Oh la belle rouge ! BOUM Ft Minerva Mcgonagall

James Potter & Minerva Mcgonagall Oh ! la belle rouge !

Oh la belle rouge !

*James Potter était encore en retenu. C'était presque devenu une habitude pour le jeune homme de se rendre tout les mardi soir dans le bureau de sa directrice de maison. C'était aussi devenu une habitude pour lui de recevoir une beuglante de la part de ses parents le lendemain de sa bêtise. Le jeune homme ne voulait pas décevoir ses parents mais c'était plus fort que lui. Avec les maraudeurs il ne pouvait s'empêcher les pires bêtises à faire à Poudlard. Au plus grand désarroi de Minerva Mcgonagall directrice de maison de Gryffondor.

Pourtant la dernière invention des maraudeurs n'était pas si mal au début. Tout ça était parti d'une idée merveilleuse de James. C'était les derniers jours avant les grandes vacances et le jeune homme voulait partir sous des applaudissements. Il voulait que le château et ses occupants se souviennent des maraudeurs encore longtemps. Alors James avait en premier eu l'idée de faire exploser quelques feu d'artifice dans le parc de Poudlard. Et puis Sirius avait eu l'idée avait eu l'idée d'y ajouter un peu de "feu" à tout ça. Littéralement il avait décidé de leur faire prendre feu à la fin de leur numéro de feu d'artifice. Et bien sur pour finir de se jeter dans le lac de Poudlard. Ignorant bien sur les danger les deux frères de cœur s'était tout de suite engagés à 100% dans leur idée stupide. Le seul assez mature pour leur faire prendre conscience des risques c'était Remus Lupin. Au final James et Sirius avait obtenu de lui qu'ils puissent réaliser leur idée et que de toute façon il serait non loin d'eux si jamais cela tournait mal. Peter bien sur avait refuser de voler avec eux ayant peur vide. James avait donc convenu qu'il serait chargé de ramener le maximum d’élève dans le parc.
Leur numéro avait donc commencé sans trop de problème. James volant dans les airs avec Sirius s'amusant à jeter des feux d'artifices. Quand le dernier fut envoyer cela fut le signal pour Patmol de les enflammer. Le feu d'artifice venait tout juste de terminer d'afficher "maraudesement votre" que deux torches humaine volait cote à cote de plus en plus en haut. Les sortilèges de protection qu'ils avaient mis en place ne durait que quelques minutes. Suffisamment longtemps pour que les deux amis puissent voler assez haut et se jeter ensuite dans le lac. Le rendu extérieur était vraiment pas mal. Mais ce n'était rien comparé aux sensations que James éprouva en abandonnant son balai en pleine ascension pour se laisser tomber dans le lac. Il sortit du lac complètement trempé mais tellement fier de son exploit. Enfin la joie ne dura pas bien longtemps quand son professeure de métamorphose déboula dans le parc bien énervé contre les deux imbéciles de sa maison.

Bref ce soir quand James arriva devant le bureau de Mcgonagall il se demanda bien ce qu'il allait faire cette fois en guise de punition. Le moral déjà bien miné par la missive de ses parents qu'il avait reçu le matin même. Sirius avait aussi eu le droit à se beuglante de la part des Potter. Les parents complément dépassés par là débilité des deux adolescent. les traitant d’irresponsable, qu'ils ne se rendaient pas compte des risques qu'ils avaient prit ce jour là. Tout ça pour faire les intéressants. Enfin James toqua à la porte attendant l'autorisation de rentrer.*

- Bonsoir Professeure. En quoi consiste la punition cette fois ?

*James se préaparant déjà mentalement à écrire "je ne dois pas m’enflammer et sauter dans le lac de Poudlard" 500 fois.*

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« Minerva, vous avez besoin de vous détendre un peu, une partie d’échec dans mon bureau, ce soir, juste après le repas, cela vous convient- il ? »

La concernée se retourna vers son employeur et ami, Albus Dumbledore. Pas besoin d’être devin pour deviner qu’elle était tendue, cela se voyait à trois mille kilomètres à la ronde : ses yeux ne cessaient de jeter des regards noirs en direction d’un jeune homme attablé à la table des Gryffondors, ses mâchoires étaient serrées, comme si elle se retenait de crier à tout va sa rage, ses doigts ne cessaient de pianoter de manière impatiente contre la table où mangeaient le personnel de Poudlard. Elle ne décolérait pas depuis la veille. Elle ne dirait pas non à une bonne dose de détente mais elle ne pouvait malheureusement pas.

« J’aurais adoré pouvoir accepter votre invitation Albus, mais je crains devoir la décliner, j’ai une retenue à surveiller ce soir, soupira Minerva.

- Qui est le malheureux puni ?

- Malheureux ? Il fait tout pour être retenu je le crains. James Potter peut être une vraie plaie quand il le veut, c’est-à-dire tout le temps avec moi.

- Il a fait quoi pour mériter un tel déversement de colère de votre part ?

- Il n’a rien trouvé de mieux que de se transformer en torche humaine sans penser une seule seconde aux risques auxquels il s’exposait. Juste pour se faire remarquer… Vous imaginez si cela ne s’était pas terminé aussi bien, et qu’il se retrouve brûlé au point que l’infirmière ne puisse rien faire ?

- Minerva, Minerva, calmez-vous, cela ‘est bien terminé, vous le voyez bien. En tant que directeur de Poudlard, je vous ordonne de faire une partie d’échecs avec moi juste avant votre retenue avec Potter. Vous avez bien une heure à m’accorder ? Parfait ! J’aimerais éviter de voir un de mes élèves se faire tuer juste avant la fin de l’année. »

Une heure plus tard, après une bonne partie d’échecs, que Minerva gagna facilement, un coup retentit à sa porte. Albus emprunta la cheminée pour revenir dans son bureau tandis que la professeure de Métamorphose invita son élève à rentrer. Il la salua et lui demanda ce qu’il devait faire comme punition. Elle ne répondit pas et se leva simplement, sans murmurer un seul mot. Finalement, une fois qu’elle ait atteint la porte de son bureau, elle se retourna vers James et d’une voix brusque lui demanda simplement de la suivre. Elle reprit sa route, sans vérifier une seule fois si son élève la suivait ou non. Grâce à son Ouïe développée, elle pouvait entendre le bruit de ses chaussures sur la pierre dure du sol des couloirs. Elle n’indiqua pas une seule fois où ils allaient. Pour l’instant, elle prenait la route du bureau du directeur mais à la dernière minute, bifurqua et elle se dirigea finalement vers la Volière. Une fois rentrés dans la Volière, elle se tourna vers le Gryffondor.

« Vous allez nettoyer la Volière à la manière Moldue. Un seau et une éponge vous attendent. Je ne veux pas attendre un mot venant de vous si vous n’avez pas une bonne raison de la faire. Je vous dirais quand l’heure sera terminée. Mais si je juge que vous n’avez pas assez travaillé durant cette heure, je vous donnerais une autre retenue, donc soyez sérieux dans votre travail. »

Minerva transforma une plume qui trainait en chaise et s’assit dans un coin de la pièce, avant de se plonger dans la lecture de son magazine de Métamorphose, en accordant de temps en temps un regard à James, attendant qu’il commence à se faire remarquer, étant donné qu’il semblerait qu’il ne pouvait pas s’en empêcher.

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*James devait penser à remercier Dumbledore alors ? Non parce que visiblement le directeur de Poudlard lui avait évité pire que de laver la volière. Si il y a pire effectivement. Potter était encore bien loin de devenir adulte et responsable et il l'avait une fois de plus prouvé. Le jeu avait-il valu la chandelle ? Le Gryffondor vous répondrez que oui. Car maintenant on l'appelait Potter la torche humaine. Et il n'y avait rien de plus plaisant que cela. Malheureusement pour lui la fête était belle et bien terminé. Dans un premier temps les parents de James lui avait fait comprendre que cette fois il était allé bien trop loin. D'ailleurs toute l'école avait put en profiter puisque le Gryffondor avait reçu une beuglante. La fameuse lettre s'était mise à hurler avec la voix de sa mère devant tout les élèves de la grande salle. Le traitant de sombre crétin. Qui avait bien pu inventer les beuglantes ? Parce que vraiment en recevoir une c'était comme signer votre arrêt de mort.

Avant de se rendre à sa retenu James était passé par la case repas. Incapable de manger quoi que ce soit il n'avait réussi qu'à fixer les doigts de Minerva Mgonagall pianotant sur la table. Il avala sa salive se demandant bien ce que sa directrice de maison allait lui faire faire. Elle avait vraiment l'air remonté contre lui cette fois. C'est donc plutôt stressé qu'il était rentré dans le bureau de son professeure de métamorphose. Le pire c'est qu'elle ne lui dit rien et marcha dans sa direction. Potter savait parfaitement bien qu'il ne risquait rien avec Minerva, néanmoins il ne pouvait s'empêcher d'avoir un peur. Il obéi sagement et suivit sans un seul mot l'ancienne Gryffondor. Ou pouvait-elle donc bien l'emmener. De nombreuse supposition travaillèrent James tout le long du chemin. Se rendant compte qu'ils étaient non loin du bureau de Dumbledore il se demanda si la sanction cette fois ce n'était pas le renvoi. Il espérait que non mais resta silencieux. Et puis finalement et heureusement pour lui Mgconagall bifurqua vers la volière. Que voulait-elle qu'il fasse ici. Distribuer le courrier ?

Quand la sanction tomba James n'afficha pas une tête ravi bien au contraire. Il souffla même un peu, énervé que l'ont puisse lui demander ce genre de boulot d'elfe de maison. Néanmoins Minerva avait cette capacité à vous faire rapidement plier et obéir. Il attrapa donc l'éponge et le seau et ne put d'empêcher de faire une moue dégoutté en rentrant dans la volière. Il commença sa tâche. Frottant comme il le pouvait, essayant de faire au mieux. Potter récupéra une échelle pour nettoyer les étages du haut. Mais alors qu'il passa un coup d'éponge dans les casiers une chouette s'attaqua à lui et le fit chuter. Il se releva et dit-il en rigolant.*

- Je suppose que ce sont les risques du métier...

*James se remit au travaille en se frottant un peu les fesses avant. Il faut dire qu'il avait chuter d'assez haut pour avoir un peu mal. Néanmoins il reprit l'éponge et reparti à l'assaut de la volière. Il hésita quelques secondes à reprendre la parole et puis se lança.*

- Professeure. Vous savez avec Sirius on voulaient pas faire ça dans le but de faire perdre des points à Gryffondor ou de décevoir mes parents. On voulaient juste s'amuser un peu avant de partir de Poudlard...

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En effet, James Potter pouvait remercier Dumbledore d’avoir calmé la professeure de Métamorphose. Elle avait un peu décoléré depuis le repas du soir. Ses yeux n’étaient plus des baguettes lanceuses d’Avada Kedavra, sa mâchoire n’avait plus le même besoin qu’auparavant d’exprimer sa rage à tout va et ses doigts ne s’entraînaient plus à devenir le meilleur pianiste de Poudlard. Par contre, elle avait beau être calmé, elle était toujours énervée contre la source de sa précédente rage, c’est-à-dire contre James Potter. Elle était toujours remontée contre lui, mais quand même un peu moins que précédemment. Il ne risquait plus de mourir dans d’atroces souffrances en quelques sortes… Elle ne l’aurait quand même pas tué, même si elle en mourrait d’envie parfois.

Minerva ne comprenait toujours pas comment une telle idée avait pu germer dans le cerveau de James Potter et de Sirius Black… Et dans quel but aussi. Car d’accord, on pouvait s’amuser, mais là, ils avaient quand même risqué leur vie. Se faire remarquer ? Sans doute. La directrice adjointe, en passant dans les couloirs, avait entendu des élèves appeler les deux adolescents « torches humaines ». Mais ce n’est quand même pas pour un simple sobriquet qu’ils avaient risqué leur vie ? Et puis la lueur de la torche humaine semblait faible à côté de la colère de la mère de James, exprimée à travers sa beuglante et les traitant de sombres crétins, sobriquet que Minerva trouvait plus adaptée. Elle avait été obligé d’envoyer des lettres aux parents Potter, comme à chaque fois. En sept ans, elle en avait envoyé des lettres, plus qu’elle ne pouvait en compter… Une correspondance était finalement née entre les deux femmes.

Une fois que James fut rentré dans sa salle de classe pour commencer sa retenue, Minerva s’était dirigée vers lui, ou plutôt vers la porte qui se trouvait derrière lui. Il aurait pu croire que, finalement, après sept années à jouer avec les nerfs de sa professeure, elle aurait fini par craquer et par vouloir pour de bon se débarrasser de lui, mais malheureusement pour elle et heureusement pour lui, le règlement le protégeait. Elle l’avait seulement guidé jusqu’à la volière qu’elle lui demandait de laver, à la manière moldue. C’était un travail qu’on pouvait considérer comme rabaissant, mais il était en retenue, et non en vacances sur un bateau de plaisance, il n’était pas là pour s’amuser. Donc, la professeure de Métamorphose était plus qu’heureuse de voir cette tête pas du tout ravie et d’entendre son soupir. Mais elle fut aussi heureuse de le voir faire ce qu’elle lui avait demandé… Comme quoi, elle n’avait pas encore totalement perdu de son autorité.

Minerva s’était donc installée devant un bon magazine quand elle entendit un hululement énervé d’une chouette, suivie d’un bruit de chute… Potter était tombé. La directrice des Gryffondors se leva vite fait de sa chaise, inquiète pour son élève, sa colère pour lui effacée par l’inquiétude.

« Rien de grave, Potter ? »

Potter reprit son travail mais finit par rebriser le silence en expliquant à sa professeure que Sirius et lui ne pensaient qu’à s’amuser, sans du tout penser à mal. Minerva le toisa froidement et répondit d’une voix sèche :

« Il existe d’autres façons de s’amuser Potter. Black et vous avez agi comme des enfants sans cerveau et sans maturité. Vous auriez pu vous blesser, voire pire. Vous n’avez pas du tout réfléchi, comme d’habitude. »

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*Rien que la voix sèche de Minerva suffit à faire iriser les poils de James. Ce n'était bien sur pas la première fois qu'il était en retenue avec Mcgonagall mais celle-ci était assez particulière. Rien que dans la punition déjà. Ne comprenant absolument pas le but de nettoyer la volière à la façon moldu alors qu'un coup de baguette suffirait à tout rendre propre. C'était une perte de temps pour le jeune Potter et il n'avait qu'une envie sortir d'ici pour aller faire un peu de Quidditch. Pendant quelques instants il s'était mit à rêver de ce qu'il aurait put faire de cette soirée. Ramené à la dur réalité par les cries des hiboux qu'il dérangeait. Néanmoins James se réconfortait en pensant qu'il était devenu une légende vivante. Tout les élèves de Poudlard ne parlait que de ça. Il avait hâte de sortir de sa retenu tel une rock star.

Du haut de son échelle il écouta son professeur lui faire la morale. Sûrement pour la énième fois. C'était plus fort que lui il adorait attirer l'attention sur lui et mettre un peu d'ambiance dans ce château. Potter était incapable de comprendre les personne qui s'amusait en ne jouant qu'à une simple parti d’échec. James était tout simplement un garçon qui déborder d'énergie. Beaucoup trop d'énergie et parfois cela pouvait déraper.

"Pas du tout réfléchi" ? Bien sur que si ils avaient réfléchit. La mise en place d'une farce comme celle-ci n'était pas donné à tout le monde. James et Sirius avait longuement réfléchit à la mise en place et également à leur sécurité et oui. Bon après tout n'était pas parfait mais c'est ça qui était beau non ? Légèrement vexé par la réfection de Minerva James ne put s’empêcher de prendre la parole.*

- Et bien si professeur figurez vous que cette entreprise était complètement réfléchie. On à mit des mois à préparer ce petit spectacle. Entres les sorts de protection, les figures réaliser et le saut à la fin ça nous à demander beaucoup de temps.
je dois être une sorte d'artiste incompris.

*L'artiste incompris continua de frotter jusqu'à ce qu'au bout d'un moment il ressente des combattues dans ses bras. James avait déjà tenté à plusieurs reprises d'arrêter sa corvée sans grand succès. Minerva campé sur ses positions au grand désarroi de James qui tenta donc à nouveau d'arrêter de nettoyer la volière.*

- Professeur je peux m'arrêter maintenant cela fait des heures que je frotte et si ça continue c'est mon bras qui va tomber. Cela serait bête parce que ce week end il y à un match de Quidditch. Vous ne voudriez quand même pas que l'ont perde le match à cause de ça ?

*Effectivement James tenter de jouer sur les sentiments. Il ne lui restait plus que cette option.*

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Minerva était toujours énervée contre James Potter, qui en sept ans de scolarité à Poudlard, avait tout fait pour ne respecter aucune règle de Poudlard et de briser entièrement le règlement rédigé minutieusement et avec soin pendant des siècles par les directeurs, aidés de leur adjoint. Et pourquoi il faisait cela ? Simplement pour s’amuser, pour se faire remarquer… Que des raisons futiles… Donc, Minerva, actuelle directrice adjointe de l’école de sorcellerie et de magie Poudlard, se faisait un devoir de faire respecter l’ordre à Poudlard et c’est pour cela qu’elle avait donné un nombre incalculable à Potter et à sa clique, les Maraudeurs. Avec lui, la professeure de Métamorphose avait souvent arboré un ton sec et avait du être imaginative en matière de punition. Finalement, c’était une bonne chose que cela soit la dernière année de élève en Gryffoondor, elle commençait un peu à manquer d’imagination. Nettoyer la Volière n’était peut-être pas la meilleure idée de McGonagall, mais elle ne l’avait pas fait pour rien, surtout de la manière moldue. Elle aurait très bien pu être nettoyée à l’aide de quelques sorts. Mais la tâche était assez indigne, voire honteuse. Peut-être que James retiendrait enfin la réponse… Minerva n’y croyait pas trop quand même.

Minerva continuait tout de même à faire la morale, même si elle n’avait plus trop d’espoir sur son utilité. Il semblerait que quoi qu’elle dise, cela ne serve à rien pour changer la nature de James. Elle parlait tout en insistant sur le manque de réflexion de leur plan, du manque d’intelligence de leur intelligence, voire de la débilité profonde d’une telle idée. La professeure était étonnée, voire déçue que Remus Lupin, peut-être la seule personne censée du groupe nommé les Maraudeurs, puisse accepter qu’une telle idée stupide se produise. Car pour elle, cette action n’était que purement irréfléchie, remarque qui sembla piquer la fierté de James, qui vexé ne put s’empêcher de prendre la parole en contredisant sa professeure et en expliquant que cette idée avait préparé pendant plusieurs mois avec tous les sorts servant à la protection ou à la réalisation du projet. Il ajouta même qu’il devait être un artiste incompris. La directrice des Gryffondors se retenait de rire de manière sarcastique devant les propos que tenait James.

« Un artiste incompris, juste cela ?! Ce que je remarque c’est juste le manque d’intelligence et d’intérêt de votre acte. Vous avez perdu votre temps pendant des mois juste pour vous donner votre spectacle. Vous auriez pu faire d’autres choses pendant ce temps mais vous avez préféré le gâcher. »

Minerva replongea dans son magazine, essayant d’oublier l’impertinence de son élève. Il ne manquait pas de culot lui… Cependant, il n’en avait pas fini car il reprit la parole et essayait de faire jouer la carte des sentiments. Il se doutait que derrière le masque de froideur et de sécheresse de sa professeure de M2tamorphose, se cachait un être humain comme tous les autres, c’est-à-dire, un être humain capable de ressentir des émotions ou des sentiments, capable d’être heureuse ou triste, ou de s’attendrir. Mais il ne fallait quand même pas pousser le bouchon trop loin. Elle pouvait se laisser attendrir mais pour de vraies raisons, mais juste pour cela, ce n’était même pas la peine d’y croire. Elle voulait absolument que Gryffondor gagne la coupe de Quidditch mais aussi celle des Quatre maisons mais elle ne changerait pas de positions pour autant.

« Toujours dans l’exagération, Potter. Cela ne fait que cinquante minutes que vous nettoyez. Votre punition ne se finira qu’au bout d’une heure si je juge votre travail satisfaisant. Quidditch ou pas vous continuerez. »

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*Dans la jeune tête de James les règlements comme ceux de Poudlard étaient fait pour être briser et surtout s'adapter. Bon nombres de règles qui s'appliquaient aux élèves de Poudlard était pour James complètement dépassé. Profite de sa jeunesse, s'amuser et faire rire les autres voila ce à quoi le jeune homme aspirait en ce moment. Pourquoi mettre autant d'énergie dans une entreprise aussi futile ? Tout simplement parce que Potter n'ignorait pas que derrière les murs protecteur de l'école de magie se trouvait le mal incarnait et qu'ils allaient tous devoir y faire face. Personne ne pouvait rester sans opinion dans ce contexte de guerre. Qui divisait chaque sorcier du Royaume-Uni même au sein du même famille. James avait suffisamment pensé à ce qui l'attendait au dehors pour en avoir peur et vouloir absolument s'en détourner. Mais rien que part son sang et que part l'attirance qu'il portait à une née moldu il ne pouvait pas resté indifférent. Potter savait déjà qu'aussitôt sortit de l'école il rejoindrait l'ordre du phénix et combattrait les rangs de Voldemort. Inconsciemment donc il profiter encore de sa dernière année à Poudlard comme il avait toujours sut le faire en se faisait remarqué et en créant des cheveux blanc à sa directrice de maison.

Réellement James avait mûrit mais il ne voulait pas sortir de ce cocon qu'était Poudlard. Devoir prendre des risques et voir peut être ceux qu'il aime en faire de même allait être sacrément difficile pour le jeune homme. Il avait presque réussi à faire rire Minerva. Si proche du but. Il répondit à nouveau à son professeur avec à nouveau de la désinvolture dans sa voix.*

-Vous ne pensez pas que cela dépend du point de vue professeur ? De votre point de vue j'ai désobéi au règlement. C'est donc logique que vous n'ayez pas apprécié notre résultat finale. Du point de vue des élèves je peux vous assurez que cela à fait plus que les amusez ou les faire rires. Cela leur à permis d'oublier la guerre et pour une fois dans le château on ne voyait pas que des tête tristes ou morose. Mais des rires. On leur à rappeler qu'ici ont pouvait encore voler sur un balais en plein feu si l'envie nous en prenait. Bon même si je pense que vu la punition que j'ai récolté plus personnes ne voudra reproduire notre spectacle.

*James avait été sincère dans ses paroles. Il pensait réellement que sa blague avait au moins eu un impact positif sur la vie au château et surtout sur les élèves. Bref James continua encore et encore de frotter. Il puait la fiente d’oiseau mélangé à de la transpiration la sienne. C'était juste affreux. Et cela allait être encore pire sur le chemin du retour. Les minutes s'écoulèrent lentement et James avait l'impression que cela faisait une journée qu'il était là. Le lendemain il devait avoir un entrainement de Quidditch et en tant que capitaine il ne pouvait pas ne pas y assister. Rien qu'en sentant son bras le picoter il savait que faire des passes demain avec le souaffle allait être très compliqué. Enfin pour passer le temps James se dit qu'il n'avait qu'à discuter un peu avec son professeur.*

- Tiens d'ailleurs professeur en parlant de Quidditch pourquoi m'avoir choisit comme capitaine si vous me détestez tant que cela ?

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Minerva n’avait pas toujours été aussi à cheval sur le règlement et surtout sur le fait qu’il fallait le respecter. Elle avait été jeune elle aussi, et avait parfois fait autre chose que suivre le droit chemin. Même si elle s’entêtait à le nier et à vouloir absolument le cacher, elle avait déjà brisé le règlement, comme s’amusait à le répéter Dumbledore pour la taquiner. Cependant, ce n’était arrivé que des rares fois et elle avait toujours une bonne raison. Elle n’en avait jamais abusé, ce qui n’était sûrement pas le cas de James Potter.

Etonnamment, il semblerait que James et Minerva, qui pourtant, semblait si différents, aient la même opinion au sujet de la guerre. En dehors de l’école, ou plutôt en dehors de l’aura qui entourait Albus, seul sorcier craint par Voldemort, la guerre faisait rage et se sentir en sécurité était un sentiment rare et difficile à ressentir. Personne ou presque personne n’était à l’abri, et il était presque impossible de rester les mains dans les poches et de vivre sa vie sans donner une seule fois son opinion. La professeure de Métamorphose savait pertinemment qu’une fois leur scolarité finie, les élèves quitteraient le cocon de sécurité que formait Poudlard et se retrouverait en plein milieu d’une guerre. Cela la désolait de voir de tous jeunes enfants connaître une telle cruauté, de voir la douleur autour d’eux et peut-être mourir dans d’atroces souffrance. Elle aurait aimé pouvoir leur promettre un avenir en paix et tranquille mais elle n’en avait aucunement le pouvoir.

Ainsi, que James et ses amis fassent des blagues étaient peut-être une bonne chose dans le sens qu’ils parvenaient à faire oublier, le temps d’une blague, les sombres événements du monde sorcier. Cependant, s’ils pouvaient le faire sans autant tourmenter leur vieille professeure de M2tamorphose, cela serait encore mieux. Elle allait avoir les cheveux complètement blancs s’ils continuaient. Potter expliqua à sa professeure qu’elle n’aimait pas cette bêtise à cause du fait qu’il ne respecte pas le règlement, mais que les autres avaient aimé, car justement, cela leur donnait de la joie dans un monde qui en manquait cruellement.

« Je vois… Vos raisons sont nobles, Potter. Sachez que je n’ai rien contre un peu de joie et de gaieté, cependant vous auriez très bien pu accomplir cette même mission en respectant le règlement, qui n’existe pas que pour faire joli. Il existe pour la sécurité des élèves et la dangerosité de vos actes le témoignent très bien. Et j’espère bien que personne n’essaiera de reproduire un tel spectacle, je ne tiens pas à voir l’infirmerie remplie de blessés, voire pire. »

Minerva avait abandonné la lecture de son magasine pour le regarder nettoyer et voir s’il faisait bien son travail. Il avait demandé à arrêter plus tôt, demande que bien évidemment sa professeure avait refusé. Elle savait très bien qu’avec lui, si elle cédait, elle perdrait tout semblant d’autorité. Si elle lui tendait juste un doigt, il lui prendrait le corps entier. Il reprit la parole en lui demandant pourquoi l’avoir choisi comme capitaine si elle le détestait. Il pensait vraiment qu’elle ne l’aimait pas ? La directrice adjointe regarda par la fenêtre de la volière, tout en répondant à son élève.

« Qui vous dit que je vous déteste tant que cela ? Et rien ne m’oblige à répondre à une telle question. »

Elle savait que si elle lui disait la vérité, James prendrait la grosse tête, et ne saurait se taire. Il fallait qu’il réfléchisse un peu, elle l’avait pris parce qu’il était doué en Quidditch et parce qu’elle pensait qu’il avait les aptitudes nécessaires pour mener l’équipe de Gryffondor vers la victoire.

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*James avait bien tenté une ou deux fois de faire des blagues en respectant le règlement mais disons que cela n'avait jamais vraiment marché. Aucuns élèves ne s'étaient souvenu de leur blague au grand désespoir de Potter. Bien sur il ne faisait pas cela que pour la gloire mais aussi pour s'amuser. comportement complètement égoïste ? Sûrement mais il profiter au maximum avant de quitter le château. Le jeune homme se posait une question de toute importance. Avait-il eu de la chance de s'en sortir sans aucune blessure ou peut être le fruit de leur travail avait finit par les protéger. Sûrement un mixe des deux. Car avant de se lancer dans pareil projet James avait calculé combien de temps les sortilèges de protection pouvaient contenir la chaleur et leur éviter toute brûlure. Les deux élèves de Gryffondor avaient dépassé de quelques secondes le temps indiqué et ils n'avait pas vraiment eu le temps de se rendre compte des brûlures qu'ils étaient déjà arrivé dans le lac.

Néanmoins il y a un bien un point que James avait complètement oublié c'est l'exemple qu'il pouvait donner aux autres élèves peut être plus jeune que lui et beaucoup moins expérimenté. Vraiment cette blague était parti de bonne intention mais aurait très bien pu dégréner et ce que grâce à l'intervention des professeurs de Poudlard qu'aucun autre binôme ne s'était risqué à ce genre de pratique. Il se rendit compte de tout ce que cela aurait put impliquer en écoutant Mcgonagall. Elle avait raison mais devait-il pour autant se priver de toute blague ? Pour une fois Potter fit preuve de compréhension et n'essaya pas encore une fois de ramener la discussion dans son sens.*

- C'est vrai quand construisant mon plan j'ai oublié ce détail important. Enfin sincèrement professeur je ne voulais mettre aucun des autres élèves en danger et je ne pensais pas que je serais copié. Je me disait que l'entreprise à l'air suffisamment dangereuse vu de l'extérieur pour qu'aucune personnes pense à reproduire le "spectacle".

*James était sincèrement désolé vis à vis de son plan qui avait mal tourné. Ne parlant plus pendant quelques minutes. Continuant son travail et réfléchissant quelques peu sur ses actes. Oui cela pouvait arriver même à James Potter. Étonnant. Rare sont ceux qui y parvenait. Minerva faisait parti de ses personnes avec suffisamment de patience requise pour faire front à James. En même temps il fallait bien que certaines personnes le remettre un peu à sa place de tant à autres. Il finit par répondre à Minerva.*

- Je sais pas vraiment. Je me disais que puisque je ne respecte pas vraiment le règlement vous devez pas vraiment me porter dans votre cœur...

*James fut un peu déçu de ne pas avoir sa réponse mais décida tout de même de continuer la conversation.*

- Très bien alors si vous ne voulez pas parler de moi parlons de vous ! Pourquoi êtes vous devenu un Animagus ?

*La curiosité est un vilain défaut ? Surement mais bon nettoyer la volière n'était pas vraiment passionnant et James devait occuper son esprit à autre chose. Autre sujet pour l'occasion. Etant lui même un animagus il était plus qu'intrigué des raisons que pouvait avoir la professeure de métamorphose.*

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Quelque chose que Minerva n’avouerait à James, c’était qu’aux premiers abords, les plaisanteries des Maraudeurs auraient pu la faire rire. C’est vrai qu’elle s’entêtait plus que tout à faire appliquer le règlement, mais elle n’était pas si à cheval dessus si elle jugeait qu’il y avait une bonne raison de ne pas l’appliquer. Cependant, quelque chose qu’elle jugeait encore plus important que l’humour et les blagues, c’était la sécurité, point très important pour la vieille professeure de Métamorphose. Et c’était ce point majeur qui faisait que la sorcière ne parvenait pas à rire aux incessantes blagues des Maraudeurs. Quand elle avait appris par des bruits de couloirs que des véritables torches humaines volaient dans le parc de Poudlard, elle s’était levée d’un coup, avait quitté telle une furie son bureau, et s’était dirigée d’un pas raide et énervé en direction du parc de Poudlard. Avec horreur, elle avait remarqué des balais s’élevant dans les airs, enflammés avec des élèves dessus. Elle n’avait pas besoin de réfléchir longtemps pour deviner qui se trouvaient sur ses balais… James Potter et Sirius Black… Elle n’en pouvait plus d’eux. Elle se pinça rapidement l’arrête du nez. Quand ils atterrirent, elle déboula devant eux et leur cria dessus en disant que ce n’était que des débilités, des ramassis d’actes non réfléchis avant leur infliger des retenues. Mais tandis qu’elle les voyait évoluer dans les airs, elle ne pouvait s’empêcher de craindre le pire pour eux, et c’est l’inquiétude qui l’avait rendue aussi énervée.

C’est ce point important, la sécurité, que le professeur McGonagall essayait de faire intégrer à James durant leur petite conversation, point qu’il semblait avoir compris, enfin, elle l’espérait.

« Je ne sais combien de fois, j’ai du vous le répéter, vous devez montrer l’exemple, Potter. Ce n’est pas en faisant des entreprises aussi dangereuses que vous montrez l’exemple. Vous êtes en Septième année, quand vous comportez-vous comme un élève en Septième Année ? »

Minerva était patiente parce qu’elle avait un objectif derrière la tête, faire appliquer le règlement intérieur, et si pour cela elle devait secouer James Potter, elle le ferait volontiers. Elle fit attention de ne pas répondre à la remarque de Potter. C’est vrai que cela l’agaçait de le voir ne pas respecter sans cesse le règlement intérieur, mais elle aimait l’élève intelligent qui se cachait en lui, même si elle jugeait qu’il le masquait bien trop souvent.

Minerva pensait, à tort, qu’après son premier refus de répondre à la question de son élève, il allait s’arrêter là. Et non, elle ne pouvait que trop compter sur l’entêtement ridicule de James pour lui tenir la conversation. Entêtement qui commençait légèrement à devenir indiscret puisqu’il commençait à poser des questions sur sa professeure de Métamorphose.

« Je ne veux pas parler tout court, Potter. Qu’est-ce qui vous fait croire que j’ai plus l’envie de parler de moi que de vous ? Encore un peu de calme, votre retenue n’est pas terminée. Si vous continuez à parler et à ne pas nettoyer, je rajoute des minutes à votre heure de retenue, donc je vous conseille de travailler sérieusement et de vous taire, pour une fois. »

Elle faisait exprès de tourner la question et de changer de sujet pour éviter de devoir répondre à son élève.

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James Potter & Minerva Mcgonagall Oh ! la belle rouge !

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Oh la belle rouge !

*James avait toujours remarqué une certaine malice dans les yeux de Minerva. Le jeune homme ne savait pas comment expliquer cela mais il avait toujours l'impression que sa professeure ne voyait pas que le côté négatif de leur bêtises. Ce n'était pas la première fois que le jeune homme essayait de faire comprendre à Minerva sa vision des choses. Une vision qui manqué sûrement de maturité. A de nombreuses reprises le jeune Potter s'était demandait si plus tard avec un peu plus d'âge il se rendrait compte lui aussi de ce genre de chose. Ou si il continuait à voir ses farces comme un moyen de rire et de s'évader. Avant lui il y avait eu forcément des élèves de Poudlard comme lui insouciant, se foutant royalement des règles établit par le château, mais il avait finit par grandir et oublié cette parti d'eux même. James était-il une sorte de Peter pan (conte que Lily lui avait fait découvrir et qu'il adorait) il se le demandait à quelques occasions. Potter avait peut être trop confiance en lui même et c'est ce qui le mènerait à sa perte ? C'est certain qu'à l'âge de 17 ans il était fort possible que le jeune Potter ai bien trop confiance en lui. l'insouciance de la jeunesse si l'on veut.
James n'avait absolument pas la même vision de son acte. Lui avait claqué la main de Sirius après un tel exploit. Tellement fière de lui que sa farce fonctionne aussi bien. Bien sur il y avait encore quelques trucs à parfaire mais c'était déjà bien pour une première. Après vu l'engueulade qu'ils s'étaient prise derrière ce beau spectacle ils n'étaient pas près de recommencer.

A force d'en discuter et surtout de nettoyer cette fichu volière, James avait bien sur réfléchit sur ses actes. S'était sûrement le but de Minerva. Bien qu'en terme de sécurité il ne s'était pas vraiment rendu compte qu'il se mettait en danger. En revanche il avait bien comprit qu'il avait pu donner de très mauvaises idées au reste de l'école et il s'en voulait un peu pour ça. Néanmoins le jeune homme s'était beaucoup entraîné pour réussir à pratiquer sa farce. Rien qu'en terme de maniement de balai le jeune homme avait du apprendre par cœur les changements de directions ou tout simplement apprendre à voler en étant en feu. C'était vraiment pas facile. beaucoup d'effort pour quelques chose d'aussi futile. C'est ce que pensait Minerva mais sûrement pas James. Encore un autre point ou il n'était pas en accord. Néanmoins Minerva avancé doucement mais sûrement pour mettre un peu de grain dans la cervelle de moineau de son élève.*

Revenez peut être dans dix ans. *James ne peut pas s'empêcher de rigoler après sa phrase* j'ai pas demander à devenir une personne qui devait montrer l'exemple. Mes actes n'engage que moi et seulement moi. c'est vrai que j'aurais peut être du réfléchir aux plus jeunes d'entre nous qui ne se rendent pas compte de la dangerosité de la chose. Néanmoins je n'ai pas réaliser mon idée de torche humaine dans l'idée que d'autre allait le faire bien au contraire. Remus et Peter était présent au sol pour éviter que d'autre ai cette idée. *Bon James ne préciser pas non plus que les deux autres maraudeurs étaient aussi présent pour les éteindre au cas ou cela tournerait mal.*

*James mettait malheureusement son intelligence et et ses capacités magique dans des causes qui ne sont pas forcement les meilleures. Car oui outre le garçon arrogant et sur de lui ce cachait quelqu'un de profondément fidèle capable de tout pour les personne qu'il aime. James était quelqu'un qui se cachait derrière l'ombre de lui même de peur de se révéler. c'étant construit une vrai carapace de fausseté. Rare sont les personnes qui au final connaissait Potter réellement. Capable des plus grands sacrifices.

Le jeune homme était tellement déçu que Minerva décide de rompre court à toute discussion. Il ne s'empêchait pas de laisser s'échapper un long soupir de sa bouche en continuant de frotter dans un silence plus qu’énervant pour le jeune homme. Il commença même à frotter de plus en plus fort. Voulant maintenant en finir au plus vite. N'ouvrant plus la bouche et allant assez rapidement dans sa tâche. Lui qui avait vu une ouverture de pouvoir discuter avec sa professeur le voila frustré que cette porte ce soir refermé aussi rapidement.*

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Bien évidemment que Minerva ne voyait pas que le côté négatif de toutes les bêtises que pouvaient faire les Maraudeurs et seul Merlin, et aussi elle-même, qui avait la lourde tâche de devoir les réparer et les gronder à chaque, savaient à quel point elles étaient nombreuses. Elle avait été enfant elle aussi, même si cela commençait à remonter. Elle avait fait quelques rares bêtises, mais des bêtises quand même. Donc, oui, sa première réaction était de « rire » intérieurement, petit « rire » qui se traduisait par un brin de malice, qui, à son plus grand malheur, avait été trahi par une minuscule étincelle dans ses yeux, lueur que James mais aussi Albus avait remarqué. Espérons simplement qu’ils n’en parlent jamais, et qu’ils ne le disent jamais à Minerva non plus. Cependant, une fois le côté drôle passé, que Minerva commençait à reprendre le côté sérieux que tout le monde lui connaissait. Premièrement, ses bêtises faisaient, certes, rire, mais ne respectaient aucunement le règlement intérieur de l’école de sorcellerie et de magie. Et ce règlement n’était pas là que pour faire joli, il était là pour être respecté, point que ne semblait pas trop comprendre James Potter et ses amis. Le règlement servait à plusieurs choses : premièrement, si tout le monde faisait ce qui lui plaisait, cela serait le chaos total, donc il mettait de l’ordre dans une école qui en avait grand besoin, deuxièmement, il servait aussi à assurer la sécurité dans ce grand château. Et malheureusement pour les jeunes garçons, le trop grand risques qu’ils avaient pris avait inquiété la professeure de Métamorphose et l’avait mise en colère. C’était à eux maintenant d’endurer les dégâts. Et c’était ce que faisait actuellement James, pendant son heure de retenue, quoique, il pouvait s’estimer heureux, car Albus Dumbledore avait quand même bien atténué la colère de la fière Gryffondor.

En tout cas, une chose était certaine, la sévère directrice de la maison espérait bien avoir dissuadé James Potter et le groupe des Maraudeurs de retenter leur expérience enflammée. C’était après tout le but d’une engueulade pour reprendre les termes de James et de la retenue qu’avait rajoutée Minerva. Quand le professeur McGonagall donnait une retenue, et elle donnait, mais que quand la personne le « méritait », elle le faisait, d’un, pour le punir de ses actes, et de deux, pour le faire réfléchir sur ses actes. Mais elle ne voulait pas leur donner tout le travail, leur mâcher tout le boulot. Non, il ne fallait pas rêver. Elle leur faisait faire des travaux d’intérêts généraux, car cela faisait du travail en moins pour les elfes de maison qui travaillent à Poudlard, car les élèves détestaient faire le ménage, et donc, ils ne voulaient pas répéter l’expérience, donc la source de leur retenue.

Minerva, énervée, avait fini par demander quand James Potter se comporterait comme un élève de Septième année, ce qu’il était. Elle lui avait posé la question mais elle n’attendait pas de réponse, et encore moins la réponse que lui sortit son élève. Se moquait-il d’elle ? « Revenez peut-être dans dix ans. » Elle n’en croyait pas ses yeux. Il était en retenue et parvenait encore à pavaner tel un paon la queue ouverte. Il n’avait pas l’air de comprendre qu’il ne faisait qu’aggraver son cas. Il valait mieux pour lui qu’il se taise.

« Potter. Aggravez encore plus votre cas. Ce n’est pas dans dix ans que vous devrez vous comportez comme un élève en Septième Année, mais c’est depuis septembre que vous deviez le faire. Que vous le vouliez ou non, vous montrez l’exemple, et pas le bon, malheureusement. Vous êtes comme le grand frère des plus jeunes élèves, comme dans chaque famille, l’aîné se doit de montrer l’exemple. »

Cette comparaison avec la famille pouvait être étonnante, sauf si l’on savait que Minerva se souciait de ses élèves comme une mère le ferait pour ses enfants, et de ses Gryffondors comme une lionne le ferait avec ses lionceaux. Comme quoi, elle avait bien fait d’aller à Gryffondor et non à Serdaigle. Quoique, là-bas, elle aurait pu dire qu’elle était comme l’aiglonne veillant sur ses œufs avant qu’ils n’éclosent.

Minerva avait renvoyé toutes les vaines tentatives de conversation de James Potter et avait entendu le soupir qu’il avait fait. Elle décida de quand même répondre à la question de son élève.

« Si vous tenez tant à le savoir, je suis Animagus pour savoir ce que cela ferait de l’être. J’étais passionnée de Métamorphose quand j’étais élève et j’ai voulu essayer l’expérience jusqu’au bout en devenant Animagus. Ce n’était que purement expérimental et c’était pour améliorer mes connaissances en Métamorphose. »

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James Potter & Minerva Mcgonagall Oh ! la belle rouge !

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Oh la belle rouge !

*L'arrogance de James et son coté bien trop tête brulée s'expliquait. Commençons par l'arrogance. James était enfant unique et jusqu'ici pas de souci. Mais car il y à toujours un mais c'est parents l'avaient peut être un peu trop gâté. Habitué à vivre de façon facile sans aucune difficulté. Jusqu'à Poudlard. Alors pour se protéger de ses premiers défis James s'était entouré d'une carapace d'arrogance et d'égocentrisme. Ne se rendant pas vraiment compte de cette carapace qui au fil des années était devenu écrasante. Avec le temps il s'en débarrasserait mais ce n'était pas encore pour maintenant. Lui manquant une certaine maturité. Refusant la fragilité qui pouvait aussi le caractérisait. Préférant être sur le devant de la scène. Préférant être le leader et rien d'autre. Rare sont ceux qui connaissait véritablement James. Le jeune homme pouvait les compter sur le bout de ses doigts.
Maintenant pourquoi James s'attirait toujours les ennuis facilement ? Pourquoi aimait-il tant se mettre en danger ? L'arrogance l'aider fortement à ce mettre sur ce genre de voie dangereuse. De plus Sirius Black, son meilleur ami, son frère de cœur avait cette tendance tête brulée aussi. Les deux garçons s'entrainaient donc dans les bêtises les plus folles les une des autres.

Minerva avait sûrement évité que les deux garçons retente ce genre de chose. Mais sûrement pas anéantit cette part malicieuse de leur personnalité. Potter et Black étaient nés pour faire des bêtises. Écoutant néanmoins la professeur de métamorphose le sermonner à nouveau. C'est vrai que sa phrase était assez provocatrice. Suffisamment pour que Minerva remettre à sa place son élève.*

- Ils ont qu'à prendre quelqu'un d'autre en exemple. Tient par exemple Servil...Rogue. Genre d'élève qui reste parfaitement dans son coin comme on lui à demander. A mourir d'ennuis mais qui respecte les règles. *Lâchant un certain soupir rien qu'à l'idée de finir comme Servilus.* Et puis j'ai essayé de montrer le bon exemple. J'ai pas été un si mauvais préfet en chef ? *De toute façon avec Lily Evans comme coéquipière il ne pouvait pas vraiment être mauvais. La jeune femme le replaçant la plus part du temps dans le bon chemin.*

*James n'aurait jamais cru que Minerva finirait par répondre à ses questions. Pensant sa curiosité mal placé aurait fini d'achever leur discussion. Trop heureux d'avoir sa réponse. James se tut de façon religieuse. On entendait que le grattement de son chiffon. Se disant qu'il aurait sincèrement aimé que Mgconagall soit au courant de sa transformation à lui. Partageant la même soif de savoir qu'elle au sujet de la métamorphose. Malheureusement il ne pouvait pas mettre en péril le secret des maraudeurs. Il décida donc seulement de s'amuser avec.*

- Professeur, Vous pensez que je pourrais être animagus ?

*Question à première vu innocente. Mais absolument pas quand on connaissait les capacités de James dans ce domaine. La curiosité de ce que pouvait lui dire Mcgonagall l'intrigué au plus au point. Que pensait elle de son élève ?*

James essayait de se trouver des excuses pour expliquer son arrogance et son côté trop tête brûlée pour reprendre ses termes. Son arrogance viendrait selon lui, du fait qu’il était enfant unique et qu’il avait été peut-être un peu trop gâté par des parents qui l’aimaient mais qui n’avaient pas su le préparer au monde extérieur. Ainsi, son arrogance serait en quelque sorte une barrière pour se protéger des autres, un peu comme la barrière de froideur de Minerva qui a comme but de masquer ses émotions afin qu’elles ne deviennent pas une arme contre elle. Cependant, il était possible de contredire l’introspection de James. S’il fallait résumer ce qu’il avait dit, il fallait comprendre que ce n’était pas de sa faute, mais de la faute de son éducation, s’il était devenu la personne qu’il était. Mais Sartre aurait pu le contredire en disant que c’était de la mauvaise foi de dédouaner de ses actes en accusant une éducation ou un contexte. L’homme est le seul responsable de ses actes, et James est ainsi le seul responsable de ses bêtises. Et Minerva ne se voyait pas envoyer une lettre aux Potter leur annonçant « Votre fils, Mr Potter, a encore fait une bêtise. Il a fait disparaître les poignées des portes de chaque salle de classe de l’école. Cependant, je ne peux pas le punir car, il n’y est pour rien, le pauvre bout de chou, mais c’est de votre faute. Eh oui, il fallait mieux éduquer votre fils et lui faire un petit frère ou une petite sœur ! Veuillez agréer mes sincères salutations, Minerva McGonagall, professeure de Métamorphose, directrice de la maison Gryffondor et directrice-adjointe de l’école de sorcellerie et de magie Poudlard ». Définitivement, elle ne pouvait pas.

James osa contredire Minerva en disant qu’il y avait d’autres personnes pour montrer l’exemple aux autres élèves de Poudlard. Même si ces modèles étaient, pour répéter ce que disait James, plus ennuyeux. Il finit par dire qu’il n’avait pas été un si mauvais modèle, et si un mauvais élève en tant que préfet-en-chef.

« Monsieur Potter, je ne vous demande pas d’aimer tous vos camarades, je vous demande cependant de ne pas leur manquer de respect. Et il existe d’autres moyens de s’amuser tout en respectant les règles. Et vous avez une étrange manière de montrer le bon exemple. Ce n’était pas mon idée de vous nommer préfet-en-chef, se désola Minerva, qui ne l’aurait certainement pas choisi à cette place. Lui, préfet-en-chef ? Elle pourrait très bien devenir clown, tant qu’on n’y est. »

Minerva ignorait que Potter était un Animagus illégal, et heureusement qu’elle n’en savait rien, car sinon, elle l’aurait pris par les élèves et l’aurait mené directement au Ministère de la Magie pour qu’il se déclare. Est-ce qu’il était au courant de tous les risques qu’il prenait si sa compétence devenait connue ? Donc, elle pensa que la question de James n’était qu’une question innocente.

« Monsieur Potter, je n’en sais rien. Je ne doute pas en vos capacités en Métamorphose mais devenir Animagus ne nécessite pas que des compétences mais aussi une force de volonté. De très grands sorciers n’ont jamais réussi à devenir Animagus. Et d’autres, moins puissants, ont réussi. Donc, je ne pourrais vous répondre. Cela ne dépend que de vous, et de votre volonté. Sachez cependant que je peux vous aider, si vous souhaitez devenir Animagus, et que si j’apprenais que vous essayez d’en devenir un ou que vous en étiez un, vous aurez affaire à moi et au Ministère de la Magie. »

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Oh la belle rouge !

*L'arrogance de James venait forcément du milieu où il avait grandi, des modèles qu'il avait eus et tout simplement de son caractère. Ce n'était pas une excuse et généralement jamais James ne se cachait derrière ses parents pour justifier ses actes. Bien au contraire. Il les aimait et ne voulait pas qu'à cause de ses actions ils soit honteusement blessé. Après tout pour lui ce n'était que de simple blague à Poudlard. Pour lui ce genre d'action n'avait que très peu de retomber à l'extérieur de Poudlard. Bien qu'il savait que son professeur n'hésitait pas à mettre au courant ses parents de ses exploits, il ne pensait pas vraiment les toucher. Et si c'était le cas, ce n'était absolument pas son intention. Pour James on ne né pas farceur ou meurtrier. Certes telle ou telle personne aura forcement des dispositions, mais c'est par les évènements que l'ont vie que l'ont se forme un caractère, une défense dans le cas de James.

Définitivement c'était sa journée. Lui non plus n'avait pas demandé à devenir préfet en chef et il en avait marre qu'on lui reproche un insigne qu'il n'avait pas voulu. Clairement respecter les règles c'était pas son point fort et encore il aurait compris si c'était Remus qui était devenu préfet en chef, mais lui s'était illogique. Certes il avait parfois il peut calmer les maraudeurs et au fond c'était peut être le seul à le faire. Car sa capacité de leadeur emmener les autres à le suivre que cela soit en mal ou en bien.*

- Ce n'est pas mon idée à moi aussi professeur. Malheureusement c'est le cas et si je pouvais ce maudit badge je vous l'aurais déjà rendu. Déjà que m'occuper de moi même c'est déjà suffisamment compliqué comme ça alors je suis désolé de vous l'apprendre professeur, mais je ne suis pas le préfet en chef que vous avez rêvé d'avoir.

*James était clairement découragé et ce genre de responsabilité de l'aidait pas vraiment. Au fond il restait à se poste simplement par fierté et pour Lily Evans rien de plus. Alors quand ni l'un ni l'autre n'était plus l'autre rien ne le retenait à cette fonction.
Bref la conversation dévia sur les animagus et bien sûr James n'avait pas pour but de dévoiler son secret il était juste curieux. Cela faisait deux ans qu'il en était un et sur le moment tout était parti d'un acte d'amitié. Se devant d'aider Remus c'était le seul moyen qu'il avait trouvé. Mais aujourd'hui toutes les lois qui demander à l’animagus de se déclarer, le Gryffondor les avait lus et relus. Il savait ce qu'il risquait et n'était clairement pas près de dévoiler ce genre de secret. Étonné néanmoins par le fait que Mcgonagall propose son aide.*

- Croyez-moi professeur si un jour je deviens animagus, je ne suis pas aussi stupide pour que le ministère l’apprenne ou n'importe qui d'autre.
*Et aujourd'hui il n'était clairement pas près d'utiliser sa capacité en dehors des soirs de pleine lune. Il n'avait clairement rien à craindre. Enfin c'est ce qu'il croyait.*

Sujet: Re: Oh la belle rouge ! BOUM Ft Minerva Mcgonagall

» Minerva McGonagall
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