George * France * Voyage de noces

Les valises étaient prêtes, depuis deux bonnes semaines. La jeune femme ne tenait plus en place, alors que le couple économisait depuis des mois pour s'offrir ces quelques jours de coupures. La demoiselle avait hâte de partir, car après leur mariage, entre la fin des cours, les examens et l'ouverture de la boutique, les travaux, les deux amoureux n'avaient pas eut la possibilités de partir en voyage de noces, ce qui expliquait qu'ils aient attendu aussi longtemps pour s'offrir ces quelques jours de repos. La boutique était fermée pour deux semaines et les deux amoureux étaient sur le point de partir mais, comme d'habitude, George n'était pas prêt. Une farce en se levant avait mit l'homme en retard et dans l'entrée de l'appartement au-dessus de la boutique, son épouse commençait à s'impatienter alors qu'elle avait grande hâte de rejoindre ce petit coin de paradis qui les attendait.

Ils avaient choisit le sud de la France pour s'établir quelques jours, dans un coin que l'on appelle la côté d'Azur et où, déjà en ce début de mois d'Avril, les températures étaient nettement plus élevées qu'en Angleterre. Il ne restait qu'à prendre le portoloin déposé dans l'entrée, sitôt que George aurait trouvé ses chaussures et cesserait de courir partout en cherchant son bien, provoquant les soupirs de sa femme.

«- C'est bon, tu as finis ? On va pouvoir y aller ?» demande la jeune femme en le voyant finalement descendre de l'étage.

C'est que la demoiselle commençait à avoir faim, en prime, après un petit déjeuner frugal et elle avait hâte de goûter aux spécialités française, si bien qu'elle s'interdisait d'ouvrir le moindre paquet de biscuit et ce malgré les légères crampes qu'elle avait à l'estomac.

«- Bien, si tu es prêt, nous allons pouvoir y aller ! A trois ! Un, deux trois !»

S'emparant de la pantoufle qui sert de portoloin, Lisa sent le sol se dérober sous ses pas.

George, à l’heure? C’était extrêmement difficile pour lui! Du temps de ses études, il s’assurait d’arriver à la seconde prête. Au moins, il ne se faisait pas hurler dessus par les professeurs, mais maintenant, il ne faisait plus du tout attention au temps qui passe. Il serait éternellement insouciant même si la mort de son frère lui avait volé une partie de lui-même. Le mois de mai était toujours un mois plus douloureux pour le rouquin qui ne se permettait plus de blagues et de taquineries. Il tombait dans un sérieux presque religieux teinté par la mélancolie d’avoir perdu son jumeau. Avec Lisa, il passait ce mois plus facilement que seul, mais il serait toujours là, le souvenir du cadavre de son frère gisant au sol, sans vie… La mort ne ressemblait tellement pas aux frères Weasley tellement vifs qu’ils pouvaient vivre pour plusieurs. Pourtant, étant humains, la fatalité frappait sans qu’on y puisse quoi que ce soit.

Heureusement, on n’était qu’en avril et le jeune homme n’y pensait pas encore. Il pensait évidemment à son frère ce jour-là, mais plus avec une certaine fierté, lui disant dans sa tête qu’il aurait aimé qu’il soit là ce jour-là, avant de partir, pour un au revoir en bonne et du forme. Penser à son frangin lui donna une idée de farce qu’il voulut transcrire rapidement dans son carnet d’idées, mais plus il écrivait et plus les idées, fusaient, alors il passait beaucoup de temps dessus au malheur de Lisa qui l’attendait déjà en bas. Weasley était pire qu’une demoiselle sur le temps de préparation puisqu’il oubliait qu’il devait se préparer et faisait autre chose durant ce temps. Relevant la tête de son calepin, il se souvint qu’il lui restait à chercher ses souliers. Il les avait rangés où déjà? Causant de longs soupires à Lisa, il courut d’un bord et de l’autre, cherchant ses godasses et ayant mis la main sur eux, il finit, enfin, par rejoindre sa jeune et jolie épouse avec leurs bagages miniaturisés dans sa poche de jeans. Ils prirent le porte au loin et ils arrivèrent dans un petit village près de la mère sur la côte d’azure. Cet endroit était exclusivement sorcière, alors personne ne s’étonna de voir deux personnes tomber du ciel sans aucune grâce. Riant et passant ses mains sur son pantalon pour enlever la poussière, Weasley regarda autour en souriant.

- Nos vacances vont être fantastiques! On commence par quoi? J’ai faim! On va manger chérie?! Toi aussi tu meurs de faim, j’entends ton estomac gronder! , il dit en riant.

Ainsi, il attrape sa main et la conduit dans une crêperie. Il se commanda une crêpe aux bonbons et au chocolat avec une bièreaubeurre avant de s’asseoir en face à elle à ne table pour deux et il se mit à la dévore du regard.

- Et si on faisait l’amour sur la plage, ce soir?, il chuchote en jouant des sourcils.

Alors qu'ils arrivent sur le lieux de leurs vacances, la demoiselle réussit à se réceptionner un peu mieux que son petit ami, qui lui se vautre à moitié, sous le regard des sorciers aux alentours. Heureusement qu'ils avaient choisis un village sorcier, tant l'indélicatesse de leur arrivée aurait provoqué la stupeur et l'inquiétude chez les moldus. Lisa a un petit rire en regardant l'homme qui époussette la poussière sur son jean. Bon, elle sera bonne pour laver celui-ci ce soir d'un petit sortilège. Peu importe ce n'est pas ce qui compte pour le moment car déjà George entraîne sa douce en s'extasiant sur leurs vacances à venir, assurant que celles-ci vont être fantastiques. Lisa espère bien qu'elles le seront, ce sont tout de même leurs vacances de noces, avec beaucoup de retard, le temps pour eux d'amasser l'argent nécessaire à ce voyage, en soit.

Lisa rit comme l'homme fait la question et la réponse, alors qu'il a faim, affirmant que c'est aussi le cas de sa belle et la bleu et bronze lui emboîte le pas, alors que l'homme décide de se rendre dans une crêperie. Lisa est surprise, parce que les crêpes c'est une spécialité de Bretagne, c'est donc là-bas que l'on trouve plus facilement ce genre de choses. Mais soit elle ne va pas se plaindre de trouver une crêperie, alors qu'elle a toujours eut l'envie de goûter aux fameuses crêpes de France. Elle en demande une napée de pâte à tartiner et d'une crème fouettée que les français appellent Chantilly.

«- Alors toi... y'a bien que toi pour faire une proposition aussi indécente devant deux verres de cidres et des crêpes....» fait observer Lisa. «Pourquoi pas... Mange ta crêpe d'abord, la journée est loin d'être finie, j'ai envie de visiter avant que la nuit ne tombe et j'aimerais pouvoir profiter un peu de la plage même si je doute de pouvoir me baigner.»

Lisa le fait sourire en parlant d’indécence. Peut-être, mais ce n’était pas le but de la lune de miel de jouer à des jeux pour adulte? George était comme ça. Très immature, ne pensant pas forcément aux choses plus importantes que cela. Il ne s’inquiétait pas plus que cela. C’était sa façon de rester joyeux et ne pas sombrer dans la dépression de savoir son frère si près, mais en même temps si loin puisque le seul existant encore n’était qu’un bébé à l’heure actuelle. Un bambin qui était destiné à mourir trop tôt, un 2 mai 1998. On lui reprochait de ne pas chercher à partir, de ne pas s’inquiéter outre mesure, mais repenser à cette époque lui faisait trop mal. Il comptait bel et bien se battre, aider lorsqu’on le lui demanderait, mais il ne voulait pas y réfléchir. Hors de question! Il ne voulait pas devoir assister à l’enterrement de Fred si… rien ne changeait.

- Tu me connais! C’est mon sujet préféré après toi, les farces et le Quidditch! Je devais t’en perler avant qu’on soit trop occupé à… visiter? Nous allons voir quoi? Une boutique de farce et attrape? Le terrain de Quidditch? OH! Nous pourrions allez-voir cette petite boutique souvenir de l’équipe de Quidditch de France que nous avons vue en atterrissant?! S’il te plaît!!! Je veux une carte de la batteuse de l’équipe!

Il lui sourit et il recouvra sa crêpe de sirop d’érable, de confiture, Chantilly ainsi que de bonbons en tout genre. Très sucré probablement, mais il adorait ça et il mangea son plat avec grande hâte!

- Tu as apporté ton maillot de bien rouge que je t’avais offert hier? Dans celui-là, tu es trop… belle! Je sais, tu aimes le bleu, mais j’ai l’impression d’être un peu avec toi quand tu as quelque chose de rouge avec toi.

Lisa lui adresse un large sourire, en pensant que le jeune homme ne changerait décidément jamais. Après tout, ceci dit, elle l'aimait comme cela alors elle n'allait pas s'en plaindre. Mais il ne savait pas être sérieux même ne serait-ce que cinq minutes, à moins que Lisa ne sorte de ses gonds et lui fasse ainsi comprendre qu'il venait d'aller trop loin, ce qui n'arrivait pas toujours mais tout de même quelques fois, lorsque la jeune femme n'en pouvait plus, ne se sentait pas soutenu par son mari, parce que ce qui provoquait son inquiétude semblait amuser le sorcier quand il n'aurait pas dût en rire. Lui ne voyait pas certaines choses, ne les prenait pas en considération, donnait l'impression de se foutre de tout. Et parfois, parfois il réalisait que Lisa n'était pas comme lui, pas aussi peu responsable, peu raisonnable, si bien qu'elle pouvait avoir peur, qu'elle pouvait éprouver une sensation de solitude, face à quelques tourments. Lui semblait s’accommoder de leur vie ici tandis que la demoiselle espérait bien revoir ses parents un jour. Seulement rien ne bougeait.

«- Tu es vraiment impossible.» remarque la demoiselle en commençant à se régaler d'une crêpe nappée de pâte à tartiner et de crème fouettée. «Je pensais à promener, profiter des paysages, de l'air du bord de mer. Mais nous irons dans ta boutique, si tu veux.»

Lisa soupire en lui tirant la langue. Une carte de la batteuse de l'équipe, rien que ça. Il lui parlait d'une autre dans les premières minutes, seulement, de leur voyage de noces et ce certainement sans mesurer l'indélicatesse de tels propos à l'égard de son épouse. Mais soit. La demoiselle avait l'habitude en soit.

«- Je l'ai apporté mais je ne suis pas certaine d'avoir l'occasion de le mettre pour aller à la plage j'ai peur que, bien que nous soyons dans le sud du pays, il ne fasse bien froid tout de même, au vu de la saison.» fait observer Lisa. «Et je ne voudrais pas tomber malade, quand-même. J'ai des cours en rentrant.» Studieuse, toujours.

Il rigole comme elle lui tire la langue. Il ne pensait pas à mal. Il ne pensait pas mater la batteuse dans ses temps libres non plus. C’était pour sa collection de joueurs de Quidditch, c’était tout! Ce n’était rien de plus qu’une collection de cartes qu’il comptait transmettre à ses enfants lorsqu’il en aurait. La demoiselle ne serait pas en dessous, quoi! Il aimait les batteurs puisqu’il avait fait la même chose à Poudlard. Là était la différence. Il avait Lisa devant lui. S’il voulait profiter d’un splendide spectacle, il allait la regarder, elle, et pas une autre. S’il l’avait épousée, c’était pour être à elle et exclusivement à elle.

- Ne me regarde pas comme ça! Ils ont que des filles dans cette équipe. De toute façon aucunes d’elles et aucune femme dans ce monde, d’ailleurs, n’est plus jolie que toi, ma beauté!

Elle dit que oui, mais ne pense pas que l’eau soit assez chaude pour pouvoir se baigner. Il soupire et il fait une moue boudeuse.

- Moi qui voulais te voir dedans… Dommage! Au pire, il sera toujours possible d’aller dans une piscine intérieure ou au spa dans l’hôtel! Si tu veux te promener, je veux bien. Par contre, tu sais bien à quel point je ne tiens pas en place! Alors, il faudra t’attendre à ce que je sois un peu trop joueur! Je préviens! Ce ne sera pas de ma faute si je te chatouille jusqu’à mort s’en suive!, il dit avec un sourire en coin.

Plus tard, ils marchent sur la plage. Les pieds nus, il tient d’une main ses souliers et de l’autre, George tient celle de sa femme. Les vagues viennent doucement effleurer leurs orteils. Le rouquin pose un regard doux sur l’amour de sa vie. Il finit par l’inviter à s’asseoir sur le sable et il vient la serrer tout contre son torse. Ses lèvres gagnent sa tempe avant de souffler qu’il l’aime.

- Mon prochain produit Weasley, je vais l’appeler La beauté bleue… En ton honneur. Un petit pantin magique dansant dans une magnifique robe bleue. Ses cheveux seront roux… Autour d’elle tomberont des étoiles.

Son mari était impossible, toujours le même et il ne pensais qu'au quidditch et aux farces. Ce n'était même pas pour la batteuse, en soit, que Lisa râlait, simplement pour l'idée d'aller s'enfermer dans une boutique alors qu'ils étaient en voyage de noces et qu'elle pensais en profiter pour se régaler du paysage, de promenades, de petits restaurants du bord de mer. Soit. Le mariage étant fait de concessions, la jeune femme acceptait de se rendre dans cette boutique mais son mari avait intérêt à lui accorder quelques grâces à son tour pendant le séjour. Elle sentait déjà que ce ne serait pas une mince affaire d'emmener l'homme pour des balades, le connaissant. Et il ne manque pas de le lui faire savoir non sans avoir exprimé sa désolation de ne pas voir sa douce sur la plage mais proposant une alternative idéale.

«- Oui j'imagine que nous pourrons profiter de la piscine de l'hôtel.» elle pousse un soupir. «Il faut toujours que tu sois si... George Weasley hein ? Incapable d'être sérieux même quelques minutes ?»

pour sa part elle voulait voir ces paysages, elle voulait en profiter, mais elle n'avait pas l'impression que son mari comprenait le sens de ses désirs. Il ne comprenait pas son esprit d'aiglon, son besoin de faire des découvertes, d'apprendre, tout le temps. Lui ne vois que le jeu et projette déjà de jouer, de jouer tant et plus. Elle sait qu'elle ne pourra pas l'empêcher, mais elle aurait aimé que son mari ait un peu plus de considérations pour ses désirs. C'est rarement le cas alors qu'il va toujours trop loin avant de réaliser ses erreurs et s'excuser. Non, quand il retrouve un peu de son sérieux, c'est pour parler boulot, si tant est que son boulot soit sérieux... mais il travaille dans l'industrie du rire.

«- Trop chou.» admet la demoiselle. «Mais ce n'est pas vraiment une farce quand on y pense.»

Ni une potion comme ils en vendaient, ni même un réel jouet. Comment le définir ?

Weasley regarde sa madame Weasley-Turpin avec amusement, sentant son découragement. Elle se doutait que sa sortie n serait peut-être pas comme elle l’espérait. Il n’était pas l’homme le plus patient et le plus sérieux de l’univers, il fallait le dire! Depuis la mort de jumeau, il voulait toujours y encore plus s’amuser. D’une certaine façon, c’était non seulement pour voiler sa douleur, mais aussi sa façon de le faire « vivre ». Faisant pour lui ce qu’il ne pouvait plus faire aujourd’hui.

Pourquoi je suis toujours George Weasley, le manque de sérieux incarné? Parce que quand je ne rit pas, je déprime. Tu sais bien que je n’ai pas d’entre deux! Du moins, j’ai vraiment du mal avec ça et ce n’est jamais longtemps! Même quand je travail, je ne suis pas tellement sérieux! Je fais de mon mieux, mais ça me démange!

Il avait su mal à comprendre son côté Serdaigle. Étant limite hyperactif, il avait besoin de toujours s’occuper. Encore et toujours jouer, sinon il s’emmerdait et devenait lourd à supporter. Il était fait comme cela! Pourtant, il volait l’en faire plaisir à son épouse!

J’imagine que nous pouvons mélanger nos deux caractères. Tu n’as jamais pensé à apprendre en jouant? Tu sais, on raconte que les mioches apprennent mieux avec le jeu! Si nous faisons quelque chose dans ce sens? Il doit bien exister des activités touristiques amusants qui me feront rire! Je suis prêt à rejoindre des groupes moldus s’il le faut et je rangerais ma baguette!

On ne pourrait pas dire qu’il ne aidait pas d’effort! Il voulait qu’elle produire aussi de leur lune de miel! Il n’était juste pas très patient... Le sujet changea finalement et il fut question d’une poupée magique.

- Ce n’est pas une farce, c’est un hommage! Un hommage à ma rousse chérie! La Serdaigle de mes rêve! C’est surtout dans le but de décorer la boutique actuellement vu que je n’ai plus ma marionnette magique d’Ombrage!, Il dit en riant.

Elle s'en veut de sa question, quand elle croise le regard de son mari. Oui c'est vrai, elle le sait, même si ce n'est pas évident à supporter et accepter tout les jours, que parfois c'est vraiment difficile au quotidien pour elle, car elle est plus sérieuse que son cher et tendre. Mais elle sait que ça lui permet de ne pas déprimer, de se raccrocher à quelque chose et de ne pas déprimer pour la disparition de son frère qui, naturellement, ne manque pas de l'affecter. Elle le sait, elle baisse la tête et se mord la lèvre. Elle ne voulait pas faire de la peine à George, loin de là. Mais il fait des efforts pour sa belle et pour permettre à cette dernière de profiter aussi de son voyage.

«- On peut trouver ce genre de choses je pense, en cherchant bien... Mais oui, on range la baguette. Je dirais même les deux baguettes, monsieur Wealsey car l'une n'est pas adapté au monde des moldus et la seconde ne l'est pas pour les petits yeux innocents qui se baladent en ville parfois.» annonce la jeune femme en faisant un peu d'humour. «Je regarderais un peu ce que nous pouvons faire et qui soit un peu amusant dans un même temps pour satisfaire.. ta drôlerie.» annonce l'aiglonne.

Il parle, il parle tout le temps George, il ne s'arrête pas souvent, quand il est question de ses idées. Il en a. Plein. Parfois trop. La demoiselle rit alors qu'il parle de faire une poupée en son honneur. C'est chou, la demoiselle a un petit rire. Elle imagine ça d'ici. Mais ce n'est pas une farce, l'homme en convient. Ce serait une décoration pour la boutique, en fait. Pour remplacer son Ombrage animée. Elle rit.

«- Tant que ma tête est plus réussis que la sienne je n'y vois pas d'inconvénient ! Mais je serais très éxigente, monsieur !»

- Tu es la plus jolie. Évidemment, elle sera magnifique et réussie.

L’homme sourit à sa douce après avoir rit après sa petite plaisanterie, s’imaginant courir tout nu dans les rues de France. Lisa ne serait très certainement pas contente qu’il fasse de telles plaisanteries de mauvais goût. Lisa n’était pas idiote comme lui. Elle savait se tenir. Elle aimait rire, mais elle avait de la retenue et lui-même n’en avait pas.

- C’est parfait mon amour. Nous profiterons de nos vacances et tu pourras apprendre des trucs. Espèce de Serdaigle qui ne sait pas ce que c’est réellement s’amuser!, il dit en rigolant.

Passant un bras entour des épaules de sa belle et il embrassa sa joue en se rendant à la boutique où il voulait se rendre plus tôt. Il put s’acheter sa carte de collection et il la rangea dans sa poche précieusement cet objet qu’il voulait avoir depuis un moment. En fait, c’était une promesse qu’il avait faite à son frère. Cette carte était rare à leur époque et il lui avait promis de la lui acheter s’il la trouvait. Il ne pourrait jamais la lui donner, mais il avait tenue sa promesse. Passant à côté d’un bâtiment, il s’arrêta devant en remarquant quelque chose.

- OH! C’est la plus vieille maison hanté de France! J’ai entendu dire que le fantôme serait un vieux philosophe qui raconte des trucs trop marrant! On va visiter? Tu va surement apprendre plus de truc et moi je vais pouvoir me moquer de ce vieux bonhomme qui croit encore vivre au 116ième siècle!

Il lui prend la main sans vraiment lui laisser le choix au final et il l’emmène dans cette maison sorcière et réellement hanté pour une visite rapide, intéressante et assez drôle pour ne pas endormir George Weasley.

Sujet: Re: George * France * Voyage de noces

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