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 I want to draw on the walls, run in the school, and fly in the kitchen. w/Leroy

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NEUTRE
Allison S. Carter
Allison S. Carter
Bonjour ! J'appartiens à la maison : Diamond (university) J'ai posté : 373 hiboux. Grâce à moi ma maison a gagné : 9 pour une aventure ! Je suis de la génération : 1977. . Je suis un aventurier : on peut me blesser

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MessageSujet: I want to draw on the walls, run in the school, and fly in the kitchen. w/Leroy  I want to draw on the walls, run in the school, and fly in the kitchen. w/Leroy EmptyMar 10 Avr - 3:06

Nettoyer, balayer, astiquer.

- Allison & Leroy -


Je voulais que tu me prouves que tu tenais à moi, je voulais que tu me dises que j’étais la seule fille qui te plaisait et que tu préférais passer le reste de ta vie tout seul, plutôt qu’avec une autre fille que moi.

Mademoiselle Allison se promenait tranquillement dans les couloirs avec deux bouquins dans les bras. Elle venait de finir son examen d’histoire de la magie, mettant fin à sa longue semaine à passer ses aspics. Ainsi, désormais, son destin n’était plus entre ses mains. Elle ne pouvait plus rien changer. Et elle allait devoir patienter une longue semaine avant de connaître ses résultats et de pouvoir savoir si elle avait tout réussi haut la main. La préfète des serdaigle stressait déjà. Car son but était évidemment d’avoir des Optimaux partout. Et si par malheur, elle n’y était pas arrivée, elle s’en voudrait surement beaucoup. C’était peut-être stupide de penser de cette manière, surtout quand d’autres stressaient à l’idée d’avoir leurs aspics tout court. La demoiselle passa donc premièrement dans la tour des serdaigle. Elle devait déposer ses bouquins, mais également se changer, histoire de mettre des vêtements plus confortables. Ce n’était pas qu’elle n’aimait pas son uniforme, mais maintenant qu’elle était « officiellement » ou presque en vacances, elle pouvait bien se détendre un peu. Ainsi elle arriva dans son dortoir, enfila un short et un tee-shirt. En ce mois de juin, il faisait de bonnes températures. Quand elle fut prête, elle ressortit pour redescendre les étages. Elle pensait déjà à comment elle allait profiter de la fin de sa journée maintenant qu’il n’y avait plus de devoirs ou de révisions. Peut-être se rendre dans le parc, histoire de profiter du soleil, ou alors trouver son groupe de copines et leur proposer d’aller un boire un verre au trois balais pour fêter la fin des examens. La demoiselle avait même laissé son insigne de préfète sur son lit, pour dire qu’aujourd’hui pas question de s’embêter avec ses devoirs de préfète. Le maître mot était de décompressé après une seconde riche en émotion, en doute, en cris, en pleurs, en crise nerveuse. Elle ne pouvait pas être plus calme. Elle vit deux garçons de troisièmes années se battre à coup de sort. Et ce fut à cet instant qu’elle regretta finalement ses bonnes résolutions de la journée. Elle ne pouvait pas passer son chemin sans rien dire, parce qu’ils allaient surement finir par blesser quelqu’un avec leurs bêtises. Ainsi, alors que la demoiselle s’apprêtait à ouvrir la bouche, elle fut violemment projetée sur le sol.

Allison ouvra les yeux alors qu’elle était allongée sur le sol froid du couloir du premier étage. La petite fille s’assoit, prenant le temps de remettre ses esprits en place. Mais cette fameuse Allison n’a rien à voir avec l’ancienne. Si l’on ignore quel sortilège vient de la frapper, il semblerait qu’il ait réussi l’exploit de la transformer en enfant de quatre ans tout au plus. En effet, la petite a bien rajeuni. Ses vêtements restent inchangés, simplement adaptés à sa taille, et elle arbore deux petites couettes sur sa tête. Une petite bouille d’ange en soit. Allison redevenu enfant se relève donc alors que le couloir est totalement désert. Un grand sourire s’affiche alors sur le visage de la petite fille qui commença à courir, tout contente d’avoir atterri dans un grand terrain de jeu. Elle rit de plus belle alors que ses petites couettes sautillent sur sa tête. Elle redescend au premier étage, où elle fonce dans quelqu’un, avant de courir de plus belle en riant. Alors qu’elle passe devant une tapisserie, la petite fille tire de toutes ses forces pour la faire tomber. Et réussit finalement. La tapisserie lui tombe dessus et la fait tomber également. Elle essaie tant bien de ramper en dessous pour retrouver l’air libre, et quand elle est enfin libérée, elle tire de ses petites mains la petite tapisserie. Elle arrive au bord des escaliers et ses yeux malicieux brillent d’envie. Elle l’installe au bord, s’assoit dessus, et pouf c’est partie. Elle descend les escaliers de plus belle, comme utilisant une sorte de luge, ignorant que cela pourrait être dangereux. Quand elle arrive à la fin des escaliers : ouf, plus de peur que de mal. Et la petite fille, le démon au corps, continue sa petite visite de l’école. Elle descend dans les sous-sols où elle passe devant un garçon.

– Et toi, quand tu es né, il y avait encore les dinosaures ?

Demanda la petite fille avec un grand sourire. Si elle était très jeune, elle avait quand même beaucoup de ressemblance avec la future Allison. Quelqu’un qui la connaissait et qui l’observait attentivement pouvait peut-être la reconnaître. La petite fille commença à rigoler de plus belle, avant de s’enfuir en courant avec un petit regard « tu ne m’attraperas pas ». Elle se précipite dans les cuisines, où un gros gâteau se trouve au centre de la table. Ni une ni deux, elle escalade l’une des chaises pour arriver au gâteau, et commence à l’attraper avec ses mains pour les mettre dans sa bouche. Miam que c’est bon le chocolat. Soudainement quelqu’un entre dans la cuisine, alors que le gâteau est bien entamé. Un sourire polisson et la bouche couverte de chocolat, la petite fille déclaire.

– C’est pas moi qui ait mangé tout le chocolat. On peut aller à la piscine ? J’ai envie de nager avec les sirènes.


Oui car en tant que petite fille, mini-Allison a visiblement du mal à se concentrer très longtemps sur la même chose. Bonne chance à cette pauvre personne qui vient d’entrer et qui va devoir superviser l’enfant.


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Leroy M. Odgen
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Bonjour ! J'appartiens à la maison : Serpentard J'ai posté : 369 hiboux. Grâce à moi ma maison a gagné : 6 pour une aventure ! Je suis de la génération : maraudeurs . Je suis un aventurier : on peut me blesser A savoir sur toi : I want to draw on the walls, run in the school, and fly in the kitchen. w/Leroy Jidc
« Il y a deux choses qu'on ne peut contrôler : l'amour et la mort. Le reste n'est qu'une question de choix. »

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MessageSujet: Re: I want to draw on the walls, run in the school, and fly in the kitchen. w/Leroy  I want to draw on the walls, run in the school, and fly in the kitchen. w/Leroy EmptyMar 10 Avr - 10:47

 Mini-Allison et Leroy Vador
Leroy Odgen & Allison Carter
Les examens étaient enfin fini et dans à peine une journée, les élèves de septième année ne pourraient plus se revendiquer étudiants à Poudlard. La plupart allaient partir de l’établissement pour faire leur vie, bosser ou aller à l’université, mais beaucoup allaient se perdre de vue. Tous allaient passer à autre chose, oublier les rencontres, oublié les gens et Leroy avait été longtemps dans cette optique, avant de se rendre compte que certains de ses connaissances ne le laisseraient pas partir ainsi. Ils seraient toujours là surtout que maintenant que Leroy avait enfin obtenu son contrat pour être serveur au chaudron baveur, il risquait de rencontrer pas mal d’ancien étudiant de Poudlard. En expliquant sa situation à son futur patron, ce dernier lui avait accorder une chambre en échange d’heure supplémentaire pour la payer. Il ne bossait pas uniquement en service, se levant parfois tôt pour nettoyer d’après ce qu’il avait compris. Mais cela convenait à Leroy. Il allait faire de nombreuses rencontres en tant que bartender, sans avoir besoin de s’attacher aux autres et le serpentard trouvait que c’était tout simplement la planque parfaite pour lui. Il avait hâte de pouvoir commencer et pour fêter son nouvel emploi, il avait pris la décision pendant le week-end de transplaner à Londres et d’aller voir le film Star Wars, qui repassait dans l’un des cinémas de quartier en entendant le prochain qui devait sortir l’année suivante. Et Leroy avait tout simplement adoré. Pas les gentils à la con, mais le méchant principal, l’Empereur sans oublier Dark Vador. Le serpentard avait tant adoré que cela lui avait donné une idée géniale pour terminer sa scolarité en beauté. A peine ses pieds étaient-ils sortis du cinéma qu’il avait couru s’acheter un costume du méchant de Star Wars, un sabre en bois dans ses mains et finalement il était rentré à Poudlard ainsi. Le week-end il trouvait que c’était inutile de tenter de mettre en place son plan et il avait préféré attendre la fin des ASPICS pour tout le monde, afin de se déguiser en Dark Vador et de se balader dans cet accoutrement dans tout le château. S’il se faisait coller, il n’en avait rien à faire, c’était la fin de l’année après tout et même Allison Carter aurait sans doute compris que le mettre en retenue était inutile. Il se balada longtemps, mourant de chaud sous le costume noir et s’amusant avec la voix du méchant dès qu’il rencontrait quelqu’un. Certains souriaient, d’autres riaient, mais grâce aux masques personne ne semblait savoir qui il était. Leroy était devenu Dark Vador, il se complaisait dans ce rôle presque fait pour lui. Mais malheureusement pour lui, il allait devoir retourner dans son dortoir pour se changer et rejoindre ses camarades au chaudron baveur. Il aurait dû continuer habiller ainsi partout où ils pouvaient allé, mais il avait beaucoup trop chaud pour ne pas s’accorder une pause. Cependant le destin semblait en avoir décidé autrement, ou peut-être le fait que Leroy ait choisit de retourner vers la sale commune des serpentard à ce moment-là, mais il fut interpellé par … une gamine ? Une gamine de quatre ans qui courrait sans relâche partout dans l’établissement. Quoi ? Elle lui parla comme s’il était vieux, chose qu’il n’était pas en lui rappelant qu’il avait l’âge d’être un dinosaure. « Qu’est-ce que … je suis ton père ? » Il avait commencé sa phrase avant de finir par la phrase de Vador en voyant des gens passé, prenant la pose en même temps, mais jetant un œil vers où était partis la petite fille. Les autres l’avaient vu et alors que Leroy faisait volte-face, sa cape créant un magnifique effet derrière lui, il se dirigea vers les cuisines où la gamine s’était dirigée. Pourquoi lui ? Pourquoi s’inquiétait-il ? Après tout, les enfants il n’était pas vraiment doué avec. Certes il aidait à l’orphelinat avec les plus jeunes, certaines petites filles le prenant presque comme un grand-frère, mais là Leroy avait chaud et voulait se changer. Cela n’empêcha pas ses pieds de continuer sa course, de passer la porte pour voir la gamine en train de se jeter sur la nourriture, mangeant allègrement les gâteaux pour le prochain repas, la bouche couverte de chocolat. Mais quand elle se retourna vers lui, Leroy comprit de qui il s’agissait. Il n’avait aucune idée de comment, mais il s’agissait bien de la préfète des serdaigles qui se tenait devant lui dans un corps de gamine de quatre ans, avec des couettes. « Je suis ton père, c’est pas possible ! » s’écria-t-il. Oui c’était bizarre, mais il avait bugué sur la phrase de Vador à ce moment précis et alors que la petite lui disait qu’elle voulait aller à la piscine, Leroy enleva son casque pour montrer son visage à la préfète. « Je suis ton père ! Allison ! Que t’est-t-il arrivé ? » demanda-t-il s’approchant de la petite. Bon c’était très bizarre ce qu’il disait, sa tenue l’était encore plus et heureusement pour lui elle était assise et mangeait un gâteau, sinon il n’aurait pas tenue le coup à lui courir partout.

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Allison S. Carter
Allison S. Carter
Bonjour ! J'appartiens à la maison : Diamond (university) J'ai posté : 373 hiboux. Grâce à moi ma maison a gagné : 9 pour une aventure ! Je suis de la génération : 1977. . Je suis un aventurier : on peut me blesser

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MessageSujet: Re: I want to draw on the walls, run in the school, and fly in the kitchen. w/Leroy  I want to draw on the walls, run in the school, and fly in the kitchen. w/Leroy EmptyMer 18 Avr - 20:48

Nettoyer, balayer, astiquer.

- Allison & Leroy -


Je voulais que tu me prouves que tu tenais à moi, je voulais que tu me dises que j’étais la seule fille qui te plaisait et que tu préférais passer le reste de ta vie tout seul, plutôt qu’avec une autre fille que moi.

Bon la petite Allison avait un gros problème aujourd’hui. Heureusement pour elle, les examens étaient terminés. Mais la pauvre avait reçu un sortilège qui semblait l’avoir ramené en enfance autant physiquement que mentalement. Loin d’être la préfète studieuse, elle était désormais une petite fille avec des couettes au tempérament de feu, et visiblement dans l’idée de faire quelques bêtises, et de transformer Poudlard en son petit terrain de jeu. En peu de temps, elle avait quand même réussi à faire de la luge dans les escaliers grâce à une ancienne tapisserie qui valait sans doute peu d’argent. Heureusement qu’aucun membre du corps professoral ne l’avait vu faire, elle aurait eu l’air bien dis donc. Elle était ensuite descendu dans les sous-sols, surement parce qu’elle savait que les cuisines se trouvaient là-bas. Visiblement la gamine de quatre ans n’avait pas réellement peur d’aller dans les profondeurs du château. Quoi que cela représentait quand même bien Allison, elle n’avait jamais été du genre à être effrayé par la noirceur. Elle croisa d’ailleurs un drôle de type tout vêtu de noir. Le démon au corps, la demoiselle ria aux éclats avant de demander à ce drôle de monsieur s’il y avait encore les dinosaures quand il était né. Pas de doute, son cerveau était bien celui d’une gamine. Sinon elle aurait surement compris qui elle avait en face de lui : Leroy. Ce garçon qu’elle avait toujours détesté. Enfin cela, jusqu’à qu’ils se retrouvent enfermés dans les toilettes du troisième étage pendant la retenue de celui-ci. Il faut dire que le garçon l’avait assez remué et destabilisé pendant cette entrevue. Et parce qu’Allison ne savait pas vraiment ce qui se passait dans sa tête par rapport à ce garçon, elle avait tout simplement décidé de l’éviter. En soit, elle faisait attention à où elle allait, et si elle le voyait au loin dans un couloir, elle changeait de direction. Oui c’était stupide comme comportement, et surement suspect par la même occasion, mais bon, elle n’avait pas mieux pour le moment. Elle n’allait pas quand même lui avouer qu’elle était légèrement confuse par rapport à lui et à ce qu’elle ressentait à son égard ? Plutôt mourir. Coincé dans l’esprit d’un enfant, elle n’avait plus aucunes raisons de l’éviter. Et c’était sans doute pour cela qu’elle lui avait parlé. Si elle avait été maître d’elle-même, elle aurait juste changer d’étage pour ne pas tomber nez-à-nez avec lui.

Mais même la petite fille ne resta pas vraiment longtemps en compagnie du garçon, qui avait l’air clairement surpris de voir une enfant dans Poudlard. Ce fut donc sans attendre la moindre réponse, que la petite fille reprit son chemin pour se diriger tout droit vers la cuisine. Bah oui, ça avait faim souvent à cet âge. Ainsi, elle réussit à entrer, à monter sur l’une des chaises, et à attraper un gros gâteau au chocolat qui se trouvait au centre de la table. Elle suivit son impulsion, et commença donc à manger le gâteau avec ses mains. Et elle en mit dans sa bouche encore et encore. Jusqu’à que quelqu’un entre dans la pièce, et elle arrêta net, se défendant en disant qu’elle n’avait rien fait. Son sourire chocolaté la faisait mentir bien évidemment. Le même monsieur bizarre se tenait désormais face à elle dans la cuisine, et visiblement en plus d’être surpris, il n’était pas content du bazar qu’elle venait de mettre. Il lui annonça même que c’était son père, avant de lui demander ce qui avait bien pu lui arriver.

– T’es zinzin toi, t’es pas mon papa.

Lança la petite fille en éclatant de rire. Bah oui, il n’était pas son papa. Son papa à elle était gros et fort. Et puis il avait un visage rond et une petite moustache qui lui piquait le front quand il lui faisait un bisou. Non ce garçon aux cheveux jaunes n’avait définitivement rien de son papa. La petite fille était tout de même très bavarde. Ca apparemment elle l’avait toujours été. Elle avait pleins de questions en tête, pleins d’envie. Elle voulait manger, jouer, aller à la piscine, courir, sauter. Tellement de trucs.

– Bah je suis tombé, et pouf le gâteau dans ma bouche. Je voulais pas, mais c’est un accident, et ma maman dit toujours qu’on peut rien faire contre les accidents. Alors ne me crie pas dessus, d’accord ?

Demanda la petite fille, essayant d’éviter de se faire gronder par la même occasion. Bah oui, elle voulait continuer de s’amuser, et surtout pas se retrouver à être punie par ce garçon quand même. La petite fille affichait toujours un grand sourire. Le genre de sourire que Leroy n’avait pas forcément vu souvent de la part de la grande Allison. Mais mini-Alli était aussi une petite princesse capricieuse, et elle allait vite le montrer à son baby-sitter du jour.

– Je veux aller à la piscine maintenant. Emmène moi sinon je crie.

*Petite peste.*

Petit sourire pour que cet ordre soit plus facilement digérable par son interlocuteur.


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Leroy M. Odgen
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MessageSujet: Re: I want to draw on the walls, run in the school, and fly in the kitchen. w/Leroy  I want to draw on the walls, run in the school, and fly in the kitchen. w/Leroy EmptyMer 18 Avr - 21:32

 Mini-Allison et Leroy Vador
Leroy Odgen & Allison Carter
Dans quoi s’était-il embarqué ? Leroy n’aurait pas du suivre la gosse, il n’aurait pas de la suivre dans ce genre de tenue. Mais peut-être comme un vieil instant de grand frère pour les gosses de l’orphelinat, il avait pris la décision de franchir la porte de la cuisine pour aider l’enfant qui y était entrée. Après tout elle n’avait que quatre ans, cette gamine, elle pouvait se faire mal, mourir étouffé, tombée, se faire agressé, trop de possibilité pour qu’il reste là sans réagir. Bon déjà c’était bizarre qu’une enfant soit à Poudlard, car jusqu’à preuve du contraire les adultes n’en avaient pas et puis aucun élève n’étaient suffisamment petit pour paraître enfantin. Même les premières années étaient plus grand qu’une gamine de quatre ans. Adieu donc la chaleur qu’il ressentait, la sueur qui perlait sur son front à cause du costume et de la gestuelle qu’il avait fait pendant toute la journée, Leroy avait foncé. Et il avait reconnu l’enfant. Enfin qui n’était pas censé en être une. Allison Carter, préfète était donc cette gamine qui l’avait insulté de dinosaure et qui s’empiffrait de gâteau. Leroy la connaissait, pas forcément bien, mais il aimait l’embêter comme elle ne l’aimait pas. Ils avaient eu une grande discussion lors de la dernière retenue du jeune homme, ou beaucoup de choses avaient été dites, où ils avaient révélé des choses sur eux, sans voile, sans masque et c’était assez perturbant. Cela avait remis en question ce que Leroy pensait être vrai, notamment le fait qu’elle puisse être amoureuse de lui se demandant si ce n’était pas lui au final qui pourrait avoir des sentiments. Mais trop de questions auraient tués son cerveau, a peine la porte des toilettes avait été passé, qu’il avait repris ses mauvaises habitudes. Et depuis ce jour-là il ne l’avait pas revu. Elle n’était pas venue le voir alors qu’il faisait des bêtises et dieu savait qu’il en avait fait, peut-être comme une sorte de défi envers la jeune fille, pour la voir réapparaitre et lui crier dessus. Mais rien, le vide total. La conversation les avait sans doute autant perturbé l’un que l’autre. Si cela n’avait pas vraiment changé la vie du serpentard, cela l’avait quand même attristé, ne comprenant pas vraiment. Mais peut-être qu’elle ne voulait tout simplement plus le voir, qu’elle en avait eu tellement marre qu’elle l’avait rayé de la carte dans sa tête. Mouais il l’aurait sans doute vu si ça avait été le cas, elle l’aurait simplement ignoré. Alors que là c’était assez compliqué de se louper, autant dans les classes, que dans la grande salle, le parc et d’autres endroits connus du genre. Curieux.

Dans tout les cas, Leroy ne s’attendait certainement pas à tomber sur elle dans ce genre de circonstance et surtout pas dans cet état-là. Même avec des couettes et une taille en moins, il l’avait reconnu, avec ses yeux. La gamine ne cessait de sourire alors que sa bouche était pleine de chocolat à cause du gâteau qu’elle venait de manger. Elle se goinfrait et il se demandait comment elle faisait pour ne pas s’étouffer. Montrant clairement sa surprise, parlant dans un dialecte type du film donc lui-même était vêtu, il demanda ce qui se passait. Evidemment sortir qu’il était le père de la gamine, alors que c’était simplement une phrase tirée du film, n’était totalement pas cohérent. Et elle ne manqua pas de lui faire savoir, agissant comme son âge le lui dictait en balançant qu’il n’était pas son père. « Je suis ton père ! » répondit Leroy du tac au tac. Non mais non, il aurait dû dire autre chose, mais comme si le casque avait été ensorcellé ou le costume ou que lui-même avait cette envie de rester dans les personnages. Ça n’avait absolument aucun sens. Et il ne comprenait pas pourquoi d’un coup elle était si rajeunit. Mais elle riait tout simplement. Elle était véritable enfant. Leroy ne savait pas s’il allait pouvoir supporter ça longtemps, il connaissait bien les gamins de son âge et franchement à poser pleins de questions, parler à tout va et faire des bêtises ce n’était pas de tout repos. Il balança le casque de Dark Vador sur le sol, demandant des explications à Allison sur son état, mais comment avoir une réponse cohérente de la part d’une enfant. Non à la place, elle commença à déblatérer des histoires sur le fait de manger par accident, comme quoi c’était possible et qu’il ne fallait pas lui crier dessus. Quoi ? Leroy était perdu pour le coup. Tenir le coup, réussir à lui redonner sa forme habituelle, se faire engueuler et tout remettre dans l’ordre. Il soupira et d’un coup haussa la voix : « Je suis ton père, Allison ! On ne mange pas comme ça tant que ce n’est pas l’heure de manger comprit ?! » Ok. Pas certains que ça fonctionne, mais en général quand il haussait la voix les enfants de l’orphelinat lui obéissaient. Après eux connaissaient Leroy et entre ceux qui le haïssaient et ceux qui l’aimaient ça allait, il avait quand même leur respect. L’ancien, le vieux, le dinosaure.  Elle continuait de sourire, heureuse, trop heureuse à son goût pour finalement lui demander de l’emmener à la piscine. La piscine ? Pardon ? Què ? Leroy ne savait pas de quoi elle parlait car à part le lac, pour se baigner, il ne voyait pas. Et puis en plus mettre une gamine dans le lac restait dangereux. Déjà elle lui ordonnait presque, elle faisait son caprice. Leroy s’approcha d’elle, la prie dans ses bras. Le mieux était de l’emmener à un professeur pour qu’il arrange ça, ou au moins de l’emmener ailleurs avant qu’ils n’aient plus rien à manger pour le repas. Il la regarda : « Piscine ? Mais il n’y a pas de piscine ici à part la salle de bain des préfets mais t’es pas en état de donner le mot de passe. Et je suis ton père. » C’était la première fois qu’il portait Allison, n’ayant jamais pensé que cela arrive de cette manière.

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MessageSujet: Re: I want to draw on the walls, run in the school, and fly in the kitchen. w/Leroy  I want to draw on the walls, run in the school, and fly in the kitchen. w/Leroy EmptyJeu 19 Avr - 4:24

Nettoyer, balayer, astiquer.

- Allison & Leroy -


Je voulais que tu me prouves que tu tenais à moi, je voulais que tu me dises que j’étais la seule fille qui te plaisait et que tu préférais passer le reste de ta vie tout seul, plutôt qu’avec une autre fille que moi.

Alors que la petite fille avait été surprise que le grand monsieur noir la rejoigne dans la cuisine, elle avait commencé à lui parler. Mais après quelques minutes, elle avait recommencé discrétement à reprendre quelques bouts de gâteau au chocolat. Bah oui parce que le chocolat c’était trop bon quand même. Et qu’elle avait faim. Ca creusait l’estomac de courir et de jouer dans un immense château apès tout. La petite fille était clairement de bonne humeur, puisqu’elle n’arrêtait pas de rire et de sourire. Qu’est-ce que c’était drôle de se trouver ici. Poudlard ressemblait à un énorme terrain de jeu. Allison n’avait pas réellement consciende de ou elle se trouvait et pourquoi elle était là, mais visiblement elle s’en fichait, et elle n’allait pas s’attarder sur la question. C’était d’ailleurs étrange, et si elle avait été dans son esprit, elle aurait pu se demander quel sort avait provoqué un tel résultat. Si elle se souvenait de toute cette histoire une fois revenu dans son vrai corps, peut-être se questionnerait-elle. Mais pas pour l’instant. Le grand garçon avait l’air un peu zinzin quand même, et elle ne se gêna pas pour le lui dire. Bah oui en même temps, il n’arrêtait pas de lui répéter qu’il était son père. Et la petite Alli savait que ce n’était pas vrai. Elle connaissait bien ses parents. Sa maman était une grande femme athlétique. Elle avait été joueuse de quidditch professionnel avant d’arrêter sa carrière pour tomber enceinte. D’ailleurs, elle n’avait toujours pas réussi à perdre tous les kilos qu’elle avait ammassait pendant sa grossesse, la pauvre. Et son père était un gros monsieur qui fabriquait des couettes, à ce qu’on lui avait dit. Allison se souvenait bien de la tête qu’avait son papa, et ce garçon ne lui ressemblait définitivement pas. Peut-être était-il tombé sur la tête et maintenant il pensait qu’elle était sa fille. Mais ce n’était pas vrai. Et quand il lui répéta encore une fois, la petite fille commença à rigoler de plus belle. Le genre de rire marrant et attendrissant, totalement innocent d’une petite fille de quatre ans. Leroy n’avait sans doute jamais eu le droit à une Allison aussi contente en sa présence. Il fallait en profiter, ça n’allait peut-être pas se reproduire de sitôt une fois le sortilège levé. La petite fille, pleine d’audace, et définitivement pas impressionné par la carrure de son interlocuteur, se décida enfin à lui répondre.

– Mon vrai papa, il est gros. T’es pas gros toi !


Ces enfants, tellement honnête … Pauvre papa, s’il entendant la description simplifié que sa fille faisait de lui. Mais après tout, tous les enfants étaient un peu comme Allison. Ils disaient ce qui leur passaient par la tête. Ils n’avaient pas de filtre, et c’était souvent ça qui rendait les situations hilarantes. Le garçon lança son casque de déguisement sur le sol, ce qui fit à nouveau rire de plus belle l’enfant. Elle essaya de se sortir d’une situation en expliquant qu’elle avait mangé par accident. Bah oui, elle était tombé et le gateau était arrivé dans sa bouche, c’était tellement logique. Mais la petite fille n’avait pas envie de se gronder, et elle était quand même assez futé pour essayer de se trouver une excuse. Bon pas très convaincante certes, mais en même temps, elle avait quatre ans. On ne pouvait pas lui en demander trop. Le monsieur lui annonça encore une fois qu’il était son père, et la petite fia rigola encore une fois. Mais il avait haussé la voix, ce qui lui donnait un air drôle. Il lui annonça qu’elle ne pouvait pas manger comme ça, surtout quand ce n’était pas l’heure de manger. Oh bah dis donc. Mais elle avait faim, elle avait bien le droit quand même. L’enfant fit une petite moue. Elle ne voulait pas qu’il lui crit dessus quand même. La petite fille laissa tomber le bout de gateau qu’elle avait encore dans la main.

– Bah ma maman elle me laisse faire. Et puis mon papa dit que je suis sa petite princesse. Et les princesses, ça fait ce que ça veut d’abord. Oh, tu peux être mon esclave, dit ?

Répondit la demoiselle tandis qu’un énorme sourire commençait à apparaitre sur son visage. Son esclave ? C’était une super idée ça. Les princesses avaient des gens qui répondaient à leurs désirs, et ce garçon un peu zinzin pouvait être sa personne à lui. Bon et comme elle n’était qu’une enfant, il y avait pleins d’idées qui fusaient dans son esprit à chaque seconde. Sa prochaine lubie était donc d’aller à la piscine. Elle voulait aller se baigner dans l’eau et jouer. Elle menaça d’ailleurs de crier si Leroy refusait. Petit caprice de la part d’une petite princesse à qui ses parents ne disaient presque jamais non. Le garçon s’approcha d’elle pour la prendre dans ses bras. Elle aurait pu crier, mais elle aimait bien quand ses parents faisaient ça aussi. D’ailleurs il ne semblait pas savoir où ils pouvaient trouver une piscine. Mais Allison avait vraiment envie d’aller à la piscine. Ses petits yeux commencèrent à s’embuer de larmes, tandis qu’elle porta ses petites mains à son visage.

– Mais j’ai envie d’aller jouer dans l’eau …

Petite moue craquante. Visiblement, l’idée d’aller à la piscine lui donnait vraiment envie, puisqu’elle n’avait pas encore changé d’avis. Du moins pour le moment. La petite fille posa sa tête sur l’épaule du garçon comme pour essayer de se consoler contre son corps chaud. C’était apparemment le drame de sa vie de ne pas pouvoir aller barboter. Ah que c’était mignon de n’avoir que ce genre de problème dans sa vie. La petite fille releva la tête, et essuya ses yeux. Bon au moins, ses larmes ne duraient pas trop longtemps. Elle planta son regard humide dans celui de l’adolescent avant de lui faire un petit sourire.

– C’est parce que tu sais pas nager que tu veux pas y aller ? Toi aussi tu es un petit bébé ? Ou c'est parce que tu as peur ?


Demanda-t-elle.

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Leroy M. Odgen
Leroy M. Odgen
Bonjour ! J'appartiens à la maison : Serpentard J'ai posté : 369 hiboux. Grâce à moi ma maison a gagné : 6 pour une aventure ! Je suis de la génération : maraudeurs . Je suis un aventurier : on peut me blesser A savoir sur toi : I want to draw on the walls, run in the school, and fly in the kitchen. w/Leroy Jidc
« Il y a deux choses qu'on ne peut contrôler : l'amour et la mort. Le reste n'est qu'une question de choix. »

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MessageSujet: Re: I want to draw on the walls, run in the school, and fly in the kitchen. w/Leroy  I want to draw on the walls, run in the school, and fly in the kitchen. w/Leroy EmptyDim 13 Mai - 19:11

 Mini-Allison et Leroy Vador
Leroy Odgen & Allison Carter
Leroy aurait sans doute dû aller se changer avant de rejoindre la petite dans la cuisine. Il devait faire assez peur dans son habit tout noir, impressionnant même si vu la carrure du jeune homme cela devait être plus pitoyable qu’autre chose. Il avait voulu rendre honneur à un film moldu, mais à Poudlard il s’était vite rendu compte que tout le monde n’avait malheureusement pas la référence. Pourtant il s’était bien amusé jusqu’à croiser le chemin d’une enfant, qui l’avait accusé de vieux et qui était partis dans les cuisines. Peut-être parce qu’il avait en charge parfois les petites de l’orphelinat, il était allé voir alors qu’il aurait dû aller se changer à la place. Il avait chaud dans sa tenue, qui plus est, mais quand il avait remarqué ce visage qui l’avait insulté de dinosaure, Leroy n’avait pas fait demi-tour. Il n’avait pas abandonné l’enfant à on ne savait trop quoi. Il aurait pu arriver n’importe quoi à l’enfant qui se trouvait être Allison Carter et si personne ne surveillait la gamine, c’était certain que non seulement elle allait faire des bêtises, mais en plus elle pouvait aussi se mettre en danger. Allison avait sans doute été touché par un sortilège pour avoir l’apparence d’une enfant de quatre ans et il ignorait en l’écoutant parler si elle était consciente de ça et en jouait ou si vraiment la mentalité était venue avec le changement d’apparence. Dans le premier cas, il pourrait peut-être la raisonner pour qu’elle l’aide à redevenir elle-même, mais dans le deuxième cas, il allait devoir faire preuve de maturité, d’autorité pour convaincre la petite de l’accompagner jusqu’à l’infirmerie. D’ailleurs s’il arrivait ainsi vêtu devant Madame Pomfresh, elle allait surement bien rire et s’inquiéter de voir une enfant dans ses bras. Leroy sentait les questions venir de loin, savoir s’il était la cause de ce changement d’apparence, s’il était bien sûr qu’il s’agisse d’Allison Carter et non d’une enfant égarée qui cherchait ses parents. Pour ne rien arranger, Leroy n’arrêtait pas de sortir cette phrase mythique de son film. Qui pouvait savoir si on ne lui avait pas lancer un sortilège également pour qu’il sorte cette phrase à chacune de ses phrases ou si comme un imbécile il s’amusait simplement. Leroy n’avait donc de cesse de répéter à Allison qu’il était son père, ce qui était totalement grotesque, mais ne pouvant s’en empêcher, toujours dans son personnage, elle ne se gênait pas pour lui dire qu’il n’était pas son géniteur. Elle avait raison, mais au moins cela prouvait qu’elle se souvenait quand même de ça. Bon elle ne devait pas vraiment se souvenir de Poudlard, ni même se rendre compte d’où elle était en ce moment précis. Par conséquent elle ne se souvenait pas de lui également. La petite fille ne faisait que s’amuser, manger, beaucoup trop de chocolat, mais comme personne n’allait lui dire quelque chose à part Leroy, pourquoi s’en priverait-elle ? Le jeune homme avait l’impression de se retrouver face à l’une des filles de l’orphelinat, bien que légèrement plus âgée qu’Allison à ce moment précis, il allait devoir gérer. Mais bon les gamines dont il avait l’habitude de s’occuper l’aimer bien, avec un peu de chance la préfète l’écouterait. Rien n’était certain s’il continuait à lui dire qu’il était son père, mais il pouvait toujours essayer.

Elle se mit à rire en l’entendant balancer sa réplique à nouveau et si c’était très mignon comme rire, Leroy se contenta simplement de la fixer en se demandant comment il allait réussir à gérer la situation. Il ne pouvait pas vraiment oublier qu’il s’agissait d’une jeune femme de dix-sept ans qui habituellement ne le portait pas dans son cœur. L’insultant à nouveau, elle en profita pour insulter son père également. Leroy eu un petit sourire, se faisant la remarque que le père de la fillette ne serait pas ravi d’entendre ça. « Clairement non je ne suis pas gros, je suis ton père. » répondit-il simplement, ses mains appuyées sur la table face à Allison enfant. Le jeune homme cherchait un moyen de se sortir de se pétrin, mais d’un autre côté il était très amusé de la situation, simplement agacé d’avoir l’impression de ne pas contrôler ce qui sortait de sa bouche. Il était presque certain qu’on lui avait lancé un sort comme si le costume qu’il portait était ensorceler pour que chacune de ses phrases finissent par ‘je suis ton père’. Ce n’était pas vraiment le meilleur moment pour sortir ça, mais espérons quand même qu’Allison oublierait cet épisode quand elle reviendrait elle-même. Il l’entendit rire à nouveau quand le casque tomba contre le sol, chose qui n’était clairement pas drôle mais les enfants avaient cette tendance à rire pour rien. Et si ça continuait Leroy n’allait plus supporter ce son. Une chose était pourtant intéressante à remarquer ; celle qu’Allison avait de pitoyables excuses depuis qu’elle était toute petite. Leroy l’avait toujours taquiné là-dessus, dans de nombreuses discussions d’ailleurs où en temps normal elle avait tendance à plus s’enfoncer qu’autre chose. La petite bien qu’excusé par sa jeunesse venait quand même de lui dire que le gâteau avait été mangé par accident. Mais oui bien sûr. Elle se mit à rire une nouvelle fois et sans doute agacé ou dans une volonté de montrer son autorité, il haussa la voix en lui disant qu’elle ne devait pas manger avant le repas. C’était l’une des règles de base et même si parfois on avait le droit, dans ce cas-là elle ne pouvait pas. L’enfant afficha une petite moue, comme triste de se faire gronder, le genre que Leroy voyait trop souvent quand celles de l’orphelinat voulait quelque chose de lui. Etrangement il était habitué. Et elle lui expliqua alors que sa mère la laissait faire et que son père l’appelait sa princesse, donc elle avait le droit selon elle. Oui, pour être une princesse, elle l’était, Leroy n’en doutait pas une seconde, mais il fut toutefois surpris en l’entendant lui demander d’être son esclave. Pardon ? Jamais la Allison qu’il connaissait lui aurait demandé ça, jamais. Cela dit il se posa quand même la question, sans avoir pourtant de réponse. Dans tous les cas c’était hors de question. « Non je ne serais pas ton esclave, je suis ton père. » répondit-il en soupirant. A force elle allait vraiment finir par croire qu’il était son géniteur.

Leroy ne serait jamais l’esclave de personne, à part de lui-même, même si ce n’était clairement pas possible et que les formes d’esclavages étaient multiples. Mais être l’esclave d’une gamine de quatre ans, c’était trop pour lui. Il voulait lui rendre son apparence normale, pas devoir courir dans tout le château à faire ce qu’elle voulait. Mais la petite continuait de sourire, sans doute trouvant l’idée très alléchante. Elle changea toutefois de sujet, lui demandant de l’amener dans une piscine. Leroy resta surpris, ne sachant pas vraiment où trouver une piscine dans Poudlard. Le lac ? Trop dangereux. La salle de bain des préfets ? Il pouvait, mais dans ce cas il faudrait qu’Allison se souvienne du mot de passe, ce qui était peu probable. Elle le menaça, mais quand il la prit dans ses bras, elle sembla se calmer un peu avant de se presque à se mettre à pleurer. Apparemment elle n’était pas heureuse qu’il ait dit non. Allison semblait vraiment envie d’y aller et lorsqu’il remarqua son petit visage, cette moue qu’elle lui fit, Leroy remarqua bien que cela lui tenait à cœur. Il détestait quand les enfants faisaient ce genre de tête, parce qu’il se sentait faible. Comment dire non à un gamin triste ? Bon certains utilisaient ça pour obtenir tout ce qu’il voulait, mais elle semblait vraiment y tenir à sa piscine. Soupirant il répondit : « Je suis ton père et je le sais, si on en trouve une on ira t’en fais pas. » Il continuait à chercher un endroit où il pourrait l’emmener barboter et à moins de remplir une des gamelles d’eau, Leroy n’avait aucune idée de l’endroit où il pouvait l’emmener. Mais là n’était pas le sujet non ? Maintenant qu’il l’avait dans les bras, il devait aller à l’infirmerie pour que Madame Pomfresh lui rende son apparence. Et puis elle semblait clairement bien dans ses bras, posant sa tête contre son épaule. Les enfants rendaient vraiment faibles quand même. Cependant alors qu’il continua à chercher un endroit dans son esprit, elle semblait avoir une raison en tête pour qu’il ne l’emmène pas dans une piscine. D’après elle, soit il avait peur de l’eau soit il ne savait pas nager. Allons bon ! Oui certains adultes avaient des soucis avec l’idée d’aller se baigner, mais le jeune homme n’en faisait pas partis. Il plongea son regard dans celui de la petite fille. « Alors premièrement je sais nager, deuxièmement je n’ai pas peur et troisièmement je suis ton père. » Oui bon il allait devoir aller à l’infirmerie pour ça aussi. Commençant à se diriger vers la porte, portant toujours l’enfant dans ses bras, laissant son casque au bon soin des elfes de maison, il reprit : « Et parce que je suis ton père, je vais t’emmener dans un endroit magique encore mieux que la piscine. » C’était une gamine après tout, lui dire la vérité aurait sans doute amener plus de problème qu’autre chose.

electric bird.
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NEUTRE
Allison S. Carter
Allison S. Carter
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MessageSujet: Re: I want to draw on the walls, run in the school, and fly in the kitchen. w/Leroy  I want to draw on the walls, run in the school, and fly in the kitchen. w/Leroy EmptyMar 29 Mai - 18:24

Nettoyer, balayer, astiquer.

- Allison & Leroy -


Je voulais que tu me prouves que tu tenais à moi, je voulais que tu me dises que j’étais la seule fille qui te plaisait et que tu préférais passer le reste de ta vie tout seul, plutôt qu’avec une autre fille que moi.

La vie était plutôt belle à quatre ans. Désormais retourné en enfance, Allison ne semblait pas avoir le moindre souvenir de ce qu’était sa vie présente. Elle avait oublié ses sept années passées à Poudlard, et même le fait qu’elle était elle-même une sorcière. Elle n’avait pas la moindre idée d’où elle était. Elle ne connaissait plus ce château, et pourtant ne semblait pas réellement se poser des questions de savoir où elle était et pourquoi elle était là. Elle voulait s’amuser, comme n’importe quel autre enfant de son âge, et prenait ce nouvel endroit comme un immense parc d’attraction. Après tout, elle avait déjà fait quelques bêtises, en comptant sa petite descente en luge dans les escaliers de l’école sur l’une des vieilles tapisseries. Maintenant elle était dans la cuisine, mangeant du chocolat, plus qu’il n’en fallait. Si ses parents avaient été là, ils l’auraient surement stoppé depuis un bon moment. Mais comme elle ne pouvait pas les voir, autant en profiter, non ? Un homme l’avait tout de même suivi. Un homme plutôt étrange d’ailleurs, tout de noir vêtu, un costume bizarre sur le dos. Allison ne semblait pas reconnaître l’un de ses camarades, qu’elle avait pourtant l’habitude de côtoyer, ou du moins croiser dans les couloirs pour lui crier dessus. D’ailleurs ce type n’arrêtait pas de lui répéter qu’il était son père. Chose qui faisait beaucoup rire la petite fille puisqu’elle se souvenait quand même de l’allure de son papa. S’il y avait quelque chose de sûr dans sa tête, c’est qu’il était loin de lui ressembler. Son paternel était quelqu’un de fortement enrobé aux cheveux poivre et sel. Alors un grand blond élancé ne correspondait pas réellement à l’image qu’elle avait de lui. Alli continuait de rire encore et encore, très amusé par cette situation. Et puis elle était une enfant, et les demi portions riaient beaucoup pour pas grand-chose en général, n’est-ce pas ? Mais Leroy continuait de répéter inlassablement qu’il était son père, ce qui commençait quand même à mettre le doute dans l’esprit de la petite fille. Dans un sens, elle savait qu’il n’était pas l’homme qui lui lisait une histoire de temps en temps avant d’aller dormir, mais de l’autre elle n’était plus très sûre. Après tout, les adultes ne mentaient pas, si ?

Pour ne pas se faire gronder pour son abus de chocolat, la petite fille avait pris la décision de chercher une excuse pour se dédouaner de toute responsabilité. Elle avait prétendu à un accident pour expliquer le chocolat autour de sa bouche, tout en espérant que l’homme devant elle serait assez crédule pour croire à son histoire, et ne pas trop lui remonter les bretelles. N’ayant pas la langue dans sa poche du haut de ses quatre ans, elle expliqua pour sa défense que sa maman la laissait faire, et qu’elle était la princesse à son papa. Et oui pas folle l’enfant, elle savait comment manipuler ses parents. Mais Leroy semblait être beaucoup plus compliqué. Sorti de nulle part, elle lui demanda même s’il voulait bien être son esclave. Car oui dans sa logique, les princesses avaient bien des gens qui travaillaient pour elles, non ? Evidemment il refusa catégoriquement.

– Tu n’es vraiment pas gentil, toi, je le dirais à mon papa, et il te mettra au coin pour avoir été méchant, d’abord. Mon papa c’est pas toi, arrête de dire ça.

Déclara la jeune femme. Evidemment elle était un peu vexé que ce garçon ne veuille pas être son esclave. Elle avait l’impression qu’il ne voulait même pas jouer avec elle, ce qui la rendait quand même un peu triste. Finalement son esprit se concentra vite sur autre chose, et puis elle changea de sujet. Visiblement, elle avait une grande envie d’aller patauger dans l’eau. Et pour ce faire, elle avait besoin que ce grand garçon l’emmène à la piscine. Bah oui il faisait beau et chaud, c’était une météo parfait pour aller s’amuser dans l’eau, n’est-ce pas ? Le garçon cherchait des excuses pour ne pas l’emmener, ce qui entraina une moue de la part de la petite fille. Il ne voulait donc définitivement ne rien faire avec elle, ce n’était pas très gentil tout cela. Elle espérait tout de même que son petit visage triste allait l’amadouer un peu et qu’il allait se montrer plus enclin à lui faire plaisir. Bon elle avait quand même reçue une demi-victoire.

– Oui. Mais il me faut mon maillot de bain. Tu peux me le trouver, dis ?

Demanda la petite fille avec un sourire, les yeux brillants et remplis à nouveau d’espoir. Elle n’avait pas entendu un « peut-être » mais un « oui ». Alors elle commençait déjà à tout planifier dans sa petite tête, espérant que le moment d’aller se baigner arriverait plus vite que prévu. La petite était désormais dans les bras du garçon, et commençait à se montrer assez curieuse. Elle voulait comprendre pourquoi il se montrait aussi réticent à aller à la piscine. Pour elle, il y avait plusieurs réponses possibles. Soit il avait peur, soit il ne savait pas nager. Mais à son âge quand même, c’était bizarre.

– Alors emmène moi faux-papa.

Répondit-elle en rigolant. Oui parce qu’il continuait encore et encore de lui faire remarquer qu’il était son père. Il lui annonça ensuite qu’il avait dans l’idée de l’emmener dans un endroit magique encore mieux que la piscine. Des étoiles apparurent dans les yeux de la petite fille, immédiatement émerveillé mais aussi curieuse de connaître les dessous de ce nouveau programme. De la magie ? Elle voulait réellement voir ça. Et puis elle se demandait quand même ce qu’il pouvait y avoir mieux qu’une piscine. Cela devait réellement être exceptionnel.

– Wow. DIS-MOI. JE VEUX SAVOIR. Il y aura du rose, ou des gâteaux. Oh dis moi qu’il y aura un poney. J’ai toujours aimait les poneys mais papa veut même pas m’en acheter un, trop méchant. Tu vas m’en acheter un, c’est ça ? Je veux bien que tu deviennes mon vrai papa si c’est ça.

Commença à déblatérer la jeune fille.


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