A-A - You're at me darling, you simply ignore that.

You're at me darling, you simply ignore that.

Aleksandra &
Anthyme

Et tout ce que je fais, je ne le fais que pour toi, en ne pensant qu'à toi, au jour où tu me verras.

La bibliothèque était tranquille en ce samedi après-midi du début du mois d'octobre. Aleksandra y avait prit place pour travailler un peu son devoir de sortilège, à rendre le lundi. Elève plutôt sérieuse en matière de cours, la sorcière n'admettait pas de ne pas rendre de bonnes copies si bien que travailler était pour elle très important, même si contrairement à d'autres aiglons, elle ne prenait pas son pied en travaillant à la bibliothèque. Certains étaient ivre de connaissances, mais Aleks était surtout ivre de vie, pour sa part et d'expérience à mener. Elle avait été, c'est vrai, un Choixpeauflou. Qui avait été trop stressée, le regard trop rivé sur Léandre, pour penser à demander sa maison. Alors elle avait finit chez les érudits, plutôt que les Poufsouffle. Elle aurait dût le demander. Pourtant, elle avait finit par s'épanouir dans cette maison et dans sa conditions d'aiglonne. Cela lui ressemblait, elle ne pouvait le nier. Mais elle n'aspirait pas qu'à cela, tout simplement.

Dans la bibliothèque trop calme et qui contrastait avec la fête où elle se rendrait ce soir, dans la salle sur demande, la sorcière essayait d'avancer un maximum dans son travail, alors qu'un jeune homme approchait d'elle, l'observant passer encore une fois sa main dans ses cheveux pour se gratter la tête. Ses cheveux roux, Aleksandra les adorait, elle avait toujours tendance à les tripoter, à fourrer ses doigts dedans. Elle adorait les cheveux, en fait, pas que les siens. Elle ébouriffait souvent ceux de Léandre. Elle passait toujours ses doigts dans les cheveux de ses partenaires au cours de l'acte ou pendant un baiser. Et elle rêvait littéralement de pouvoir glisser ses phalanges sur le crâne d'Anthyme, ce qu'elle n'avait finalement jamais put faire : il n'était pas son frère, elle ne l'avait jamais embrassé et n'avait pas non plus couché avec lui si bien que l'occasion de glisser une main dans ses cheveux ne s'était jamais présenté à elle.

Alors que le garçon commence à parler, murmurer, Aleksandra ne remarque pas un autre jeune homme assit plus loin, à une autre table mais qui, s'il fait attention à elle, pourra remarquer ses sourires, l'air jovial de son visage et la drague équivoque de cet autre garçon à l'encontre de la sœur de son meilleur ami. Il pourrait remarquer qu'elle se mordillait la lèvre inférieure, comme toujours quand un garçon lui plaisait et venait engager la conversation avec elle. Elle s'était mordu la lèvre un paquet de fois devant Anthyme, en oubliant de ne pas le faire, mais il ne semblait jamais avoir remarqué cet état de fait. En prime, elle portait cette robe d'un rouge éclatant, qui soulignait ses courbes et que Léandre n'aimait pas, parce qu'elle attirait sur elle les regards des garçons.

(c) DΛNDELION

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Aleksandra &
Anthyme

Et tout ce que je fais, je ne le fais que pour toi, en ne pensant qu'à toi, au jour où tu me verras.

J'entendais tout, cacher derrière mon livre avant de rejoindre la rouquine... Les intentions du jeune homme était évident cela s'entendais à sa voix... Rien que de l'imaginer approcher, toucher, humer le corps de la rouquine me fit ronger de l'intérieur. je n'étais pas comme ça, pas si hargneux pour une fille... Mais je m'étais cela sur le dos de la fraternité envers Léandre et Aleksandra... Elle semble en jouait, ses mimiques, ses petites réponses qui me fit trembler... Oui c'est sur que je devenais jaloux... Je ne pouvais pas m'empêcher de les interpeller.

«- Oh avec plaisir Anthy !» 1 point pour moi... je regarde Jack et je vois sa frustration... Je tente de ne pas me montrer aggressif cela me trahirai trop facilement... Ca se trouve je sauve Aleks d'une partie de jambe en l'air désastreuse. Je devrais sans doute arrêter de me chercher des excuses... «Désolé Jack, ce sera pour une autre fois !?» comment ça une autre fois ? Putain de bordel de cul de chouette... le regard de l'homme sur moi devient insistant... Je le soutiens, ayant oublié presque la présence de Aleks. Il va me pêter la gueule où pas ? Oh peut être et puis alors je sais me défendre, du moins je crois... Tout s'assombrit autour de moi jusqu'à ce que j'entende le rire d'Aleks qui me sorti de ma torpeur.

«- Allez allez, vous n’allez pas vous battre tout de même !» Il grogne, nan mais je rêve il est en si chien que ça ? J'observe la jeune femme l'embrasser, mon coeur s' en retourne... Je tente de me contenir, ca ne vaut pas le coup je tente de me le marteler dans le crâne et pour accentuer mes pensés je sers le poing en plantant mes griffes dans ma chair. La douleur me calme, ca ne sert à rien surtout à la bibliothèque je ne veux pas que Mme Pince me vire. «- Promis, une autre fois.» J'avais envie de hurler dans tes rêves! il en était hors de question ! devrais je en parler à Léandre ? après tout il veut proteger sa soeur... Non je dois le faire moi même, mais cela cautionnerai des actes qui me mettront en porte a faux. Le jeune homme repars satisfait heurtant mon épaule me susurrant qu'on se retrouvera. Sa menace me fit sourire Pas de soucis mon gars Il voudra la guerre il n'y a pas de soucis je lui offre une guerre magique sur un plateau d'argent. « On y va la charmeuse de gryffon? » disais-je en souriant pour eviter de trop montrer ma jalousie maladive... Nous commencions à marcher vers la table : « Franchement Aleks, je sais que ça me regarde pas, mais quand même » Je pointe mon regard vers la porte où le jeune homme part « ce mec quoi ! Je suis sur qu'il grogne au lit... qu'il aboie quand il dors... » Rien que la vision me fit rire un Shhh se fait retentir... Je m'emballe et je ne devrais pas «N'empêche Bibliothèque nouveau lieu de drague... Je n'aurai pas cru. » disais-je lui lancant un clin d'oeil.

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Et tout ce que je fais, je ne le fais que pour toi, en ne pensant qu'à toi, au jour où tu me verras.

Face au sorcier qui la drague gentiment, Aleksandra se laisse faire, sourit, passe une main dans ses cheveux. Ce sont autant de codes qu’elle renvoie pour signifier que le brun qui lui parle ne la dérange pas. La jeune femme aime plaire aux garçons, elle aime aussi passer du temps avec eux. Mais plus encore elle adore ce moment où ils viennent l’aborder. Ils n’osent pas dire tout de suite ce pour quoi ils sont là, alors que pour la plupart elle en a une vague idée. Le sourire de la sorcière s’étire alors que ce dernier ne fait pas exception, tournant autour du pot alors qu’elle a très bien compris qu’il voudrait bien, sans le dire encore, l’inviter dans la salle sur demande pour un petit «quatre heure».

Leksie s’en amuse un peu. Elle s’amuse de le voir à ce point gêné, de le voir essayer tout doucement de mener le jeu alors que c’est toujours la vélane qui le dirige, malheureusement pour lui. Elle s’amuse de l’assurance qu’il tente d’avoir face à elle, sans y parvenir. Mais elle le comprend, elle ne le comprend que trop bien alors qu’elle-même fait de même dès qu’Anthyme est dans les parages. Anthyme qu’elle ne remarque pas, d’ailleurs, alors que ce dernier la frôle. La sorcière se lève pour commencer à ranger ses affaires. En soit, elle allait accepter la demande de ce garçon et aller faire un tour dans la salle sur demande. Elle en avait l’intention jusqu’à ce que la voix du meilleur ami de son frère ne la face sursauter et, malheureusement pour son prétendant, changer d’avis sur ses occupations des prochaines heures.

«- Oh avec plaisir Anthy !» répond la rouquine en tournant alors le dos à une après-midi de plaisir dans la salle sur demande, qui ne semble pas ravie son interlocuteur précédent. «Désolé Jack, ce sera pour une autre fois !?» propose la sorcière.

Aleksandra observe le dit Jack, ne manquant pas de remarquer la jalousie manifeste de ce dernier, perturbant son regard bleu, alors qu’il dévisage Anthyme qui vient de couper l’élan de la bleu et bronze. Avec un petit rire, la jeune femme les observe quelques secondes avant d’essayer de détendre l’atmosphère.

«- Allez allez, vous n’allez pas vous battre tout de même !» demande-t-elle en les observant.

Sa voix fait sursauter Jack, qui grogne et la demoiselle soupire avant de venir déposer un baiser plus ou moins sur sa joue, aux commissures de ses lèvres. Elle se retire presque immédiatement, comme si ça avait été irréel et elle sourit une fois de plus au brun qui la regarde, légèrement perturbé par la nature de la vélane.

«- Promis, une autre fois.» répond la sorcière.

La belle sourit, elle sourit à Jack sans imaginer dans un même temps ce que ces propos, ce que cette promesse, peut faire à Anthyme qui l’entend les prononcer et dont elle ignore tout des réels sentiments à son égard. Si elle l’avait su, il est probable qu’elle ne se serait pas montré aussi aguichante envers Jack face à Anthyme. Si elle l’avait su, elle n’aurait, en fait, même pas été aguichante envers Jack. Ni devant Anthyme, ni dans son dos. Mais elle ne le savait pas.

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Et tout ce que je fais, je ne le fais que pour toi, en ne pensant qu'à toi, au jour où tu me verras.

J'entendais tout, cacher derrière mon livre avant de rejoindre la rouquine... Les intentions du jeune homme était évident cela s'entendais à sa voix... Rien que de l'imaginer approcher, toucher, humer le corps de la rouquine me fit ronger de l'intérieur. je n'étais pas comme ça, pas si hargneux pour une fille... Mais je m'étais cela sur le dos de la fraternité envers Léandre et Aleksandra... Elle semble en jouait, ses mimiques, ses petites réponses qui me fit trembler... Oui c'est sur que je devenais jaloux... Je ne pouvais pas m'empêcher de les interpeller.

«- Oh avec plaisir Anthy !» 1 point pour moi... je regarde Jack et je vois sa frustration... Je tente de ne pas me montrer aggressif cela me trahirai trop facilement... Ca se trouve je sauve Aleks d'une partie de jambe en l'air désastreuse. Je devrais sans doute arrêter de me chercher des excuses... «Désolé Jack, ce sera pour une autre fois !?» comment ça une autre fois ? Putain de bordel de cul de chouette... le regard de l'homme sur moi devient insistant... Je le soutiens, ayant oublié presque la présence de Aleks. Il va me pêter la gueule où pas ? Oh peut être et puis alors je sais me défendre, du moins je crois... Tout s'assombrit autour de moi jusqu'à ce que j'entende le rire d'Aleks qui me sorti de ma torpeur.

«- Allez allez, vous n’allez pas vous battre tout de même !» Il grogne, nan mais je rêve il est en si chien que ça ? J'observe la jeune femme l'embrasser, mon coeur s' en retourne... Je tente de me contenir, ca ne vaut pas le coup je tente de me le marteler dans le crâne et pour accentuer mes pensés je sers le poing en plantant mes griffes dans ma chair. La douleur me calme, ca ne sert à rien surtout à la bibliothèque je ne veux pas que Mme Pince me vire. «- Promis, une autre fois.» J'avais envie de hurler dans tes rêves! il en était hors de question ! devrais je en parler à Léandre ? après tout il veut proteger sa soeur... Non je dois le faire moi même, mais cela cautionnerai des actes qui me mettront en porte a faux. Le jeune homme repars satisfait heurtant mon épaule me susurrant qu'on se retrouvera. Sa menace me fit sourire Pas de soucis mon gars Il voudra la guerre il n'y a pas de soucis je lui offre une guerre magique sur un plateau d'argent. « On y va la charmeuse de gryffon? » disais-je en souriant pour eviter de trop montrer ma jalousie maladive... Nous commencions à marcher vers la table : « Franchement Aleks, je sais que ça me regarde pas, mais quand même » Je pointe mon regard vers la porte où le jeune homme part « ce mec quoi ! Je suis sur qu'il grogne au lit... qu'il aboie quand il dors... » Rien que la vision me fit rire un Shhh se fait retentir... Je m'emballe et je ne devrais pas «N'empêche Bibliothèque nouveau lieu de drague... Je n'aurai pas cru. » disais-je lui lancant un clin d'oeil.

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Et tout ce que je fais, je ne le fais que pour toi, en ne pensant qu'à toi, au jour où tu me verras.

Quand Anthy l’appelle la charmeuse de Gryffon, en demandant s’ils y vont comme Jack s’éloigne enfin, Aleksandra tourne la tête vers lui un brin amusée, affichant un large sourire comme elle lui tire la langue par ailleurs et elle manque de répondre que ce ne sont ni ses affaires, ni à lui de prendre la place de Léandre qui se débrouille déjà très bien pour ce job, mais elle n’en fait rien. Au moins, la bleu et bronze apprécie le fait qu’il soit venu la voir pour demander de travailler avec elle et elle fait abstraction du reste, de la situation dans laquelle il l’a trouvé.

«- Oh Anthy tu ne va pas t’y mettre j’ai déjà bien assez de Léandre et je fais ce que je veux tu sais.» répond finalement la demoiselle quand il dit que ça en le regarde pas mais que quand-même, sous-entendant ainsi que Jack n’était pas un bon choix. «Je fais des galipettes avec qui je veux je suis grande t’es au courant ? Le même âge que Léandre en fait. Et il ne se prive pas pour le faire lui, il me semble. Il se targue même d’être pire que moi. Nous éviter des histoires d’amour foireuse c’est une chose. Mais quand-même si on se prive de tout les plaisirs de la vie, où va le monde !?»

Aleksandra ne dira pas qu’elle est désolée. Elle ne dira pas non plus que Jack était une mauvaise idée. La sorcière ne parle pas d’amour, il s’agit seulement de sexe. Et un petit coup rapide entre deux cours, pour parler tout en élégance, ne peut pas faire de mal. Ce n’est pas que la rouquine ne se respecte pas ou ce genre de conneries, parce qu’elle ne le fait pas non plus avec n’importe qui. Mais elle considère qu’elle est encore jeune, qu’elle a le temps et surtout, qu’elle a le devoir de vivre et de profiter de sa jeunesse.

«- C’est pas très gentil de dire ça !» lance la sorcière comme Anthy vient de ruiner pour toujours les chances de Jack d’avoir Aleksandra dans son lit, au moins. Elle repensera toujours a ces mots du sorcier, pour sûr.

S’installant, la demoiselle rit et elle ne se calme que parce qu’on les réprimande. Comme elle ouvre ses cahiers pour travailler avec le sorcier, la bleu et bronze continu de sourire, riant plutôt sous cape en imaginant Jack aboyer au lit, comme le suggère Anthyme. La rouquine dirait bien que le sorcier est encore plus perfide avec ses prétendants que Léandre. Mais ce ne serait pas totalement vrai parce que son jumeau met la barre vraiment très haut parfois.

«- Oh aller tu va pas m’dire que l’idée d’un coup rapide entre deux rayonnages de la bibliothèque serait si désagréable que ça, si ? Suffit de trouver le bon coin genre… l’espace dédié aux runes, y’a jamais grand monde qui y va. Pas obligé d’se déshabiller tu fais ton affaire et… enfin bref. C’est l’exotisme quoi !»

Et elle rit de cette confidence en préparant sa plume. Elle n’avait jamais essayé dans la bibliothèque en soit, mais l’adrénaline de se faire surprendre devait vraiment être sympa...

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Anthyme

Et tout ce que je fais, je ne le fais que pour toi, en ne pensant qu'à toi, au jour où tu me verras.

Bon ok, je ne devrai pas réagir ainsi, après tout je ne suis pas le plus honnête. Je ne suis surement pas Vélane, enfin vu la mixité j'en sais vraiment rien. Mais je sais profiter, j'ai appris de Léandre et je dois bien avouer que oué je n'aurai pas du m'en mêler. «- Oh Anthy tu ne va pas t’y mettre j’ai déjà bien assez de Léandre et je fais ce que je veux tu sais.» Elle est honnête je n'allais pas la contredire... Malgré le faite que l'idée de la savoir avec un autre homme me met hors de moi, je préfère faire la carpe et puis la laisser continuer.. «Je fais des galipettes avec qui je veux je suis grande t’es au courant ? Le même âge que Léandre en fait. Et il ne se prive pas pour le faire lui, il me semble. Il se targue même d’être pire que moi. Nous éviter des histoires d’amour foireuse c’est une chose. Mais quand-même si on se prive de tout les plaisirs de la vie, où va le monde !?» Son franc parler à don de me plaire, je me mis à sourire et puis bon a quoi bon prendre parti que ce soit pour elle ou pour Léandre... Je ne veux pas qu'elle me voix comme le fidèle toutou de Léandre. J'ai quand même de l'estime pour moi. « Biensur que tu fais ce que tu veux... Et pour ton frère, j'ai lâché l'affaire depuis l'année dernière, depuis que monsieur a découvert les choix du pêchés comme on dit. Mais sans mentir, je serai une meuf... Même pas pour des prunes je fairai des galipettes avec ce Jack... J'aurai pas envie de finir avec des lutins de cournouailles dans le pantalon.» Je continue à m'acharner sur ce pauvre gryffondor qui me sortait par les trou de nez.

«- C’est pas très gentil de dire ça !» Je me mis à sourire pour détendre l'atmosphère: " Je te l'ai dit ou non la dernière fois? Je suis un très mauvais garçon " disais-je prenant un visage d'ange. finissant par rire alors que je commente le faire dans une bibliothèque bah voilà quoi je n'aimais pas trop l'idée, je respectais trop ce lieu pour infliger la vue de mes fesses.

«- Oh aller tu va pas m’dire que l’idée d’un coup rapide entre deux rayonnages de la bibliothèque serait si désagréable que ça, si ? Suffit de trouver le bon coin genre… l’espace dédié aux runes, y’a jamais grand monde qui y va. Pas obligé d’se déshabiller tu fais ton affaire et… enfin bref. C’est l’exotisme quoi !»

J'ecquarquille des yeux... Comment ça l'espace dédié au runes est un bon coin ! CEST MON COIN " Mais attend quoi ? comment ça le coin des runes... J'y passe mon temps dans ses rayons pour mes cours... C'est dégueulasse ! AU moins faire ça pour DCFM je sais pas moi... Beaucoup plus ... bestiailes... non? "

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Et tout ce que je fais, je ne le fais que pour toi, en ne pensant qu'à toi, au jour où tu me verras.

“- Moui enfin, avec un jumeau comme Léandre tu sais, je ne fais pas vraiment tout ce que je veux.” répond la jeune femme non sans un léger sourire. “Il se mêle toujours de tout et juge tout les garçons avec qui je peux avoir une aventure.”

Elle se souvient très bien de la réaction de son frère l’autre jour quand elle lui a parlé d'un rouge et or que ce dernier n'aime pas. Il ne l'avait pas bien prit. Et s'il la croisait avec un prétendant comme c'était le cas pour Anthyme aujourd'hui, alors il n'hésitait pas à faire fuir le dit jeune homme qui voulait un peu plus de proximité avec la bleu et bronze. Comme Anthy lui-même venait finalement de le faire.
“- Moi je ne supporte et ne laisse aucune chance à ses petites amies mais je ne me soucie pas de ses affaires de sexe. Je suppose que sous prétexte que je suis une fille, il se sent obligé… vertueux pureté tout ça tout ça.”

Elle rit en entendant les commentaires sur Jack. Elle ne croit pas que le poufsouffle soit la personne la mieux placée pour porter ce genre de jugement sur un prétendant de la sorcière.

“- Sans vouloir t’offenser je pense que tu dis cela uniquement parce que tu le vois avec tes yeux de garçon et de meilleur ami de Léandre. Une fille ne tiendrait pas le même discours que le tiens.” répond la rouquine en passant une main dans ses cheveux. Elle remet une mèche derrière son oreille. “Oui je sais que tu me l'a dit. La seule chose un tu ne m'as pas montré c'est… à quel point tu l’es.”

Commençant à travailler, la bleu et bronze s'amuse à taquiner son interlocuteur comme il semble scandalisé à l'idée de faire des bêtises dans une bibliothèque et elle rit sous cape comme il semble craindre de découvrir une scène pas très sage dans son secteur.

“- Trop de monde dans le secteur.” répond la jeune femme en haussant les épaules. “Mais genre ça t’excite pas ? Même pas un tout petit peu ? Moi je trouve ça sympa. Enfin dans l'idée brute tout du moins parce que je n'ai pas encore put ni eut l'idée d'essayer ici…”

Loin de se douter de l'effet que ses mots peuvent avoir sur le pauvre Anthyme, la Vélane continu ses confidences envers ce dernier tout en observant son livre.

“- Tu m'as dit que tu travaillais sur quoi au juste ?”

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Et tout ce que je fais, je ne le fais que pour toi, en ne pensant qu'à toi, au jour où tu me verras.

“- Moui enfin, avec un jumeau comme Léandre tu sais, je ne fais pas vraiment tout ce que je veux.” Je savais déjà tout cela, après tout Léandre, malgré son coté gentil avait un coté possessif envers Aleksandra qui pouvait frôler la maladie mentale... J'aimais beaucoup mon ami mais comme elle le dit si bien: “Il se mêle toujours de tout et juge tout les garçons avec qui je peux avoir une aventure.” que cela soit avec elle, ou bien encore avec moi sur différents sujets. Je comprend son état... J'ai quand même bien du mal à refrogner mon envie d'être avec elle, car je sais que cela exploserai entre Leandre et moi... Est ce que cela vaut il réelement le coup ? Ruiner une vieille amitié pour une histoire d'amour? " Je veux bien te croire..." Je ne savais pas quoi ajouter, enfin je sentais qu'elle voulait continuer.

“- Moi je ne supporte et ne laisse aucune chance à ses petites amies mais je ne me soucie pas de ses affaires de sexe. Je suppose que sous prétexte que je suis une fille, il se sent obligé… vertueux pureté tout ça tout ça.” Cela me fit rire... Cette détermination qu'elle a à vouloir proteger les interets de son frère, soit cela en vient à de la folie ou simplement de la gentilesse... Mais je dois avoué que Léandre va un peu trop loin... Après tout est il mieu passé pour juger de la pureté de sa soeur? Léandre a toujours eu ce coté mysogine des années 40. "Ton frère n'a jamais passé le cap dès années 70, comme la plupart des hommes... Que ce soit chez les moldus ou chez les sorciers, cela reste inconcevable pour un homme de laisser une femme assouvir ses envies plus ou moins charnel. "C'est bon de faire des cours sur les moldus. On en apprend beaucoup sur la sociologie et on peut se rendre compte que nous ne sommes pas si différents... Seul les plus ignards pense le contraire... Je moque de ce "Jack" ignard en tout point... Toutes idées de sociologie me donne envie de le cogner... Je sais que lui ou quiconque ose faire du mal à Aleksandra je ne serai imaginé mon comportement... Violent, bestiale, aggréssive... deviendrai-je un démon?

“- Sans vouloir t’offenser je pense que tu dis cela uniquement parce que tu le vois avec tes yeux de garçon et de meilleur ami de Léandre. Une fille ne tiendrait pas le même discours que le tiens.” Je n'étais pas d'accord... Pas de meilleur ami de Leandre , d'homme qui la convoite, qui souhaite l'aimé et lui donné un semblant de vie heureuse... "Tu te trompes, crois moi tu es bien loin du compte... " Un jour peut être comprendra t'elle le véritable sens caché de cette phrase... Finalement cela me peine, car elle me voit comme le meilleur ami de son frère... Ce gamin de 11 ans, perdu dans un monde qu'il ne connaissait pas assez , l'orphelin qui passer la plupart de son été dans leurs demeure... Fin de la tragédie passons au reste. Cela dit on change tout de suite d'humeur et cela me fait changer je deviens “Oui je sais que tu me l'a dit. La seule chose un tu ne m'as pas montré c'est… à quel point tu l’es.” comment dois-je le prendre ? me chercherai t'elle ? est ce d'un coté sensuel quel le demandé ? Un coté bestial qu'elle cherchait en moi chose qu'elle veut que je lui démontre... " Patience ma jolie... Si tu me cherches tu vas finir par me trouver " disais-je en sous entendant tant de chose.

Nous commençions à travailler et nous parlions de cette endroit adequat celon elle pour pratiquer le cohite. L'etude des rûnes... Franchement quel idée et puis le pire quand je parle du rayon de DCFM elle me repond: “- Trop de monde dans le secteur.” son haussement d'épaules me fit rire, mais en vrai j'enrageai... Bien que je trouve pas l'endroit pratique.. “Mais genre ça t’excite pas ? Même pas un tout petit peu ? Moi je trouve ça sympa. Enfin dans l'idée brute tout du moins parce que je n'ai pas encore put ni eut l'idée d'essayer ici…” Elle m'avoue cela comme une confession... Je devais me confessé à mon tour: " La bibliothèque... Je ne fairai pas ça dans ce lieu, je le trouves vraiment inadéquate. Par contre, il m'est déjà arrivé de pratique dans les serres... sous une pleine lune et la rosée perlant sur les carreaux de verre... " disais-je alors que j'écrivais sur mon parchemin...

“- Tu m'as dit que tu travaillais sur quoi au juste ?” Je remonte le nez de mon parchemin, observant ses yeux en lui répondant: " Traduction des Runes découvert en Highlands prêt de Kinloch Rannoch. C'est interessant, mais très sporofique, j'ai un travail de traduction... Pour le professeur, l'études des runes est comme plonger ses yeux dans ceux d'une femme... on tente de trouver la vérité parmis l'iris fleuris de jeune femme... "

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Et tout ce que je fais, je ne le fais que pour toi, en ne pensant qu'à toi, au jour où tu me verras.

La jeune femme soupire alors qu’elle se plaint de son frère, mais dans le fond elle apprécie que son jumeau soit à ce point prévenant en ce qui la concerne, cela veut dire que ce dernier tient à elle, énormément. Mais elle aimerait bien dans un même temps pouvoir vivre sa vie et qu’il lui évite des histoires d’amour foireuses est une chose, qu’il se mêle de sa sexualité ça en est une autre. Mais soit. Cependant elle éprouve le besoin de se confier à Anthyme. Ou de faire le reproche de ce comportement, en tout cas, comme ce dernier vient de se comporter à son égard exactement comme le ferait l’autre poufsouffle. Ce que la jeune femme assimile à une marque de grande amitié pour Léandre, plus qu’à de la jalousie parce qu’elle allait accorder ses faveurs à un autre garçon.

«- Enfin bref du grand Léandre donc.» répond la sorcière avant de le «piquer» légèrement. «Mais n’empêche que tu va pas commencer à me faire comme lui, sinon ça ne va pas le faire Anthy. T’es pas mon frère.»

Dire «t’es pas mon frère» c’est pour casser la familyzone, dans le fond. La jeune femme aimerait qu’il se rende compte que non elle n’a rien d’une petite sœur et que non elle ne se comporte pas ainsi avec lui. La demoiselle espère juste qu’Anthy se rendra compte de cela, alors qu’elle est persuadée qu’il ne la voit que comme la sœur jumelle de Léandre, ou pire, comme sa propre sœur. Et Aleks ne veut pas de ça, évidemment.

«- Ce n’est pas tout à fait faux. Enfin si, il l’a passé tu vois. Mais avec ses conquêtes à lui, pas avec sa sœur.» fait remarquer la bleu et bronze avant de reporter son attention sur ses cahiers.

La sorcière lui jette malgré tout encore un regard et elle se demande combien il a connu de femmes, au juste, pour sa part. Elle se demande combien de filles ont put passer un moment avec le poufsouffle. Il dit qu’il ne plaît pas, qu’il est dans l’ombre de Léandre mais ce n’est pas le cas aux yeux de la serdaigle et elle a toujours l’impression que trop de monde tourne autour du poufsouffle, que trop de monde la regarde. En plus, un jour, Léandre a laissé entendre qu’Anthy était bisexuel. Ce qui avait choqué la rouquine, alors, n’était pas le fait qu’il puisse aimer des garçons. Ce qui l’avait perturbé c’est de savoir qu’elle n’avait pas que les femmes pour concurrentes. Et qu’elle partait avec un handicap certain, nommé Léandre. Elle aurait dût tourner la page à l’époque, penser à autre chose. Sauf qu’elle n’avait jamais vraiment réussit à se le sortir de la tête. Et elle se demandait si en consommant enfin «son fantasme», elle serait débarrassée de ces sensations ou si ça ne serait jamais le cas.

«- Je me trompe ? Alors… explique moi Anthy. Je me trompe en quoi ?» demande-t-elle en passant le bout de sa plume sur sa lèvre inférieure, inconsciemment. «Comment je peux savoir… si tu ne me parle pas ?»

Mais peut-être qu’ils ne devaient pas en parler, peut-être qu’ils n’étaient pas destinés à le faire, ou pas si tôt, elle ne saurait le dire. Toujours est-il qu’en discutant de Jack elle le réprimande sur sa méchanceté et les voilà qui retombent dans une pente glissante, inconsciemment, si proches et pourtant si loin en même temps, alors qu’aucun ne comprend les sous-entendus de son interlocuteur.

«- C’est une menace ?» souffle Aleks en espérant que ce soit plutôt une promesse. Parce qu’elle aimerait bien «le trouver».

Mais comme pour jouer avec ses nerfs, la jeune femme est entraînée dans un autre flot de pensées qui l’amène à débattre du côté pratique et moral d’avoir du sexe dans la bibliothèque, qui lui arrache un sourire quand Anthyme parle de la serre. Elle n’y a jamais pensé mais le lieux gagne d’un coup en intérêt et en romantisme. Sauf que c’était une autre qui l’accompagnait alors et la rouquine se referme tout d’un coup, changeant de sujet pour se concentrer d’avantage sur le travail, ne pas penser à ces filles qu’Anthyme avait emmené là-bas.

«- Trop de poésie. Et version sérieux sans fioritures, ça donne quoi ?» répond la demoiselle en haussant un sourcil.

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Et tout ce que je fais, je ne le fais que pour toi, en ne pensant qu'à toi, au jour où tu me verras.

«- Enfin bref du grand Léandre donc.» Je ne pouvais m'empêcher de sourire, cette façon qu'elle avait de dire "grand léandre" cela semblait être comme un long soupire de désolation ou d'un eternel ennuie qui se caractérise par le caractère profondement lourdingue d'une personne proche... à la psychologie... mais je m'attendais à tout sauf à : «Mais n’empêche que tu va pas commencer à me faire comme lui, sinon ça ne va pas le faire Anthy. T’es pas mon frère.» Je ne savais vraiment pas comment le prendre... Ce ton quel avait me fit recroquevillé comme une tortue... Mais ne serait ce pas une façon de dire qu'elle me voit comme autre chose que le meilleur ami de son frère ou le jeune que recueille ses parents l'été... me voit elle comme un homme ? une proie ? PFFF Anthy tu déconnes mon vieu. Tu fantasmes comme une pucelle devant Ryan Gosling (OH PUTAIN D'ANACHRONISME). " Bien sur que je ne suis pas ton frère... Et heureusement !" NON je ne continuerai pas, je ne le veux pas. Car cela irait trop loin beaucoup trop loin, je ne veux pas atteindre ce point de non retour que je caresse du bout des doigts... la tentation est tellement forte, mon sadisme naturel veut simplement plonger tête la première et tant pis pour les conséquences.

«- Ce n’est pas tout à fait faux. Enfin si, il l’a passé tu vois. Mais avec ses conquêtes à lui, pas avec sa sœur.» Je me suis mis à soupirer " Oué enfin cela c'est vite dit... " disais-je en connaissance de cause, peut être que elle pouvait avoir des échos des partenaires de Léandre, mais moi j'ai la bête qui me parle et c'est pas très glorifiant par moment... Mais cela je ne le dirais pas à Aleks je lui laisse l'image de son frère...

Je replonge la tête dans mon parchemin, je sens son regard posé sur moi. Était elle dans ses passé? Cela m'étonnes, elle n'a jamais était si évasive à partir dans ses pensées au point d'oublier le monde qui l'entoure du moins je le croyais. Puis on parle de ce Jack stupide gryffondor :

«- Je me trompe ? Alors… explique moi Anthy. Je me trompe en quoi ? Comment je peux savoir… si tu ne me parle pas ?» je soupire à nouveau, il fallait que je lui dise, mais trouve les mots juste... Sans pour autant insinuer quoi que ce soit... "C'est pourtant simple, que je soit une meuf ou un mec... à quoi bon me rabaisser à coucher avec mec qui semble vraiment pathétique... je mérite mieu, tellement mieu... C'est comme si t'allais chez Ollivander et qu'il te propose deux choix de baguettes... les deux te correspond sont à ton goût... Mais l'une d'entre elles te permet de t'améliorer d'avantage elle te serai tellement bénéfique... tandis que l'autre te laisse en stase si je peux dire? Tu choisis laquelle ? celle qui te permet d'évoluer ? c'est la même avec les mecs, a quoi bon vouloir coucher avec un mec qui semble vraiment pitoyable alors que tu peux avoir un mec qui peut au moins t'apporter quelques choses... " ET LE CÉSAR DE LA PLUS MAUVAISE MÉTAPHORE REVIENS A ... ANTHYME ! Bon je préférai vraiment oublié cela, et puis j'ai parlé de moi fais chiez quoi !

«- C’est une menace ?» Je me mis à réflechir est ce vraiment une menace ? biensur que non c'est un jeu... un simple jeu d'enfant. « Je dirais une promesse... Une promesse que si tu me cherches vraiment tu finiras pas me trouver ».

La conversation sur les lieux adéquates pour pratique la chose fut coupé de court quand je parle de la serre. je me pose des questions tout d'un coup, alors qu'on était bien lancé sur le sujet qui semblait interessant... Avait elle un lien si particulier avec les serres où simplement avec... Moi? Nooooon ! tu délires!

«- Trop de poésie. Et version sérieux sans fioritures, ça donne quoi ?» Je me suis mis à rire: " En gros, il y a quelques années un groupe de sorcier ont trouvés des ruines au nord est de l'Ecosse. des ruines druidique qui semblerait parler des premiers sorcier. une longue études a été faite et on l'étudie en ce moment en études de runes puisqu'on refait la traduction... C'est comme le sort Endoloris mais en mode soporifique ... et toi tu bosses sur quoi là ? "

(c) DΛNDELION

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You're at me darling, you simply ignore that.

Aleksandra &
Anthyme

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Alors qu’il dit qu’il n‘est heureusement pas son frère, la jeune femme relève la tête sans comprendre et l’utilisation du mot « heureusement » ne manque pas de la surprendre, comme elle est persuadée que c’est ainsi qu’il la voit pourtant. Comme une sœur, ou comme celle de son meilleur ami en tout cas. Mais elle ne fait aucune remarque immédiate sur la question, réprimant un «dit tout de suite que je suis une sœur horrible» en analysant plutôt le visage d’Anthyme. Ne comprenant pas ce que ce dernier a bien put vouloir dire, la sorcière le dévisage comme pour chercher des réponses sur la face d’Anthyme et elle lève un sourcil sans trouver ce qu’elle cherche, naturellement. Parce qu’elle ne sait pas, en soit ce qu’elle cherche. Ou parce qu’elle ne veut pas comprendre, dans le fond, comme soumise à une certaine culpabilité.

Il serait si facile pour l’un et l’autre de succomber finalement, d’avoir les réponses à leurs questions, de savoir ce que l’autre pense, de savoir s’ils sont friendzonés, de savoir si leur attirance l’un pour l’autre est passagère, comme toujours, ou si elle marque seulement le fait qu’il y a quelque chose en eux de plus profond. La sorcière a toujours voulu profiter de la vie. Elle a toujours voulu s’amuser, sans s’engager, parce que l’engagement lui faisait peur, ou que personne ne lui donnait envie de passer le cap, noyant peu à peu ses impressions, ses sensations, de sorte qu’elle ne sache plus différencier le désir, de l’amour. Et comme s’ils ne pouvaient pas ou ne devaient pas s’entendre, les mots passent sans les accrocher vraiment, ou ils s’accrochent en silence, sans faire de vague, provoquant l’émoi de l’un ou de l’autre, sans pourtant les rapprocher.

«- Ouai mais… là ce que je veux pour l’instant c’est juste un peu de sport sous la couette pour rester polie. J’ai jamais été amoureuse. Je le serai peut-être un jour mais pour le moment je ne crois pas l’avoir été, à moins que je ne m’en sois pas rendu compte, à moins que je confonde… Mais soit, je ne pense pas l’avoir été en tout cas. Et c’est mon droit de faire… des trucs avec Jack, si j’ai envie de faire… des trucs avec Jack. Mais si t’as en tête un gars qui peut m’apporter quelque chose de plus…. Alors vas y, je t’écoute.»

La jeune femme inconsciemment, tend une perche à son prétendant, sans savoir comment il va le prendre. En même temps elle ne se fait pas trop d’illusion sur la réponse et en soit, elle ne sait pas ce qu’elle veut, ce qu’elle attend vraiment. Elle n’a jamais rien connue de sérieux. Elle ne saurait même pas dire si elle a envie que ça change pour le moment, s’accommodant fort bien de son manque d’attache, de sa folle liberté.

«- Je vais peut-être commencer à chercher pour de bon, alors.»

Peut-être que ce n’était pas la réflexion la plus intelligente à faire, peut-être qu’elle en a trop dit. Peut-être qu’elle joue un peu trop, qu’elle ne sait pas ce qu’elle veut, qu’elle est un peu perdue. Peut-être qu’ils devraient arrêter de se chercher comme ça et parler davantage. Peut-être qu’Aleks devrait arrêter de jouer et essayer de regarder sa vie sérieusement, ne serait-ce que quelques minutes.

«- Je bosse sur les sortilèges, je dois rendre pas mal de centimètres de parchemin. Et j’ai un devoir de métamorphose après. Mais… ça a l’air cool ton histoire. Barbant à traduire mais cool.»

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Et tout ce que je fais, je ne le fais que pour toi, en ne pensant qu'à toi, au jour où tu me verras.

«- Ouai mais… là ce que je veux pour l’instant c’est juste un peu de sport sous la couette pour rester polie. J’ai jamais été amoureuse. Je le serai peut-être un jour mais pour le moment je ne crois pas l’avoir été, à moins que je ne m’en sois pas rendu compte, à moins que je confonde… Mais soit, je ne pense pas l’avoir été en tout cas. Et c’est mon droit de faire… des trucs avec Jack, si j’ai envie de faire… des trucs avec Jack. Mais si t’as en tête un gars qui peut m’apporter quelque chose de plus…. Alors vas y, je t’écoute.» Cela me rendrait triste en faite... Car elle n'a jamais connu ce que moi j'ai pu connaitre. Cette sensation délicieuse que cela apportait comme boire une soupe de citrouille durant une tempête de neige devant un feu de cheminé. Ou encore cette odeur de petrichor, l'odeur de la pluie après la tempête. Enfaite c'est comme cela que je peux définir l'amour... C'est cette même sensation de plénitude qu'on peut ressentir sur certaine chose. Je ne savais vraiment pas quoi lui répondre finalement,je sens le piège... " J'aimerai pouvoir te donner une réponse, mais je risquerai de me faire mal. " biensur je pensais à Léandre, mais au moins j'ai réussit au moins à trouver quelques choses à dire bien que ce soit tendancieux aux emmerdes. Après quelques minutes cela tourne pas au desastre du tout... Je dois avouer que je tend des perches et que cela me plaise.

«- Je vais peut-être commencer à chercher pour de bon, alors.» J'avais perdu le fil de la conversation enfaite mon devoir me prenais la tête. enfin ce que je sors n'était pas totalement réflechie: " Pourquoi me chercher alors que je suis juste en face de toi? Hm" disais-je en levant les yeux au ciel avant de réaliser ma bourde... Je me met à rougir " Ce ... n'est pas ce ... que je voulais dire..." Eh merde. garde la tête haute WESH !

Changement de conversation, conversation futile autour de ce qu'on étudie... Après lui avoir sorti le baratin, enfin le truc soporifique. quand je lui demande alors sur quoi elle bosse... «- Je bosse sur les sortilèges, je dois rendre pas mal de centimètres de parchemin. Et j’ai un devoir de métamorphose après. Mais… ça a l’air cool ton histoire. Barbant à traduire mais cool.» Je me suis mis à rire... C'était barbant oué c'est sur." Sortilège ? Je dois bosser dessus après justement.. C'est encore un long devoir ca devient une torture d'écris ces centimètres de parchemin."

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Et tout ce que je fais, je ne le fais que pour toi, en ne pensant qu'à toi, au jour où tu me verras.

La jeune femme lève un sourcil. Naturellement cette dernière ne comprend pas bien ce que ce dernier peu bien vouloir dire alors que toutes les discussions qu'ils essaient d'entamer restent vagues et imprécises. La demoiselle ne sait pas si elle doit demander des éclaircissements, ni à quoi s'attendre, ni ce qu'elle peut demander. A-t-elle vraiment envie de savoir ce que l'homme veut lui dire par ces mots ? Ou est-ce qu'il ne les dit pas parce que peut-être, la réponse ne plairait pas à la jeune femme, qu'elle pourrait le prendre mal ? La serdaigle ne sait pas, ne comprend pas, elle le dévisage un certain temps, le temps de savoir si elle veut ou non lui poser cette question pour en apprendre d'avantage sur le sens de ses propos.

"- Pourquoi ?"

Un simple mot. Un simple mot qui peut vouloir dire beaucoup. La bleu et bronze pose son regard sur lui en restant silencieuse et elle l'observe, comme pour chercher une réponse sur le visage du sorcier. Comme si son fascié pouvait lui indiquer quoi que ce soit. Mais ils finissent plutôt par se taquiner, sur un ton plus léger, comme pour oublier le tournant prit par la conversation et la demoiselle lève un sourcil comme sa question le surprend encore, tandis qu'il ne semble pas saisir ce qu'elle a voulu dire.

"- Ben... tu dis que si tu continu je vais te trouver non ?" se contente de répondre la rousse.

Se concentrant sur leurs devoirs et questionnant son interlocuteur au sujet de ses travaux actuels, la demoiselle hoche la tête en apprenant qu'il travaille sur les runes et elle s'intéresse à sin sujet avant de parler du sien, en sortilèges et le jeune homme semble ne pas encore avoir réalisé ce dernier.

"- Le professeur Rosier ne serait pas ravie de t'entendre ! Les sortilèges ça va c'est plutôt cool comme matières !"

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Et tout ce que je fais, je ne le fais que pour toi, en ne pensant qu'à toi, au jour où tu me verras.

«Pourquoi?» Ce mot, cette question, ne faisait que resserrer la corde autour de mon cou, le piège devenait de plus en plus compliquer à esquiver, plus je répondait plus je m'embourbe. Je cherche je tente de trouver une chose pour rendre la situation dérisoir. « Car quoi que je dise, je risquerai de me faire frapper donc ca me fera mal. » Ce qui je disais cela n'étais pas totalement faux... Si je contenue dans cette voix de dépravation je risquerai de me faire mal mais pas forcement physique simplement morale.

Mais comment vous dire que je suis le pire des idiots? Un idiots mignon mais un idiot quand même parce que voilà, bien que tout semblait se déroulé... Je la cherche et je me cherche aussi... "- Ben... tu dis que si tu continu je vais te trouver non ?" ... soit elle est stupide... soit incroyablement intelligente, j'aimerai me fourvoyer et me dire qu'elle était surement intelligente, même si j'ai du mal à y croire maintenant je pense tout simplement qu'elle soit aveugle. « Mais peut être simplement tu ne cherches pas assez bien pour me trouver vraiment... » VAS Y LA MAIS FERME TA GUEULE... WESH Tu t'es cru où dans Cinquante nuance de Toutou? Nan mais je vous jure...

Bon on finit par parler des cours bah oué on est encore des putains d'étudiant et forcement ca cause parchemin. et puis on parle du devoir en sortilège et de madame Rosier... Bon ok elle est canon "- Le professeur Rosier ne serait pas ravie de t'entendre ! Les sortilèges ça va c'est plutôt cool comme matières !" Je me suis mis à rire : « Elle ne m'entend pas donc on vas dire que je suis sauvé et je sais que si elle est au courant c'est toi qui lui aura dit donc je serai dans l'obligation de te tuer » disais-je d'un air sérieux... avant de reprendre un sourire en lui parlant du devoir: « Le cours est chouette oué, elle m'aura bien aidé mais parfois c'est quand même barbant faut bien l'avouer. » Je soupire en posant enfin ma plume sur la table, je soupire m'affalant sur le dossier: « Fiouf enfin finit j'ai tellement mal à la main écrire à la plume ce n'est pas une torture simplement un sacrilège. »

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Et tout ce que je fais, je ne le fais que pour toi, en ne pensant qu'à toi, au jour où tu me verras.

La demoiselle hausse un sourcil sans comprendre ce que veut dire Anthyme par ces mots. Est-elle donc du genre à frapper qui que ce soit parce qu'elle n'est pas d'accord avec leurs propos ? Il ne lui semble pas qu'elle soit ce genre de personne aussi ne comprend-t-elle pas que le jeune homme puisse avoir peur de se faire frapper. Elle est loin de se douter qu'il fait ici référence au frère de la demoiselle, Léandre. La demoiselle, loin de savoir l'attirance du poufsouffle vit à vit d'elle ne songe pas un instant qu'Anthyme puisse avoir peur de son meilleur ami et de la réaction de ce dernier s'il venait à se rendre compte que le jeune homme tourne autour de sa sœur. La sorcière se contente de hausser les épaules en reportant son attention sur son travail. Pourtant, elle ne tarde pas à se laisser déconcentrer par son interlocuteur et elle lui adresse un petite sourire.

Peut-être qu'elle ne le cherche pas assez ? La demoiselle sursaute et observe le jeune homme, le détaillant un long moment. Et s'ils changent de conversation pour parler des devoirs donnés par le professeur Rosier, la jeune femme se pose surtout un tas de questions sur ce qui vient de se passer, sur ce qui vient de se dire, si bien qu'elle est un peu absente de leur discussion sur les devoirs, répondant d'avantage par réflexe qu'en prêtant attention à ses réponses ; Levant un sourcil, la jeune femme se demande s'il est possible qu'il ait les mêmes attentes envers elle qu'elle a envers lui, avant de songer que c'est stupide et qu'il ne la voit certainement que comme la sœur de son meilleur ami, de son « bro ».

«- Un cours n'est jamais barbant pour les Serdaigle très cher, c'est les autres maisons qui sont simplement inaptes au travail très cher !» lance la demoiselle avec une petite moue amusée pour taquiner son interlocuteur, avant de le regarder plus sérieusement. «Anthyme ? Est-ce que.... est-ce que tu as envie... que je te trouve ?» demande la demoiselle non sans marquer une certaine hésitation.

Mais ce n'est probablement pas une bonne idée de demander cela et la demoiselle en rosissant range ses affaires d'un coup de baguette avant de fuir la bibliothèque et la discussion par la même occasion. Loin de se douter que la prochaine fois qu'ils se verraient, ce serait sur un champ de bataille avec des mangemorts, soumis à la douleur, à la peur... Et que finalement, ils n'auraient pas l'occasion de reparler avant longtemps.

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Ne m'en veut pas, j'ai été obligée de couper sinon ils allaient soit passer pour deux vrais idiots aveugles, soit ils allaient finir par parler mais comme on ne l'a pas suggéré dans la bataille... ^^

» Time to play, Darling * Mélody
» « LE PASSÉ C'EST LE PASSÉ DARLING,ÇA PARASITE LE PRÉSENT. »