Parce que j'aime mes camarades, surtout quand ils sont morts. w/libre
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❝ Leopold Zygler ❞
Bonjour ! J'appartiens à la maison : Serpentard J'ai posté : 61 hiboux. Grâce à moi ma maison a gagné : 0 pour une aventure ! Je suis de la génération : 1977 . Je suis un aventurier : on peut me blesser A savoir sur toi : Je suis comme tout le monde. Je n’aime pas parler, sauf à mes amis. J’aime les animaux, surtout quand ils sont morts. Je n’aime pas les vivants, sauf lorsqu’ils sont hybridés. J’ai des loisirs : voilà trois ans que je tannais mon directeur de maison pour l’ouverture d’un club laboratoire d’expérimentation hybride. Face aux refus répétés (bon faut que je demande quand même à la nouvelle), j’ai du bricoler ça tout seul, dans le plus grand secret – ce qui est finalement mieux, vu que j’aime pas les gens, mais qui pose problème quant au nombre de cobayes expérimentaux …
Sujet: Parce que j'aime mes camarades, surtout quand ils sont morts. w/libre Mar 2 Jan - 1:55
Deblaye sombre idiote
- Leopold Zygler -
"Come on, this is ridiculous. I don’t have to answer to you. I don’t have to answer to anyone!"
Visage rouge, puis blanc, du à une respiration retenue sous le coup de la rage qui l’asseyait. Une bouffondor venait de lui en mettre plein la gueule devant la totalité des élèves de Poudlard. Quelle conne. Mais en même temps que pouvait-on attendre d’une idiote appartenant à la maison des pseudo-rebelle-maître-du-monde. Elle l’avait menacé puis lui avait demandé un duel pour régler ça.
*T’inquiète pas, on va régler ça à coup de doloris pauvre amas de cellules inutiles.*
Le regard noir et les poils hérissés, Léopold n’avait désormais qu’une seule envie : régler son compte à cette crétine pour qu’elle ferme enfin sa grande bouche et qu’elle redescendre de son petit trône. Elle allait bien vite voir qu’il ne fallait pas l’emmerder. Heureusement qu’il avait trouvé une solution à son problème de baguette plus tôt dans la journée, sinon il aurait été dans la merde. En effet, le Serpy en avait chourré une à un mioche de première année appartant à la maison la plus gerbante de l’école : Poufsouffle. Et pour qu’il n’aille pas cafter direct à l’un des professeurs, il l’avait menacé de l’endoloriser et de le couper en petits morçeaux s’il l’ouvrait. Normalement Popold devrait être tranquille pendant un bon moment. Et puis surtout, le plus important, il pourrait continuer ses petites expériences dans son labo secret.
Ainsi comme promis, le jeune garçon quitta la Grande Salle pour se diriger vers la salle de sortilège. Il se faufilait tel une ombre malodorante entre les grappes d’élèves qui venaient de rentrer. Pourquoi leurs parents effrayés par les attaques ne les avaient pas gardés auprès d’eux ?
*Je patauge dans l’imbécilité.*
Ainsi il arriva finalement dans cette fameuse salle de de sortilèges. Cette bouffonne allait vite comprendre à qui elle avait à faire. D’ailleurs elle avait intérêt de se magner le cul, il n’avait pas que ça à faire de la rabaisser plus bas que terre et de lui faire bouffer la poussière. Popold remarqua que d’autres élèves étaient entrer dans la salle. Evidemment ces bons à riens ne voulaient rien manquer du spectacle. C’était la seule petite lueur de bonheur dans leur vie pathétique.
– Bon elle est où cette crétine décérébré, j’ai pas que ça à foutre de la défigurer.
Lança le jeune homme à voix haute, tandis qu’il tenait fermement sa baguette dans sa main droite, prêt à l’utiliser dès qu’il verrait arriver son adversaire. Beaucoup de personnes étaient là. Un groupe de Pouffy était en train de ricaner.
*Bande de sous-race.*
– Elle ferait mieux de développer ses pouvoirs l’attardé, au lieu de s’occuper de ses cheveux.
Pouffa-t-il de rire visiblement trop fier de sa punchline [xD].
– Et toi, me fixe pas sinon je te lance tellement de sortilège dans ta face de rat que même ta pétasse de mère arrivera pas à te reconnaître quand je t’aurais fini.
Au moins, il donnait très clairement le ton. Et comme d’habitude il était insupportable, insolent, et se prenait un peu trop pour ce qu’il n’était pas.