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 Silvius - Father and son

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Leroy M. Odgen
Leroy M. Odgen
Bonjour ! J'appartiens à la maison : Serpentard J'ai posté : 369 hiboux. Grâce à moi ma maison a gagné : 6 pour une aventure ! Je suis de la génération : maraudeurs . Je suis un aventurier : on peut me blesser A savoir sur toi : Silvius - Father and son Jidc
« Il y a deux choses qu'on ne peut contrôler : l'amour et la mort. Le reste n'est qu'une question de choix. »

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MessageSujet: Silvius - Father and son  Silvius - Father and son EmptyMer 25 Juil - 18:01
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Father and Son
Leroy Odgen & Silvius Callaghan
Cela faisait des mois, voir des années que Leroy attendait ce moment. Le moment où il saurait enfin d’où il venait, où il pourrait rencontrer ses parents biologiques. Mais il avait eu peur de nombreuses fois en y pensant, ne sachant pas vraiment comment ça se passerait. Est-ce que c’était important ? Oui c’était important pour lui de le savoir, mais il ignorait s’il voudrait après les avoir vu une fois, les considérer comme ses vrais parents. Il ne se voyait pas venir d’une famille aimante, il imaginait bien que ses parents ne soient pas ensemble pour l’avoir abandonné de cette manière et il serait sans doute dans le mal s’il apprenait l’inverse. Imaginer ses parents biologiques vivants ensemble, ayant eu des enfants après lui, cela le mettrait en rogne, le dégoûterait complètement et il ne savait pas comment il serait capable de réagir. Depuis la mort de Kayla il avait l’impression d’en vouloir à la terre entière, d’être capable de partir au quart de tour dès que quelque chose n'allait pas et pourtant il arrivait à garder le contrôle de lui-même. Ses recherches il ne savait pas vraiment pas par où les commencer, en l’occurrence quand il avait voulu les retrouver, il était encore mineur et son tuteur sorcier ne voulait lui donner aucune info. A présent qu’il avait 18 ans passé, il pouvait bien savoir. Car Leroy savait que sa mère avait sans doute dû donner son nom et son prénom pour le laisser dans l’orphelinat où il passerait toute sa scolarité. Oui elle avait dû faire un truc comme ça, sinon son tuteur ne l’aurait pas fait languir là-dessus en lui disant qu’il saurait à ses 18 ans et pas avant. Leroy avait attendu et finalement après de nombreuses réflexions, il était allé le voir pour lui demander. Le sorcier avait sorti un dossier très mince de son bureau, quelques papiers concernant Poudlard, sa scolarité, notamment son diplôme qui lui revenait de droit et un document comportant sa date de naissance, le jour où il avait déposé à l’orphelinat et un nom. Un seul nom. Celui de sa mère. Elle s’appelait Jessica, mais quand il avait demandé à son ancien tuteur comment s’était possible, pourquoi n’avait-elle pas simplement abandonné l’enfant avant de partit, l’homme n'avait pas répondu, laissant supposer à Leroy une sorte de machination qui le dépassait complètement. Le jeune homme n’avait pas cherché plus loin, emportant avec lui le dossier et était partis sans demander plus d’informations. Et il avait chercher qui pouvait-elle être, espérant qu’elle sache qui était son père. Oui elle devait savoir. Avec son boulot ses recherches avaient été longue ne pouvant rechercher trop souvent, mais il avait finit par savoir qui elle était. Une prostituée qui travaillait dans une taverne dans l’allée des embrumes. Leroy y été alors allé tout simplement, sans avoir plus de détails et avait demandé à l’avoir. Sans doute que l’homme à qui il avait parler avait penser qu’il avait besoin de ses services car elle semblait prête à lui offrir son corps quand il la vit la première fois. C’était gênant et totalement immonde. Mais bon. Le jeune homme mit les choses au clair, expliquant ne pas être venus pour ça et elle sembla soudainement surprise. Elle devait approcher la quarantaine, mais restait toutefois d’une certaine beauté. Et sans filtre, sans aucun détournement, Leroy lui expliqua son histoire. A mesure qu’il parlait il avait vu le visage de la femme se décomposait, se rendant compte que le fils qu’elle avait abandonné des années auparavant se tenait devant elle. Lorsqu’il eue finit, tous deux restèrent dans un silence froid et pesant. Leroy avait l’impression qu’elle ne voulait toujours pas de lui, ce qui était très décevant, mais il s’y attendait. Elle lui expliqua pourquoi elle avait fait ça, mais ce n’était même pas la peine d’expliquer, il comprenait très bien. Ce qui importait maintenant c’était de savoir quel homme était son père. Et là ce n’était pas une mince affaire vu le travail de sa mère, mais elle ne douta pas une seconde avant de prononcer un prénom. Un nom que Leroy connaissait : Silvius Callaghan. Il avait été son ancien professeur de Botanique à Poudlard. Donc si prêt sans savoir, était-ce bien vrai. Il demanda confirmation et en quelques phrases elle lui expliqua très clairement pourquoi elle savait que c’était lui. A la fin de cette rencontre, Leroy avait simplement hoché la tête, l’avait remercié avant de partir, sans savoir s’il serait capable de venir la revoir un jour.

Leroy était retourné chez lui comprenant toute l’étendue de cette information. Evidemment qu’il savait que Callaghan était un mangemort, la plupart des gens le savaient, il n’allait pas être simple à trouver. Le jeune homme avait cherché à mainte reprise comment s’y prendre, comment l’approcher et la seule solution qu’il avait trouvée été de se rendre à nouveau chez Comaethylic dans l’espoir qu’il y vienne régulièrement. Ça n’avait pas louper, assit sur une table dans la taverne, Leroy avait rapidement reconnu son ancien professeur, l’avait observé, sans forcément venir le voir. Pour lui dire quoi ? Lui dire qu’il était son fils d’un coup comme ça ? Non il ne pouvait pas et soudainement alors qu’il observait celui qu’il pourrait appeler père, le jeune homme avait prit la décision de le suivre jusqu’à ce qu’il trouve une opportunité de discuter avec lui. Il l’avait suivi plusieurs fois, remarquant bien évidemment que Silvius loin d’être un imbécile s’en rendait compte. Plus d’une fois Leroy avait dû transplaner pour éviter de se faire prendre, il n’était pas encore prêt à lui adresser la parole. Cela avait durer un moment, la chevelure blonde de Leroy ne passant pas inaperçu, jouant alors avec Callaghan qui tentait sans nul doute d’attraper le jeune homme qui le suivait. Avec tous les évènements survenus dernièrement, la mort de Kayla, Leroy avait quelque peu tomber le fait de suivre son père, mais il avait pris l’habitude de se rendre dans la taverne sur son temps libre pour observer Callaghan, disparaissant quand cela devenait trop dangereux. Mais aujourd’hui, ça allait changer, Leroy était prêt bien qu’il n’eût aucune idée de comment il pourrait annoncer ce genre de choses à son ancien professeur. Sur son seul jour de congé qu’il avait obtenu, Leroy s’était rendu à la taverne et après avoir commandé sa consommation, s’était installé à une table bien visible pour la plupart des gens présents afin d’être certains que si Silvius était bel et bien intrigué par lui, il puisse le trouver facilement. La table bien que visible était assez éloignée de l’agitation principale du Comaethylic. Leroy attendit patiemment, buvant quelques gorgés de sa boisson, avant de sentir une présence près de lui. Il se retourna pour faire face à un homme qui ne semblait pas vraiment apprécié d’avoir été suivit de la sorte. « Silvius Callaghan. » dit-il au mangemort. Leroy resta un instant à le fixer, sans prononcer un mot, se sentant légèrement petit face à qui il avait vu le jour. Hum ce n’était pas terrible d’avoir cette sensation, mais maintenant qu’il était là. « Comment allez-vous ? J’imagine que vous ne vous souvenez pas de moi. » C’était d’une banalité affligeante ce qu’il lui disait, mais bon il fallait bien entrer dans le vif de la conversation, d’autant que Leroy voulait tâter le terrain avant de faire sa grande révélation.

electric bird.
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PARTISAN DES MANGEMORTS
Silvius Callaghan
Silvius Callaghan
Bonjour ! J'appartiens à la maison : Briseur de sorts, puis chef de la brigade des Briseurs de sorts. Viré de son poste de prof à Poudlard. Actuellement sans emploi. J'ai posté : 217 hiboux. Grâce à moi ma maison a gagné : 3 pour une aventure ! Je suis de la génération : 1977 . Je suis un aventurier : Oui.

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MessageSujet: Re: Silvius - Father and son  Silvius - Father and son EmptyVen 27 Juil - 15:00
silvius callaghan + leroy odgen

 PRÉNOM NOM PERSO1 ⊹ PRÉNOM NOM PERSO2  


Tight like a rope, try to not reach for memories. Lover, lover, what have we done ? We made our heart leap, then it gave up. Lover, lover, let me in. You came in the door like thunder, then hit the floor like thunder. Laying me down you wonder. You came towards like thunder.
Les semaines s’enchainaient et étaient loin de se ressembler. Il faut dire que depuis que Callaghan avait réussi à s’échapper d’Azkaban, la prison des sorciers, la vie ne semblait pas être des plus faciles. Il lui avait fallu du temps pour retrouver la confiance du lord, et même encore, il avait la sale impression qu’elle n’était pas totalement acquise. Alors l’homme accumulait les missions pour lui prouver sa loyauté. Loyauté, qu’il pensait n’avoir plus besoin de prouver. Parce qu’il était à ses côtés depuis le début de son ascendance, et que jamais, il ne l’avait quitté. Il travaillait pour lui depuis des années maintenant. Tout n’était pas si beau que cela chez les mangemorts en ce moment. L’ordre les empêchait toujours d’accéder au pouvoir, ce qui provoquait une certaine frustration dans les rangs. Quelques rumeurs laissaient également entendre que certains membres pensaient à déserter. Et Callaghan savait que cela n’augurait rien de bon. Vouloir fuir maintenant était une faiblesse. Et le lord ne laisserait jamais passer une telle chose. Quand on s’engageait avec lui, c’était pour la vie, sinon la mort venait frapper à la porte en guise d’acceptation de fin de contrat. Enfin. Cette semaine avait été plutôt productive pour l’ainée des mangemorts. Celui-ci était parti en mission recrutage pendant quelques jours dans le nord de l’Angleterre avant de revenir sur Londres. Depuis, il passait le plus clair de son temps soit au quartier général des mangemorts, soit dans l’allées des embrumes pour repérer d’éventuelles futures recrues, et pour repérer des agissements anormaux. Pour autant, il devait se faire de plus en plus discret. L’homme avait la sale impression qu’on l’avait placé sous surveillance. Pourquoi ? S’il n’était pas bon pour retenir les prénoms et noms des gens, il n’oubliait jamais une tête. Et il avait remarqué depuis quelques temps qu’une personne se retrouvait souvent au même endroit que lui, toujours proche, mais assez loin pour qu’il ne puisse pas l’atteindre. Un blond, un gamin, qui devait tout juste d’avoir sa majorité a en regardé sa bouille d’enfant. Peut-être un ancien élève qu’il avait eu à Poudlard. Se faire suivre était déjà arrivé à l’ancien professeur de botanique. Mais il avait une sainte horreur de cela. Ils avaient eu des échos, grâce notamment à un captif l’année dernière, que l’ordre avait engagé dans ses rangs des jeunes sorciers ayant à peine fini leur scolarité. Il matchait la description.

Oui car le premier doute de Callaghan était qu’il puisse faire parti de l’ordre, cette organisation dite ‘secrète’ qui avait pour but de se battre contre eux, et de les repousser. Ce gosse pourrait très bien être en mission pour eux, devait le suivre, et rendre des comptes réguliers à ses supérieurs. Plus d’une fois, Callaghan avait essayé de l’approcher tranquillement, pas de manière agressive (comme il aurait dû faire d’ailleurs), mais le garçon se volatilisait avant qu’il n’eut la chance de dire quoi que ce soit. Il l’aurait un jour, il n’avait absolument aucun doute là-dessus. Il lui fallait juste faire preuve d’un peu plus de patience. Quelques jours plus tard, Silvius s’était donc rendu à la taverne pour se détendre un peu. Il devait y retrouver Travers un peu plus tard dans la journée. Mais pour le moment, il avait bien l’intention de commander une fille de joie. Mais après son whisky. Chaque chose dans l’ordre et à sa place. Le tavernier vint prendre sa commande puis repartit derrière son bar. Callaghan observait d’un œil les allers et venues dans le bar. Et finalement, un garçon entra. Un blond, jeune, celui qu’il avait déjà observé auparavant. Celui qui le suivait depuis quelques temps maintenant. Que diable foutait-il encore ici ? Sa technique de filliature était réellement mauvaise pour le coup. Callaghan avait très envie de mettre les choses au point aujourd’hui. Alors il se leva de sa table, et arriva dans le dos du garçon. Celui-ci se retourna, et commença à le saluer, avec son prénom et son nom. Il le fixa et resta silencieux. Callaghan était totalement impassible. Et tel un idiot qui ne connaissait rien aux mangemorts, il lui fit la conversation, lui demandant même comment il allait aujourd’hui. Les gosses étaient tellement stupides, voilà pourquoi on n’envoyait pas un gamin suivre un vieillard comme lui. Ni une, ni deux, Callaghan attrapa le gamin par le col, avant de le pousser contre le mûr.

Non Callaghan n’était pas de ceux que l’on pourrait appeler ‘poli’ ou ‘accueillant’, ou même ‘sympathique’. Bien au contraire. Il ne fallait pas lui chercher des noises, et surtout il ne fallait pas jouer au con avec lui. « Tu vas m’écouter sagement et attentivement maintenant. Si tu ne veux pas que je t’écrase la gorge, et accidentellement te coupe tout moyen de remplir tes poumons d’air, tu vas me dire pour qui tu travailles. » Dit-il de sa voix terriblement froide et menaçante. Tout ceux qui avaient déjà rencontrés l’homme dans ses moments d’intimidation savaient qu’il ne fallait pas jouer avec lui. Il était capable de tout, et surtout du pire. Leroy n’avait définitivement pas choisi la bonne méthode d’approche ni même la bonne personne, il le découvrait maintenant à ses dépends. Toujours son bras sur sa gorge, contre le mur, il le tenait fermement, ne lui laissant pas réellement l’occasion de bouger. Il le fixait de son œil perçant, attendant une réponse, qu’il espérait être assez convaincante pour qu’il n’ait pas envie de le torturer sur le champ. « Ne m’oblige pas à me répéter, gamin. »

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Leroy M. Odgen
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MessageSujet: Re: Silvius - Father and son  Silvius - Father and son EmptyVen 27 Juil - 15:59
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Father and Son
Leroy Odgen & Silvius Callaghan
Suivre un mangemort n’était sans doute pas la meilleure idée du siècle, mais Leroy avait eu besoin d’observer Silvius avant de pouvoir l’aborder sereinement. Les gens ne se rendaient pas compte comme un simple geste pouvait dire des choses sur vous, comment on pouvait vous comprendre sans que vous ayez besoin de parler et rapidement Leroy avait pu faire un portrait de qui était son père. Ce n’était sans doute pas le père idéal, mais était-ce seulement possible de trouver quelqu’un de parfait. Non c’était un homme qui faisait le mal autour de lui, qui travaillait pour le seigneur des ténèbres et avait subi de néfastes évènements notamment un séjour à Azkaban. D’un côté Leroy trouvait qu’il méritait bien un père comme lui, que c’était logique, mais c’était effrayant de se dire qu’il l’avait eu en cours sans se douter une seconde du lien qui les unissait. C’était étrange totalement de se rendre compte de tout ça. Le jeune homme savait qu’en suivant Callaghan il risquait sa vie, jouer avec le mangemort pouvait lui couter cher et il ne se laisserait sans doute pas faire facilement. Non Leroy était conscient de tout ça, mais il trouvait quelque chose d’amusant à jouer au chat et à la sourie avec son père. Il n’avait jamais joué avec lui étant enfant après tout, on rattrapait le temps perdu. Cette pensée faisait sourire Leroy, imaginant le jeu de cache-cache qui se jouait, cette impression qui le saisissait quand il pensait au moment où il devrait l’affronter. De nombreuses choses avaient empêcher que cette rencontre n’ait lieu plus tôt, des évènements que Leroy n’avait pas pu prévoir. Allison, Kayla l’avait empêcher d’accomplir ce qu’il désirait le plus au monde depuis des années : trouver ses parents biologiques. Il s’ne fichait que Callaghan ne veuille pas de lui, il s’était fait à l’idée de ne pas avoir de parents sur le dos, mais il voulait en faire part au mangemort, pour voir sa réaction, pour connaitre son point de vue sur tout ça. Oui Leroy trouvait tout cela amusant, comme un jeu et aujourd’hui il jouait son dernier coup, sa dernière lancée en se rendant dans le bar bien connu de Callaghan où il était un habitué et où sa mère travaillait dans les chambres. La tignasse blonde de Leroy ne passait pas inaperçu bien évidemment, mais c’était le but de tout ça, il voulait que Silvius vienne le voir, il voulait lui parler et de préférence de manière cordiale, mais lorsqu’il sentit la présence derrière lui, Leroy n’eue pas le temps de réagir, qu’il se retrouva plaquer contre le mur, la main de Callaghan sur la gorge. Surpris dans un premier temps, il entendit le fracas de son corps contre la pierre, laissant ses yeux observer la scène comme un spectateur. Et lorsque qu’il porta son attention sur Silvius, Leroy afficha un petit sourire en coin, bien que la pression de la main de Silvius sur sa main l’empêchât de rire. Il avait envie de rire oui, à cet instant précis alors que sa vie était en danger et que les yeux de Callaghan semblaient vouloir sa mort sur le champ. Il avait appris qui était le mangemort, il savait comment il pouvait réagir et ça ne l’étonnait qu’à moitié ce genre de comportement. Le pire dans tout ça c’était que Leroy savait très bien que Silvius ignorait encore qui il était pour lui et n’aurait donc aucun scrupule à écraser sa gorge dans sa main pour lui ôter la vie. Fallait-il sauver sa vie et l’en informer ? De toute façon s’il lui disait qu’il ne travaillait pas pour l’ordre, quelle preuve avait-il pour l’affirmer ? Les membres étaient secrets, mais leurs actions bien connues et suivre un mangemort en faisait sans doute partis. Pourtant Silvius pensait sans doute que Leroy avait quelque chose à voir avec eux, comme si cela pouvait être le genre du jeune homme qui jusqu’alors n’avait jamais exprimer une réelle opinion, enfin cela avant la mort de Kayla, mais c’était une autre discussion. Le visage de Leroy redevint impassible, quand il entendit à nouveau la voix de son père lui dire de ne pas l’obliger à répéter. Il se demanda alors si le mangemort de rendait compte à quel point cela pouvait être compliqué de parler avec une main sur la gorge qui se serrait au fur et à mesure. Il devrait tester, ça n’avait rien d’agréable. Leroy ferma les yeux, déglutit, cherchant ses mots alors que pleins de réponses qui n’étaient certainement pas celles que Silvius attendait, lui venait en tête. Puis finalement il rouvrit les yeux.  Le ton de sa voix trahissait légèrement son amusement quand il répondit, en essayant de ne pas se faire égorgé en même temps : « Ça fait toujours du bien de se faire étrangler par son propre père. » Et au fond de lui il savait que cette simple phrase pourrait faire de l’effet, bien qu’à double tranchant, Silvius pouvant croire à une ruse pour qu’il le lâche. Poussant un léger soupir en sentant la main de Callaghan sur sa gorge il reprit : « Je ne travaille pas pour l’ordre. Maintenant si vous pouviez me lâcher, je vous en serais reconnaissant. » Evidemment, Leroy ne voulait pas mourir ici, enfin pas avant un moment, après il verrait et puis il avait encore énormément de choses à dire et à faire avant de partir définitivement. Le jeune homme avait une impression, cette sensation que s’il intriguait Callaghan, ce dernier ne semblait pas vraiment le croire et il savait très bien à quel point ce serait compliqué d’expliquer la situation.

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Silvius Callaghan
Silvius Callaghan
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MessageSujet: Re: Silvius - Father and son  Silvius - Father and son EmptyVen 27 Juil - 20:23
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Ce gosse avait eu la pire idée, ou la pire mission, du monde de suivre un type aussi peu fréquentable que Callaghan. Et lui comptait bien lui faire payer cet affront. Qu’il soit jeune et con était son problème mais qu’il ne vienne pas s’attaquer à un gibier un peu trop gros pour lui. Alors quand il l’avait vu une nouvelle fois dans la taverne, l’homme n’avait pu s’empêcher d’intervenir. Venir ici, dans son endroit habituel, comme si de rien n’était, ne voulait dire qu’une chose : il cherchait les ennuies, et il pouvait être sûr qu’il allait les trouver. On ne lui avait encore pas servi sa boisson, cela n’allait pas aider son humeur, certainement. Il se leva, et approcha le gamin dans le dos. Il le vit se retourner et reconnu ce visage. Il lui était familier, il l’avait déjà vu auparavant, surement à Poudlard d’ailleurs. Mais le pire dans cette altercation fut son inconscience, il lui parlait comme s’ils se connaissaient, comme s’ils allaient avoir une gentille conversation polie. Quel idiot. Son sang ne fit qu’un tour, et il attrapa violemment le garçon pour le pousser contre un mur, son bras sur sa gorge. Là, dans cette position, il allait sans doute beaucoup moins faire le malin, n’est-ce pas ? L’homme pouvait être impressionnant, et il le savait. Physiquement, il n’était pas le genre de personne avec qui les gens aimaient jouer. Il était imposant. Il parlait toujours d’une voix froide, voir glacé, qui pouvait faire hérisser les poils en quelques secondes. Il avait des yeux de démons, comme s’il ne lui fallait qu’une seconde pour décider de vous torturer ou de vous tuer sur le champ. Alors pourquoi … tel était la question … pourquoi cet enfant avait pensé bon de le suivre depuis un petit moment. Et pourquoi n’avait-il pas été plus discret ? Mais le pire dans tout cela ? Il aperçut un sourire au coin des lèvres du gosse. Pourquoi diable souriait-il maintenant alors que Callaghan avait le pouvoir de le faire suffoquer sur le champ sans que personne ne lève un petit doigt pour venir le secourir ?  Les jeunes maintenant étaient trop stupides. Ils s’imaginaient invincibles, et plus fort que tout le monde. Ils pensaient avoir la science infuse. Et cela mettait Callaghan dans tous ses états. L’homme resserrait son étreinte pour faire comprendre au gamin qu’il n’était pas en train de jouer avec lui, mais aussi pour faire disparaître ce petit sourire narquois de son visage.

Et son sourire s’effaça petit à petit. Il arborait un visage impassible, ce qui ne plaisait pas plus à l’homme. Il aurait préféré voir de la peur dans ses yeux, voir de la terreur. C’était ce genre de sentiments qui le nourrissait. Il avait surement du mal à parler ou à respirer. Mais l’homme s’en fichait. Il ouvrit enfin la bouche pour lui demander d’écouter attentivement. Il voulait savoir pour qui il travaillait. Pour lui, c’était l’ordre. C’était l’idée qu’il avait dans sa tête. Après tout, il ne fallait pas aller chercher loin. C’était soit le ministère soit ces gens stupides de l’ordre. Et le ministère n’aurait jamais confié une mission comme celle-ci à un adolescent tout juste sorti de l’école sans aucunes expériences. Il ne restait donc que ces dégénérés qui agissaient pour le bien. Callaghan se faisait impatient, et en rajouta une couche. Le gamin ouvrit ses yeux après quelques secondes, avant de lui lancer sarcastiquement que cela faisait du bien de se faire étrangler par son père. Mais qu’est-ce qu’il était en train de raconter maintenant ? Evidemment, même s’il avait voulu rester totalement impassible, cela avait eu un effet. L’effet de desserrer légèrement sa grippe sur le jeune homme. Etait-il en train de sous-entendre qu’il était son fils ? Ce n’était tout simplement pas possible. Sa première femme n’avait jamais eu d’enfants, et les seules autres femmes avec qui il couchait depuis étaient des prostituées. Et elles devaient se protéger. Non il mentait, il voulait simplement qu’il soit confus pour qu’il en oublie de le tuer sur le champ. Il ajouta, cependant, qu’il ne travaillait pas pour l’ordre. Mais il voulait que l’homme le lâche. Il lui lança un regard noir, avant de l’entrainer violement vers la chaise. Et le força à s’assoir, avant de prendre place en face de lui. Maintenant qu’il s’était aventuré près de lui, ce serait Silvius qui déciderait quand cette conversation se terminerait. « Belle tentative. Efficace, puisque tu n’es pas encore par terre à hurler de douleur. Mais avec moi, on ne joue pas au coin, gamin, sinon on le paye de son sang. ». Une voix tellement froide qu’elle en devenait presque effrayante. Callaghan voulait des informations sur ce gosse. Il prétendait ne pas être de l’ordre, mais comment le croire sur parole ? Il n’était pas assez stupide pour cela évidemment. On lui avait appris mieux. « Tu ne travailles pas pour l’ordre, hum ? Donc tu t’es pris de mission de me suivre par simple plaisir ? Peut-être par ennuie ? » Dit-il d’un air sarcastique.

Le tavernier lui apporta finalement son verre de whisky. Callaghan ne quitta pas le gamin des yeux pour autant, mais fut tout de même soulagé d’avoir désormais sa boisson dans les mains. Au moins, ça allait lui calmer les nerfs, et éviter de laisser son sadisme déchiqueter en morceau la personne qu’il avait devant lui. « Alors, la question est simple : stupide ou inconscient ? »


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MessageSujet: Re: Silvius - Father and son  Silvius - Father and son EmptyVen 3 Aoû - 18:19
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Leroy Odgen & Silvius Callaghan
Si pour beaucoup de personnes suivre Callaghan était sans doute la pire idée au monde, autant que celle de suivre Bellatrix Lestrange ou n’importe quel autre mangemort, pour Leroy ce n’était pas stupide. Bien au contraire. Le jeune homme était loin d’être bête, il voulait voir, il voulait observer avant de se lancer dans l’inconnu et ne pas savoir ce qui pouvait l’attendre. Il ne voulait pas y aller sans comprendre qui pouvait être son père surtout pas après avoir compris où allait son allégeance. C’est ce genre de comportement qui pouvait être stupide, se jeter dans l’inconnu tout simplement n’était pas une bonne idée. Alors pour Callaghan peut-être que ce fils qu’il ne connaissait pas encore était tout simplement idiot, peut-être pensait-il qu’il était facile de l’effrayer comme beaucoup d’autres élèves qu’il avait pu avoir, mais si Leroy connaissait des choses sur celui qu’il devrait appeler père, ce dernier ne semblait rien savoir si son prétendu fils. Leroy se souvenait des cours de botanique à Poudlard, ça lui été revenu très rapidement alors qu’il n’y avait jamais accorder la moindre attention auparavant. Il se souvenait de cette manière que Silvius avait d’enseigner, de rabaisser un peu les élèves s’il le pouvait mais surtout de ne leur accorder aucun crédit peu importe la réponse qu’il leur donnait. C’était du moins ce que le jeune homme avait perçu quand il était dans ses cours. Depuis un moment maintenant le professeur n'en était plus un, il ne donnait plus de leçon à Poudlard parce qu’il avait été envoyer à Azkaban et Leroy savait qu’il avait été libérer par on ne sait quel miracle. Evasion massive c’était ce qui était écrit dans les journaux à l’époque. Mais si ce nom était venu hanter les oreilles du jeune homme, à l’époque il n’y avait pas fait attention. Ce n’était que lorsqu’il avait comprit l’importance que Callaghan pourrait avoir pour lui, que Leroy s’y était attardé. Il avait fait ses recherches, il avait suivi le mangemort, il avait mis sa vie en jeu et en péril en sachant très bien ce que cela pourrait lui couter. Mais à la différence de Silvius aujourd’hui, le jeune homme semblait avoir un coup d’avance sur lui, un coup dans le jeu où il s’était lancé, mais qui pourrait très rapidement se retourner contre lui s’il n’y faisait pas attention. Leroy ne s’était pas attendu clairement à se faire avoir aussi facilement, ou du moins pas à se faire coller contre le mur par son père biologique qui faisait résonner sa voix froide et glaçante en cherchant à comprendre qui était ce garçon. S’il ne s’y était pas attendu, un sourire s’esquissa sur son visage, mais disparut aussi rapidement que ses yeux se fermèrent. Leroy réfléchissait, de nombreuses réponses se faisaient dans son esprit, mais ce fut une autre qui germa dans son esprit. Lui qui s’était demandé comment annoncer la nouvelle, voilà que Callaghan lui donnait l’opportunité de le faire. Il ouvrit les yeux et répondit observant son père, sa réaction à son information. Leroy crut percevoir une sorte de surprise mélangé à de l’incompréhension dans le regard de Silvius, mais peut-être s’était-il trompé et il reprit la parole rapidement en expliquant que son appartenance à l’ordre était fortuite.

Callaghan le relâcha et toujours dans la violence le fit s’asseoir sur une chaise à une table. Bien Leroy sentait qu’il avait piquer sa curiosité, son but était donc atteint. Il se redressa sur le dossier, fixant le mangemort qui reprit la parole. Des menaces. Oui Leroy était bien conscient de ce que Callaghan était capable de faire, même s’il ne l’avait jamais vu à l’œuvre, ce n’était pas un serviteur du mage noir pour rien. Le jeune homme posa ses coudes sur la table, croisa les mains et posa sa tête dessus, tout en continuant à fixer l’homme assit en face de lui. Leroy ne répondit rien observant simplement le regard froid, la voix glaçante qu’il employait qui bien que touchait son esprit ne semblait pas l’effrayait. Pourquoi avoir peur ? Le jeune homme détenait des informations, il attisait la curiosité de Silvius et se rendait donc mystérieux pour quelqu’un qui semblait vouloir tout savoir. C’était ça son coup d’avance, simple, mais tellement important. Le mangemort reprit la parole, ne croyant pas Leroy quand il disait ne pas être de l’ordre. Une mission pour venir le trouver ? Un ennui ? Le jeune homme se redressa, posant son bras sur le dossier de la chaise dans une position des plus décontracté, jouant encore plus avec l’envie de Callaghan de l’effrayer. « Par ennuie non pas vraiment, ni par plaisir. Je dirais plutôt pour attirer votre attention et votre curiosité. » Répondit-il. Alors que le tavernier amenait la boisson commandée par le mangemort, Leroy en profita pour lui demander la même chose. Tant qu’à être là autant en profiter pour boire un coup. Tous deux continuaient à se fixer, comme si perdre le contact visuel pouvait amener un danger. Pour Leroy en tout cas à en croire les dire de Callaghan. L’espace qui les séparait été tout de même assez grand. Le mangemort lui posa une nouvelle question. Lui demanda s’il était stupide ou inconscient. Le jeune homme eu un petit sourire. Bien évidemment il ne croyait aucun de se qu’il disait. C’était prévisible. « Ni l’un ni l’autre. Mais dans tout les cas j’ai l’impression que quoi que je vous dises vous douterez de moi, que puis-je faire pour vous convaincre que mes intentions ne sont pas mauvaises et que je ne mens pas ? » Autant être direct, autant demander à Callaghan ce que Leroy pouvait faire. Car après tout il ne mentait pas, il disait la vérité depuis le début, jamais cela n’avait été dans ses intentions de mentir et ce depuis le début de leur conversation.

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Silvius Callaghan
Silvius Callaghan
Bonjour ! J'appartiens à la maison : Briseur de sorts, puis chef de la brigade des Briseurs de sorts. Viré de son poste de prof à Poudlard. Actuellement sans emploi. J'ai posté : 217 hiboux. Grâce à moi ma maison a gagné : 3 pour une aventure ! Je suis de la génération : 1977 . Je suis un aventurier : Oui.

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MessageSujet: Re: Silvius - Father and son  Silvius - Father and son EmptySam 15 Sep - 0:43
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Se faire suivre était quelque chose qu’il ne supportait pas. S’il pouvait reconnaitre le talent de certains, ce n’était certainement pas le cas de ce gamin blond complètement stupide. Plus d’une fois, l’ancien professeur de botanique l’avait remarqué au détour d’une rue, ou dans un coin, non loin de lui. Mais jusqu’ici, il avait réussi à s’enfuir avant que l’homme ne puisse mettre la main sur lui. Il était peut-être con mais pas totalement suicidaire. Du moins, c’était ce que le mangemort pensait. Jusqu’à qu’il voit ce même gosse entrer dans l’un de ses bars préférés et s’installer à une table, comme si cet endroit lui appartenait. Il n’en avait pas fallu plus pour mettre en rogne le quinquagénaire. Qu’on le fasse chier dans la rue passe encore, mais qu’on vienne interrompre l’un de ses moments tranquille à se bourrer la gueule, hors de question. Son sang ne fit qu’un tour. Il était connu pour s’énerver vite, et pour répondre à ses pulsions. Alors il abandonna son verre pour se diriger vers le jeune homme. Il l’attrapa par le col avant de le coller contre le mur. Se faire remarquer ne le dérangeait pas le moins du monde. Non à ce moment précis, il n’y avait définitivement qu’une seule chose qui comptait : donner une bonne leçon à ce sale impertinent. Il allait vite comprendre qu’on ne rigolait pas avec lui, et il devrait abandonner très vite son défi stupide ou sa mission suicidaire. Oui car la première chose qu’il avait eu en tête était que ce gosse était une fraiche recrue de l’ordre du phoenix. Chose qui était en soit stupide. Car demander à un élève tout droit sorti de Poudlard de suivre l’un des hommes les plus dangereux du pays … Ils auraient au moins pu donner cela à quelqu’un de plus expérimenté. L’homme se sentait presque insulté pour le coup. Mais l’ordre n’était pas connu pour ses décisions logiques en soit. Le gosse était bien trop sûr de lui. Et cela était bien une chose qui ne lui plaisait. Il ne laissait rien transparaitre. Et pour quelqu’un comme Callaghan qui aimait observer la terreur dans les yeux de sa victime, cela n’avait rien de très jouissif. Les voix commencèrent à s’élever. Jusqu’à que le gamin lui fasse une révélation. Selon lui, Silvius serait son père. S’il avait voulu demeurer impassible, il avait été compliqué de cacher une certaine surprise, et incompréhension. Mais très vite, cela laissa place à son visage froid et indéchiffrable d’ordinaire. L’homme relâcha sa poigne avant de forcer le blond à s’assoir sur une chaise. Il devenait reconnaître que sa technique n’était pas des plus stupides. Elle avait eu au moins le mérite qu’il ne se fasse pas tuer sur le champ. En soit, c’était déjà une victoire, non ? Mais il devait comprendre à qui il avait à faire. Il ne pouvait pas jouer avec lui, sauf s’il cherchait à mourir. Il laissait entendre qu’il n’avait rien à voir avec l’ordre. Callaghan n’en restait pas moins dubitatif. Surtout face aux réponses plutôt étranges de la part de ce gamin. Il n’appréciait pas cette conversation. Il n’appréciait pas cette tête blonde sûr de lui qui avait réussi à semer le trouble dans son esprit. Il voulait attirer son attention et sa curiosité. « C’est chose faite. » Répondit l’homme calmement, toujours aussi froid et peu accueillant.

Le tavernier arriva à leur table et déposa la boisson qu’il avait commandée. Un whisky, comme à son habitude. Le gosse demanda la même chose. Bon au moins, il avait de bons goûts, et n’avait pas commandé une boisson de pédale, comme la plupart des jeunes de son âge. Callaghan le fixait, comme s’il était important pour lui de ne pas perdre le contact visuel, pour ne pas perdre sa prise sur le garçon. Lui non plus ne détourner pas le regard, et ne semblait pas le moins impressionné par son ainé qui se tenait devant lui. Stupide ou courageux ? Il ne le savait pas encore. Prochaine question. Callaghan voulait savoir ce qu’il avait dans le ventre, et quelles étaient ses intentions, alors il lui demanda évidemment s’il était stupide ou inconscient. Ce qui provoqua un sourire chez le gosse. Il se permettait même de faire son malin. Non en effet, il n’allait pas croire les mots d’un gamin qui débarque de nulle part et qui clame être son fils. Il n’avait pas de mauvaises intentions, à l’en croire, mais Callaghan avait appris depuis longtemps que la confiance n’était pas quelque chose de donné, mais qu’il fallait l’acquérir par la sueur. Il resta un moment silencieux, puis porta son verre à ses lèvres avant de le descendre de moitié. Il le reposa, et ouvrit enfin la bouche pour apporter une réponse au garçon. « Tout le monde ment. Moi le premier. »

Simple et direct. Callaghan n’a jamais été un grand parleur. Du moins pas lorsqu’il ne contrôle pas la situation, ou qu’il n’a pas encore un plan bien formé en tête. Il observe le jeune homme, essaie de comprendre son langage corporel, et cherche les raisons logiques qui l’auraient poussé à venir le voir. Il n’en trouve pas beaucoup. Il n’a pas de réponses pour une fois, mais seulement des questions. Mais les questions sont pour les faibles, les questions sont pour ceux qui n’ont pas assez de crans et d’intelligence pour répondre. Et il ne fait pas parti de cette espèce. Que pouvait-il faire pour le convaincre ? Bonne question. Peu de personnes avaient réussi à avoir la confiance du mangemort. Ce n’était pas chose facile. « Ta source pour commencer. Et tes intentions. Si tu t’attendais à trouver un homme qui te prendrait dans ses bras, te caresserait les cheveux en te disant que tout ira mieux à présent, tu t’es trompé de porte garçon. » L’ironie, et la moquerie. Oui il veut le provoquer. Pourquoi ? Il n’en est pas complètement sûr. Pas encore du moins.

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MessageSujet: Re: Silvius - Father and son  Silvius - Father and son EmptyVen 7 Déc - 11:47
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Une manière de faire, d’attirer l’attention de son géniteur pour pouvoir lui parler. Apprendre à le connaitre autrement que dans un cadre scolaire comme à Poudlard. Leroy se doutait que Callaghan ne pouvait pas se souvenir de lui, le jeune homme ne faisait pas de vague, il arrivait à l’heure, ne répondait à aucune question et se faisait la plupart du temps totalement discret quand il était en cours. Oui Leroy passait inaperçu dans la foule, comme une ombre même si sa chevelure blonde pouvait le trahir, il n’était pas intéressant. Evidemment le jeune homme était conscient que son père savait qu’il était suivi, Leroy n’était pas le plus doué pour ça et puis d’un côté le fait que Callaghan sache ne pouvait que desservir ses intérêts. Son géniteur était quelqu’un de curieux, enfin il le supposait, il pouvait même imaginer qu’il avait dû faire des recherches sur qui était le jeune homme, mais il n’aurait sans doute rien trouver d’intéressant. Les choses qui pouvaient être utilisé contre Leroy était méconnu des autres, voir méconnu de lui-même. Ne pas montrer ses faiblesses, ne pas montrer sa peur, afficher un visage impassible et suivre son instinct pour obtenir ce qu’on voulait. C’était ce qu’il avait fait en suivant son géniteur, un homme bien plus intéressant que sa mère, bien plus intéressant que ceux qui l’avaient rejeté, et sans nul doute une personne qui ignorait complètement qu’il avait un fils. Leroy ignorait comment Callaghan réagirait, mais il sentait que son père n’agirait pas comme un véritable père, après tout quand on l’avait observé en cours, quand on l’avait suivi pendant si longtemps on pouvait facilement cerner le personnage. Froid, calculateur, Leroy avait beau pensé savoir les choses, il pourrait être surprit de ce qu’il se cachait derrière le visage de son géniteur. Il ignorait encore des histoires qui pourraient le toucher, mais pour le moment interpeller la curiosité de Silvius lui permettrait sans doute de rapprocher des mangemorts. Leroy avait au fond de lui une haine envers les moldu, une haine qui ne s’était jamais vraiment révéler au grand jour, préférant ne pas faire trop de vague. Et pourtant il savait que face à des gens comme eux, il ne pourrait être qu’agressif. Est-ce que si les mangemorts gagnaient, cela lui permettrait de valider de futures actions ? Est-ce qu’il était prêt à ça malgré ce qu’il savait ? Malgré le fait que Kayla dans sa tombe se retournerait en le sachant dans le camp des mangemorts ? Leroy savait que sa meilleure amie viendrait surement le hanter si elle le faisait, mais pourtant si le jeune homme restait impassible face à beaucoup de chose, la haine, la peine et la rancœur ne cessait de grandir dans son cœur. Il s’était retrouvé face à un mur après avoir suivit son père jusqu’au bar de l’allée des embrumes. Une situation pour le moins comique, car si n’importe qui aurait pu avoir peur de ce que Callaghan aurait fait, Leroy savait avoir plus d’un atout dans sa manche. Il ne perdit pas de temps avant d’annoncer les raisons de sa filature, souriant, riant presque face à Silvius malgré la situation dans laquelle il se trouvait. Son père semblait surpris, ne s’attendant pas à ce genre de révélation, ce qui ne fit qu’amuser encore plus le jeune homme.

Leroy rejoignit Callaghan en s’asseyant sur une chaise face à l’homme grâce à qui il était en vie, s’installant confortablement et commandant la même boisson que Silvius. Ce dernier semblait se méfier de son propre fils, lui demandant des raisons de suivre ainsi une personne. Leroy lui expliqua que c’était simplement pour attirer l’attention du mangemort, ce qui semblait être le cas. Callaghan avait un visage froid, fermé, comme s’il ne savait pas à quoi s’attendre face au jeune homme. Il continuait à le fixer, de peur sans doute d’une traitrise de la part du blond, mais il continuait à lui poser des questions, se demandant s’il était stupide ou inconscient. Leroy aurait pu mentir, largement, mais il savait déjà que sa réponse était suffisamment intrigante pour garder l’attention de Silvius. Tout le monde mentait, il n’avait pas tort, lui comme le jeune homme était apte à faire avaler n’importe quel mensonge. Le blond avait pourtant bien l’intention de dire la vérité, mentir était une chose bien futile quand les informations qu’on avait, pouvaient paraitre comme tel. Leroy apporta son verre à ses lèvres ne prenant pas la peine de répondre à son géniteur, conscient qu’y répondre serait totalement futile. Le silence était sa réponse, montrant ainsi qu’il avait bien conscience que le mensonge pouvait frapper tout le monde. Le jeune homme savait qu’il avait la main dans la conversation, ayant plus d’informations sur Callaghan que ce dernier en avait sur lui. Après avoir reposer son verre, il lui demanda comment il pouvait obtenir la confiance de son père, lui montrer qu’il ne mentait pas et qu’il n’avait pas de mauvaises intentions. La réponse que lui donna Callaghan le fit sourire encore plus, se redressant sur sa chaise, il croisa les mains sur la table tout en fixant l’homme assit en face de lui. « Si vous réfléchissez deux secondes vous n’aurez pas besoin de ma réponse concernant ma source. » Evidemment la réponse était toute trouvée. Si Leroy était bien le fils de Callaghan, il était certain que seule la mère du jeune homme avait pu lui donner cette information. Restait à savoir pour Silvius qui cela pouvait être. Le blond afficha un nouveau sourire avant de reprendre : « Bien sûr, je ne suis pas stupide, je sais très bien que je ne devais m’attendre à rien de tout ça et je crois bien que je préfère encore votre manière de faire, que des élans d’affections. » Ni Leroy ni Callaghan ne semblait être très affectueux, à prendre les gens dans leur bras et leur montrer leur amour. C’était pour les imbéciles, les faibles et Leroy préférait se faire coller contre un mur comme office de présentation plutôt que de se faire prendre dans les bras. Le jeune homme se recala sur sa chaise, posant ses coudes sur le dossier, saisissant au passage le verre pour observer le liquide ambré. « J’imagine que vous ignorez complètement qui je suis.  » reprit-il soudainement, se demandant si Callaghan avait fait ses recherches et surtout ce qu’il pouvait savoir sur Leroy.

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MessageSujet: Re: Silvius - Father and son  Silvius - Father and son EmptySam 5 Jan - 22:14
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Des semaines que ce gamin le suivait, comme si Callaghan était stupide et ne l’avait pas remarqué. Pourtant, ce jour-là quand il l’avait suivit dans son bar, s’en était trop pour le vieil aigri. Il ne supportait pas qu’on le traque. Et d’ailleurs il se sentait même insulté que l’ordre du phoenix pense qu’un gamin maigrichon pouvait faire le job sans se faire tuer. Il aurait préféré qu’on lui colle un Maugrey ou un Shackelbot aux basques, au moins ça aurait été un réel défi. Ce gosse tout droit sorti de Poudlard ne ferait pas long feu si Silvius se décidait réellement à jouer un peu avec lui. Il s’était rendu où était le garçon et l’avait attrapé par le col, le collant contre le mûr. Il allait vite comprendre qu’avec Silvius, on ne jouait pas. Non, il faisait les règles, il décidait de comment se déroulait la conversation, et surtout il ne laissait pas un gosse lui faire perdre son temps. Il s’était débarrassé d’étudiant en un claquement de doigts avant lui, alors il n’hésiterait surement pas à le refaire si l’envie le démangeait. Mais le gosse qu’il avait devant lui le dérangeait. Trop sûr de lui, trop fermé. Il ne montrait rien : pas une once de peur ou de stress. Ne se rendait-il pas compte de qui il avait sous ses yeux. Etait-ce du courage ou de la stupidité ? Il réussit pourtant à faire ce que nombreux avaient échoué au fil du temps : à le surprendre. Il venait de lui annoncer qu’il était son fils. Callaghan n’était pas crédule, et n’allait pas le croire sur parole sans se poser la moindre question, mais il fallait quand même dire que c’était une surprise. Il avait été marié une seule fois, et il n’avait jamais eu d’enfants avec son ex-femme, elle ne pouvait pas en avoir, une maladie génétique apparemment. S’il disait vrai, d’où venait-il alors ? Alors qu’il avait laissé passer quelques sentiments, l’homme reprit son visage froid avant de relâcher le jeune homme et de le forcer à s’assoir sur la chaise. Oui, il voulait tout de même établir une relation de force avec lui. Oui ce gosse avait essuyé une victoire en attirant son attention. Mais rien n’était gagné pour lui, et Callaghan n’aimait pas cette conversation qui avait commencé entre les deux hommes. Surement parce qu’il ne la maitrisa pas, parce que pour une fois il n’était pas celui qui détenait les informations. Sans tout le pouvoir entre les mains, l’homme ne pouvait que moyennement apprécier cet échange.

Heureusement son whisky arriva. Il en avait réellement besoin surtout s’il allait devoir subir cette conversation. Mais le gamin continuait d’insister, comme si c’était très important pour lui que Callaghan ne le croit. Pourquoi ? Etait-ce une technique pour que le vieil homme baisse sa garde et qu’il soit plus facile à abattre ? Silvius n’allait écarter aucunes possibilités pour le moment. Après tout, il était depuis longtemps au service des mangemorts et du Lord pour savoir qu’on ne pouvait faire confiance à personne. Il voulait savoir ce qu’il devait faire pour être cru. Un rictus se forma sur ses lèvres. Tout le monde mentait, et lui le premier. Callaghan n’avait jamais été le genre d’homme à s’épuiser dans les détails. Il parlait peu mais bien. Mais si le gamin voulait savoir, il allait devoir déjà lui donner des preuves concrètes. Sa parole n’était pas d’or, il devait le comprendre. Mais Callaghan était dans l’agacement à cause de ce gamin. Son sourire au bord des lèvres l’énervait au plus haut point. Il reprit une gorgée et leva les yeux au ciel en entendant la réponse du gosse. Non mais franchement, se prenait-il pour le patron ce soir ? « Réfléchis deux secondes Barbie. J’imagine que c’est la femme qui t’as expulsé de son vagin qui t’a donné mon nom. Je veux connaitre son identité. » Après tout, si une femme balançait qu’il était le père de son gosse, il voulait savoir de qui il s’agissait, histoire de lui rendre une petite visite plus tard.

Il ne devait pas s’attendre à un gentil papa en venant lui voir. Callaghan se montrait ironique pour provoquer le jeune homme. Après tout, il ne connaissait pas ce gamin, à part pour l’avoir croiser de temps en temps à Poudlard. Mais jamais il n’avait eu une conversation avec lui. En avait-il dans l’estomac ? Etait-il une petite femelette ? Un incapable ? Ou au contraire ? Bon au moins il ne s’attendait pas à un débordement d’affection. « Tant mieux. Mon respect est bien plus précieux que mon affection, encore faut-il le gagner. » Répondit-il de sa voix naturellement froide tandis qu’il prit une nouvelle gorgée dans son verre. Il observa le môme se redresser, et prendre aussi son verre. Il pensait que Callaghan ignorait tout de lui. Il n’avait pas totalement tort. « Elève de Poudlard quand j’y enseignais encore. C’est la seule information que j’ai. Tu devrais commencer par ton nom gamin. Qu’est-ce que tu pourrais donc avoir envie de me donner comme information à ton sujet ? » Demanda-t-il en prenant une autre gorgée. La meilleure façon de cerner le personnage était de continuer à le faire parler après tout.

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MessageSujet: Re: Silvius - Father and son  Silvius - Father and son EmptyJeu 14 Fév - 19:52
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Leroy le suivait. Bien pour une raison, bien conscient que tout ça n’était que folie, dangereux puisque Silvius n’était pas n’importe qui, mais il le faisait pourtant. Leroy était doué pour se fondre dans la masse, pour disparaitre rapidement quand il y avait besoin et ce talent, si on pouvait dire, l’avait beaucoup aidé auparavant. Combien de fois s’était-t-il caché dans Poudlard pour être seul ? Combien de personne avait connu les cachettes où il allait ? Personne sans doute à part Kayla. On le trouvait en général quand il le voulait et pour le coup cette fois-ci en rentrant dans le bar, Leroy avait bien l’intention d’affronter son géniteur. Il savait très bien que Silvius n’était pas stupide et qu’il savait depuis un moment qu’il était suivi. Sans doute que dans un premier temps il n’avait pas fait attention, simplement en se disant que Leroy arrêterait au bout d’un moment, mais le jeune homme avait continué. Comment s’arrêter alors qu’on savait que ce mangemort était son père, lui le pauvre orphelin qu’il était. Beaucoup de jeune ne cherchait pas à retrouver ses parents, mais Leroy avait toujours voulu savoir. Alors comme il s’y attendait, Silvius avait réagit quand l’ancien serpentard était rentré dans le bar. Aggripé par le cou, voilà que Leroy se mettait à sourire en voyant le regard d’incompréhension de son père. Ho oui il savait que le mangemort ne comprenait rien et devait sans nul doute être perturbé d’avoir face à lui quelqu’un qui n’était pas apeuré par lui. En même temps avoir une accolade en annonçant qu’il avait un fils, ce ne serait sans doute pas ce que Leroy obtiendrait de Silvius. Dans un sens il cherchait quelque chose d’autre. Une réponse à cette haine qui bouillonnait en lui, une rage, un néant qu’il ressentait depuis quelque temps, comme une part bien plus sombre de lui qui ne souhaitait que sortir. Mais pourrait-il lui donner les réponses ? Leroy n’en savait rien et après lâcher sa bombe, il fut content que Silvius le lâche. Mourir à son âge n’était pas prévu, enfin pas vraiment de cette manière, s’il pouvait choisir sa mort il préférait qu’elle soit belle. Et pour le coup mourir dans un bar réputé malfamé de la main de celui qui l’avait mis au monde n’était pas dans ses projets. Leroy s’assit face au mangemort, l’observant commander, commandant la même chose, et tandis que Silvius lui posait des questions Leroy restait fixe. Il restait vague comme à son habitude savourant presque le fait d’avoir le pouvoir dans la conversation. Il avait des informations que son ancien professeur n’avait pas. Il savait des choses que son vis-à-vis voulait savoir. Silvius semblait quelqu’un qui voulait tout savoir, maitriser la conversation et c’était dans un certain sens l’un des points communs que Leroy avait avec lui. Pourtant si son père ne l’avait pas élevé, le jeune homme sentait qu’il lui ressemblait plus qu’il ne l’aurait pensé. A quel point, c’était la question.

Silvius lui demanda des informations, des infos concernant la personne qui lui avait dit être son père. En même temps c’était sans doute la chose la plus importante pour savoir si Leroy mentait ou non. Dans un premier temps restant vague, le jeune homme lui proposa de réfléchir, en tant que personne intelligente, pour Leroy il y avait sans doute peu de monde qui pouvait avoir couché avec Silvius. Mais apparemment il se trompait. Le jeune homme fixa son père, se demandant un instant s’il devait donner le nom de sa mère. Apparemment son ancien professeur était assez énervé de ne pas s’avoir, lui attribuant le sobriquet de « barbie » qui fit esquisser un sourire à Leroy. S’il donnait le prénom de Jessica, sa mère, il risquait sa vie, il en était certain, alors voulait-il simplement risqué la vie de sa mère pour donner l’information à Silvius. Il savait très bien qu’aucun amour ne semblait les liés, que son père n’aurait aucun scrupule à le faire. Leroy continuait à le fixer réfléchissant à la bonne chose à faire. Pourtant même si son père semblait quelqu’un d’intelligent, si son fils ne lui donnait pas l’info il ne semblait pas réussir à trouver. « Je vous pensais plus intelligent pour cogiter un petit peu sur la réponse. » répondit-il. Sa mère était assez jeune quand elle l’avait eu et pourtant maintenant encore elle exercer ce métier. Préféré être une prostituée plutôt qu’une mère, un choix bien étrange pour le jeune homme. « Elle travaille ici et d’après ce qu’elle m’a dit vous appréciez beaucoup sa compagnie. » reprit-il en prenant une gorgé de son whisky. Si Silvius lui fit comprendre qu’il ne comptait pas lui montrer de signe d’affection, Leroy lui fit comprendre qu’il le savait. Quand il avait appris que le mangemort était son père, le jeune homme s’était rappelé tout ce qu’il savait sur lui, sa manière d’être pendant les cours et son comportement. Ce n’était pas un homme qu’il fallait énerver, il semblait être un homme qui donnait plus de respect que d’amour. Leroy comptait bien rester calme face à son géniteur, calme et serein peut importait comment la conversation continuerait. Ne montrer aucun signe de faiblesse c’était une grande épreuve, mais si jamais il en montrait maintenant, jamais il ne pourrait comprendre, jamais il ne pourrait obtenir ce qu’il voulait de Silvius. Alors il devait être fort et serein, sûr de lui. « Gagner votre respect serait une grande mission, que je pourrais m’atteler à remplir.  » répondit Leroy. Pourrait-il y arriver ? Pourrait-il simplement contenter son père ? Et puis s’il ne le faisait pas que lui arriverait-il ? Avait-il fait une erreur en cherchant à le contacter ? Après tout il aurait pu vivre sa vie tranquille avec les informations obtenues sans chercher plus loin. Leroy savait que Kayla n’aurait pas toléré qu’il fréquente des mangemorts, mais aurait-elle approuvé qu’il retrouve celui qui l’avait créé ? Lerou se redressa avant d’affirmer que Silvius ne connaissait rien de lui. Evidemment comment se souvenir d’un jeune homme aussi invisible que lui, qui ne faisait pas de vague et semblait complètement passé inaperçu dans la masse. La réponse confirma sa certitude. Silvius lui demanda son nom, et des informations sur sa vie qui pourrait lui être utile. Leroy n’était pas dupe, plus on en donnait et plus on pouvait s’en servir contre nous. Le jeune homme fixa à nouveau son verre avant de tourner son regard vers l’homme assit en face de lui. « Delanay et puis Odgen et puis au final un nom n’est qu’un nom. » commença-t-il. « On m’a donné le prénom de Leroy. Je peux vous donner tout ce qui concerne ma vie, mais bien que très plate j’imagine qu’elle ne vous intéresse pas. » répondit-il. Il ne comptait pas lui donner des informations aussi facilement. Et puis à quoi cela pourrait bien lui servir d’apprendre que son fils était un barman, vivant seul et n’ayant presque aucune attache.

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Silvius Callaghan
Silvius Callaghan
Bonjour ! J'appartiens à la maison : Briseur de sorts, puis chef de la brigade des Briseurs de sorts. Viré de son poste de prof à Poudlard. Actuellement sans emploi. J'ai posté : 217 hiboux. Grâce à moi ma maison a gagné : 3 pour une aventure ! Je suis de la génération : 1977 . Je suis un aventurier : Oui.

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MessageSujet: Re: Silvius - Father and son  Silvius - Father and son EmptyDim 3 Mar - 22:45
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Tight like a rope, try to not reach for memories. Lover, lover, what have we done ? We made our heart leap, then it gave up. Lover, lover, let me in. You came in the door like thunder, then hit the floor like thunder. Laying me down you wonder. You came towards like thunder.
Un gamin se faisant passer pour son gosse, c’était de quoi avait hérité Silvius ce jour-là. Qui était ce garçon et que voulait-il de lui ? Evidemment, Callaghan aurait été idiot et inconscient de croire quelqu’un sur parole. Après tout, l’homme avait des ennemis partout, et il ne pouvait toujours dire qui ils étaient. Sa première hypothèse avait donc été de rapprocher ce gamin avec l’ordre. L’ordre recrutait des membres de plus en plus jeunes et de plus en plus expérimenté pour on-ne-sait-quelle-raison d’ailleurs. Pourquoi placer sa confiance en des mioches tout juste sorti de Poudlard ? Cela lui échapperait toujours. Mais après tout, qu’est-ce qu’il en avait à foutre tant qu’ils étaient facile à vaincre. L’ordre n’était pas tellement sur leur dos en ce moment en plus donc ils avaient un peu de répit. Mais ce gosse le suivait déjà depuis quelques temps. Il l’avait remarqué car il n’était pas discret et surtout parce qu’il avait un physique assez reconnaissable : un air nonchalant et des cheveux blonds. L’homme s’était montré que très peu accueillant avec cet invité non désiré. Non on ne venait pas embêter Silvius comme cela, sauf si l’on voulait y risquer quelques plumes. Mais il l’avait finalement relâché, l’obligeant violemment à s’assoir en face de lui. S’il voulait une entrevue avec lui, il allait en avoir une, mais il ne promettait pas qu’elle soit très sympathique. Que voulait-il ? Qu’attendait-il de cette discussion avec le mangemort ? Tel était sa première interrogation. Le gosse se décida à lâcher une bombe en lui révélant être son fils. Impossible, c’était ce qu’il s’était dit dans un premier temps. Jamais il n’avait engrossé personne … même son ex femme n’avait pas eu ce malheur. Bien décidé à contrôler cette discussion, Callaghan avait très vite retrouvé son sang froid et son air glacial. Il ne comptait pas laisser un gamin tout droit sorti de la puberté le bousculer de la sorte. Il en était hors de question.

Alors Callaghan commença à poser des questions, espérant trouver des trous dans l’histoire du garçon pour défaire la vérité des mensonges. Qui lui avait donc parlé de son affiliation au mangemort ? C’était une information qui lui servirait grandement, qu’il dise la vérité ou non d’ailleurs. Plus il ouvrait la bouche, plus il affichait un sourire sur son fichu visage, moins Callaghan n’avait de patience avec ce môme. Il était tout bonnement insupportable, trop sûr de lui, donnant l’impression de contrôler cette conversation. Chose qu’il n’appréciait pas du tout. Il commença par être vague. Et Silvius but un peu de son whisky pour se calmer les nerfs. Il allait devoir arrêter de faire le malin et vite s’il ne voulait pas finir sa petite vie pourrie dans ce bar miteux. Il attaqua d’ailleurs l’homme sur son intelligence, ce qui fit rire Silvius. Un rire ironique pour prendre de haut ce gosse qui se croyait déjà tout permis. Il voulait le nom de la probable femme qu’il avait engrossé. Il avait déjà éliminé son ex femme de la liste. Elle n’aurait pas pu lui cacher cette grossesse alors qu’ils étaient encore ensemble à cette époque. Cela ne laissait donc place qu’à une aventure sans lendemain. Etrangement, l’une de ses prostitués ne vint même pas à l’esprit du garçon, comme s’il était totalement impossible que la réponse se trouve là-bas. Il avait surement eu tort d’écarter cette piste aussi facilement, car il avait vite comprendre les allusions du gamin en face de lui. Une attaque sur son intelligence. « Je te pensais un peu plus intelligent pour ne pas provoquer un homme qui pourrait te faire exécuter d’un claquement de doigt. » Répondit-il du tac au tac en guise de réponse. Clairement, il montrait qui contrôlait cette entrevue, tout en montrant au jeune homme qu’il n’aurait aucun scrupule à prendre des décisions radicales sur sa personne. On ne jouait pas avec un homme comme Callaghan et il ferait mieux de l’apprendre vite. Finalement le gamin ouvrit à nouveau la bouche pour lui donner cette fois-ci plus d’informations. La femme en question travaillait ici dans ce bar/bordel. Et là pour le coup, cela réduisait grandement les pistes d’investigation. Si Callaghan était surpris, il n’en laissa rien paraître. Plus aucun doute dans sa tête, il parlait évidemment de Jessica, cette fille qu’il venait voir presque toutes les semaines depuis des années. Comment avait-elle pu tomber enceinte alors qu’on leur garantissait les surveillait très souvent pour que ce genre de chose n’arrive pas ? Comment cette femme avait-elle pu garder le secret alors qu’il avait continué de venir la voir toutes ces années.

Elle n’était sans doute pas stupide et avait sans doute eu peur de ce dont était capable le mangemort. Qu’aurait-il fait s’il avait eu l’information à l’époque. Aurait-il essayé de tuer le gamin à sa naissance ? Aurait-il essayé d’étouffer l’histoire en l’envoyant loin de l’Angleterre ? La question ne se posait définitivement plus maintenant qu’il était en vie et âgé d’à peine une vingtaine d’année. Callaghan n’aimait pourtant pas l’idée d’avoir été joué de la sorte, encore moins qu’un gosse clame aujourd’hui être de son sang. Chose qui n’était évidemment pas dans ses plans. « Si tu es bien ce que tu affirmes être, il ne m’en faut pas moins de preuves. Je ne peux pas croire n’importe quel gamin qui vient frapper à ma porte et qui me racontes des sornettes pareilles. » Dit-il d’un air glaciale bien que le doute sur cette identité ait bien remué son esprit. Si le gosse avait fait des recherches sur lui, il devait sans doute savoir à quel point c’était risqué de jouer à ce petit jeu avec lui. Alors pourquoi prendre le risque s’il n’était pas son fils ? Silvius prit une énième gorgée de son liquide fort, il risquait d’en avoir fortement besoin ce soir. Callaghan ne savait pas réellement ce que ce gamin attendait de lui, mais il ne devait certainement pas s’attendre à de l’affection, ce n’était clairement pas le genre de l’homme, ou alors il avait frappé à la mauvaise porte. Son respect était bien plus fort que son affection, mais encore fallait-il le gagner. Et ce n’était pas chose facile. Car l’homme donnait son respect à peu de personnes. « J’espère que tu as beaucoup de patience gamin, et de l’imagination, ce sera l’une des missions les plus difficiles que tu auras à remplir. » Dit-il. Non la tâche ne sera définitivement pas facile.

Le gamin se doutait et pour sûr que Callaghan n’avait pas la moindre information sur lui, ce qui n’était pas totalement faux en soit. L’homme se souvenait d’avoir vu le gosse à Poudlard quand il y travaillait. Mais il ne s’était sans doute pas assez fait remarqué pour avoir grandement marqué le mangemort au point qu’il s’intéresse à lui, ou qu’il fasse des recherches sur lui. Quel était son nom déjà ? Il lui en donna deux avant d’affirmer qu’un nom n’était qu’un nom. Il lui donna son prénom avant d’assumer que sa vie ne l’intéressait pas. « Un nom se change, une histoire, plus difficilement. » Commença-t-il. Si un nom n’était pas important, c’était tout de même utile pour savoir à qui l’on s’adressait au moins. « Ta vie ne m’importe que peu. Savoir que tu as vécu dans une famille, suivi ton cursus à Poudlard, continuer on-ne-sait-où après ça … inintéressant. Tu n’es qu’un gamin, tu n’as rien vécu. En revanche, ce que tu attends de moi, ça m’intéresse d’avantage. Quelles sont tes intentions et pourquoi es-tu là aujourd’hui ? » Demanda-t-il toujours d’une voix glaciale ne laissant rien ressortir.


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MessageSujet: Re: Silvius - Father and son  Silvius - Father and son EmptyVen 15 Mar - 16:39
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Suicidaire ? Leroy l’était sans doute un petit peu. Mais depuis quelques temps il n’avait plus rien à perdre. Il ne craignait plus la douleur, toujours aussi présente dans sa vie que la solitude, il avait l’impression que plus rien ne pouvait l’atteindre désormais. Il n’était plus que l’ombre de lui-même, un gouffre s’étant créer dans son cœur, alors que les évènements ne cessaient de lui rappeler qu’il n’était rien dans ce monde. Et c’était sans doute le cas. Un orphelin, une personne invisible qu’on ne voyait pas, quelqu’un de l’ombre dont la présence ne semblait inquiétée personne. Mais sa vie avait toujours été ainsi d’une certaine manière, mais elle s’était rappelée à lui des mois auparavant. Et pourtant malgré le fait qu’il ait toujours vécu ainsi, Leroy avait prit la décision de chercher à exister. Il avait retrouvé sa mère, il avait cherché et avait trouvé qui l’avait créé, ceux qui lâchement l’avait oublié pour continuer leur vie de violence et de perversion. Il ne leur en voulait pas contrairement à d’autres enfants orphelins, il n’avait plus de famille depuis longtemps et si cet homme qui lui faisait honneur de lui parler était son père biologique il ne serait sans doute rien d’autre de plus pour lui. Pas un mentor, encore moins un père et il savait que Silvius était capable de le tuer à tout moment. Alors oui l’avoir suivi était sans doute une bêtise que toute personne sensée n’aurait pas fait, mais il était loin d’être comme les autres, se lançant à cœur perdu dans la découverte de celui qui par défaut, sans même le savoir l’avait créé. C’était une vision bien effrayante, mais aussi bien triste. Il n’était rien, il avait été abandonné toute sa vie et en retrouvant les personnes de cette manière, il se vengeait en leur montrant qu’on ne pouvait l’exclure comme on le voulait. Leroy se rendait bien compte que la bombe qu’il avait donné à Silvius avec cette nouvelle pouvait exploser à tout moment. Pourquoi d’ailleurs le mangemort le croirait ? Il ne connaissait rien du blondinet, ni son nom, ni son âge, ni même son histoire : Leroy pouvait être n’importe qui. Et c’était sans doute ça qui lui plaisait le plus qui lui donnait autant de confiance pour parler à cet être de violence qui lui faisait face. Silvius aurait dû le tuer sans doute, mais la curiosité avait prit possession de son père avec cette nouvelle et le jeune homme se rendait compte de la puissance qu’il avait sur l’homme assit en face de lui. Même si le mangemort n’était clairement pas un homme avec qui il fallait jouer, le jeune homme se rendait compte que Silvius était tiraillé de savoir, de comprendre comment il avait obtenu les informations, qui avait osé lui dire qu’il était son fils. Sans doute déjà que le mangemort imaginait ce qu’il ferait par la suite avec les informations et Leroy se rendait bien compte que sa vie était en jeu avec cette rencontre. Il jouait toujours avec sa vie, le choix de le suivre avait été fait consciemment, savant ce qu’il risquait. Silvius posa des questions sur la source de l’information et comme a son habitude, Leroy répondit par égnime se demandant si son père était assez intelligent pour comprendre. Mais apparemment ce n’était pas le cas et après lui avoir lancé une petite pique, la réponse sortit de la bouche du jeune homme. Silvius qui n’avait sans doute pas apprécié ce que lui avait dit Leroy, le menaça clairement. « Hum ... » répondit le blond, avant d’esquisser un petit sourire. Si le mangemort ne le connaissait pas, il semblait avoir une bonne impression de lui en le pensant intelligent.

L’information était tombée et Leroy comprit que Silvius avait compris. Sans doute que Jessica devrait quitter la ville très rapidement si elle tenait à sa vie, mais jamais le jeune homme ne serait responsable de sa mort. Il n’avait pas donné de nom, et s’en fichait d’ailleurs un peu d’une mère qui l’avait abandonné à des ignobles moldus. Elle avait sans doute pensé qu’elle le protégerait de son propre père, mais d’un autre côté, il aurait préféré qu’elle soit assez forte pour tenir tête au mangemort. Ce n’était pas vraiment pas le cas, enfin pas de ce qu’il avait compris. Mais peut-être se trompait-il, après tout, les apparences étaient si trompeuses. Silvius lui demanda des preuves, comme si tout le monde pouvait lui balancer ce genre d’informations continuellement, une ruse sans doute pour le berner. Mais il voyait mal n’importe qui venir annoncer ça à une personne comme le mangemort. « Si vous voulez des preuves, je peux vous répéter simplement ce qu’elle m’a dit. Son histoire, sa raison qui m’a poussé à m’abandonner … mais comme je vous disais, je ne suis pas suicidaire, je ne pense pas m’être tromper. Elle m’a peut-être mentit après tout, même si vu sa tête quand elle me l’a dit j’en doute sincèrement. » Sa mère n’avait pas voulu de lui, ni aujourd’hui ni autrefois, elle avait simplement avouer les choses, craignant sans doute que ce gamin aille voir son père. Et c’était ce qu’il avait fait, elle l’avait compris et il avait pu lire presque de la peur dans le regard de sa mère. Leroy était persuader qu’elle ne lui avait pas mentit, si le mot étaient menteurs, les expressions ne trompaient pas. D’un autre côté il pouvait raconter tout ce qu’il voulait à Silvius, il sentait que le mangemort ferait son enquête personnelle. Après tout qui croirait le premier venu qui vient lui annoncer être son fils. Des imbéciles sans doute. Le mangemort lui confirma ne pas être un homme tendre, démontrant une quelconque affection et Leroy loin d’être stupide répondit qu’il l’avait compris, seul obtenir son respect pouvait avoir un certain poids. Dans les mots qu’il prononça il avoua être prêt à tenter l’expérience. De la patience, il en avait et de l’imagination ce n’était pas trop un problème. Mais le mangemort ne le connaissait pas suffisamment pour douter ainsi. Après tout il avait capté la filature de Leroy, se disant que ce dernier ne devait pas être doué, alors que le jeune homme avait tout fait pour être entre-aperçu avant le moment opportun. « Vous ne connaissez pas, mais vous pourrez peut-être voir si j’ai assez de patience et d’imagination pour y arriver.  » répondit le jeune homme en prenant une gorgée de whisky.

Non Silvius ne le connaissait pas, il ignorait complètement son prénom, son nom et son histoire. Il n’avait fait aucune recherche avant de le croiser ici dans son bar. Leroy aurait sans doute pu mentir, donner des informations pouvaient être fatal dans certains cas, mais il lui donna son prénom, avouant par la même occasion que son histoire n’avait rien de palpitant. Ni même son nom qu’il avait lui-même choisit pour fuir tout lien avec les moldus qui l’avaient éduqué pendant quelques années. Silvius avait raison, il était difficile de mentir sur son histoire, mais que pourrait lui dire Leroy ? Son passage à l’orphelinat, ses études à Poudlard, ce qu’il faisait maintenant ? Ce n’était pas intéressant. Ni pour le jeune homme ni pour le mangemort. Non à la place ce dernier lui demanda ce qu’il attendait de lui. Leroy regarda attentivement celui qui l’avait créé. Très attentivement même, cherchant les bons mots à utiliser. Le silence régna quelques secondes. « J’étais curieux de vous rencontrer.  »  répondit le jeune homme, marquant une légère pause avant de reprendre : « Maintenant ce que je voudrais de vous, pour le moment rien, mais un jour peut-être pourrions-nous nous être utile l’un à l’autre. » Il avait presque l’impression de passer un pacte avec le diable. Leroy avait un choix à faire, un choix crucial qui changerait sa vie et ce choix il était seul décisionnaire. Dans sa tête une multitude de pensée s’emparait de lui, des voix qui se contredisaient et l’empêchait presque d’affirmer la véritable raison qui l’avait emmener ici.

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Bonjour ! J'appartiens à la maison : Briseur de sorts, puis chef de la brigade des Briseurs de sorts. Viré de son poste de prof à Poudlard. Actuellement sans emploi. J'ai posté : 217 hiboux. Grâce à moi ma maison a gagné : 3 pour une aventure ! Je suis de la génération : 1977 . Je suis un aventurier : Oui.

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MessageSujet: Re: Silvius - Father and son  Silvius - Father and son EmptyVen 29 Nov - 22:57
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Tight like a rope, try to not reach for memories. Lover, lover, what have we done ? We made our heart leap, then it gave up. Lover, lover, let me in. You came in the door like thunder, then hit the floor like thunder. Laying me down you wonder. You came towards like thunder.
Comme à son habitude, Silvius s’était retrouvé à l’un de ses bars préféré. Pour autant, il ne s’attendait pas le moins du monde à être suivi, et encore moins à découvrir un gamin illégitime. Du moins, c’était ce qu’il semblait lui raconter. Le mangemort ne pouvait être que méfiant. Car ces derniers temps, il n’avait certainement pas fait du bien autour de lui. Il était connu comme mangemort auprès du Ministère désormais à cause du fiasco de l’attaque l’année dernière et ne travaillait donc plus sous couverture. Ajouté à cela, le meurtre commis devant deux gamins de Poudlard. Oui Callaghan avait plus d’un ennemi, il le savait. Il avait surement aussi des ennemis cachés et c’est pourquoi il n’avait certainement pas le luxe de croire un mioche sur parole. Si ça se trouve, le gamin qu’il avait en face de lui avait été missionné pour lui soutirer des informations ou pour essayer de le tuer. Au choix. Pas très malin cet enfant en tout cas. S’il était réellement son fils, il n’avait pas hérité de son cerveau puisqu’il avait été assez idiot pour croire qu’il pouvait s’en sortir sans fracas en suivant l’un des plus dangereux mangemorts de l’époque. Mais malgré les menaces que Callaghan continuait de proliférer, le gosse n’avait pas l’air conscient du danger. Il semblait camper sur ses positions, bien décidé à rester à cette table en face de lui. L’homme était méfiant, mais avait tout de même une petite dose de curiosité ancré en lui. Déjà comment et pourquoi pensait-il qu’il était son fils. Le mangemort avait été marié pendant des années avant que sa femme ne se barre. Mais il ne l’avait jamais engrossé. Si ça avait été le cas, il était presque sûr à cent pourcent qu’elle lui en aurait fait part, pour au moins lui soutirer un peu de fric. LE gamin s’amusait clairement à le provoquer, ce qui ne plaisait pas le moins du monde au vieil aigri. Mais pour qui se prenait-il ce rejeton ? N’avait-il jamais appris à fermer sa grande bouche devant quelqu’un comme lui. Il fallait qu’il comprenne à qui il avait à faire et vite. Il n’avait pas en face de lui l’un de ses camarades d’école, mais un tueur aguerri. Et s’il ne comprenait pas vite, cela pourrait le mener à sa perte. Même une menace sur un ton glacial ne semblait pas vouloir lui faire quitter ce petit sourire insupportable. L’envie de le baffer le démangeait quelque peu, il n’allait pas le cacher.

Silvius cherchait dans son esprit l’identité de cette mère. S’il était bien le père biologique de ce môme, il n’y avait pas d’autre choix que sa mère soit cette putain de Jessica. Après tout, c’était la seule femme avec qui il avait des relations régulières depuis autant de temps. Il avait dû l’engrosser avant de partir pour sa longue mission du Ministère. Putain. Bien sûr, il n’était sûr de rien pour le moment. Il voulait des preuves. Et ce fut exactement ce qu’il demanda au gosse. Il voulait quelque chose de lui, il fallait déjà lui prouver qu’ils avaient bels et bien des liens de sang. Le gamin lui répondit donc. Visiblement il n’avait rien à cacher. Il pouvait lui répéter l’histoire. Callaghan reprit une gorgée. S’il voulait réellement entendre cette histoire, il allait avoir besoin d’avoir beaucoup plus d’alcool dans le sang. Sinon, il ne risquait pas de tenir.

– Parce qu’elle aurait donc eu d’autres raisons que d’abandonner un batard autre que reprendre son métier de tapin ? Intéressant.


Dit-il. Il cherchait à voir les limites du jeune homme, à le provoquer pour voir où sa patience était. Callaghan avait toujours eu ce penchant à tester les limites, il se complaisait dans l’idée de la psychologie. Comment faire du mal aux gens sans même à avoir les toucher. D’ailleurs ça, il l’avait fait bien plus d’une fois avec ses victimes. Le gamin semblait persuadé que sa mère ne lui avait pas mentit. Comment pouvait-il faire confiance à une femme qui l’avait abandonné et qui vendait son corps pour de l’argent. Personne ne semblait lui avoir appris de se méfier de tout le monde. Incroyable. Callaghan continuait de se demander si le gamin était stupide. Après tout, de ce qu’il lui donnait pour le moment, il ne semblait pas être la plus grande des lumières. Mais pour autant le gosse était réfléchi et minutieux dans ses paroles et son attitude. Il restait encore un mystère aux yeux du mangemorts qui essayait de voir ce que se cachait derrière cette façade. L’une des premières missions du gosse était semble-t-il d’obtenir son respect. Pour ça, il allait surement devoir s’accrocher. Callaghan n’était pas le genre de type à donner son respect ou sa confiance rapidement. Les gens qui l’avaient pouvaient sans doute se compter sur les doigts d’une main. Le gamin semblait confiant, c’est ce qu’il affirma en tout cas. Callaghan prit une nouvelle gorgée de son whisky. Pour lui, il n’y avait que les actes qui comptaient.

Callaghan ignorait tout de ce gosse après tout. Il ne pouvait donc ni démentir ni confirmer ses paroles. Il ne savait pas d’où il venait, et ne connaissait même pas son nom. Nom qu’il finit quand même par lui donner. Au moins il se livrait un petit peu. Son nom n’avait apparemment aucune histoire. Peu importe. Un nom n’était pas vraiment important, il pouvait se changer très facilement. Mais alors pourquoi donc ce gosse Leroy l’avait recherché. Qu’attendait-il de lui au final ? Un silence s’installa. Callaghan n’avait définitivement pas l’intention de le rompre. Il attendait patiemment que le jeune garçon lui explique.

– Curiosité satisfaite ? Dis moi donc garçon, en quoi penses-tu qu’un gamin à peine sorti de l’école pourrait m’être utile ?

Demanda-t-il. Qu’allait donc faire le gamin avec cette question. La réponse intéressait grandement le mangemort.

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