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 Ayla ▬ Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.

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Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Ayla ▬ Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.  Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. - Page 2 EmptyDim 26 Juin - 23:04

❝ L'espoir fait vivre mais parfois il détruit.. ❞See you again !Dans son esprit, c'était un véritable chantier, elle avait l'impression que l'homme en face d'elle ne comprenait pas ce qu'elle essayait de lui dire, ce qu'elle ressentait réellement au fond d'elle et la douleur qui prenait possession de son cœur quand il défendait sans cesse son amie, et en même temps, elle ne savait pas trouver les mots exacts pour pouvoir lui balancer le fond de sa pensée au visage pour que tout soit plus clair pour eux et qu'il sache qu'elle avait en horreur son amie et qu'elle ne pourrait jamais la tolérer dans sa vie à elle, Ayla comprenait qu'elle est sa place dans la vie du garçon depuis temps d'années qu'il était ami, mais celui-ci semblait vouloir lui imposé l'omniprésence de cette fille qu'elle ne supportait pas et qui la jugeait sans cesse et elle ne pouvait pas accepter qu'une telle chose se produise. Parce qu'elle avait son mot à dire, qu'il n'était pas seul et que si il voulait être avec elle comme il l'avait dit plutôt il devait aussi se remettre en question faire des compromis pour que cela marche, avant aujourd'hui Ayla n'avait jamais été mauvaise avec Rebecca préférant totalement l'ignorée pour ne pas lui apporter de l'importance, mais la jeune fille semblait décidé à lui pourrir la vie et c'était trop pour elle et plus Mathéo voulait continuer à parler ou plutôt à se disputer plus la colère grondait dans le corps de la blonde qui allait sans doute exploser dans peu de temps. Elle avait voulu rentrer pour limiter les dégâts et que ses mots ne dépassent pas sa pensée au cours de cette altercation, mais son interlocuteur semblait ne pas être d'accord avec elle. Il s'acharnait à vouloir la convaincre de la bonté de cette personne, et de la place qu'elle aurait toujours dans sa vie, et même si les mots arrivait à son oreille, elle n'arrivait pas à les comprendre à pouvoir rester neutre face à de telles paroles blessantes à son égard, car dévalorisante pour elle, qui n'était que la deuxième une nouvelle fois, moins importante, qui se prenait des reproches alors qu'elle avait bien agi, qu'elle avait attendu qu'il arrive calmement plutôt que de partir. Ayla n'avait rien fait de mal et c'était elle qui était désignée coupable dans la haine qui les liait-elle et Rebecca et elle ne comprenait pas pourquoi. Pourquoi elle semblait si intouchable aux yeux du brun, ils sont amis, mais l'amitié ne rend tout de même pas aveugle et les mauvais actes de la blonde devraient faire réagir le brun trop passif à son goût. Elle n'a plus envie de parler et pourtant, elle doit répondre quelque chose pour mettre réellement fin à cette dispute qui lui retourne l'estomac.


" Tu cherches quoi ce soir ? À me vanter ses mérites ? À me traiter comme la pire des garces alors que c'est elle qui vient cracher son venin sur moi à chaque occasion ? Dis-moi ce que tu veux à la fin qu'on en finisse une bonne fois pour toute ! Je ne veux pas fuir bordel, je veux pouvoir être tranquille sans entendre parler de cette fichue fille ! J'ai attendu quarante longues minutes que tu daignes me rejoindre pour que tu me bassines avec ta meilleure amie qui ne m'aime pas et que je n'aime pas en retour ! Elle est où ta logique sérieuse, je ne suis pas là pour elle, mais pour toi et toi, tu n'es pas là pour moi, elle passe toujours avant tout et tu penses que tu trouveras une fille qui acceptera ça ? D'être rabaissée humiliée parce qu'elle est proche de toi, tu te mets le doigt dans l'œil ! Et moi, je suis encore là stupide comme je suis à espérer que tu remarques que tu ne peux pas continuer comme ça et tu me chantes encore ses louanges et je ne peux plus les entendre" La valve avait craquer et le flot de paroles qui avait traversé les lèvres de la blondinette, c'était écoulé d'une voix plus forte qu'auparavant, elle ne criait pas encore, mais ce n'était plus très loin maintenant, elle avait libéré un peu son cœur et étalé son ressentis de manière plus clair, plus net, mais pas encore assez pour elle qui n'était pas sûre d'être réellement comprise et la phrase du brun n'arrangea rien à sa colère, elle n'aimait pas le fait qu'il lui fasse remarquer qu'elle n'était en rien la fille de ses rêves une nouvelle fois, c'était vexant de voir la personne que l'on est être remis en cause de la sorte. Et elle ne savait pas comment réagir, elle ne voulait pas pleurer à nouveau, elle ne voulait pas crier, car cela ne servait jamais à rien et la violence n'était pas un choix envisageable pour elle, Ayla se sentait tout simplement impuissante " Tu me vois désolé d'apprendre que je ne suis pas là fille de tes rêves, tu la rencontreras surement un jour et elle ne sera pas moi, pas dingue ni colérique, je te le souhaite en tout cas" Sa voix s'était éteinte, son visage n'exprimait plus rien s'en était trop pour elle qui se refermait comme jamais elle ne l'avait fait. Pour ne plus encaisser les paroles du Serpentard pour que ses mots ne l'atteignent plus jamais aussi profondément, pour laisser le temps à son esprit et à son cœur de se remettre de leurs émotions, elle n'était plus vraiment là elle voulait juste que cela cesse. " Si j'avais voulu te faire du mal, j'aurais été balancé ce que tu m'as confié à tout le château, je n'aurais pas attendu tout le long de ton retard pour te voir et passer un moment avec toi"


Ayla avait beau être rancunière, elle n'était pas pour la vengeance, elle ne faisait jamais gratuitement du mal à une personne et si elle en faisait, c'était souvent, voir toujours involontaire de sa part, aujourd'hui, elle ne voulait pas être blessante ou méchante juste être comprise par se garçon qui à beaucoup d'importance dans sa vie. Pour qu'il puisse faire quelque compromis et que leur début d'histoire puisse se poursuivre, pour le moment tout semble partis dans la mauvaise direction et cela peine beaucoup notre petite Serdaigle qui ne sait plus quoi faire pour ne pas s'aplatir et en même temps ne pas tout foutre en l'air.


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Mathéo A. Collins
Mathéo A. Collins
Bonjour ! J'appartiens à la maison : Anciennement Slytherin, actuellement à l'école des sports de Londres. J'ai posté : 627 hiboux. Grâce à moi ma maison a gagné : 6 pour une aventure ! Je suis de la génération : Etudiant de 1977. . Je suis un aventurier : on peut me blesser A savoir sur toi : « Un peu trop fêtard parfois, j’ai surtout le chic pour me m’attirer des ennuies. Vraiment pour le coup, j’ai pas de chance du tout, donc faites attention quand vous m’approchez. Sinon je suis quelqu’un de gentil et de doux, même si je peux être un peu trop caractériel quand j’ai fini ma limite. En clair, me cherchez pas trop. J’ai toujours ce problème avec les filles. Du mal à les approcher et encore plus à conclure. Vous voyez le gars qui transpire, avec les mains tremblantes, et qui bégaye à chaque fois qu’une fille lui adresse la parole ? Bah ce type c’est moi … »

Ma carte de chocogrenouille
Epouvantard: Lui-même en mangemort.
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Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Ayla ▬ Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.  Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. - Page 2 EmptyLun 27 Juin - 2:23


“Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.”



Ayla & Mathéo




Visiblement Mathéo était aussi nul en relation humaine qu’en compréhension de la gente féminine. Il n’avait pas bien compris pourquoi Ayla s’était subitement calmé, mais il avait encore moins compris pourquoi elle était à nouveau en colère, et maintenant plus que jamais. Franchement, il espérait que Daphné ait réussi à récolter un maximum d’informations pour pouvoir lui expliquer en détail comment fonctionnait la Serdaigle, parce que pour le moment il était totalement largué. Il était totalement en train de se noyer dans la situation, à un point qu’il ne comprenait même plus ce qu’il pouvait bien la mettre en colère. En effet, lui avait pensé dire des trucs gentils à la belle Ayla mais visiblement, elle ne l’avait pas du tout pris de la bonne façon. Il avait également voulu lui expliquer en quoi consister sa relation avec Rebecca, pour qu’elle comprenne ce lien fort entre les deux personnes, mais visiblement il avait été encore trop maladroit.

Plus en colère que jamais, elle lui demanda ce qu’il cherchait ce soir, à vanter les mérites de sa meilleure amie ou alors à la traiter comme la pire des garces alors que c’était elle qui venait cracher son venin sur Ayla à la moindre occasion. Alors là le jeune homme ne comprenait vraiment pas de quoi elle voulait parler. Il ne cherchait pas forcément à lui montrer que Rebecca était quelqu’un de parfait, et il n’avait pas du tout l’impression de l’avoir fait passer pour la méchante. Ils devaient surement avoir un gros problème de communication et de compréhension, ce n’était pas possible autrement. Les mots que prononçaient Mathéo ne devaient pas arriver de la même façon dans les oreilles de la Serdaigle. Parce que vraiment, il n’avait pas eu l’impression d’être à ce point blessant envers la demoiselle dans les dernières paroles qu’il avait prononcé.

*Prends des cours de savoir-vivre mon petit bébé.*

Elle lui demanda de lui dire ce qu’il voulait à la fin qu’ils en finissent une bonne fois pour toute. Elle ne voulait pas fuir mais elle voulait être tranquille sans entendre parler de cette fichue fille. Elle lui rappela qu’elle avait attendu quarante minutes qu’il daigne la rejoindre pour qu’il la bassine avec sa meilleure amie qui ne l’aimait pas et qu’elle n’aimait pas en retour. Elle ne comprenait donc pas la logique de Mathéo pour le coup. Elle lui annonça qu’elle n’était pas là pour elle mais pour lui, mais que Mathéo, lui, n’était pas là pour elle. Elle lui demanda s’il pensait vraiment trouver une fille qui accepterait que sa meilleure amie passe toujours avant.

Mon dieu, la situation était vraiment en train de dégénéré, et Ayla semblait lui balancer tout ce qu’elle avait sur le cœur. Mathéo n’aimait pas vraiment ça. Finalement les conflits avec les filles n’étaient pas vraiment pour lui. Mais Ayla n’avait visiblement pas fini. Elle continua en lui disant qu’il se mettait le doigt dans l’œil s’il pensait qu’une fille allait accepter d’être rabaissé et humilié par une fille sous prétexte qu’il en était proche. Mais il ne pensait pas ça du tout, et ce n’était pas non plus ce qu’il avait dit ou voulut dire. Prenait-elle tous ses mots de travers ou était-ce vraiment lui qui s’était mal exprimé. Vraiment il ne le savait plus. Elle rajouta qu’elle était encore là, stupide comme elle était, à espérer qu’il remarque qu’il ne pouvait pas continuer comme ça et qu’il lui chantait encore ses louanges et qu’elle ne pouvait plus les entendre.

En fait Mathéo était un peu lassé. Lassé qu’elle ne comprenne pas ce qu’il voulait vraiment dire et qu’elle interprète mal chacune de ses paroles. Rebecca était ce qu’elle était, c’était son amie et voilà il n’y avait finalement pas plus à argumenter que ça sur le sujet.

Mais ce n’était pas fini. Elle avait encore une fois mal compris ce qu’il voulait vraiment dire et lui annonça surement d’un ton assez ironique qu’elle était désolée de ne pas être la fille de ses rêves et qu’il la rencontrerait surement un jour et que ça ne serait pas elle, qu’elle ne serait ni colérique, ni dingue. Elle lui souhaitait en tout cas. Du moins c’était ce qu’elle disait, pas sûr qu’elle le pensait réellement en revanche. Et pour finir elle lui dit que si elle avait vraiment voulu lui faire du mal, elle aurait été balancée ce qu’il lui avait confié à tout le château et qu’elle n’aurait pas attendu tout le long de son retard pour le voir et passer un moment avec lui.

– Ok j’ai bien compris que tu étais énervé.

*Oh bah dis donc Mathéo, je ne savais pas que tu étais à ce point perspicace, tu m’étonnes de jour en jours dis donc.*

Bon il ne savait pas par quoi commencer et puis il fallait bien commencer quelque part, non ? Le jeune homme n’était pas un fan inconditionnel des disputes et généralement aimé bien les éviter. Mais alors qu’il était entièrement plongé dedans, il cherchait un moyen de calmer le jeu pour arranger les choses. Effectivement, il était tout à fait capable de rester camper sur ses positions, parce qu’il ne pensait pas du tout avoir tort sur le sujet Rebecca, mais dés fois il fallait mettre sa fierté de côté et savoir un peu s’écraser pour ne pas tout gâcher. Et la dernière chose qu’il avait envie c’était de perdre la belle Serdaigle pour une chose aussi stupide.

– La première fois que je t’ai vraiment vu, c’était lors de ma cinquième année. Tu étais à la bibliothèque en train de discuter avec Lia. Et à partir de ce moment-là, je me suis dit « c’est elle ». Je te connaissais pas, alors j’ai imaginé ton caractère et ta façon d’être.

Commença le jeune homme, doucement. Sa voix était calme. Cela contrastait beaucoup avec l’atmosphère pesante qui régnait jusqu’à maintenant. Mais il avait bien compris qu’avec Ayla ça ne servait à rien de crier plus fort ou de répondre sur un ton agressif.

– Alors oui tu es loin de la fille parfaite que je m’étais imaginé.

*J’espère qu’il y a un mais à ta phrase quand même sinon t’es encore une fois mal-barré.*

– Mais tu es beaucoup mieux que ça.

Continua-t-il. Il ne voulait pas aggraver les choses avec Ayla car il tenait vraiment à elle et ne voulait pas la perdre. Si elle avait besoin d’être rassurer sur ses intentions ou sur ce qu’il pensait d’elle, il pouvait le faire car il pensait chaque moi qu’il disait. Il n’était pas du genre à dire aux gens ce qu’ils voulaient entendre, bien au contraire. Mathéo était plus du style franc à outrance, ce qui pouvait beaucoup agacer certaines personnes dans différentes situations. Il ne voulait pas faire de peine à la Serdaigle, ça n’avait jamais été son intention. Mais il l’avait fait quand même, et il s’en voulait. Peut-être n’aurait-il pas du parler comme ça de Rebecca mais il ne savait pas vraiment comment les relations marchaient.

– Je suis désolé. Désolé de t’avoir fait de la peine, de pas avoir été à la hauteur de tes espérances, d’avoir été maladroit, de t’avoir fait pensé que tu n’étais pas importante.

*Depuis quand tu t’excuses toi ?*

– Parce que tu l’es. Plus que tu ne le penses.

Elle avait déjà une grande place dans sa vie, même si elle n’en était pas consciente, et même si Mathéo était nul pour lui montrer.




par humdrum sur ninetofive
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Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Ayla ▬ Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.  Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. - Page 2 EmptyLun 27 Juin - 16:56

❝ L'espoir fait vivre mais parfois il détruit.. ❞See you again !Ayla avait l'impression que leur dispute n'en finissait pas et elle avait vraiment envie d'oublier cette journée, mais il semblait impossible de le faire pour elle, et pour Mathéo non plus qui se tenait en face d'elle et qui continuer à alimenter la conversation, il allait leur falloir trouver une limite quelque chose pour que Rebecca ne soit pas le centre de toute leur dispute cela ne pouvait pas durer ainsi sinon ils n'allaient jamais pouvoir former un couple heureux, ou même un couple tout cours, les disputes n'avait pas que du bon et créait des fossés et de l'éloignement entre deux personnes si cela devenait trop fréquent. Et ce n'était pas ce qu'elle voulait vu qu'elle appréciait réellement le brun qui avait pris beaucoup d'importance dans sa vie, en très peu de temps ce qui était inhabituel. Et même si elle était vraiment en colère, elle ne voulait pas le rester, elle avait offert son cœur et elle avait balancé tout ce qu'elle pensait pour pouvoir se libérer et maintenant elle se sentait beaucoup mieux même si elle était vidé, comme si elle n'avait pas vraiment de force pour pouvoir continuer à parler pendant encore longtemps. Heureusement, le brun avait arrêté de lui hurler dessus comme si il venait de comprendre que cela ne servait pas à grand chose et que cela faisait plus fuir la jeune fille qu'autre chose. À bout nerveusement et malgré le froid, elle se laissa tomber par terre assise sur l'herbe glacée pour fermer un peu les yeux et réfléchir à ce qui pouvait arriver si elle continuait à répondre de la même manière, il valait mieux apaiser un peu les choses et ne plus parler de cette fille et de cette histoire, car rien ne pourrait s'écouler de bon si il poursuivait dans cette voie-là . Elle écouta attentivement, les paroles qui venaient du garçon en face d'elle pour pouvoir répondre du mieux possible tout en calmant totalement la conversation. Il lui parlait de la première fois qu'il l'avait remarqué en cinquième année pour lui et donc sa quatrième à elle, c'était cette fois qu'il s'était imaginée comment pouvait être la jeune fille qui lui plaisait alors qu'il ne l'avait qu'aperçue à la bibliothèque.


" Oui, je suis en colère, mais je ne veux pas l'être, je n'arrive juste pas à me calmer" Parce que c'était dur pour elle de redescendre en pression quand elle se mettait en colère, il lui fallait toujours un moment pour revenir à son état normal parce qu'elle pouvait être très rancunière quand on lui faisait du mal, mais là, elle aurait aimé pouvoir être plus rapide pour revenir au calme pour pouvoir, réfléchir et répondre plus calmement ce qu'elle tenta de faire en respirant fortement. " Je n'étais pas la même qu'aujourd'hui à l'époque, j'aurais sans doute été plus proche de la femme parfaite, j'étais plus douce et plus calme qu'aujourd'hui, mais j'ai grandi et je sais désormais ce que je veux et ce que je ne veux pas. Et s'il te plaît ne me parle plus d'elle juste ne me parle plus d'elle, c'est tout ce que je demande, vois-là et parle lui autant que tu veux, je ne veux juste plus rien savoir à propos d'elle. Parce que je ne veux pas me disputer avec toi à cause d'elle, alors que tout allait bien entre nous jusqu'à présent" Ayla avait parler à voix basse et calme, demandant juste une faveur au brun pour que les choses aille mieux entre eux et qu'il n'ai plus à se cirer dessus à cause de Rebecca, qui n'avait pas sa place entre eux, qui n'était qu'une amie du brun et qui devait rester à cette place. Mais elle ne savait pas si elle était mieux maintenant qu'avant, on ne pouvait jamais savoir si nos changements étaient toujours bien ou toujours mauvais, il y avait un juste-milieu, des qualités et des défauts chez tout le monde y compris chez elle et elle s'en rendait bien compte " Je ne suis pas totalement sûre d'être mieux... Je suis totalement imparfaite et colérique, et impulsive et tu vas en avoir marre de moi dans pas longtemps, tu verras. Je fais toujours fuir les personnes à qui je tiens parce que je n'arrive pas à être moi-même a m'évader de ma peur"



La jeune fille ne regardait plus le brun, elle fixait l'herbe, c'était plus simple pour elle pour pouvoir se remettre en question, analyser la situation d'un point de vu différent, avec un peu de recul pour savoir comment réagir parce qu'elle savait qu'elle avait des torts elle aussi, parce qu'elle s'était énervée, alors qu'elle aurait dû garder son calme. Ne pas s'emporter de la sorte pour que les choses n'aillent pas aussi loin, mais son impulsivité était ressortie au mauvais moment et avait rendu la journée encore plus pénible qu'au départ. " Tu n'y as pour rien, j'ai toujours pensé que j'étais inutile et je continuerais surement à le penser, je ne suis pas sûr que quelqu'un soit capable de régler ce souci..." Parce qu'elle pensait ainsi depuis bien trop longtemps pour pouvoir retrouver sa réelle confiance en elle. Elle ne pensait réellement ne pas avoir d'importance et qu'elle ne manquera jamais à personne si elle venait à disparaître, parce qu'elle était encore énormément marquée par les mots et les insultes de son ex petit ami et que son traumatisme était encore trop présent chez elle pour qu'elle arrive à passer à autre chose. " C'est à moi de m'excuser parce que mes problèmes personnels ressortent et que je m'en prends à toi alors que je ne devrais pas le faire... Je ... Je ..." Elle arrêta de parler parce qu'elle ne savait pas quoi dire de plus, elle se savait en causer elle aussi, mais elle ne savait pas comment expliquer. " J'ai besoin de toi, même si je te repousse un peu, j'ai réellement besoin de toi"
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Bonjour ! J'appartiens à la maison : Anciennement Slytherin, actuellement à l'école des sports de Londres. J'ai posté : 627 hiboux. Grâce à moi ma maison a gagné : 6 pour une aventure ! Je suis de la génération : Etudiant de 1977. . Je suis un aventurier : on peut me blesser A savoir sur toi : « Un peu trop fêtard parfois, j’ai surtout le chic pour me m’attirer des ennuies. Vraiment pour le coup, j’ai pas de chance du tout, donc faites attention quand vous m’approchez. Sinon je suis quelqu’un de gentil et de doux, même si je peux être un peu trop caractériel quand j’ai fini ma limite. En clair, me cherchez pas trop. J’ai toujours ce problème avec les filles. Du mal à les approcher et encore plus à conclure. Vous voyez le gars qui transpire, avec les mains tremblantes, et qui bégaye à chaque fois qu’une fille lui adresse la parole ? Bah ce type c’est moi … »

Ma carte de chocogrenouille
Epouvantard: Lui-même en mangemort.
Patronus: Renard
Capacité spéciale: Aucune

Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Ayla ▬ Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.  Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. - Page 2 EmptyMer 29 Juin - 3:12


“Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.”



Ayla & Mathéo




Mathéo n’avait qu’une seule envie : que cette dispute cesse. Il était arrivé en retard et tout était parti de lui. Il n’aurait peut-être pas dû laisser Rebecca lui prendre autant de temps, mais sur le coup il n’avait pas fait attention, il n’avait pas eu vraiment envie de froisser sa meilleure amie. Mais il s’était rendu compte qu’en essayant de ne pas faire de peine à la Serdaigle, il en avait fait à Ayla. Ce n’était pas du tout volontaire, il ne cherchait pas à faire souffrir la belle jeune femme comme ça par simple plaisir. Il était loin d’être comme ça, la méchanceté gratuite était loin d’être son truc. Encore une fois on se demandait bien comment il pouvait être ami avec Rebecca en étant aussi différent qu’elle. Mais bon passons.

C’était normal, après tout qu’ils se disputent. Ils ne se connaissaient pas tant que ça et devaient apprendre tous les deux les limites de chacun. Pour sa part, Mathéo devait apprendre les règles d’une relation amoureuse : ce qui se faisait et ce qui ne se faisait pas. Car avant aujourd’hui, il n’en avait aucune idée à cause de son inexpérience encore une fois. Visiblement, parler de sa meilleure amie, et essayer de la défendre face à une jeune femme avec qui il voulait une vraie relation n’était pas quelque chose de bon. Ayla n’avait pas apprécier que Mathéo prenne à ce point parti pour sa meilleure amie. Le Serpentard avait toujours agi de la sorte et sur le coup n’avait vraiment pas compris la réaction de la Poursuiveuse des Serdaigle. Heureusement il avait au moins compris un truc d’important. Avec Ayla, ça ne servait à rien d’être agressif ou de crier, et ça n’arrangeait pas les choses, bien au contraire. Quand elle était énervée, il valait mieux rester soi-même calme, sinon la conversation ne pouvait pas avancer. C’est pourquoi le jeune homme avait baissé la voix lorsqu’il avait repris la parole. Après tout son but n’était pas d’anéantir toutes les chances qu’il pouvait avoir avec la jeune femme.

*Sage décision mon garçons. Les filles sont folles de temps en temps.*

Il avait commença par lui dire qu’il avait bien compris qu’elle était en colère. Une petite intervention inutile car même les petits oiseaux l’avaient sans doute compris, mais c’était pour gagner un peu de temps pour trouver ce qu’il allait bien pouvoir lui dire pour apaiser la situation. Elle lui confirma qu’elle était bel et bien en colère mais qu’elle ne voulait pas l’être, elle n’arrivait juste pas à se calmer. Mathéo pouvait comprendre, il ne se mettait pas souvent en colère à part quand il était dans sa famille, et il savait à quel point il était dur pour lui de redescendre en pression quand il était vraiment en colère. Elle reprit la parole en lui expliquant qu’elle n’était pas la même qu’aujourd’hui à l’époque, elle aurait sans doute été plus proche de la femme parfaite. Elle était plus douce et plus calme avant mais elle avait grandi et elle savait désormais ce qu’elle voulait et ce qu’elle ne voulait pas. Elle lui demanda de ne plus lui parler d’elle, c’est tout ce qu’elle demandait. Il pouvait lui parler tant qu’il voulait mais elle ne voulait simplement pas en entendre parler. Parce qu’elle ne voulait pas se disputer avec Mathéo à cause de Rebecca alors que tout allait bien entre eux jusqu’à maintenant.

Ca allait sans doute être difficile pour Mathéo de ne pas parler de Rebecca à la jeune femme, car elle faisait quand même parti de sa vie et avait une grande place dedans. Mais pour le moment il ne voulait pas que les choses s’enveniment de nouveau, donc il allait essayer de faire un effort sur ça.

Elle était désormais beaucoup plus calme. Elle lui confia qu’elle n’était pas sûre d’être mieux qu’avant, qu’elle était totalement impafaite et colérique, et impulsive, et qu’il allait en avoir marre d’elle dans pas longtemps. Elle lui expliqua qu’elle faisait toujours fuir les personnes auxquels elle tenait car elle n’arrivait pas à être elle-même et s’évader de cette peur qui la bouffait un peu plus chaque jour. Ayla était assise dans l’herbe, et elle ne le regardait plus. Il était désolé et d’ailleurs il s’excusa auprès de la jeune femme pour lui montrer qu’il comprenait qu’il l’avait blessé et que ce n’était vraiment pas intentionnel de sa part.

Elle lui annonça finalement qu’il n’y était pour rien, qu’elle s’était toujours pensé inutile et qu’elle continuerait surement à le penser, elle n’était pas sûr que quelqu’un soit capable de régler ce souci. Pourtant il le fallait, elle ne pouvait pas continuer comme ça, à penser inlassablement qu’elle était inutile. Car ce n’était pas le cas, elle était loin de l’être, en particulier du point de vue du Serpentard.

– Arrête de penser comme ça vraiment. Tu n’es pas inutile bien au contraire. Tu es douce et est capable d’apaiser les gens autour de toi, tu as toujours les bons mots pour rassurer quelqu’un, et puis tu es une très bonne joueuse de Quidditch. Tu as ta place ici comme tout le monde.


Lança le jeune homme. Non elle ne pouvait vraiment pas penser qu’elle était inutile, car c’était totalement faux. Elle devait retrouver cette confiance en elle, car elle en avait besoin. Mathéo savait que c’était à cause de son ex petit ami qu’elle se sentait comme ça et c’était ce genre de truc qui le révoltait.

Elle reprit la parole en lui disant que c’était à elle de s’excuser parce que ses problèmes personnels ressortaient et qu’elle s’en prenait à lui alors qu’elle ne devait pas le faire. Elle commença une nouvelle phrase mais ne put visiblement pas la finir. Elle avait besoin de lui-même si elle le repoussait un peu, elle avait réellement besoin de lui. Mathéo lui attrapa la main pour l’aider à se relever et la prit dans ses bras. Il voulait être là pour elle, comme elle l’avait été dans un moment dur.

– Tu avais le droit de passer tes nerfs sur moi, je l’avais bien mérité.

Répondit le jeune homme. Oui il lui avait donné un million de raisons de s’énerver contre lui et de ce fait elle n’avait pas besoin de s’excuser. Tout était parti de lui d’abord. S’il était capable d’arriver à l’heure au moins une fois dans sa vie, ce genre de chose n’arriverait surement pas.

*Achète toi une montre mon grand.*

– J’ai besoin de toi aussi.

Lui murmura t-il dans son oreille. Sans relâcher pour autant son étreinte. Elle avait besoin de douceur après ce moment de colère, et Mathéo essayait de faire du mieux qu’il pouvait pour lui en donner. Il n’allait plus parler de Rebecca, du moins pas aujourd’hui, car ça ne servirait strictement à rien et c’était stupide. Ca ne valait pas le coup de relancer les hostilités pour quelque chose d’aussi stupide. Et lui n’en avait pas la moindre envie. Il voulait simplement profiter d’un petit moment avec elle sans qu’ils se disputent, sans qu’ils s’énervent : un moment calme et doux, voilà ce qu’il voulait.

– Tu es importante. Tu l’es vraiment pour moi. Ne l’oublie jamais.

Voilà c’était dit. Il le pensait. Elle avait pris une place importante dans sa vie en peu de temps et il ne voulait absolument pas qu’elle pense qu’elle était inutile car c’était pas le cas. Elle avait été là pour lui, et elle continuait à l’être même s’il avait fait une erreur aujourd’hui.




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Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Ayla ▬ Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.  Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. - Page 2 EmptyJeu 30 Juin - 13:39

❝ L'espoir fait vivre mais parfois il détruit.. ❞See you again ! Ayla avait avouée qu'elle était aussi coupable dans leur dispute parce qu'elle n'était pas assez confiante en elle pour pouvoir rester calme, pour faire confiance à Mathéo totalement et c'était ce qui l'avait poussé à réagir aussi fortement, sa peur de voir Rebecca réussir à éloigner Mathéo d'elle l'avait pousser à se braquer, à se mettre en colère. La blonde savait que temps qu'elle n'aura pas réglé son souci, elle n'arriverait pas à avoir une relation saine et durable dans le temps parce que son manque de confiance refera toujours surface pour lui rappeler qu'un jour, elle a trop souffert d'avoir aimé, et qu'elle n'a pas été capable d'arrêter de subir de mauvais traitements. Elle avait un souci un gros souci et elle le savait, il allait qu'elle face des choses pour le régler il ne partirais pas juste parce qu'elle le souhaitait, elle allait avoir un véritable travail sur elle-même pour pouvoir retirer les paroles humiliante et rabaissante de son ex à son égard, des femmes n'arrivait jamais à se remettre d'un telle épreuve, elle le voulait pour pouvoir vivre une histoire avec Mathéo, ne pas passer à côté de la relation la plus importante de sa vie jusqu'alors, pas perdre un garçon qui avait su faire battre de nouveau son cœur et le faire croire à l'amour, que c'était possible qu'on s'intéresse à elle. Ayla ne pouvait réellement pas vivre longtemps comme ça elle avait que trop souffert et encaisser dans le passé aujourd'hui, c'était la colère qui ressortait, mais sa colère profonde n'était pas dirigée vers le brun debout en face d'elle, mais bel et bien envers elle-même trop stupide et faible pour faire face à ses soucis, qui avaient laisser un homme la détruire prendre le dessus sur elle et la faire tomber plus bas que terre. Elle venait de s'excuser pour apaiser aussi les choses reconnaitre ses torts pour enfin avoir le droit à un vrai rendez-vous, un correct sans cris, sans larmes et sans reproche, elle était épuisé moralement ce qu'elle venait d'encaisser était dur pour elle, car elle remettait tout en question, un simple retard et une peur profonde de perdre se garçon avait mis le bordel dans sa tête, tout était sans dessus-dessous, elle ne savait plus quoi penser, quoi dire ou quoi faire, assise par terre sur le sol froid, elle ne ressentait plus la morsure du froid, trop plongé dans son être à la recherche de ce qui avait pu la faire bouillir de là sorte. Elle entendit bien que le Serpentard reprenait la parole pour la rassurer, ou du moins tenter de la rassurer sur sa réelle valeur, sur le fait qu'elle avait des qualités et qu'elle devait reprendre confiance en elle, pour ne plus jamais se rabaisser de la sorte, Ayla était reconnaissante envers Mathéo de tout faire pour qu'elle se sente mieux vraiment elle aurait aimé avoir plus de force pour lutter contre ses propres démons. " Je suis faible, je me suis laissé faire pendant un an, j'aurais dû arrêter les dégâts plus tôt pour ne pas être dans cet état aujourd'hui... Ce n'est pas à toi de subir parce que je me suis laissé faire... Ses mots son incruster en moi, je n'arrive pas à m'en débarrasser et je ne sais pas comment faire pour y arriver de manière définitive... Je ne sais pas ..."


Il lui disait qu'elle avait le droit de passer ses nerfs sur lui qu'il l'avait mérité, et même si à la base, il était arrivé en retard, elle n'aurait pas dû s'énerver autant, juste lui faire un peu la tête pour qu'il comprenne que la faire attendre de la sorte n'était pas une chose à faire, et qu'elle n'amenderait pas autant la prochaine fois, mais c'était parti beaucoup plus loin, plus qu'un simple retard, le fait qu'il soit avec une autre fille pendant tout ce temps était-ce qui avait fait sortir la belle blonde de ses gonds. Un peu de jalousie sans doute, parce qu'une fille ne fait jamais confiance aux autres filles, surtout quand un garçon est en jeu. Le brun semblait avoir un don pour arriver en retard, elle allait devoir travailler sur sa gestion de la colère pour que ce genre de dispute n'arrive plus, elle n'était pas douée pour les conflits, elle préférait l'ignorance quand quelque chose ne lui plaît pas. Et d'un coup sans comprendre ce qui lui arrive, elle se retrouve dans les bras du garçon qui semble avoir compris que la meilleure façon de la calmer et la tendresse et la douceur, une étreinte dont elle profite sans gêne pour apaiser un peu les battements de son cœur, pour calmer sa colère et reprendre totalement ses esprit, un moment de douceur bienvenu après les moments de cris et de reproche de l'instant précédant. Ayla est une fille très fragile aujourd'hui elle l'as montrer, elle à fait tomber sa carapace de fille joyeuse et sur d'elle en tout point pour montrer qui elle était réellement, une jeune fille blessé par la vie, qui tente encore aujourd'hui de reconstruire son cœur et son esprit, fissuré par endroit, cela viendra elle peut surement il arriver surtout si elle peut compter sur le soutient de Mathéo qui est en train de lui souffler à l'oreille que lui aussi à besoin d'elle. En réponse à sa propre phrase ou elle lui disais avoir besoin de lui réellement besoin de sa présence même si elle tente et tentera surement encore de le repousser quand elle sera en plein moment de doute. Elle est compliqué à suivre, à comprendre et encore plus à aimé et pourtant quand on prend la peine de faire des effort pour elle Ayla est proche de la petite amie parfaite, parce qu'elle ne pense cas la personne qu'elle aime fait tout pour son bonheur, elle est présente autant que possible, aimé, c'est important pour elle-même si cela lui fait peur et qu'elle a maintenue l'amour loin de sa vie pendant des années. Pour ne plus souffrir. Mais la souffrance pouvait parfois avoir du bon, pour nous ouvrir les yeux sur les bonnes choses de la vie, les bonnes personnes celle dont on a réellement besoin pour avancer.



Ses bras accrochèrent le dos de la veste du brun pour qu'il ne recule pas, il était aujourd'hui sa bouée de sauvetage pour qu'elle ne se perde pas dans ses mauvais souvenirs, pour rester avec lui dans le parc à l'écouter parler, à lui répondre, à profiter de ce moment malgré le fait qu'il est été difficile jusqu'à présent, les épreuves de la vie on toutes une utilité, un but, elle en est certaine celle-ci dois en avoir un aussi elle ne le comprendrait surement que plus tard dans la soirée. " Je ne l'oublierais pas..." Sa voix était basse, mais plus calme qu'auparavant, elle redescendait en pression, reprenait peu à peu le contrôle. " Rappelle-le-moi si je repars dans une nouvelle crise de doute... Si tu continues à me supporter..."
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Mathéo A. Collins
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Bonjour ! J'appartiens à la maison : Anciennement Slytherin, actuellement à l'école des sports de Londres. J'ai posté : 627 hiboux. Grâce à moi ma maison a gagné : 6 pour une aventure ! Je suis de la génération : Etudiant de 1977. . Je suis un aventurier : on peut me blesser A savoir sur toi : « Un peu trop fêtard parfois, j’ai surtout le chic pour me m’attirer des ennuies. Vraiment pour le coup, j’ai pas de chance du tout, donc faites attention quand vous m’approchez. Sinon je suis quelqu’un de gentil et de doux, même si je peux être un peu trop caractériel quand j’ai fini ma limite. En clair, me cherchez pas trop. J’ai toujours ce problème avec les filles. Du mal à les approcher et encore plus à conclure. Vous voyez le gars qui transpire, avec les mains tremblantes, et qui bégaye à chaque fois qu’une fille lui adresse la parole ? Bah ce type c’est moi … »

Ma carte de chocogrenouille
Epouvantard: Lui-même en mangemort.
Patronus: Renard
Capacité spéciale: Aucune

Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Ayla ▬ Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.  Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. - Page 2 EmptyDim 3 Juil - 2:09


“Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.”



Ayla & Mathéo




Mathéo reconnaissait ses erreurs dans la dispute qu’il avait eu avec la belle Serdaigle. Après tout, tout était parti de lui, s’il n’était pas arrivé en retard, il n’y aurait peut-être jamais eu la moindre dispute. Il était déjà en retard avant même de croiser son amie. Mais ça c’était une sale habitude qu’il avait depuis très longtemps. En effet, Mathéo était très loin d’être ponctuelle, il avait du mal à respecter des horaires. Chaque matin, il devait courir pour ne pas arriver en retard à son premier cours. En effet, généralement il arrivait juste à l’heure. Mais jamais en avance. Il avait déjà fait beaucoup d’effort mais il n’y arrivait jamais peu importe à l’heure ou sonnait son réveil, c’était toujours la même histoire. Donc dans tous les cas, Mathéo aurait surement eu un peu de retard pour son rendez-vous avec la demoiselle, mais le fait est, qu’il avait croisé Rebecca et même s’il avait essayé de faire au plus vite avec elle, ça avait pris quand même pas mal de temps avant qu’il ait la conscience de lui dire qu’il devait y aller. Oui il n’avait pas voulu la vexer, il n’avait pas voulu qu’elle prenne mal le fait qu’il ne lui consacrait plus tout son temps. Ainsi, il avait fait du mal à Ayla et il le regrettait, c’était d’ailleurs pour ça qu’il s’était excusé auprès de la jeune femme. Ce n’était pas intentionnel de sa part.

La jeune femme pensait qu’elle avait aussi ses torts, qu’elle lui reprochait des choses dont il n’était pas la cause. Son comportement était le résultat d’une très mauvaise relation amoureuse par le passé ou elle avait beaucoup souffert et avait perdu beaucoup de confiance en elle. Aujourd’hui, elle était encore marquée par cette période. Elle lui annonça qu’elle était faible, car elle s’était laissé faire pendant un an, qu’elle aurait dû arrêter les dégâts plus tôt pour ne pas être dans un tel état aujourd’hui. Mais ce n’était pas de sa faute, elle avait dû affronter cette situation alors qu’elle n’avait que onze ans. C’était trop dur, un fardeau trop lourd à porter pour une enfant. Elle rajouta que ce n’était pas à lui de subir parce qu’elle s’était faire. Bien que les paroles aient du sens, Mathéo ne voulait pas lui reprocher tout ça, il savait que c’était une peur irrationnelle qu’elle ne contrôlait pas et il était difficile de la blâmer pour ça. Elle continua et lui confia que les mots de cet homme était incrusté en elle, et qu’elle n’arrivait pas à s’en débarrasser. Elle ne savait vraiment pas comment faire pour. Mathéo l’ignorait aussi, il était impuissant face à son mal être, et ne pouvait que l’aider et la rassurer sur ses sentiments à lui pour elle.

*Il l’a brisé, et il va falloir que tu l’aides à se reconstruire*

Oui cet homme abject avait fait des dégâts, de gros dégâts sur la jeune femme. Et Mathéo serait là pour elle, il essaierait d’être patient et de la rassurer. Et peut-être qu’au bout d’un certain temps, elle se sentira mieux et plus confiante en ce qui concerne les relations amoureuses. Mathéo ne pouvait pas faire de miracle, mais en étant là pour elle, il espérait qu’un jour, elle puisse vivre à nouveau sans avoir ces pensées noires sur elle. En attendant, pour aujourd’hui, le jeune homme pensait qu’elle avait le droit de passer ses nerfs sur lui car il l’avait mérité, tout d’abord à cause de son retard et ensuite pour avoir pris à outrance la défense de Rebecca. Il n’aurait peut-être pas dû, mais ne savait pas que la jeune femme allait prendre la chose aussi mal.

Il l’avait prise dans ses bras, parce que cela semblait la meilleure chose à faire maintenant. Parce qu’elle avait besoin de réconfort, et que Mathéo ne pouvait pas lui en apporter seulement avec les mots. Il lui avait dit qu’elle était importante pour lui, et qu’il ne fallait pas qu’elle l’oublie dans n’importe quelle circonstance. Elle lui répondit qu’elle ne l’oublierait pas, et lui demanda quand même de lui rappeler si elle repart un jour dans une nouvelle crise de doute, du mois s’il continuait à la supporter, selon ses mots. Le jeune homme la tenait toujours dans ses bras, n’ayant pas envie de briser ce moment proche entre les deux, après une dispute plutôt longue et pesante. Ils s’étaient retrouvés et Mathéo n’avait pas la moindre envie de la perdre à nouveau, même si c’était l’espace de quelques minutes.

– Je te supporterais, ne t’inquiète pas pour ça.

Lui répondit le jeune homme avec un sourire au coin des lèvres. Oui il la supporterait il le savait et était confiant là-dessus, parce qu’il avait envie d’être avec elle, il avait envie de partager encore et encore des moments rien qu’avec la Serdaigle, parce qu’il ne voulait qu’elle et personne d’autre. Alors oui, tous les jours ne seront pas facile, et ils auraient surement des disputes encore et encore mais ils pourront les surmonter comme ils l’ont fait avec celle-ci, parce qu’il était sûr que tout ça valait le coup pour avoir une vraie histoire avec la Serdaigle.

Mathéo ressentait le fait qu’Ayla était petit à petit en train de se calmer et de redescendre en pression. Le climat était en train de s’apaiser, et les tensions commençaient à disparaître petit à petit. Après la guerre, peut-être était venu le temps de sérénité et de calme. Et Mathéo comptait bien en profiter. Car les disputes étaient loin d’être agréable, encore plus quand c’était quelqu’un auquel on tenait vraiment.

– Je pense qu’on a assez crié pour aujourd’hui.

C’était sa façon à lui de sous-entendre que la guerre était terminée du moins pour aujourd’hui. Ayla semblait être plus calme également, ce qui allait faciliter les choses.

– Tu sais j’étais vraiment nerveux avant de venir te rejoindre pour le rendez-vous parce que je me suis vite rendu compte que tu me plaisais beaucoup plus que je le pensais.



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Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Ayla ▬ Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.  Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. - Page 2 EmptyLun 4 Juil - 19:16

❝ L'espoir fait vivre mais parfois il détruit.. ❞See you again ! Le plus gros de la crise était désormais derrière eux, et dans les bras du brun la blondinette retrouvait peu à peu son calme et sa sérénité, ses esprits aussi, parce qu'elle n'était pas du genre colérique en temps normal, elle ne laissait pas souvent ses nerfs prendre le dessus sur sa personne, mais parfois comme aujourd'hui, elle n'arrivait pas à contrôler sa colère, son manque de confiance en elle qui la poussait à se transformer en harpie, parce qu'elle avait peur de perdre quelqu'un, de ne pas être à la hauteur, un lourd traumatisme et un réel handicap dans ses relations sociable et humaines, parce qu'elle voulait absolument réussir à faire confiance à Mathéo qui méritait sa confiance malgré son erreur du jour et ses petits défauts qui pouvait blesser la jeune fille, rien n'était aussi grâce que ce qu'elle avait pu supporter dans son unique relation amoureuse. Les deux hommes n'étaient pas pareil et elle et son esprit devaient désormais réussir à faire la différence pour pouvoir vivre une relation plus saine, plus normal, comme deux adolescents sans gros soucis, juste des problèmes de jalousie de leur âge pas de chose plus grave pour se mettre entre eux deux, mais malheureusement, ils n'ont son pas encore là. Le chemin pour se reconstruire entièrement semble encore long pour Ayla qui n'est même pas sûre que cela soit totalement possible, colmater les brèches de son cœur était faisable, mais les refermer une bonne fois pour toutes était beaucoup plus compliqué, elle était jeune et ne savait pas vraiment comment s'y prendre, mais si elle avait le soutien de Mathéo, cela lui paraîtrait sans doute plus simple, ensemble, ils pourraient découvrir ce qu'était réellement l'amour, aucun des deux ne connaissant vraiment, et si elle se sentait importante et aimée cela faciliterait surement les choses pour la blondinette qui pourrait retrouver un fond de confiance en elle, car c'était une chose importante pour elle qui ne jouait que sur son physique qu'elle considérait comme son seul atout, et qui lui servait pour ce faire apprécier, mais qui ne pouvait pas combler son envie d'être réellement importante aux yeux d'au moins une personne sur terre, en excluant sa famille bien sûr, car eux ce n'était pas pareil, ils partageaient le même sang et était un peu obligé de faire attention aux autres.


Sa vie amoureuse avait déjà été assez compliquée, elle ne pouvait pas se la rendre une nouvelle fois difficile à cause de ses peurs et de ses anciens souvenirs, ce n'était pas juste pour le brun qui était déjà important à ses yeux et qui méritait bien mieux qu'une fille toujours pleine de doute, et pour elle-même aussi qui méritait bien un peu de bonheur dans sa vie. Quand elle lui demandait si il allait la supporter, pouvoir, rester avec elle malgré tout, c'était une manière détourné de lui demander son aide et son soutien sans lui, elle n'y arriverais pas parce qu'elle voulait changer pour pouvoir être à sa hauteur, mériter son attention et son affection ne pas être un poids pour le garçon qui semblait réellement être intéressé par elle. Et qui lui disais qu'il arriverait à supporter ses crises d'angoisse et de remise en question même si Ayla espérait que celle-ci serait la dernière qu'elle aurait à essuyer pour un long moment, c'était toujours éprouvant pour elle de devoir remettre chacune de ses actions en question, douter de tout, toujours était lourd à supporter, un quotidien bien difficile pour une jeune fille qui cherchait à être le plus normal possible qui voulait juste se fondre dans la masse, elle paraissait toujours joyeuse, elle était de bonne humeur en public aimait faire la fête et se changer les idées pour donner le change, et que personne ne remarque qu'elle était plus cassé qu'elle n'en n'avait l'air. Pas aussi parfaite qu'elle pouvait bien le montré pour ne pas avoir à souffrir en plus des bruits de couloir, parce qu'elle n'osait pas imaginer ce que pourrait dire les autres élèves sur elle si il savait ce qui c'tait passer durant sa première année, surtout une personne comme Rebecca qui avait été le feu aux poudres dans leur dispute qui avait eu lieu quelque minutes auparavant. Il la rassurait comme il pouvait et la jeune fille était très heureuse de voir qu'il ne l'avait pas fui, qu'il n'avait pas abandonné la partie et surtout qu'il avait agi pour calmer les choses entre eux si il n'avait pas fait le premier pas vers elle sans doute qu'elle aurait continué à s'énerver à crier, à ne pas être bien, parce que la conversation était mal partie, mais il avait fait ses excuses, pour son retard et ses mots un peu mal tourné qui lui avait fait du mal et ensuite Ayla était revenue elle aussi sur sa part de responsabilité, elle n'aurait pas dû réagir aussi vivement, même si il lui avait manqué de respect en arrivant avec quarante minutes de retard.



C'était une erreur de parcours à eux maintenant de retrouver leur complicité et leur entente parfaite jusqu'à présent, mais leur discutions revenait dans le bon chemin. Elle pouvait désormais répondre avec calme et douceur comme elle en avait l'habitude. " Je pense aussi, je vais sans doute avoir mal à la gorge demain, je n'ai pas pour habitude de crier autant..." Normalement, elle n'élevait jamais la voix même en colère, parce que cela ne servait pas à arranger les choses que de les crier, parler en étant sur les nerfs était déjà bien assez pour elle. Qui était décidée à jouer un peu avec le brun. " Beaucoup plus que tu ne le pensais ? Tu ne t'attendais pas à tomber sous mon charme ravageur ? Je ne suis pas très sérieuse pour le coup... Je dois t'avouer que depuis que tu m'as donné rendez-vous, j'ai la boule au ventre parce que je ne sais pas réellement comment agir avec toi, jusqu'où je peux aller, comment je dois être... Avec les hommes normalement, je suis toujours dans la séduction, la drague, c'est simple seul mon corps les intéresse et je joue de cela mais avoir toi, je suis totalement en dehors de ma zone de confort. C'est l'inconnu et l'inconnu fait souvent peur..."
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Bonjour ! J'appartiens à la maison : Anciennement Slytherin, actuellement à l'école des sports de Londres. J'ai posté : 627 hiboux. Grâce à moi ma maison a gagné : 6 pour une aventure ! Je suis de la génération : Etudiant de 1977. . Je suis un aventurier : on peut me blesser A savoir sur toi : « Un peu trop fêtard parfois, j’ai surtout le chic pour me m’attirer des ennuies. Vraiment pour le coup, j’ai pas de chance du tout, donc faites attention quand vous m’approchez. Sinon je suis quelqu’un de gentil et de doux, même si je peux être un peu trop caractériel quand j’ai fini ma limite. En clair, me cherchez pas trop. J’ai toujours ce problème avec les filles. Du mal à les approcher et encore plus à conclure. Vous voyez le gars qui transpire, avec les mains tremblantes, et qui bégaye à chaque fois qu’une fille lui adresse la parole ? Bah ce type c’est moi … »

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Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Ayla ▬ Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.  Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. - Page 2 EmptySam 9 Juil - 5:37


“Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.”



Ayla & Mathéo




Avec un peu de chance, et beaucoup de patience, l’ambiance commençait doucement mais surement à s’apaiser. Le jeune homme avait pris la Serdaigle dans ses bras, ce qui avait sensiblement calmer la demoiselle. Elle s’était mise dans cet état par sa faute et Mathéo s’en voulait quelque peu. Son but n’avait jamais été de lui faire du mal. Mais il l’avait fait inconsciemment. Aujourd’hui, il l’avait mise très en colère pour au départ une histoire de retard. Mais les choses s’étaient enchaînés, et très vite le retard n’avait plus été le sujet principal de la dispute. En voyant s’énerver Ayla, Mathéo s’était rendu compte du peu de confiance que la jeune femme avait en elle-même. Elle avait peur, peur de perdre les personnes qui l’entouraient et ne se sentait vraiment pas à la hauteur. Et tout cela venait d’un terrible et ancien traumatisme qu’elle avait vécu pendant sa première année à Poudlard. Elle avait rencontré un garçon, un mauvais garçon, qui l’avait mal traité et avait réussi à lui faire penser qu’elle était inutile, qu’elle était qu’une moins que rien. Il avait fait des dégâts sur la petite fille qu’elle était à l’époque. Et encore aujourd’hui, cinq ans après, on pouvait voir que les traces qu’il avait laissées étaient toujours là.

Mathéo aurait voulu avoir la solution miracle, celle qui aurait fait qu’Ayla se sente immédiatement mieux et bien dans sa peau, qu’elle regagne toute cette confiance perdue, qu’elle puisse oublier cette étape sombre de sa vie. Mais ça lui était impossible, il n’avait aucun pouvoir là-dessus et ne pouvait rien faire pour qu’elle oublie ce terrible moment de sa vie. Pour autant, il voulait quand même l’aider, et lui montrer qu’elle pouvait de nouveau avoir confiance en la gente masculine. Ce serait surement dur, un long chemin semé d’embûches. Mais Mathéo ne voulait pas abandonner, peu importe le bagage émotionnel qu’avait la jeune femme. Il avait fait une erreur aujourd’hui, peut-être même plusieurs mais il savait qu’il était totalement différent de cet homme qu’elle avait connu avant lui, de cette pourriture qui lui avait fait du mal et qui l’avait détruite émotionnellement parlant. Il valait mieux que lui. Certes le Serpentard n’était pas parfait, et il faisait des erreurs comme tout le monde. Mais une chose était sûr, il ne voulait absolument pas qu’elle ait à souffrir par sa faute. Il lui ferait peut-être encore du mal par la suite, sans le faire exprès.

Mathéo voulait vraiment avoir une relation avec Ayla. Après tout, ça faisait un moment qu’il l’attendait maintenant. Et il ne voulait pas que cela vienne tout gâcher entre eux. Il voulait faire un bout de chemin avec elle. Mathéo n’avait aucune idée de ce qu’était l’amour. Il ne l’avait jamais vraiment recherché jusqu’à maintenant. Mais la Serdaigle était arrivé comme une évidence. Les deux adolescents étaient différents, avaient des parcours différents et avaient chacun leur blocage. Celui d’Ayla était plus intense et était dû à un passif amoureux sombre, quant à Mathéo il n’y connaissait rien, n’avait jamais eu d’histoire, et était bloquer par cet inconnu qui lui faisait quelque peu peur. Mais ils y arriveraient surement tous les deux. Chacun était là pour soutenir l’autre, et c’était ce qu’il fallait pour pouvoir trouver un jour un équilibre.

*Tu y arriveras petit bébé.*

Elle était toujours dans ses bras, et malgré sa gêne habituelle aux contacts physiques, Mathéo n’avait pas la moindre envie de la lâcher. Il voulait que ce moment dure. Tout ce qu’il n’arrivait pas à dire, qu’il n’arrivait pas à formuler se traduisait par cette étreinte. Il était maladroit dans ses paroles, et la plupart du temps les gens ne comprenaient pas dans le bon sens ce qu’il voulait dire mais ici le message était très clair, et Ayla le comprendrait. Il n’avait pas l’intention de la laisser tomber, il sera là pour elle, il n’avait pas l’intention de fuir. Il lui montrait les efforts qu’il faisait parce qu’il n’avait pas du tout envie de la perdre, surtout pour une dispute avec un motif de départ aussi stupide. Rebecca n’avait pas sa place dans leurs discussions, et il le comprendrait surement. Il devait apprendre à faire la part des choses entre les deux femmes car maintenant il n’y avait plus que Rebecca, sa meilleure amie, dans sa vie.

Finalement Mathéo brisa le silence de cette étreinte en annonçant qu’ils avaient surement assez crié pour aujourd’hui. Oui la dispute avait été longue et pesante pour l’un comme pour l’autre, et il était désormais tant de faire place au calme et d’en profiter longuement si possible. L’un comme l’autre n’avait surement pas envie de repartir dans une dispute maintenant que le calme était revenu. La tempête s’était calmé pour le bien de tous. La Serdaigle partageait son avis, et lui annonça qu’elle allait sans doute avoir mal à la gorge le lendemain parce qu’elle n’avait pas l’habitude de crier autant. Sa réponse fit décrocher un petit sourire sur les lèvres de Mathéo. Elle avait l’air plutôt bonne pour crier pourtant. Le Serpentard n’était pas vraiment choqué par des éclats de voix comme celle-là. Après tout il avait l’habitude des climats tendus dans sa famille. Les disputes et les cris rythmaient le quotidien de la famille Collins. Il ne s’était pas passé une seule vacance depuis bien des années, sans qu’il n’y ait une dispute qui éclate entre Mathéo et l’un des membres de sa famille, c’est-à-dire son oncle Phil ou sa mère. C’était comme ça, et ça se passait toujours de la même façon.

Mais le fait que ce soit Ayla qui lui crie dessus aujourd’hui constituait une grande nouveauté. C’était un sentiment nouveau et étrange. Et il n’avait pas vraiment envie que ça se reproduise. Se disputer avec elle n’avait rien à voir. Car il n’avait pas envie de la blesser, et ne se fichait pas du fait d’empirer les choses ou non. Il avait préféré calmé le jeu plutôt que de continuer dans cette voie pentue, ce qu’il n’aurait très clairement pas fait avec sa famille.

Mathéo reprit la parole et lui annonça qu’il était vraiment nerveux avant de venir la rejoindre pour le rendez-vous parce qu’il s’était vite rendu compte qu’elle lui plaisait beaucoup plus qu’il ne le pensait. La jeune fille répéta ses paroles, elle lui demanda s’il ne s’attendait pas à tomber sous son charme ravageur avant de lui confier que depuis qu’il lui avait donné rendez-vous, elle avait la boule au ventre parce qu’elle ne savait pas comment agir avec le Serpentard, jusqu’où elle pouvait aller, comment elle devait être. Elle lui expliqua qu’avec les hommes, elle était toujours dans la séduction, que c’était simple car seul son corps les intéressait et qu’elle jouait de ça. Mais avec Mathéo, c’était différent. Elle lui annonça qu’elle était totalement en dehors de sa zone de confort, qu’elle était dans l’inconnu. Et elle avait peur de cet inconnu, semblait-il. Il était vrai que Mathéo devait bien être loin des hommes qu’elle avait rencontrés avant. L’apparence physique comptait pour lui bien évidemment, mais il n’y avait pas que ça. Il n’était pas intéressé juste pour la perspective de coucher avec une fille bien au contraire.

Peut-être cela s’expliquer par l’absence d’expérience en la matière. Mais il ne voulait pas être le genre de type qui couche avec plein de filles pour paraître cool, il ne voulait pas avoir plusieurs filles dans son champ de tir. C’était peut-être un peu idiot, ou vieux-jeu ou encore fillette comme pensée, mais il voulait n’avoir qu’une seule fille : celle qui ferait battre son cœur, celle qu’il regarderait avec un sourire béat.

*Tu es trop mignonne, princesse.*

– Tu me chatouilles le ventre.

*Je crois que l’expression c’est « j’ai des papillons dans le ventre » mon grand, mais c’est pas grave on t’en veut pas.*

Oui dit comme ça, sa phrase sonnait un peu étrange. Sa maladresse habituelle quand il s’agissait d’utiliser des mots. Une chose était sûr, Mathéo ne serait jamais le genre de personne à rassembler des troupes et à parler au nom d’une cause. Mais peu importe, le sentiment était là et bien que ses mots étaient étrangement utilisé, Ayla comprendrait surement ce qu’il cherchait à lui expliquer.

– Ton corps m’intéresse, il est d’ailleurs très joli.

Lança le jeune homme avec un petit sourire. Oui il n’était quand même pas aveugle. Ayla était une très belle fille, avec un corps parfait. Mais le petit Mathéo ne se laissait pas séduire simplement par un corps.

– Mais c’est pas la seule chose qui m’intéresse, loin de là. Je suis surement très différent des garçons que tu as l’habitude de côtoyer et c’est un peu effrayant pour moi aussi parce que je peux pas rivaliser avec eux. Mais tu sais de belles choses peuvent sortir de l’inconnu même si ça fait peur.




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Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Ayla ▬ Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.  Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. - Page 2 EmptyDim 10 Juil - 18:29

❝ L'espoir fait vivre mais parfois il détruit.. ❞See you again ! La jeune fille était bien mieux maintenant que la colère avait laissé place à une conversation plus douce et plus calme, normal en quelque sorte, parce que là ils pouvaient réellement parler, sans crier et en prenant réellement compte des paroles de l'autre, tout était partis tellement vite depuis l'arriver de brun, la colère était tellement difficile à contrôler que le tons était vite monter entre eux, mais heureusement, il était était aussi redescendu, sans quoi la jeune fille aurait sans doute réellement quitter le parc pour regagner son dortoir. Mais elle ne regrette pas d'être toujours là, car en plus de paroles plus douces elle a le droit à un câlin, une initiative venant du brun qu'elle appréciait à sa juste valeur. Elle pouvait passer des heures dans les bras d'une personne qu'elle apprécie, étant très tactile et très câline cherchant toujours le contact physique pour se sentir plus apaisée, plus calme et plus sereine, elle pouvait désormais réfléchir plus facilement à la situation, à sa jalousie et à sa peur de perdre le brun, dans la vie aucune personne ne nous appartenait, les gens allaient et venaient dans notre vie, passait un bout de chemin en notre compagnie puis partait voir ailleurs comment était la vie d'une autre personne. Elle ne pouvait pas contrôler les fréquentations du brun, elle devait apprendre à lui faire confiance et lui allait devoir réussir à gérer son manque de confiance, en lui laissant assez de temps et d'espace pour être présente dans sa vie tout autant que sa meilleure amie. Cela allait surement leur prendre un peu de temps, ils avaient des réglages à faire pour pouvoir réussir à créer une histoire sérieuse et durable entre eux. Le temps était leur meilleur atout pour y arriver, la patience serait aussi de mise pour leur laisser le temps de s'apprivoiser totalement. Surtout que les adolescents étaient dans l'inconnu, ils n'avaient jamais réellement connu l'amour et n'avaient pas vraiment eu de relation sérieuse et durable la seule qu'Ayla avait connue avait été brutale et malsaine et Mathéo lui n'en n'avait jamais eu. Ce qui les laisse dans le flou total, tâtonnant pour savoir où ils allaient ou comment agir l'un envers l'autre pour ne pas blesser involontairement l'autre, créer un couple n'était pas simple, car il fallait pouvoir, se compléter, s'accorder sur l'envie de chacun.


Ayla avait envie d'oublier leur disputes alors que celle-ci venait à peine de finir car elle n'était pas une personne colérique, elle n'aimait pas garder de mauvais souvenir en elle, surtout quand c'était pour des raisons aussi futile, même elle le reconnaissait maintenant elle n'avait pas pu se retenir de crier elle aussi en entendant Mathéo défendre sans cesse sa meilleure amie, elle avait ressentis cela comme un manque de respect parce qu'elle était là elle mais lui ne parlait que de Rebecca qui avait pris pour elle quarante minutes de leur rendez-vous, celui-ci était plus raté que les autres, qui avait tous été positif mais au moins aujourd'hui il avait crever l'abcès, le sujet meilleure amie trop présente et méchante avait été abordé et serait sans doute régler, l'aiglonne ne pensais pas que le serpent se remettrait à lui parler d'elle à nouveau après leur dispute d'aujourd'hui. Elle avait ensuite pris la parole pour expliquer au brun qu'elle n'avait pas pour habitude d'être plus qu'un corps aux yeux d'homme de son âge, pour beaucoup Ayla n'était qu'un coup d'un soir sans rien de plus il ne connaissait rien d'elle, à part sa maison à Poudlard et son année, ce qui faisait qu'elle aussi avait très peur de l'avancer de sa relation avec Mathéo, car elle s'est déjà confiée à lui, à propos de son histoire d'amour maudite, ou elle avait souffert de coups et d'insulte, et aussi de sa famille un peu, il savait donc plus sur elle que la plupart des jeunes présent à Poudlard alors qu'elle en côtoyait certains tous les jours. Le brun lui avait répondu, qu'elle lui chatouillait le ventre, elle ne pu empêcher un rire d'échapper de ses lèvres parce qu'elle n'avait jamais entendu une personne être aussi peu romantique, si c'était l'expression des papillons dans le ventre que le brun voulait utiliser, il était tombé à côté, mais au moins c'était drôle et cela lui fit de bien de rire un peu, la conversation avait été rude jusqu'à présent un peu de rire, et de décontraction ne pouvait pas faire de mal. " Des chatouilles ? On ne m'avait jamais dit une chose pareille, tu es un original, tu sais ? Tu me chatouilles le ventre toi aussi" Il lui dit ensuite qu'elle avait un joli corps intéressant, mais que lui voulait aussi en savoir plus sur elle, apprendre à là connaître et voir si elle était aussi intéressante à l'intérieur, il avait aussi peur de ne pas pouvoir rivaliser avec les hommes qu'elle avait connus, la blondinette ne pouvait pas comprendre qu'il est peur tellement il était mieux que tous les hommes qui étaient passé entre ses cuisses. " Je te remercie... Tu n'as pas à chercher à rivaliser avec eux, tu es tellement mieux que tous ses types pour qui je n'étais qu'un coup rapide, je ne te connais pas entièrement encore, mais je sais que tu es meilleur que tous les hommes que j'ai pu rencontrer auparavant, tu devrais avoir confiance en toi ... J'ai envie de découvrir l'inconnu seulement si tu m'y accompagnes..."


A deux le voyage pourrait surement paraître moins effrayant, surtout pour elle qui n'était pas très confiante pour le moment, qui avait peur de ne pas être à la hauteur, peur que son passé l'est trop abîmée pour qu'elle puisse à nouveau être aimée, ou qu'elle puisse vraiment aimer à nouveau. La peur pouvait bloquer bien des gens, et Ayla ne voulaient pas faire partie des personnes qui ne pouvaient pas profiter de leur vie à cause d'une peur infondée. Elle allait se battre, et elle réussirait surement à dépassé ce problème, elle n'était pas du genre à baisser les bras, surtout que Mathéo fallait la peine de se battre, elle voulait vraiment être bien avec lui.
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Mathéo A. Collins
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Bonjour ! J'appartiens à la maison : Anciennement Slytherin, actuellement à l'école des sports de Londres. J'ai posté : 627 hiboux. Grâce à moi ma maison a gagné : 6 pour une aventure ! Je suis de la génération : Etudiant de 1977. . Je suis un aventurier : on peut me blesser A savoir sur toi : « Un peu trop fêtard parfois, j’ai surtout le chic pour me m’attirer des ennuies. Vraiment pour le coup, j’ai pas de chance du tout, donc faites attention quand vous m’approchez. Sinon je suis quelqu’un de gentil et de doux, même si je peux être un peu trop caractériel quand j’ai fini ma limite. En clair, me cherchez pas trop. J’ai toujours ce problème avec les filles. Du mal à les approcher et encore plus à conclure. Vous voyez le gars qui transpire, avec les mains tremblantes, et qui bégaye à chaque fois qu’une fille lui adresse la parole ? Bah ce type c’est moi … »

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Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Ayla ▬ Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.  Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. - Page 2 EmptyMar 12 Juil - 3:09


“Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.”



Ayla & Mathéo




Après un long moment de dispute, tout s’était enfin apaisé pour les deux adolescents. A vrai dire, la dispute avait pris de sacrées proportions pour ce qui était simplement un retard au début. Bon peut-être que le jeune l’avait un peu cherché aussi. Quelle idée d’avoir quarante minutes de retard. Ayla avait quand même été d’une patience rare pour rester dehors dans le froid à attendre le Serpentard pendant plus d’une demi-heure. Pour les gens normaux un retard était de cinq ou dix minutes. Les critères de normalités pour Mathéo était quand même légèrement différent. Dix minutes de retard correspondaient presque à être à l’heure pour lui. Dans tous les cas, il aurait peut-être du prévenir la Serdaigle sur sa ponctualité. Le bon côté de la chose, c’était que maintenant elle était au courant de ce petit défaut chez Mathéo et ne serait pas surprise s’il arrivait encore en retard la prochaine fois. Bien qu’il se doutait qu’il n’avait pas intérêt à recommencer ses idioties et qu’il lui fallait réduire son temps de retard. Ainsi les deux jeunes gens s’étaient calmés. Mathéo avait eu l’intelligence de remarquer que crier ou continuer sur sa lancée ne l’aiderait pas dans cette dispute, il avait pris du recul et avait pris la décision de calmer le jeu plutôt que de jeter de l’huile sur le feu. Sincèrement il n’aimait pas vraiment l’idée de se disputer avec Ayla. Même si les disputes avaient toujours rythmé sa vie, il ne voulait pas commencer cette relation sur les mêmes bases que ses relations familiales. Il voulait quelque chose de plus sain et peut-être de moins destructeur. Puis de toute façon, il devait bien reconnaître qu’il était fautif dans cette histoire, du moins en parti. Sans son retard, il n’y aurait surement pas eu de dispute. Il avait été le déclenchement de toutes ces tensions. Heureusement pour lui, il avait quand même réussi à se rattraper.

Ce qui avait sans doute apaisé la jeune femme plus que ses paroles, était l’initiative qu’il avait prise : la prendre dans ses bras. Ce n’était peut-être pas grand-chose, mais c’était ce qu’ils avaient eu besoin tous les deux. Un peu de tendresse après des mots durs et des hurlements. Mathéo n’avait pas l’habitude des rapprochements physiques et ce n’était pas du tout son style de prendre les devants pour ce genre de chose, mais il l’avait fait. Peut-être parce qu’il avait pensé que c’était la seule solution pour que tout le monde se calme, ou peut-être parce qu’Ayla avait eu plus besoin de ça que de n’importe quel discours. Le contact avec elle était agréable après le déchirement qui les avait précédés. Et le jeune homme n’avait pas la moindre envie de rompre ce contact qui les rapprochait. Il se sentait bien avec elle, et aurait voulu rester comme ça encore un moment.

Il n’était pas le doué dans les relations entre deux personnes. Des relations amoureuses il n’en avait jamais eu auparavant, et c’était sans doute à cause de ça qu’il faisait toutes ces erreurs. C’était une habitude qu’il n’avait pas. Il n’avait pas l’habitude de voir quelqu’un, d’être proche physiquement de quelqu’un et même d’être vraiment attiré par quelqu’un. Tout cela était tellement nouveau et effrayant pour le jeune homme, que ça lui arrivait de faire vraiment tout de travers. L’exemple en était d’aujourd’hui. Ayla n’avait pas eu une vie amoureuse simple avant non plus. Elle avait eu un petit ami violent, une véritable pourriture lorsqu’elle était en première année qui lui avait fait beaucoup de mal, et depuis, elle avait plutôt enchainé les relations sans lendemain et n’avait jamais vraiment cherché à avoir une vraie relation. Les deux adolescents n’étaient donc pas plus doués l’un que l’autre pour faire vraiment marcher une histoire, mais Mathéo se donnerait tout le mal qu’il fallait pour pouvoir avoir quelque chose de beau avec la belle jeune femme, parce qu’il voulait être avec elle, il voulait continuer de découvrir toutes ces choses, toutes ces nouveautés effrayantes mais agréable en sa compagnie.

Mais une chose qu’il devait retenir était le fait de devoir arrêter de parler de Rebecca en permanence. Certes cette fille était sa meilleure amie et il l’aimait plus que tout. Elle était comme un membre de sa famille au final et était toujours là pour lui. Mais trop parler d’elle à Ayla pouvait créer des tensions comme il l’avait bien remarqué aujourd’hui. Cela risquait d’être dur mais il n’avait pas vraiment le choix s’il voulait garder ce qu’il avait avec la Serdaigle.

*Arrêter de parler de cette grognasse ne te ferait pas de mal, elle a pas tort non plus.*

Mathéo lui avait dit qu’elle lui chatouillait le ventre. Oui c’était dans ce genre de moment, quand Mathéo sortait des phrases sorties de nulle part que la personne en face était assez confuse. L’expression exact aurait surement été « j’ai des papillons dans le ventre », mais le garçon ne s’en souvenait surement pas lorsqu’il avait prononcé ses mots et l’avait donc arrangé à sa sauce. A vrai dire, c’était une sale habitude qu’il avait, et il le faisait assez souvent pour être honnête, ça pouvait très vite devenir agaçant pour quelqu’un à cheval sur la langue française. La Serdaigle lui annonça qu’on ne lui avait jamais dit une chose pareille, et qu’il était un original. Mais elle finit par utiliser la même tournure de phrase pour lui dire qu’il lui chatouillait le ventre lui aussi. Mathéo eut un petit sourire et ses joues rosirent par la même occasion.

Finalement il lui annonça que oui son corps l’intéressait, qu’il était même très joli. Mais qu’il n’était pas le genre de type à n’être intéressé que par un corps. Il lui fallait plus que ça, parce qu’il ne voulait pas simplement coucher avec elle, contrairement aux autres. C’était loin d’être la première chose sur sa liste. Très loin même. Mathéo avait un peu peur de ne pas pouvoir rivaliser avec les garçons qu’elle avait fréquenté justement à cause de ça. Il n’avait pas d’expérience et était maladroit, surement le contraire dont elle avait l’habitude. Elle lui répondit qu’elle n’avait pas à rivaliser avec eux, qu’il était tellement mieux que tous ces types pour qui elle n’était qu’un coup rapide, elle pensait qu’il était meilleur que tous les garçons qu’elle avait pu rencontrer auparavant et qu’il devrait avoir confiance en lui. Elle avait envie de découvrir l’inconnu seulement s’il l’accompagnait.

– Tu es mignonne, mais je suis chanceux en réalité.

Répondit-il. Oui elle était très gentille et rassurante dans ses paroles. Et Mathéo appréciait beaucoup cette jeune femme. Elle était quelqu’un de bien, vraiment, et il le pensait sincèrement. Elle n’était peut-être pas celle qu’il s’était imaginé en la voyant la première fois, mais elle était encore mieux que dans son imagination.

– Parce que tu es le meilleur que je puisse espérer avoir un jour.

Ajouta-t-il avec un sourire. Il ne disait absolument pas ça pour qu’on lui dise qu’il pouvait avoir mieux bien au contraire. Sa mère lui avait tellement répété de nombreuses fois qu’il ne valait pas grand-chose et qu’il ne méritait pas une gentille fille que ça avait peut-être finalement intégré son esprit. Et en voyant cette fille devant lui. Cette fille qui était exceptionnel, bien qu’un peu cinglé sur les bords, il se trouvait vraiment chanceux d’avoir la chance de pouvoir peut-être partager un bout de sa vie avec elle.

*Avoue que tu l’aimes plus que bien, bébé.*

– Je t’accompagnerais partout.





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Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Ayla ▬ Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.  Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. - Page 2 EmptyVen 15 Juil - 22:49

❝ L'espoir fait vivre mais parfois il détruit.. ❞See you again ! Le temps était passé à une vitesse folle et maintenant la nuit approchait, ils devraient bientôt rentrer au château pour le repas du soir, mais avant ils profitaient un peu du calme retrouvé entre eux, pour parler un peu et se rassurer, communiquer dans le calme et la sérénité pour pouvoir, faire avancer leur relation, savoir ou ils vont aller ensemble et si ils peuvent faire des efforts, des compromis pour la stabilités de leur début de relation pour le futur, eux qui pourrait être créé si ils arrivent à s'accorder. Leurs paroles se veulent pour le moment réconfortante, parle d'un avenir proche à d'eux et les bras du garçon autour d'elle achèvent de l'apaiser totalement, elle est de nouveau elle-même, de nouveau calme, elle ne sourit pas, mais elle respire normalement et elle ne ressent plus aucune colère. Ayla a réussi à reprendre ses esprits grâce à Mathéo à sa présence près d'elle, à son étreinte bénéfique, qui était tout ce dont elle avait besoin plus que des mots Ayla fonctionnent avec des gestes, pour être sur de ne pas être trahie une nouvelle fois, manipuler la confiance est une chose qu'elle a du mal à accorder, pourtant, elle fait de son mieux. Mais la crise d'aujourd'hui prouve qu'elle n'est pas encore totalement en confiance, pas certaine que le brun puisse subir ses crises et ses peurs, Ayla croit en Mathéo, mais elle ne croit pas en elle-même comment créer une relation sérieuse dans ce genre de configuration ? Surement en se laissant du temps en apprenant à lâcher prise et à laisser son passé derrière elle. L'étudiante savait qu'elle ne pouvait pas passer le restant de son existence à toujours regarder derrière son épaule de peur de voir apparaître un fantôme de son passée, elle devait accepter le fait qu'elle avait été fragile et naïve et que maintenant, elle ne l'était plus pour pouvoir aller de l'avant en laissant son cœur libre d'aimer et d'être aimé, sa rencontre avec Mathéo avait vraiment du bon pour elle qui remettait toute sa façon de vivre en cause, elle voulait changer en bien, redevenir un peu la jeune fille qu'elle était avant et garder un peu de celle qu'elle était devenue pour retrouver un équilibre, être de nouveau une adolescente comme les autres, et pouvoir rêver à demain, penser à son rêve de mannequinat, à son avenir amoureux avec un sourire aux lèvres et non plus une boule au ventre. C'était un pari fou qu'elle se lançait à elle-même, mais maintenant Ayla avait un soutien, un appui si elle venait à flancher, elle avait son serpentard.



Il était parfois maladroit et l'avait mis dans tous ses états aujourd'hui, mais il était là présent pour elle, en train de la rassurer, de la calmer et de lui prouver qu'il n'avait pas voulu la blesser ou autre, il était comme elle un peu handicapé quand on en venait aux sentiments et aux relations amoureuses, il ne savait pas trop comment agir avec elle en fonction de ses diverses relations et il n'avait pas su voir à temps que défendre sans cesse sa meilleure amie ne pourrait rien apporter de bon entre eux. Mais il s'était ensuite rattrapé, il ne l'avait pas laissé partir en colère contre lui. Non Mathéo avait agit, et bien agit en la prenant dans ses bras en lui parlant d'un ton plus calme et plus posé, plus de cris et un peu de tendresse cocktail parfait pour apaiser la jolie blonde. Le vert et argent lui avait dis bien qu'elle le savait déjà qu'il n'était pas intéressé que par son physique bien qu'il la trouve très jolie le plus intéressant pour lui était à l'intérieur d'elle-même et la jeune fille l'avait ensuite rassurer sur le fait qu'il était totalement meilleur que tous les hommes qu'elle avait pu fréquenter justement parce qu'il ne la voyait pas juste comme un joli corps dont on pouvait disposer à souhait. Dans l'école peu de personnes pouvaient se vanter de vraiment connaître Ayla, mais lui le pouvait presque, elle lui avait livré beaucoup plus de choses à lui en quelque temps qu'à certaines personnes en six ans de classe. Il ne s'en rendait surement pas compte, mais c'était lui qui lui était bénéfique et non pas l'inverse, il aurait surement mérité une fille meilleure moins folle ; moins brisée, plus confiante et avec un meilleur passé. Mais égoïstement la jeune fille était heureuse que son attention se soit arrêter sur elle et non pas sur une autre fille. Parce qu'avec lui, elle aurait toujours envie d'être meilleure pour le mériter, avec un autre, elle ne se serait sans doute pas donné cette peine. Dans cette histoire, les deux partis trouvaient bien leur compte, Ayla et Mathéo deux jeunes ayant peu de fois en l'amour et pourtant étant inéluctablement attiré l'un par l'autre. Bouée de secours de l'autre dans une vie qui les a déjà bien mis à l'épreuve. Unis sans doute pourront-ils avancer, mais cela leur prendra du temps pour réussir à bien maîtriser le bonheur d'être ensemble, que leur relation mène à un couple ou à un duo d'amis, ils auront trouvé une personne sur laquelle compter et c'est sans doute le fait à retenir, le plus important sur terre est d'être bien entouré. " Je suis toute aussi chanceuse... Je n'aurais jamais pensé attirer l'attention d'une personne comme toi et tu es apparus" Un miracle sans doute pas, mais le fruit d'un très heureux destin qui avait décidé d'être un peu plus clément envers eux.


" Nous sommes sans doute le meilleur que peut espérer l'autre et si l'on a le meilleur pourquoi espérer plus... Je te rendrais le plus heureux possible si j'en ai l'occasion et cela me rendra moi aussi heureuse. On a le droit au bonheur nous aussi non ?" Le risque était grand, car elle pouvait à tous moment avoir le cœur brisé, mais elle avait seize ans si elle ne prenait pas de risque maintenant, elle n'en prendrait sans doute jamais et le brun venait de lui dire qu'il l'accompagnerait partout, il fallait maintenant sauter à pied joint dans l'inconnu et prier Merlin pour que l'atterrissage y soit doux et idyllique pour eux, comme elle venait de le dire, ils ont le droit à leur part de bonheur. " Alors c'est parti pour l'inconnu"
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Bonjour ! J'appartiens à la maison : Anciennement Slytherin, actuellement à l'école des sports de Londres. J'ai posté : 627 hiboux. Grâce à moi ma maison a gagné : 6 pour une aventure ! Je suis de la génération : Etudiant de 1977. . Je suis un aventurier : on peut me blesser A savoir sur toi : « Un peu trop fêtard parfois, j’ai surtout le chic pour me m’attirer des ennuies. Vraiment pour le coup, j’ai pas de chance du tout, donc faites attention quand vous m’approchez. Sinon je suis quelqu’un de gentil et de doux, même si je peux être un peu trop caractériel quand j’ai fini ma limite. En clair, me cherchez pas trop. J’ai toujours ce problème avec les filles. Du mal à les approcher et encore plus à conclure. Vous voyez le gars qui transpire, avec les mains tremblantes, et qui bégaye à chaque fois qu’une fille lui adresse la parole ? Bah ce type c’est moi … »

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Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Ayla ▬ Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.  Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. - Page 2 EmptySam 16 Juil - 17:26


“Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.”



Ayla & Mathéo




Finalement se disputer était une manière très rapide de passer le temps puisque maintenant les deux jeunes gens pouvaient voir le soleil se préparer à se coucher au loin. Ce rendez-vous en tête à tête touchait à sa fin puisque bientôt ils iraient retrouver leurs maisons respectives et manger dans la Grande Salle. En effet, lors du diner, les élèves des différentes maisons ne se mélangeaient en général pas et restaient avec leurs camarades. Heureusement pour eux, le calme était revenu et la situation s’était fortement apaisé. Et c’était bien plus agréable maintenant. Ils parlaient et arrivaient enfin à communiquer sans hurlement, ce qui leur permettait d’aborder divers sujets, bien que centré sur eux et sur leur couple. Ils allaient réussir à construire un petit quelque chose, ils avaient juste besoin d’encore un peu de temps pour se connaître et se comprendre. Mathéo l’avait même pris dans ses bras pour la calmer, et lui montrer que malgré la dispute, il était avec elle et de son côté. Et ça avait du bon, puisque ça avait fini de calmer la jeune femme.

*Tu vois que les filles sont pas vraiment compliqués, un câlin, un peu d’affection et tout va mieux.*

Mais Ayla était quand même un peu plus compliqué que ça. S’il comprenait en parti pourquoi elle s’était énervé pour Rebecca et pour son retard, il trouvait quand même que cette dispute avait pris de proportions énormes et que ça n’aurait pas dû aller aussi loin pour des pauvres histoires sans importances. Même s’il n’en reparlerait pas de sitôt, Mathéo avait du mal à comprendre pourquoi Ayla ne voulait vraiment plus jamais entendre parler de sa meilleure amie. Mais ce qu’il ne savait pas, c’est que Rebecca n’était pas tout à fait la même en sa présence qu’en la présence d’autres personnes. Elle n’était pas gentille avec Ayla, bien au contraire. Mais Mathéo ne voyait que son bon côté, ainsi il était impossible d’imaginer pour lui qu’elle soit le monstre que la Serdaigle avait décrit un peu plus tôt.

Il ne fallait pas confondre la place qu’occupait chacune des filles dans sa vie. Elles avaient toutes les deux leur place mais pas au même niveau voilà tout. Et Mathéo avait besoin des deux. Il n’en laisserait pas une de côté, peu importe ce que chacune dirait.

Mais il fallait avouer qu’il avait été maladroit aujourd’hui, il l’avait mise dans tous ses états. Mais le bon côté, était qu’il était resté pour arranger les choses. Il n’avait pas été buté, et avait lâché prise pour pouvoir se réconcilier avec elle. Et il avait réussi à la calmer, ce qui très franchement au début n’était pas une chose dont il était sûr de pouvoir accomplir.

Mathéo lui avait confié qu’il n’était pas intéressé que par son physique, qu’au final il n’y avait pas que ça. Elle n’était pas qu’une jolie fille, elle avait beaucoup plus à offrir derrière cette image de bimbo. Et c’était ça que Mathéo voulait découvrir, c’était ça qui l’intéressait. Pas que sa super plastique ou son visage de poupée. Elle était beaucoup plus intéressante qu’elle ne le laissait paraître. Et les hommes qui n’avaient vu en elle, qu’un corps étaient complètement stupide.

*Mon pauvre petit chou, je crois que tu es totalement sous son charme, même si tu ne te l’avoues pas forcément.*

Il lui avait finalement dit qu’il était chanceux. Chanceux d’avoir réussi à attirer l’attention d’une si belle jeune femme, qu’elle était sans doute le meilleur qu’il puisse avoir. Parce qu’elle était vraiment géniale, incroyable : le genre de fille que si on arrive à attraper, on ne la lâche pas. Et oui Mathéo n’avait pas la moindre envie de la lâcher. Elle lui répondit qu’elle été tout aussi chanceuse et qu’elle ne pensait pas non plus attirer l’attention d’un garçon comme lui. Pourtant il était apparu, elle avait réussi. Et puis cela faisait bien longtemps, bien avant même qu’elle s’intéresse à lui aussi, que le jeune homme avait commencé à être attiré par elle.

Elle continua en partageant le même avis que Mathéo, ce qui ne put empêcher le garçon de sourire. Elle voudrait le rendre le plus heureux possible si elle en avait l’occasion. Ils avaient le droit au bonheur, elle avait raison. Et même si les relations amoureuses étaient compliquées, ils y arriveraient. Il l’accompagnerait partout, c’est ce qu’il lui avait dit. « Alors c’est parti pour l’inconnu » avaient été les mots de la belle Serdaigle.

– Pour commencer, rendez-vous en terre connue.

Lança t-il, oui c’était l’heure d’aller manger. Il était grand temps de retourner au château et de reprendre le cours de la vie. Ainsi les deux jeunes adolescents se dirigèrent ensemble vers les portes du château. Ils se quitteraient bientôt pour que chacun retrouve leurs amis, mais il profitait de ces derniers moments, sur le chemin.



par humdrum sur ninetofive
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Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Ayla ▬ Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.  Ayla ▬  Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux. - Page 2 Empty
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Ayla ▬ Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans la tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaye de ne pas imaginer, tu serais étonné à quel point tu peux être courageux.
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