant.

Le plus important quand on veut qu'une chose arrive, ou qu'elle n'arrive pas justement, c'est d'avoir la foie. Penser au chocolat chaud c'est songer que tout va bien à pré-au-Lard. Si seulement. Elle reste contre lui et murmure.

"- Pré-au-Lard. A trois. Un. Deux. Trois."

Re-Bienvenu en enfers ! Daphné entend les cris, les hurlements, elle se raidit. Elle comprend que si l'école n'est pas attaqué, le village sorcier à quelques pas l'est et elle redoute que les élèves de l'école ne soient venus en renforts, comme la dernière fois lors du bal d'Halloween.

"- Tu... tu vois Astoria !?"

EVENT N°9

Howling, crying, praying ... useless

Alice Miller

Alice ne pouvait pas tournée le dos à la scène qui se déroulait sous ses yeux il lui fallait agir et vite avant que les personne présente dans le bar finisse complètement rôtie et morte. La mort Alice ne pouvait plus la supporter pourtant on y était souvent confronté quand on était auror et la brune devrait s'y habituer pour ne plus sentir son coeur se serrer à chaque fois qu'elle posait les yeux sur un cadavre. Ses professeurs lui avait déjà dit son grand coeur était une force et une faiblesse car cela pouvait la rendre trop sensible et sur un terrain de guerre on ne pouvait pas se permettre d'être trop sensible. Aujourd'hui elle devait prendre sur elle pour pouvoir venir en aide à ceux qui en avait besoin et qui attendait d'être secourut. Approchant du bar elle hésita arrêter le feu était une priorité mais elle ne pouvait pas bien lancer son sort avec une mangemorte planter dans la porte cela lui laissait peu de place pour son jet d'eau et elle avait peur que cela soit vain. Du coup elle devait se débarasser de son adversaire pour pouvoir ensuite très rapidement lancer son sort d'eau pour stopper les flammes et libérer les personnes prisonnières à l'intérieur.

" Saleté de Mangemorte ! Stupéfix" Son premier sort loupa alors elle n'hésita pas et lança un puissant "Aguamenti" Par dessus l'épaule de son adversaire elle pourrait continuer sa petite guerre une fois ses camarades en sécurité cela n'était pas très grave qu'ils soient coincé si les flammes ne menaçait plus de les tuer et puis ils pourraient ainsi lui venir en aide et mettre cette personne hors d'état de nuire avant qu'Alice finisse de nouveau dans un sale état à cause d'un membre du camps du mal. Elle était toute de même heureuse de voir cette bonne femme même si elle ne voyait pas sa tête plutôt qu'un homme, elle avait un mauvais souvenir de celui du ministère de la magie et lui ne devait pas non plus en garder un bon d'elle. " A nous deux maintenant je vais te faire la même chose qu'a ton copain" Provoquer encore et toujours pour montrer qu'elle n'avait pas peur et qu'elle ne tremblerait pas devant eux parce qu'ils s'amusaient à faire du mal à tout le monde pour prouver leur domination, ils n'auraient pas la soumission d'Alice ça elle se l'était promis.

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#1 'Sorts adultes' :
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#2 'Sorts adultes' :
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