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 Leroy * Merlin punisse les imbéciles

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Serena E. Tagel
Serena E. Tagel
Bonjour ! J'appartiens à la maison : Gryffindor J'ai posté : 245 hiboux. Grâce à moi ma maison a gagné : 3 pour une aventure ! Je suis de la génération : 1998 . Je suis un aventurier : Oui, légères A savoir sur toi :
Gryffondor * 18 ans * Première année universitaire * Neutre * Bisexuelle * Serena aime faire la fête et jouer au quidditch * Elle était gardienne * Fille de Tibus et Telia * Filleule de Charlotte et Caleb * Veut devenir professeur de DCFM * Déteste les mangemorts * A fait parti de l'AD * A le goût de la fête * Vierge * Croit à l'amour pur, mais découvre que son père lui a bien menti...


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MessageSujet: Leroy * Merlin punisse les imbéciles  Leroy * Merlin punisse les imbéciles EmptyJeu 4 Jan - 21:50
Ces derniers temps, Serena était à prendre avec des pincettes. Elle pouvait exploser à tout moment. Il suffisait qu'elle croise des serpentards pour qu'elle ait des envies de meurtre. Surtout si le serpentard, ou la bande en question, comprenait cette saleté de Leopold Ziegler. Serena rêvait littéralement d'éclater le nez de cette ordure à la moindre occasion et ce connard qui avait voulu la tuer, qui rêvait de rejoindre les mangemorts n'allait pas tarder, à ce rythme là, à recevoir le poing de la rouge et or dans sa sale tête de rat. Non, ce ne serait pas très élégant et pas digne d'une dame non plus, oui elle risquerait de salir ses habits, mais ce n'était pas grave, car Télia n'était pas là pour raler après elle en cette époque.

Elle ne devrait pas mettre tout les vert et argent dans le même panier, la jeune femme ne le sait que trop bien. Son parrain après tout, Caleb Carlton, était de la maison Serpentard et elle se souvenait parfaitement qu'il était contre l'idéologie sang-pur de sa famille. Elle ne devrait pas oublier que tout les œufs d'un même panier ne sont pas forcément pourris, mais c'est plus facile à dire qu'à faire malheureusement. Et pour l'heure, Serena était trop en colère contre ces derniers, contre l'état actuel du monde magique, contre la domination mangemorte, pour faire la part des choses. Elle était en colère, incroyablement en colère contre tout et contre n'importe quoi en même temps.

C'est cette colère emmagasiné qui l'animait aujourd'hui, alors qu'elle faisait les cents pas derrière le château, dans le parc, le visage fermé et l'air contrarié, jusqu'à ce qu'un hurlement de rage franchisse le seuil de ses lèvres, la laissant tremblante sous l'effet de ce trop-plein emmagasiné.
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Leroy M. Odgen
Leroy M. Odgen
Bonjour ! J'appartiens à la maison : Serpentard J'ai posté : 369 hiboux. Grâce à moi ma maison a gagné : 6 pour une aventure ! Je suis de la génération : maraudeurs . Je suis un aventurier : on peut me blesser A savoir sur toi : Leroy * Merlin punisse les imbéciles Jidc
« Il y a deux choses qu'on ne peut contrôler : l'amour et la mort. Le reste n'est qu'une question de choix. »

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MessageSujet: Re: Leroy * Merlin punisse les imbéciles  Leroy * Merlin punisse les imbéciles EmptyMar 9 Jan - 15:50

Merlin punisse les imbéciles
Leroy Odgen & Serena Winter
La quarantaine, la prise de pouvoir des mangemorts, tout ça passait au-dessus des préoccupations de Leroy. Le jeune homme bien qu’officiellement né-moldu soutenait leur mouvement, considérant les moldu comme des êtres infectes, tel que son ancienne famille, les Delanay qui ne s’étaient pas priés pour lui tourner le dos lorsqu’il avait découvert ses pouvoirs magiques. Quel genre de famille pouvait bien faire ça ? Laisser un gamin de onze ans seul dans ce genre de situation alors qu’il en avait le plus besoin. Mais peut-être que ceux qui s’était prétendu père et mère n’avaient jamais souhaité l’être pour lui. Ou bien peut-être que Leroy était un gosse infect, infâme qui leur avait fait regretter l’adoption. Le serpentard commençait à se demander si ce n’était pas à cause de tout ça qu’il n’avait aujourd’hui plus de famille. Mais le jeune homme souriait à ce genre de pensée, presque fier de ce qu’il avait pu faire subir à des moldus. Alors que les mangemorts s’en prennent a des né-moldu ou des moldu tout court, ne le gênait pas plus que ça. Pourtant Leroy était heureux de pouvoir être en sécurité à Poudlard, car loin de son ancienne famille et ne sachant pas qui était réellement ses parents, le jeune homme ne pouvait pas prouver qui il était vraiment. Le serpentard savait qu’il était un sorcier, pensant que ses parents biologiques devaient l’être aussi, il l’espérait de tout son cœur. Mais jamais Leroy n’avait cherché à les trouver, ne sachant pas où chercher, l’orphelinat qu’il avait rejoint depuis ne souhaitant pas vraiment lui donner des informations sur son adoption. Il savait tout simplement que ses parents moldu l’avaient adopté lorsqu’il n’était qu’un bébé. Sur ses pensées concernant son origine, Leroy marchait dans les couloirs de Poudlard. Ces derniers étaient beaucoup trop vides à son goût, mais il savait aussi que dans quelques instant un flot continu d’élèves de tous les âges se presseraient, se bousculeraient et Leroy ne souhaitait pas être présent à cet endroit lorsque cela arriverait. Les autres ne faisaient jamais attention, que ce soit à lui ou à leur prochain, ils se bousculaient, riaient bruyamment, parlant comme des poules dans une basse-cours. Effrayant, agaçant, Leroy traversa rapidement le couloir, le pont de bois pour se diriger vers un endroit bien plus calme et bien plus aérer. Le parc était moins silencieux que ce qu’il n’aurait pensé, les élèves profitant des débuts du printemps pour sortir un peu. Il observa rapidement les serdaigles, poufsouffle qui souriaient. Certains semblaient inquiets pourtant, montrant un visage préoccupé par on ne savait quelle pensée malsaine. Certains serpentard de sa connaissance s’amusait à faire peur à l’un des premières années en lui disant que les mangemorts allaient venir à l’école et qu’ils s’en prendraient à tout ceux qui ne leur prêteraient pas allégeance. Roulant des yeux, Leroy ne pensait pas une seconde que les serviteurs du seigneur des ténèbres puissent venir. Pas tant que Dumbledore dirigerait l’école. Le serpentard avait beau apprécier les idéaux de vous-savez-qui, ce n’était pas pour ça qu’il était stupide. Le directeur de Poudlard avait suffisamment de puissance pour empêcher les mangemorts de venir. Continuant sa route, Leroy faillit sursauter lorsqu’il entendit un hurlement non loin de lui. Un monstre ? Un loup-garou ? Une créature bizarre ? Le serpentard ne savait à quoi s’attendre, mais il se décida à suivre le bruit, trouvant par la même occasion une jeune fille blonde, de septième année. Gryffondor de ce qu’il pouvait voir, Leroy était certain de l’avoir déjà croisé quelque part. « Hé ma belle ! Pourquoi ce hurlement si soudain ? Tu pourrais faire peur à quelqu’un.  » Poète, il était capable de faire des rimes même lorsqu’il ne faisait pas exprès. Leroy s’adossa à un arbre, arborant un sourire amusé de voir quelqu’un s’énerver contre une chose inconnue pour lui. Peut-être qu’elle ne supportait pas la quarantaine ou que son hurlement trahissait quelque chose de plus profond. Profitant d’être un peu à l’écart des regards, Leroy chopa un paquet de cigarette dans sa poche et en alluma une. Soufflant la fumée, faisant attention de ne pas se mettre à dos la furie blonde qui se trouvait non loin de lui en lui crachant la fumée dessus, il attendit qu’elle lui donne une explication à ce qui la tracassait.

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Serena E. Tagel
Serena E. Tagel
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MessageSujet: Re: Leroy * Merlin punisse les imbéciles  Leroy * Merlin punisse les imbéciles EmptyLun 15 Jan - 22:33
La jeune femme n'en pouvait plus, c'était trop de pression pour de trop jeunes épaules et elle ne savait plus où elle en était, perdue entre une dévorante envie de vivre, une peur de l'inconnue, du lendemain et de surtout ne pas savoir ce qu'elle allait devenir, si ses parents allaient finir par se rapprocher l'un de l'autre pour la concevoir. La jeune femme se sentait perdue dans cette situation et elle espérait qu'en dehors de Poudlard, Tibus, son paternel n'était pas en train de s'amuser, surtout de s'amouracher d'une autre jeune femme que Télia. Et dans un même temps, la blondinette était en colère, nourrissant une haine inépuisable, inébranlable, contre Leopold Ziegler, que rien ni personne ne parviendrait à calmer, assurément. Cet espèce de petit bâtard avait voulu la tuer et pire que cela, en soit, il avait manifesté du plaisir au fait de voir ses collègues, ses camarades, souffrir. La jeune femme ne pouvait pas supporter cela. Elle ne pouvait pas pardonner. Le sorcier était pour elle un petit bâtard et elle espérait que tôt ou tard il aurait la monnaie de sa pièce, qu'il serait amené à avoir peur, à souffrir, à avoir mal. Pour lui ou pour une personne à laquelle il tenait, si tant était qu'il était en mesure d'aimer ou d'apprécier qui que ce soit, en dehors de sa propre médiocrité et de ses animaux bizarres.

Hurlant pour ne pas défoncer le crâne du vert et argent, la jeune femme ne s'attendait pas à attirer vers elle un autre des semblables de celui contre qui elle nourrie de tels griefs ce soir. Sursautant comme il lui adresse la parole, Serena l'observe une seconde, complètement buguée, alors que le sorcier demande si elle avait pour intention de faire peur à quelqu'un. Peut-être bien et peut-être bien que Leopold Ziegler ferait mieux de redouter la fureur de la lionne, au lieu de continuer à attiser le feu, à jeter de l'huile dessus, pas sa simple présence et la vision de sa face de rat qu'il lui imposait en cours, à son grand damne. Comment pouvait-il toujours être à Poudlard avec ce qu'il avait voulu faire contre d'autres élèves ? Comment pouvait-il être à Poudlard avec les crimes dont il avait manifesté l'envie, le désir ? Serena ne comprenait pas.

«- Et je peux savoir en quoi ce sont tes affaires ? Si vous autres vous n'étiez pas aussi débiles, aussi malveillant, malfaisant et pourris, on en serait pas là ! » grogne sauvagement la sorcière aux boucles blondes.

Réduisant la distance entre eux, Serena attrape cette fichue cigarette que le sorcier espérait fumer et elle tire dessus une, deux, trois fois, espérant ainsi se libérer la tête. Elle n'avait jamais vraiment fumé, hormis quelques fois en soirée. Et elle espérait que cela l'aiderait à se calmer, à l'apaiser, que cela lui ferait du bien. Avant qu'elle ne se décide à émasculer tout les serpentard garçons qu'elle pourrait croiser, ou arracher les cheveux de ces demoiselles à l'air hautain et dédaigneux.

«- Vous et tout les espèces de petits bâtards qui composent votre maisons de pourris adorateurs de Tu-sais-qui, prêt à tuer des camarades de classes pour se faire mousser, avec l'impression que ça les fera bander d'avoir un peu de pouvoir, quand ils ne savent ni qu'en faire, ni comment on fait jouir une fille. Un peu comme si tu commençais à préparer un gâteau sans le cuire : ni fait ni à faire..»
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Leroy M. Odgen
Leroy M. Odgen
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MessageSujet: Re: Leroy * Merlin punisse les imbéciles  Leroy * Merlin punisse les imbéciles EmptyJeu 18 Jan - 11:24

Merlin punisse les imbéciles
Leroy Odgen & Serena Winter
Les esprits s'échauffaient en ce moment et Leroy devait avouer qu'il ne comprenait pas vraiment pourquoi. Toute sa vie avait été chaotique aujourd'hui c'était le tour des autres de vivre ce que lui vivait continuellement. Oui il comparait son abandon et ses peines à vivre dans ce monde au fait de pouvoir mourir à chaque instant, d'affronter des mangemorts et de ne pas savoir si ses proches allaient bien. Cela semblait normal dans le cerveau de Leroy qui continuerait à vivre sa vie tranquillement jusqu'à ce qui puisse enfin obtenir la certification concernant son affiliation. Alors, à ce moment-là tout changerait. Montrer que ses parents étaient des sorciers montreraient au monde qu'il avait non seulement sa place à Poudlard mais également dans la maison serpentard. Ceux qui s'étaient plu à le rabaisser, pourraient alors fermer leur clapet et le respect un peu plus qu'aujourd'hui. Un bel avenir se dessinait devant lui, même si pour le moment Leroy restait toujours ce serpentard né-moldu dont on se demandait sans doute ce qu'il foutait là. Et ça lui allait plutôt bien, se balançant nonchalamment dans ses vêtements beaucoup trop grands pour lui, mais qui lui donnait une certaine allure, camouflant son corps maigrichon. Il était pauvre comparé aux autres de sa maison, n'ayant comme domicile pour le moment que l'orphelinat, qu'il devrait bientôt quitter pour trouver un endroit où crécher, sans famille et avec des relations toutes aussi complexes les unes que les autres. On ne pouvait pas se mentir, créer des liens avec les autres étaient tout simplement dangereux. Si on devenait ami avec quelqu'un on pouvait parfois s'attirer la haine d'une autre personne, c'est ainsi que cela fonctionnait dans la maison serpentard. Leroy, seul, comme bien souvent profitait du soleil, des beaux jours pour s'aventurer dans le parc, rencontrer des nouvelles personnes et il aurait sans doute mieux valut pour lui qu'il reste seul avec lui-même, au lieu d'aller voir d'où venait le cri qu'il venait d'entendre. Et pourtant sans doute pour créer une rencontre fructueuse, Leroy s'aventura à chercher qui avait pu pousser un tel hurlement. Et elle fut là. Il ne connaissait pas son nom, pouvait supposer sa maison et ne semblait pas vraiment heureuse de le voir ici en ce moment. Pas le moins du monde puisqu'elle grogna pour savoir si c'était ses affaires de savoir pourquoi elle criait. Leroy avait pourtant été aimable selon lui, il l'avait appelé ‘ma belle' et avait été plutôt poli. Il ne méritait sans doute pas qu'on lui grogne dessus. Surtout si c'était en suite pour l'insulter ouvertement. Il ne devait pas être la cible personnelle, mais elle critiquait bien les serpentard. « Ravi de voir que l'on ne m'avait pas mentit. Ainsi on mettra toujours tous les serpentard dans le même sac. » Il balança ça comme il venait de sous-entendre que tous les gryffondors haïssaient les serpentard, étant par la même occasion tous agressifs de ce qu'on avait pu lui dire. « Malveillant, non pas vraiment. Malfaisant, encore moins. Pourris, aux dernières nouvelles, je ne suis pas un fruit. Ouais je suis certain que ça ne peut pas être de moi dont tu parles. » rajouta-t-il. Rapidement elle rompit le peu de distance qu'il y avait entre eux tandis que Leroy allumait une cigarette. Sans même demander la jeune fille la lui vola et commença à fumer deux, trois taffes très rapidement. Elle ne prenait pas le temps ne savourait pas, mais si elle avait vraiment envie de fumer, elle aurait dû le lui demander. Leroy rechoppa le paquet qu'il venait de ranger, voyant qu'il ne lui restait qu'une dizaine de cigarette, avant d'en rallumer une et de tirer quelques taffes. Il sourit pour lui-même en pensant que voler la clope de quelqu'un qui avait l'avait déjà un peu fumé c'était comme l'embrasser par le biais d'un objet. Finalement, la demoiselle reprit de plus belle ses accusations. Elle devait avoir beaucoup de haine dans son petit corps surtout concernant les serpentard et Leroy devait bien avouer qu'il n'approuvait pas qu'on traite ainsi ses camarades de classe. Il l'écouta parler, les qualifier de bâtards, pourris, adorateur du seigneur des ténèbres. Elle parlait de tuer des camarades de classe, chose que Leroy n'envisageait pas pour le moment, pas tant qu'il ne le devait pas. Le serpentard roula des yeux lorsqu'elle en vint à utiliser la métaphore du sexe pour qualifier la manière dont se comportant ceux de sa maison. D'un ton très calme, il attendit qu'elle finisse avant de lui répondre : « Tu devrais te calmer, je pense. Déjà si tu voulais une clope, il suffisait de demander. Mais bon après je ne peux pas te blâmer de dire tout ça, faut toujours extérioriser ce qui nous tracasse. Ce n'est pas bon pour la santé de tout garder pour soit. » Voilà qu'il allait se transformer en psy pour une inconnue. Une fille qu'il venait tout juste de rencontrer, qui l'avait agressé sans raison et dont il ne connaissait même pas son prénom. Reprenant les politesses, le serpentard ne se gêna pas pour lui demander comment elle s'appelait « Au fait, je m’appelle Leroy. C’est toujours mieux de connaitre le prénom de la personne avant de lui crier dessus. » Il tira à nouveau sur sa clope, rendant son visage presque plus creux que d’habitude mais en expirant la fumée, son visage reprit une forme normale.

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Serena E. Tagel
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MessageSujet: Re: Leroy * Merlin punisse les imbéciles  Leroy * Merlin punisse les imbéciles EmptySam 20 Jan - 22:04
«- C'est peut-être parce que les trois quarts des serpentards sont bien contents de véhiculer cette image et qu'ils font tout pour la conserver ? » demande la jeune femme contrariée.

On peut le dire, Serena apprécie assez peu que son camarade la reprenne sur la maison de Serpentard. La demoiselle sait ce qu'elle a vu pendant la bataille ce jour-là et malheureusement, les événements ne donnaient pas raison aux serpentard. Ils n'avaient pas tous données une bonne image. Les trois quart n'étaient pas venus sur les lieux, de peur de croiser leurs parents sûrement ou par lâcheté, parce que ce ne sont pas des gryffondors. Ceux qui étaient venus étaient rares. Et parmi eux il y avait cet abruti de Leopold Ziegler, que la demoiselle déteste vivement depuis ce jour. Parce qu'il avait voulu la tuer.

Il a beau dire mais son propos agace Serena, sa défense de serpentard ne lui semble pas nécessaire. Après tout, ils ont choisit d'être des pourris. Leopold aurait plut choisir de faire le bon choix ou d'au moins rester à Poudlard et ne pas casser les couilles sur le champ de bataille. Mais non, il avait décidé d'en être, de se montrer. De faire le con. Serena ne le pardonnerait jamais pour cela. Et son agacement la fit foncer vers ce type dont elle ignorait le nom, alors qu'il sortait une clope, commençant à fumer. Lui dérobant l'objet, et loin des constatations charnelles de ce dernier sur l'idée du partage d'une cigarette, Serena commença à tirer quelques taffes pour se calmer. Elle qui ne fumait presque jamais se senti apaisée, d'un coup.

Le regard de Serena est noir quand l'homme lui suggère qu'elle doit extérioriser tout cela mais qu'il faudrait aussi qu'elle se calme. Et comment est-elle sensé faire les deux dans un même temps ? Ce n'est pas comme si les événements avaient donnés tord aux accusations de la demoiselle, malheureusement pour les quelques trop rares bons serpentards occupant cette maison.

«- C'est facile de dire aux gens de se calmer mais c'est pas toi qui a faillit te faire buter par un camarade de classe tu vois ? » demande vivement la jeune femme avant de tirer une nouvelle taffe sur sa cigarette. «Ce n'est pas toi qui a vu Ziegler manquer de te buter et qui ne dois ton salue qu'au fait que tu as été plus rapide que lui ! » lâche finalement la sorcière.

Alors se présenter, les politesses, oui cela avait été un peu le cadet de ses soucis, face à autant de colère renfermé en elle et qui voulait exploser aujourd'hui. Si Ziegler avait le malheur de passer par ici, Serena lui refaisait le portrait en bonne et dût forme malheureusement pour lui. La jeune femme n'était pas toujours très patiente. Surtout pas avec les cons. Et elle rêvait de l'encastrer dans un mur, de lui déboîter une épaule, de lui exploser le nez... Il faisait ressortir en elle un instinct qu'elle détestait.

«- Je suis Serena.» se contente de répondre la blondinette qui, au vu de son énervement et de la situation, ne peut guère se dire enchantée par tout cela. «Et si Leopold Ziegler vient à nous approcher, s'il te plaît ne me retiens pas, j'ai trop besoin de lui refaire la face... C'est pas mauvais cette merde... » Elle change de sujet, d'un coup, s'intéressant à sa cigarette.
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Leroy M. Odgen
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MessageSujet: Re: Leroy * Merlin punisse les imbéciles  Leroy * Merlin punisse les imbéciles EmptyLun 22 Jan - 20:18

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Leroy Odgen & Serena Winter
Leroy n’avait jamais fait attention aux guerres entre les gryffondor et les serpentard, ni même au caractère que chacun pouvait laisser voir devant les autres. Il était vrai que les verts et argent avaient parfois un côté très arrogant, voire méchant, mais Leroy trouvait que c’était stupide de juger tout le monde en fonction d’une seule. De même en voyant Serena, il n’allait pas se dire que tout les gryffondor étaient tous pareils, ce ne serait simplement pas convenable. Il y avait des méchants partout, dans toutes les maisons comme il y avait des gentils. Après Leroy n’aimait pas qualifier quelqu’un de mauvais ou de bon, chacun en portant une part au fond de lui, mais on ne voyait les autres qu’à travers ses qualificatifs, là où tout n’était que subjectif. Prenons Leroy en exemple. Il avait une allure de pauvre, un regard un peu narquois, une voix peu douce, tranchante et il apparaissait aux autres comme antipathique et se foutant de tout. Bien qu’on aime porter ce masque, il pouvait se montrer attentif et curieux des autres, sachant par ailleurs que ne pas se mêler des affaires d’autrui était un bon moyen de survies. Prenons Serena comme un autre exemple, elle était chez les gryffondor donc devait sans doute se montrer courageuse, mais derrière un visage d’ange blond, on voyait clairement une certaine force couplée à un sacré caractère. Leroy ne pouvait savoir si elle portait un masque et si elle avait toujours ce côté fonceur tout le temps, mais on jugeait tous les autres sur ce qu’on voyait au premier abord. Leroy n’était pas mécontent d’avoir suivit le bruit en voyant la demoiselle, car même si elle l’avait insulté gratuitement, voir un petit corps comme celui de la blonde garder autant de rage était pour le moins amusant. Intéressant même, surtout pour un caractère calme comme celui du serpentard. Elle l’avait insulté, en insultant les serpentard, n’ayant que très peu relever ce qu’elle avait dit, il avait parler calmement. Leroy ne comprenait pas qu’on puisse sans soucis agresser quelqu’un, l’énervement sans doute l’ayant poussé à agir ainsi. Alors peut-être que oui son avis sur les gryffondor serait faussé par sa rencontre avec la demoiselle, mais pour le moment il ne pouvait pas dire dans quel sens se déroulerait la discussion. Y réfléchissant, Leroy pensa qu’elle avait sans doute eu de la chance de tomber sur lui et pas un autre. La blonde sembla toutefois contrarier lorsque le serpentard balança que quoiqu’on fasse on les mettrait tous dans le même sac. Elle avait peut-être raison sur le fait que beaucoup aimaient véhiculer une certaine image, mais pas tous. « Les trois quart peut-être, mais tu oublies de parler du dernier quart. » Il en faisait peut-être partis et encore vu ses fréquentations, certains seraient capable de faire un amalgame et de ranger Leroy dans le même sac que les autres. Il tira un peu sur sa clope recrachant la fumée un peu plus loin pour éviter de froisser à nouveau la gryffondor. Mais cette dernière agacée par ce qui était dans sa tête ou peut-être par Leroy, lui chopa sa cigarette pour en fumer quelques taffes. Suffisait de demander pourtant. Le serpentard en ralluma une, laissant l’autre à la gryffondor qui semblait en avoir bien besoin. Philosophe, quand elle continua à l’agresser, Leroy parla de se calmer tout en extériorisant. Si elle n’avait sans doute pas compris la subtilité dont il voulait faire preuve, le serpentard tentait simplement de lui demander de ne pas l’agresser lui alors qu’elle semblait énervée contre un autre. Et elle ne lui donna pas tort. Alors que la gryffondor évoqua Leopold Zygler, Leroy tenta de ne pas s’étouffer en l’entendant parler. Ses toussotements se transformèrent en rire lorsqu’il eu finit. « Zygler ?!  Je comprends mieux ton agacement. Il est parfois un peu bizarre, mais je ne le pensais pas sincèrement méchant. Dis-toi que tu as été plus rapide que lui, c’est une petite victoire. » répondit-il avec un petit sourire. Leroy connaissait bien Leopold, camarade de dortoir, il avait été pendant un temps très curieux de ce que faisait son collègue de serpentard comme expérience avant que Popold lui demande de devenir un cobaye humain. Leroy devrait aller chercher son moldu de faux frère et le donner à son camarade sans doute que ça pourrait lui éviter de le faire de lui-même. Tentant de calmer le jeu, Leroy se présenta à la demoiselle qui s’appelait à Serena, puisqu’il était toujours mieux de savoir à qui on s’adressait avant de l’agresser. « Enchanté. » Elle était amusante comme jeune fille, du point de vue du serpentard. Il ne pensait sincèrement pas à retenir Serena si son ennemi venait à arriver. Déjà parce qu’elle avait l’air suffisamment en colère pour les maitriser tout les deux, mais en plus si Popold se l’était mise à dos ce n’était pour rien, Leroy en était conscient. « Si Léopold vient je te promets de ne rien faire. Qui suis-je pour t’en empêcher ? De toute façon vos histoires ne me concernent pas, j’étais simplement curieux de voir pourquoi une jolie fille criait ainsi. » Aller un petit compliment, pour lui montrer qu’il n’était pas méchant, cela pouvait être à double tranchant, mais Leroy avait dans l’esprit qu’aucune fille ne refuserait d’en avoir. Ou alors c’était qu’il traînait trop avec Kayla. Perdu dans ses pensées, Serena semblait intrigué par la cigarette qu’elle avait voler à Leroy. Ce n’était pas mauvais en effet il ne pouvait pas le nier, mais conscient que l’on devenait accro facilement, le serpentard haussa les épaules, comme pour montrer que ce n’était pas la meilleure chose au monde. « Pas mauvais oui, mais très nocif. Et ça rend addict. » dit-il alors en tirant une nouvelle fois sur sa cigarette.

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MessageSujet: Re: Leroy * Merlin punisse les imbéciles  Leroy * Merlin punisse les imbéciles EmptyLun 22 Jan - 23:41
«- Probablement parce que le dernier quart est trop mou, trop discret, trop effacé pour faire oublier toutes les ignominies des trois autres quarts, si bien que l'ensemble des étudiants de cette école ne retiennent que les persécutions dont les bâtards de ta maison son capable et non pas ceux qui pensent différemment de cette petite bande de salopard ? Si vous n'élevez pas la voix, si vous ne vous montrez pas, si vous ne vous débrouillez pas pour montrer aux autres que Serpentard, ce n'est pas seulement la maison de ces quelques salops, alors comment voulez-vous que l'école y fasse attention ? Au cas où cela vous aurais échappé, les connards monopolisent l'attention de tout les membres de notre ensemble scolaire. Et dans ce cas, que pouvons-nous faire ?»

La jeune femme lève un sourcil face à la réflexion que le sorcier lui fait sur le dernier quart qu'elle semble oublier, dans la maison de serpentard. Mais cette dernière, à vrai dire, a un avis tout tranché sur cette question. Et si elle ne parle pas de ce dernier quart de la maison serpentard, si elle ne parle pas de ceux qui sont soit-disant les moins terribles de la maison, il y a une raison toute simple à cela : c'est que les trois autres quarts, les perfides, les inhumains, les connards, prennent pour eux toute l'attention destinée à la maison de Serpentard, laissant dans l'ombre leurs collègues. De ce fait personne ne pouvait vraiment avoir le moindre intérêt pour cette fameuse catégorie de serpentard, parce que finalement personne ne les connaissait. Et si les serpentards les plus modérés n'essayaient pas de faire entendre leur voix pour dire à tous que le jugement sur la maison serpentard était erroné, qui donc le ferait ?  

La jeune femme tire une taffe, puis deux, puis trois, sur la cigarette qu'elle a volé, emplissant ses poumons de cette saloperie. Si sa maman la voyait faire il y a fort à parier qu'elle ne serait pas contente du comportement de sa fille et qu'elle s'empresserait d'enguirlander Serena parce que la cigarette c'est mal. Oui, peut-être mais la demoiselle à vrai dire n'en a que faire. Elle a envie pour le moment d'oublier ses problèmes et sa fureur, d'oublier sa colère contre Ziegler. Elle avait littéralement envie de le défoncer, de le massacrer, de lui casser la gueule et s'il passait à proximité, nul doute qu'elle le ferait. Et Leroy qui ne le pensait pas vraiment méchant ! Ce n'est pas lui qui avait faillit crever, fatalement, il ne pouvait pas savoir que l'autre était un parfait connard.

«- Oui ça c'est parce qu'il n'a pas voulu te faire la peau à toi ! Personnellement j'ai toujours sut que ce type était un parfait connard et c'est pas comme si les événements m'avaient donnés tord tu vois ! » lance la demoiselle d'un air rageur. « Je le déteste, je le hais, je le méprise, je le grrrr ! »

En soit même Tibus 1977 lui était plus supportable que cet immonde connard que pouvait être Leopold Ziegler et que la demoiselle détestait au plus haut point, de toutes ses forces. Et elle est satisfaite d'apprendre que ce garçon qui se dit enchanté de la rencontrer n'interviendra pas pour sauver la mise à Leopold si ce dernier décide de se pointer dans les environs.

«- Merci. » se contente de répondre la sorcière sans relever le fait qu'il l'ait complimenté mais sans le réprimander pour cela non plus. Stoïque, en quelques sortes. Elle tire encore sur sa clope. «Ouai c'est bon c'est pas comme si je fumais tout les jours, t'es pas ma mère non plus. » répond la jeune femme sans être vraiment sèche. La sorcière tire encore une fois. «j'en grille sûrement moins souvent que toi à bien y penser ! » fait-elle remarquer dans la mesure où elle-même n'a pas de clopes sur elle à l'origine.
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Leroy M. Odgen
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MessageSujet: Re: Leroy * Merlin punisse les imbéciles  Leroy * Merlin punisse les imbéciles EmptyMer 24 Jan - 22:03

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Leroy Odgen & Serena Winter
Leroy ne regrettait pas d’être venu voir d’où provenait le bruit. Sans doute que s’il avait continuer sa route sans regarder, il aurait loupé une occasion de s’amuser. On ne pouvait pas vraiment ignorer les bruits, les gens au alentours avaient dû fuir en entendant le cri de Serena. Leroy considérait ça étrange de voir qu’un petit corps comme celui de la gryffondor était capable de bouillonner autant de rage. ET d’être autant agressive envers une personne qu’elle ne connaissait pas. Car peut-être qu’il n’aurait pas dû venir, mais d’une certaine manière il pouvait comprendre qu’on ait envie parfois de laisser sa colère explosait. Dommage sans doute que Leroy fut à serpentard, puisque s’il avait été dans une autre maison, il n’aurait pas pris autant cher. Et encore peut-être qu’elle aurait trouver un autre moyen d’extérioriser sa colère sur le pauvre jeune homme. Encore une fois Leroy comprenait que le fait qu’il soit dans la maison de serpentard lui portait préjudice donnant une vision fausse que les sang-purs de sa maison véhiculait de manière à se faire haïr des autres. Ils aimaient montrer leur inutile supériorité sur des sangs qui n’étaient pas purs, considérant les autres comme indigne de leur présence. Et pourtant tout le monde vivait à l’école ensemble, Leroy partageait un dortoir avec des gens qui ne l’appréciaient pas, ils survivaient au huit clos tous ensemble. Et aller on se tien la main en plus comme une joyeuse petite assemblée.

Serena ne parlait que d’une partie des serpentard dont Leroy ne faisait pas partit tout en se mélangeant avec eux. Il releva le fait qu’elle n’en parlait pas, mais par cette réflexion, à nouveau le serpentard se prit beaucoup de commentaire négatif. Autant pour les trois quarts dont elle parlait, il s’en fichait, autant là, Leroy faisait partis de ceux dont elle parlait. Haussant un sourcil, perplexe, il se mit soudain à sourire. « Trop mou ? Discret je ne te contredirais pas, mais je suis loin d’être mou. » Il accentua le dernier mot, tira une taffe sur sa cigarette avant de reprendre. « Je ne vais pas aller mener une révolution pour montrer que tout les serpentard ne sont pas pareil, tu m’attristes simplement en me montrant que tu juges avant même de connaitre la personne. Mais je comprends que tu puisses agir ainsi en cet instant précis, vu ta colère, je ne t’en tiens pas rigueur. Et tous les connards dont tu parles la meilleure des choses à faire est de les ignorer, au moins au bout d’un moment ils lâcheront l’affaire. » Cette manière de faire avait fonctionné avec Leroy, mais il ne se rendait pas compte que tout le monde n’était pas comme lui, aussi détendu sur la question. Serena continua à tirer sur la cigarette qu’elle avait volé, lui parlant alors de la cause de son cri et de sa colère qui n’était autre que Léopold Zygler, serpentard. Manquant de s’étouffer, Leroy tenta de prendre la défense de son camarade de dortoir, mais c’était vain puisque lui-même bien que n’ayant pas de haine à proprement parler pour Leopold ne le portait plus vraiment dans son cœur depuis qu’il voulait l’utiliser comme cobaye. Peut-être qu’un jour il allait finir par comprendre ou que Leroy acceptera. Mais le serpentard tenta quand même. Cause perdu, Serena ne se gêna pas pour lui rappeler qu’elle avait faillit mourir à cause de Léopold, profitant par l’occasion pour l’insulter. Tirant à nouveau sur sa cigarette, Leroy remit au clair la situation. « Théoriquement si, il veut quand même me faire la peau, pas de la même manière certes. Disons qu’il n’a pas pu mettre en pratique son plan me concernant. » Et puis lorsqu’elle commença à pousser une petite crise de colère, elle finit par un grognement qui fit bien rire Leroy. « Grrr, grrr, Graou ? T’es bien une lionne toi. » Il ne voulait pas être méchant, mais se moquer gentiment était un bon moyen d’oublier sa colère.

Même si la situation dans laquelle se trouvait Serena l’amusait, il ne rentrerait pas dans les histoires qu’elle avait avec Léopold, à quoi bon, si ça ne le concernait pas directement. En soit si son camarade de maison venait à les surprendre, Leroy irait simplement faire un tour ailleurs. Il en profita en répondant à la gryffondor, il en profita pour lui glisser un petit compliment, montrant alors qu’il n’avait pas l’intention d’être méchant ou encombrant pour elle. Ne sachant pas si le merci qu’elle lui donna concernait le compliment ou le fait qu’il ne se mettait pas en travers de son chemin si Léopold venait. « De rien » répondit-il simplement, avec un certain calme, amenant pas la même occasion sa cigarette qui diminuait. D’ailleurs il n’était pas certain d’en donner une autre à Serena si elle lui demandait, ou peut-être que si en fonction de comment continuerait la discussion, mais si Leroy fumait plus régulièrement que la gryffondor, il connaissait les risques. Le serpentard ne voulait pas être la cause de l’addiction de Serena. « Ho non je le saurais si j’étais ta mère. Mais j’imagine que si tu parles d’elle c’est qu’elle ne serait pas d’accord sur le fait que tu fumes. » C’était indéniable, aucun parent n’aimait voir son enfant fumé, Leroy n’en avait plus comme ça c’était réglé et s’il retrouvait ses parents biologiques, ceux-ci ayant été absent si longtemps n’aurait absolument rien à dire. « Je fume régulièrement oui, dès qu’on ne me voit pas et en général loin des gens. » Ici lui avait semblé être le bon endroit pour le faire, il voyait mal à la base comment une inconnue à la ase, qui au final lui en avait pris une aurait pu dire quoique ce soit sur le fait qu’il fume.

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Gryffondor * 18 ans * Première année universitaire * Neutre * Bisexuelle * Serena aime faire la fête et jouer au quidditch * Elle était gardienne * Fille de Tibus et Telia * Filleule de Charlotte et Caleb * Veut devenir professeur de DCFM * Déteste les mangemorts * A fait parti de l'AD * A le goût de la fête * Vierge * Croit à l'amour pur, mais découvre que son père lui a bien menti...


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MessageSujet: Re: Leroy * Merlin punisse les imbéciles  Leroy * Merlin punisse les imbéciles EmptyJeu 25 Jan - 18:29
La jeune femme lève un sourcil en entendant la réflexion que Leroy lui fait, disant qu'il est discret mais loin d'être mou. L'accentuation sur le dernier mot provoque une grimace sur le visage de la petite blondinette, encore marquée par les préceptes de ses parents et par leurs propos quand à la sexualité. Elle comprend bien ce que le jeune homme souhaite sous-entendre, mais elle ne relève pas et ne semble pas vraiment intéressée. La demoiselle est loin d'accorder de l'importance à ce genre de choses. Elle est encore vierge, encore pure, loin de penser à tout cela. Et le comportement des hommes, le comportement de son père surtout, lui est on ne peut plus désagréable. La jeune femme en conserve une certaine image bien particulière des hommes, si ce n'est une rancoeur. Elle leur en veut, d'une certaine façon, de ne penser qu'à cela, de ne pas savoir se fixer. Naturellement elle se trompe un peu, mais c'est l'interprétation qu'elle se fait des propos de ses parents et de l'attitude de Tibus Tagel en cette époque.

«- Ouaip mais là tout de suite je n'ai pas envie de vérifier cette théorie avec toi, trouve quelqu'un d'autre. » répond la sorcière en levant un sourcil, le dévisageant, avant de hausser les épaules. «Si toi, et les autres, vous ne vous bougez pas pour faire changer les choses, pour dire à tous que les serpentards ne sont pas seulement les petits connards que l'on croise dans les couloirs et qui n'ont de cesse d'emmerder leur monde, de se prétendre supérieur, d'écraser le reste des étudiants alors ne venez pas vous plaindre de l'idée que l'on se fait de votre maison. Si ce n'est vous, qui ? Si ce n'est maintenant, quand ? » demande la demoiselle. « Et si l'idée de vous élever seul pour faire entendre votre voix vous dérange, alors dîtes vous que ce n'est pas la lutte solitaire qui fera quoi que ce soit, mais bien l'union, l'entraide, l'idée selon laquelle vous valez plus que cela, plus que cette image que l'on a de vous à cause des autres.»

La jeune femme aux boucles blondes s'énerve, s'agace. Elle a tiré le caractère de feux de ses parents, en même temps qu'elle a volé l'or de leurs cheveux. La sorcière est loin d'être calme et douce, il y a ces moments où elle est capable de péter littéralement les plombs, capable d'envoyer bouler tout le monde, capable de montrer toute l'ampleur de sa haine, de sa colère. La rouge et or n'accepte pas d'entendre son interlocuteur essayer de défendre Leopold, après tout l'homme en vert et argent a essayé de la tuer. Et même si Leroy prétend être dans le même cas de figure, Serena ne le croit qu'à moitié. Comment peut-on rester aussi calme quand un camarade de classe essaie de nous tuer ? Comment peut-il continuer de fumer sa cigarette sans réagir d'avantage à cela ? La jeune femme ne comprend pas comment l'homme peut rester si stoïque en parlant du fait qu'un collègue, qu'un garçon de son âge, puisse vouloir le tuer.

«- Et c'est tout ce que ça te fait ? Un camarade de classe tente de te nuire, de te tuer et tu le prend à la rigolade, en te moquant de moi par la même occasion ? Oui, grrrr grrr grrr et oui je suis une lionne. Mais si l'idée qu'un gamin de dix-sept ans veut te tuer ne te choque pas plus que cela, je pense que tu as un sérieux problème ! » lance Serena surprise, médusée, contrariée. Pourquoi n'a-t-il pas peur ? Pourquoi n'est-il pas en colère comme elle peut l'être elle-même ?

La demoiselle opine de la tête. Non en effet sa mère ne serait pas ravie si elle la voyait en train de fumer. Mais dans un même temps sa maman n'est plus là. Enfin si elle est là mais n'est pas encore sa mère, n'a pas encore conscience de son rôle pour elle. Si bien que si Télia venait à passer à l'instant T elle n'accorderait aucune importance au geste de sa fille alors que cette dernière tire pourtant une nouvelle bouffée sur sa cigarette, cette cigarette volée et salvatrice.

«- Non ma mère ne serait pas d'accord pour me voir fumer mais ma mère n'est pas à Poudlard pour voir ce que j'y fais alors on va dire que ce qu'elle ne sait pas ne peut pas lui faire de mal. Ce que ma mère ignore ne peut pas m'être reproché. Et ce n'est pas comme si je fumais tout les jours, sans arrêt aussi je pense que ma mère ne sera pas trop chagrinée, même si elle pense que ces choses détruisent les poumons et qu'elle a sûrement raison, parce que c'est une serdaigle et elle sait ce qu'elle dit. Toi si je comprend bien tu es un consommateur plus régulier ? » élémentaire mon cher Watson, puisqu'il dit le faire dès qu'il en a l'occasion.
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MessageSujet: Re: Leroy * Merlin punisse les imbéciles  Leroy * Merlin punisse les imbéciles EmptyVen 26 Jan - 17:25

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Leroy Odgen & Serena Winter
Le jeune homme avait toujours possédé un certain calme, même quand on lui criait dessus il ne voyait pas l’utilité de s’énerver contre les autres si ceux-ci l’était déjà. Tout ceux qui lui gueule dessus l’amuse parce qu’en général Leroy ne fait rien pour énerver les autres, ou alors ce n’est pas conscient. Peut-être d’ailleurs que la colère qu’avait Serena envers Popold allait se diriger vers Leroy, mais pour le moment le jeune homme se plaisait simplement à la taquiner sur d’autres sujets, faisant clairement des sous-entendus pour voir ce qu’elle allait répondre. On pouvait apprendre beaucoup de choses sur les gens en les mettant dans des situations plus ou moins embarrassante, mais elle ne fit que lever un sourcil. Leroy comprit alors que ce genre de remarque était perçu comme étant déplacé. Il n’allait pas chercher à en faire plus, même si continuerait sans doute à la complimenter de temps en temps. Une belle femme se devait de le savoir, on devait être capable de lui dire qu’elle était jolie, même si on la gênait parce qu’elle était trop timide. Serena n’avait pas l’air d’une fille timide, elle parlait franchement quand elle avait quelque chose à dire et c’était très différent de ces hypocrites qui aimaient caresser dans le sens du poil. Elle lui expliqua clairement qu’elle ne voulait pas vérifier et cela fit sourire le jeune homme. Un demi-sourire. « Ce n’est pas toujours simple de trouver quelqu’un, tu sais. Mais soit tu ne veux pas vérifier je ne t’embête pas plus avec ça. »

Leroy ne connaissait pas suffisamment Serena, il la rencontrait tout juste, alors oui il agissait comme un homme, s’amusant de ses réactions, de ce qu’elle faisait et disait, sans forcément chercher à être méchant. On pouvait dire de lui qu’il l’était, mais ce n’était pas conscient ou alors non voulut. Peu importait on interprétait tout mal de toute façon. Comme le fait de juger les serpentards à cause de certains qui agissaient comme des crétins, se croyant supérieur aux autres et ne pouvant s’empêcher de le rappeler sans arrêt. Et il avait beau dire qu’il pensait ne pas en faire partie, Serena ne voulait rien entendre. Elle le jugeait à cause de sa maison. Elle pensait que s’il n’était pas comme les autres, il pouvait très bien lancer une révolution. Leroy soupira. Serena ne comprenait pas. Ce n’était pas au dernier quart d’essayer d’exister, c’était aux autres d’arrêter de juger si facilement, de mettre tout le monde dans le même panier. Et même s’il comprenait pourquoi la gryffondor l’avait fait au début, sous le coup de la colère, ce n’était pas la première fois qu’il voyait ce genre de comportement chez les autres. « Allons bon, c’est à nous de faire tout le travail ? Pourquoi faire honnêtement ? Ceux dont que tu cites sont nombreux alors quoiqu’on fasse, les gens continueront à juger sur une appartenance. Au final ce qui font ça ne valent pas mieux que ceux que tu critiques. » Il n’allait pas caresser la jeune fille dans son sens, elle l’avait fait avec lui et sans doute qu’elle ne se rendait pas compte que c’était tout simplement agaçant à la longue. Leroy n’allait pas aller contacter tout ses camarades pour leur demander d’agir différemment. Chaque personne était unique, différente et c’était ce qu’il fallait dans le monde. Même Serena était sans doute différente des autres gryffondor, alors pourquoi regarder uniquement un écusson au lieu d’aller chercher au-delà.

Leroy continue à fumer, écoutant ce que Serena lui raconte concernant son camarade de maison. Le serpentard avait tenter de prendre se défense, mais c’était vain. A quoi bon ? Si on risquait de mourir, on pouvait bien haïr la personne. Mais il restait calme même en sachant que Leopold voulait utiliser le corps de Leroy dans ses expériences bizarres. Le jeune homme ignorait tout ce que son pote – si on pouvait dire ça – avait prévu pour lui, mais il n’avait pas peur. Il s’en fichait et n’avait même pas pris le temps à Serena d’expliquer pourquoi Léopold en voulait à sa vie. D’un autre côté, Leroy était content que la jeune femme ait été plus rapide et ne soit pas morte sur le coup sinon il n’aurait jamais pu la rencontrer. Il tira une nouvelle fois sur sa clope. Elle ne comprenait pas qu’il soit aussi calme face au fait de savoir qu’il pouvait mourir, qu’il le prenne comme une blague. Oui Leroy c’était moqué de Serena et de sa manière dont elle avait montré son agacement, mais cela n’avait rien à voir avec le fait de mourir des mains de Léopold. Le serpentard se surpris à sourire en voyant qu’il arrivait à agacer la gryffondor. Ce n’était pas un jeu, mais c’était toute de même amusant. Il attendait simplement le moment où elle se calmerait vraiment ou encore où elle lui mettrait une baffe. Qu’elle sorte les crocs, telle une vraie lionne. « Oui c’est tout. Je connais suffisamment Popold pour savoir que même si c’est un cinglé, je n’ai pas de raison d’avoir peur de lui. Parce que c’est l’idée non ? Derrière ta colère il y a la peur de perdre la vie à cause de lui. Je n’ai pas un sérieux problème, je pense seulement que lorsqu’on parle de Zygler on doit s’attendre à tout. » Il n’avait sans doute pas tort. Le cerveau de Leopold n’était pas conçu comme la plupart des autres, mais c’était ce qui le rendait intéressant pour Leroy. On ne pouvait pas prévoir son comportement, on subissait simplement et on observait. Une fois qu’on savait ça, on se méfiait de tout et cela permettait de ne pas s’énerver. Et puis bon si Leopold venait à s’en prendre à Leroy sérieusement, Kayla irait prendre la défense de son ami. Personne ne voulait voir Kay énervée, personne.

Continuant tous les deux à fumer, Serena semblait découvrir le goût d’une cigarette. Leroy expliqua que c’était nocif et que personne ne souhaiterait à quelqu’un de commencer à fumer, surtout pas les parents. Il n’était personne pour la gryffondor, il n’avait sans doute pas le droit de lui dire quoi faire, mais puisqu’elle avait parlé de sa mère, le serpentard joua sur cette carte. Et lorsqu’elle parla de sa maternel, Leroy fut complètement perdu. Serena racontait beaucoup de chose, du fait que sa mère n’était pas là, qu’elle ne pourrait pas savoir, mais qu’en même temps elle ne cautionnerait pas ça. Lorsqu’elle eu fini, le jeune homme la regarda quelque peu surpris. « Tu m’embrouilles. Mais est-ce que tu ne culpabiliserais pas un peu de fumer, par hasard ? » répondit-il simplement en tirant à nouveau sur la cigarette. Vu tout ce qu’elle venait de lui dire ce ne serait pas étonnant qu’elle se sente mal de le faire, d’avoir voler une clope et de fumer alors que sa chère mère ne voudrait pas. Ha les parents, heureusement pour lui qu’il n’en avait pas. Personne n’avait le droit de lui dire de ne pas faire quelque chose et c’était une réelle liberté. Serena lui demanda alors si lui fumait plus régulièrement, même s’il pensait avoir été clair dans sa réponse précédente. « Plus régulièrement que toi sans aucun doute. » répondit-il à la question. C’était sans doute évident, il avait un paquet dans sa poche ce n’était pas pour faire joli.

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Serena E. Tagel
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MessageSujet: Re: Leroy * Merlin punisse les imbéciles  Leroy * Merlin punisse les imbéciles EmptyVen 26 Jan - 19:51
La demoiselle lève un sourcil quand, comme elle suggère au jeune homme de trouver quelqu'un d'autre avec qui vérifier la théorie selon laquelle il est loin d'être mou, ce dernier répond que ce n'est pas toujours simple de trouver quelqu'un. La rouge et or n'apprécie pas tellement la réflexion du jeune homme, elle ne la trouve pas très gratifiante et quelque part, son égo en est meurtri, égratigné. Après tout la demoiselle n'a pas tiré un caractère doux et tranquille, au vu des parents qui sont les siens. La lionne n'a rien d'un agneau ou d'une biche, bien au contraire. Quand on la contrarie, elle est capable de surprendre et pas nécessairement dans le bon sens du terme, de sortir les griffes, de mordre.

«- Alors tu insinue quoi ? Que je suis ta solution de facilité ? » demande la jeune femme en haussant un sourcil un peu plus haut encore.

Elle ne l'a pas bien prit non vraiment et si Leroy n'a pas comprit qu'il a déconné sur ce coup-là, tant pis. De toute façon aux yeux de Serena l'affaire est close. La blondinette se braque. Ce n'est pas comme cela que l'homme parviendra à quoi que ce soit avec elle. La jeune femme n'est pas une poupée et les hommes la dégoûtent de plus en plus. Tibus surtout, son propre père. Mais Leroy n'arrange pas le cas de ses condisciples avec son comportement, en proposant ainsi à une jeune femme, qu'il ne connaît ni d'Eve ni d'Adam, si elle veut vérifier avec lui qu'il ne soit « pas mou ». Son sous-entendu, la jeune femme l'a comprit évidemment et il ne lui sied guerre. Elle n'est pas comme ça, elle a suivi les conseils que ses parents ont osé lui donner et continu de le faire, bien que la découverte de la vraie nature de son paternel aurait put la pousser à remettre en doute tout ce qu'il a put lui enseigner.

«- C'est à vous de montrer quand les gens ont tord, en général ils s'en rendent assez peu compte tout seul.» répond la jeune femme avec un haussement d'épaules.

Pour Serena les choses sont claires, faciles, évidentes. Si ces chers serpentards de la minorité ne veulent plus être affiliés aux mauvais comportement de la majorité alors il leur appartient de faire changer cette opinion erronée que les gens ont. C'est à eux de démontrer que les gens se trompent et que tout les serpentards ne sont pas nécessairement aussi mauvais que la majorité le laissent penser. Mais comment les étudiants pourraient s'en rendre compte s'ils ne voient que le mauvais côté de la maison ? Si ces mauvais éléments, aux mauvaises actions, se font dominants, surexposés ? C'était à ces autres qui souffraient des mauvais jugements, de se sortir les doigts des fesses pour prouver au reste des étudiants qu'ils se trompaient lourdement sur leur compte et que tous n'étaient pas, en effet, comme ces serpentards que l'on voyait partout, hautain et passant tout leur temps à rabaisser les «sang-impurs» ou les autres maisons.

Elle lève un sourcil comme il parle avec tant de calme de Leopold et du fait que ce dernier apparemment menace la vie de Leroy. Pour la jolie blonde il est impensable de rester aussi calme quand on se dit être la ,victime potentielle d'un fou furieux qui souhaite nous voir mort. Ou qui sans forcément le vouloir serait tout de même capable de la provoquer pour le bien de ses petites expériences sordides. La demoiselle ne comprend pas que son interlocuteur puisse lui avouer cela sur un ton pareil, presque flegmatique.

«- C'est tout l'effet que ça te fait je n'en reviens pas. » se contente de dire la jeune femme.

Et évidemment il a raison, sa colère est motivée par la peur de mourir. Mais pas seulement. Elle est aussi motivée par le fait que la jeune femme trouve le comportement de Leopold et surtout les pensées de ce dernier totalement abjectes. La demoiselle ne le supporte pas et elle ne supporte pas la discrimination qui est faites vis à vis des nés moldus non plus. Pour elle tout ceci est idiot et en partageant ce genre de pensées, Leopold est forcément un être méprisable.

«- Je suppose que ce n'est pas la meilleure idée que j'aurais eut de toute ma vie et que ce n'est pas non plus la meilleure des choses à faire, cependant... Non je ne regrette pas. Quelque part cette chose fait du bien. » répond la jeune femme en haussant les épaules négligemment. Et peut-être que si elle ne part pas casser la gueule de Leopold, ce dernier devra son salut à cette clope qu'elle aura dérobé à son camarade de classe en vert et argent. "Et toi, aucune envie de meurtre à confier ?"
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MessageSujet: Re: Leroy * Merlin punisse les imbéciles  Leroy * Merlin punisse les imbéciles EmptyDim 28 Jan - 15:21

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Leroy assumait complètement ce qu’il avait dit à Serena. Car il en la voyant réagir il avait clairement vu que sa réflexion ne lui avait pas plu. Ainsi le petit serpentard avait réussi son pari de la faire réagir, de voir ce que cela pouvait donner si on plaçait ce genre de phrase dans une discussion. N’allait pas croire qu’il ait l’habitude de sortir ce genre de chose, ce n’était pas son genre lui qui n’aimait pas tout ce qui touchait de trop aux relations sociales à la base, mais comme toute personne qui portait un masque, il avait pris soin de rentrer dans un jeu de ce qu’on pouvait attendre de lui. Leroy n’allait pas s’amuser à agir comme les sangs-purs de serpentard certes, mais agir comme les hommes avaient parfois tendance à le faire ne pouvait pas être négatif. Il apprenait des choses sur Serena. La réflexion était sans doute déplacée, mais le sourcil levé la gryffondor lui demande alors si elle serait la solution de facilité. Il la fixe de son regard presque sans expression. Allons bon voilà qu’elle interprète ses propos. Leroy ne voyait pas Serena de cette manière-là, il savait très bien que les filles pouvaient sans doute être facile à avoir si on s’y prenait bien, mais c’était plus intéressant d’essayer de l’avoir si la fille en question avait quelque chose de plus complexe que les autres. La facilité ce n’était pas son truc et ce n’était dans tous les cas, pas facile de trouver quelqu’un de suffisamment intéressant pour avoir envie de sortir avec cette personne. Ou alors peut-être que c’était Leroy qui s’y prenait mal et aurait dû dire oui a des filles intéressées, le relationnel tout ça, être proche de quelqu’un, l’aimer, sortir avec, coucher avec, le serpentard n’avait qu’eu une expérience de ce type et quand il voyait comment ça se passait maintenant, Leroy en venait à se dire qu’il aurait mieux fait de ne rien faire, de ne pas tenter l’expérience. Il valait mieux qu’elles réagissent comme Serena, au moins pas de problème. Ce qui ne l’empêcherait pas de la complimenter s’il pensait que c’était nécessaire. Après tout leur rencontre n’avait pas bien commencé, Leroy ne voulait pas que la gryffondor continue à lui hurler dessus pour rien. Et surtout pas qu’elle en vienne aux mains. « Du tout. Je n’ai jamais parlé de facilité, j’ai dit tout le contraire. » répondit-il tout simplement. Clairement non il ne considérait pas Serena comme un choix de facilité. Pas en l’ayant vu aussi en colère. Ce serait de penser de cette manière.

Si Leroy avait réussi à apaiser quelque peu Serena pendant un temps, ce genre de réflexion n’avait pas améliorer son cas. Il avait beau essayer de prendre la défense des serpentards, de ceux qu’on traite comme des connards alors qu’ils n’ont à se reprocher que le fait d’exister. Et la gryffondor ne semblait pas comprendre un seul instant le point de vue de Leroy qui pourtant essaye de montrer que peu importe ce que fera le dernier quart il y aura toujours des personnes pour mal les juger. Le serpentard n’aimait pas vraiment la manière dont Serena se le permettait, mais il ne s’énerva pas pour autant, jugeant ça complètement inutile. Elle ne le connaissait, elle ne savait donc pas que derrière le jeune homme se cachait une histoire, peu approuvée par les autres de sa maison et qui de ce fait, faisait que nombreux étaient ceux qui le méprisait. Alors il la fixa, la clope au bec, avec un regard complètement neutre, calme alors qu’elle continuait à lui dire que c’était à eux de montrer que tout les serpentard étaient différent. Il tira une bouffé avant de lui répondre. « On essaye crois-moi mais c’est compliqué quand tout le monde a déjà un image de vous sans forcément vous connaître. Après tout tu viens tout juste de le faire alors que je n’avais prononcé qu’une phrase. D’autant que n’étant pas le seul serpentard que tu dois connaitre, si on oublie Leopold, tu as probablement rencontré une personne du dernier quart non ? » Il n’aimait pas son comportement, s’imaginer que seulement quelques personnes devaient se soulever alors qu’une majeure partie continuerait à les juger et les percevoir comme des connards. Leroy comprenait mieux cette haine que les serpentard avaient envers les gryffondor. Comment être différent quand ça ne servait à rien parce que les autres avaient un apriori sur vous ? Serena ne s’en rendait même pas compte, elle était gryffondor après tout. Et en y pensant Leroy se surpris à penser que les rouges et or se pensaient également mieux que les serpentard. Chassant cette idée de sa tête, voulant se montrer courtois et aimable envers la jolie demoiselle, il l’écouta parler de sa haine envers Leopold. Elle ne comprenait pas le calme dont faisait preuve Leroy face à une mort possible. La peur gâchait la vie, tout comme la colère, c’était inutile de ressentir ce genre de sentiment. Le serpentard s’étira un instant, alors qu’elle lui posait une autre question, puis s’adossa à nouveau contre l’arbre. C’est tout l’effet que ça me fait, en effet. Tu t’imagines si Léopold apprenait que tu as peur de mourir de sa main ? Cela lui ferait trop plaisir. » répondit-il avec un sourire. Leroy n’avait pas tort, il connaissait suffisamment son camarade de maison pour savoir que s’il avait de l’emprise sur quelqu’un cela le ferait fulminer de joie.

Comme pour approuver ses propos, la demoiselle continua de fumer sur la clope volée, qui semble lui faire du bien même si le fait que sa mère n’approuverait pas semble la contrarié. Leroy percevait ça de cette manière en entendant son petit discours qui avait sans doute plus un but de se parler à elle-même que d’expliquer à Leroy pourquoi elle fumait. Le serpentard s’en fichait, c’était sa vie, mais elle semblait culpabiliser un peu en pensant à sa maman. Et il ne pouvait pas nier que la voir ainsi l’amusait. « Oui ça fait beaucoup de bien et je préfère de loin ça à l’alcool. » Leroy n’était pas très soirée, surtout alcoolisé. En général il préférait rester dans son coin, sans que personne ne vienne l’embêter. Ou il n’y allait simplement pas. Le serpentard en avait discuté avec Melody des soirées et il attendait qu’elle réussisse son défi afin de voir si elle était capable de le convaincre. Mais ce serait un autre jour. Leroy lui expliqua que lui fumait plus souvent sans doute grâce à ça il possédait un certain calme, mais elle changea de sujet en lui demandant s’il n’avait pas des envies de meurtre à confesser. Le serpentard regarda le ciel, réfléchissant. Il pensa à ceux qui souhaiteraient sa morts, Hélios par exemple, la cours de Kayla, surement Julius aussi et bien sûr Popold, d’une certaine manière. Mais de lui-même il n’avait pas envie de tuer quelqu’un, enfin peut-être ses parents adoptifs, il fut un temps, mais ça lui était passé. « Pas vraiment. Je pense que j’ai plus de raison de craindre d’en être la victime vu les personnes que je fréquente. Ce n’est pas simple les relations avec les autres. » Ha ça non ça ne l’était pas, on se liait d’amitié avec quelqu’un et on risquait à un autre moment de contrarier une autre personne.

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Serena E. Tagel
Serena E. Tagel
Bonjour ! J'appartiens à la maison : Gryffindor J'ai posté : 245 hiboux. Grâce à moi ma maison a gagné : 3 pour une aventure ! Je suis de la génération : 1998 . Je suis un aventurier : Oui, légères A savoir sur toi :
Gryffondor * 18 ans * Première année universitaire * Neutre * Bisexuelle * Serena aime faire la fête et jouer au quidditch * Elle était gardienne * Fille de Tibus et Telia * Filleule de Charlotte et Caleb * Veut devenir professeur de DCFM * Déteste les mangemorts * A fait parti de l'AD * A le goût de la fête * Vierge * Croit à l'amour pur, mais découvre que son père lui a bien menti...


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MessageSujet: Re: Leroy * Merlin punisse les imbéciles  Leroy * Merlin punisse les imbéciles EmptyDim 28 Jan - 18:45
La jeune femme lève un sourcil, peu convaincue par les dires de son interlocuteur qui prétend ne pas avoir parlé de facilité. Pourtant il lui a demandé de vérifier ensemble s'il était mou, ou son contraire. Ce n'était pas une véritable proposition, mais tout de même. Et voilà que finalement quand elle refusait en lui disant de trouver quelqu'un d'autre, il lui répondait que ce n'était pas facile à trouver. Mais comme il venait de le lui proposer juste avant, la blondinette avait quelque peu interprété les propos du sorcier. Elle ne devrait probablement pas faire cela mais tant pis, elle l'a fait. Elle a prit des raccourci dans les propos de son interlocuteur pour comprendre ce qu'elle avait bien envie de comprendre. Elle ne devrait pas faire cela c'est certain, mais ne peut guère revenir en arrière. Quoi qu'il en soit, elle ne prend pas le parti de répondre à son propos, jugeant que ce n'est pas vraiment utile de s'enfoncer dans cette direction et qu'elle ferait mieux de simplement ignore les propos qu'ils viennent de tenir tout à tour. La sorcière a peut-être été un peu vite dans son interprétation, toute à sa colère, et ça ne vaux pas la peine qu'ils s'y attardent plus longuement, assurément.

De fait, la conversation s'intéresse plutôt sur la mauvaise réputation des serpentards et le besoin qu'ils ont, pour la partie qui n'est pas aussi mauvaise, de rétablir la réalité sur leurs intentions, sur ce qu'ils sont. Serena milite alors pour faire comprendre à son interlocuteur que c'est à eux, à cette minorité de serpentard de s'élever pour faire voir, pour faire comprendre, qu'ils sont différents, que tout les serpentards ne sont pas nécessairement mauvais et que c'est une folie de penser que tous sont les mêmes, que ce n'est pas parce que la majorité des membres de cette maison sont abjects ou hautains, que toute la maison en elle-même l'est. Pour la rouge et or, c'est à cette minorité de faire comprendre qu'ils ne sont pas comme les autres, qu'il ne faut pas tous les mettre dans le même panier. Mais évidemment, si seuls les connards à grandes gueules se montrent, comment l'opinion sur la maison pourrait s'améliorer, après tout ?

«- Non. Je suis arrivé l'an dernier et le fait que je sois une gryffondor et une sang-mêlée ne sied guère à ta maison donc... hormis des connards dans le genre de Léopold ou des abrutis hautains à la Drago, Vicent, Gregorry, Pansy, je n'en ai pas rencontré qui soient gentils. » répond la sorcière en haussant les épaules. «J'ai croisé Avery. Oh et croupton Junior.... vraiment sympathiques... » dit-elle avec ironie, avant de lever un sourcil. «MdcAdams n'est pas mieux cela dit, c'est pas la plus gentille des serpents et Kaysser m'en a limite voulu de lui avoir sauvé la peau pendant l'attaque de Pré-au-Lard .. » répond la jeune femme en haussant les épaules. «Si bien que tu es le seul Serpentard convenable que j'ai rencontré de ma vie, tu pourrais te sentir un peu honoré de ce titre. » fait remarquer la jeune femme en laissant passer un trait d'humour.

La blonde lève un sourcil comme la conversation s'oriente sur le cas de Leopold et le plaisir que ce dernier aurait à apprendre que quelqu'un avait peur de mourir de sa main. Non c'est vrai il aurait trop de plaisir à découvrir que parfois il donnait des sueurs froides à quelqu'un. Mais il ne faisait pas vraiment peur à la sorcière. Plus que de la peur, l'homme faisait naître chez la sorcière une haine vive, profonde, violente et qui s'insinuait dans ses veines, pour ne plus la lâcher. Elle le détester. Plus que tout et plus que n'importe qui d'autre au monde.

«- Je n'ai pas peur de ce connard. » lâche finalement la sorcière. « Je le hais, vivement, pour tout ce qu'il est, pour tout ce qu'il pense, pour tout ce qu'il représente et contre quoi je lutte. Mais je n'ai pas peur de lui. Je n'ai... pas peur de mourir. » lâche finalement la sorcière.

Elle avait survécut à une guerre, s'était battue pour ses idées. Elle s'était battue courageusement pour que le bien l'emporte, pour que les générations futures puissent espérer vivre dans un monde en paix. Quand on est prêt à donner sa vie pour sauver celle des autres, à ce point, on ne peut pas être effrayé par un camarade de classe aussi fou soit-il. On peut le mépriser, on peut le haïr, mais on ne peut pas sérieusement le craindre. Il est fou. Simplement. Comme d'autres.

«- L'alcool est nuisible, il change le comportement, fait perdre la raison quand on en abuse mais à dose raisonnable, j'imagine qu'il n'est pas plus nocif qu'une cigarette. » elle hausse les épaules,écrasant finalement son mégot en interrogeant encore son interlocuteur, avant de hocher la tête. «Et qu'as-tu donc fait pour avoir tant de personne à dos visiblement ? » demande la rouge et or en levant un sourcil dans sa direction.
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« Il y a deux choses qu'on ne peut contrôler : l'amour et la mort. Le reste n'est qu'une question de choix. »

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MessageSujet: Re: Leroy * Merlin punisse les imbéciles  Leroy * Merlin punisse les imbéciles EmptyMar 30 Jan - 0:07

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Il essayait, il l’observait attentivement pour voir toutes les réactions qu’elle pouvait avoir. Elle ne s’en rendait pas forcément compte de la manière dont agissait Leroy, agissant comme un homme, comme les autres en faisant des répliques qui étaient on n’allait pas le nier un peu déplacer dans ce genre de discussion, mais c’était amusant de la voir. Le serpentard ignorait si elle en était outrée, surprise ou agacée, mais elle devait sans doute ressentir un peu les trois en ce moment. Le jeune homme se retenait de sourire devant la situation, continuant sur ce jeu, voyant clairement qu’elle avait mal interprété ses propos, il ne se gêna pas pour le lui faire savoir. En aucun cas il avait dit qu’elle était sa solution de facilité, mais voyait plus les choses dans un ensemble dans le sens que c’était compliqué de trouver les bonnes personnes. Alors il valait mieux essayer d’y aller quand on le pouvait et qu’on était intéressé par la dite personne. Leroy cependant depuis qu’il avait rompu avec Alioth et voyant comment son pote se comportait avec lui n’avait pas forcément envie de retenter l’histoire de couple, pas pour le moment, ce qui ne l’empêchait pas de balancer ce genre de phrase. Et elle ne répondit pas, se contentant de lever un sourcil, considérant sans doute la conversation sur ce sujet inutile ou finie. Leroy ne fit pas plus de réflexion sur la question également parlant d’un tout autre sujet ou cette fois encore Serena avait sans doute pris des chemins très court pour se faire une idée. Et Leroy n’était franchement pas d’accord avec elle. Tout les serpentards étaient différents, parfois certains étaient des connards, mais pourtant un bon quart de cette maison n’agissait pas comme telle. Serena pensait que c’était à eux de faire en sorte que les gens ne les perçoivent pas de cette manière. Sans doute y avait-il une part de vérité dans ce qu’elle disait, mais on ne pouvait pas nier que ce que lui disait Leroy n’était pas totalement faux. Si eux faisaient des efforts, les autres devaient en faire également. Cela fonctionnait dans les deux sens. Alors il demanda s’il était le premier qu’elle rencontrait qu’il faisait parti de ce quart. Apparemment oui et elle pensait que par son sang, les connards de sa maison n’approuveraient pas. Les sangs impurs, c’était ainsi qu’on les percevait. « Sang-mêlée ou non là n’est pas forcément la question. Tu n’as pas vraiment croisé les meilleurs de ma maison on dirait. » Elle parla de quelques serpentards que Leroy connaissait peu, qu’il n’avait jamais approché à part Leopold et Avery qu’il avait vu de loin. Mais le dernier nom qu’elle prononça intrigua le jeune homme. Kaysser. Il n’y en avait pas mille c’était forcément Kayla. Surpris d’apprendre que la demoiselle qui se tenait devant lui avait sauver sa meilleure amie, sa voix le trahit un peu : « Tu as aidé Kayla ?  » Il n’était pas au courant de ça, mais en même temps connaissant très bien la verte et argent cela ne l’étonnait pas. Elle n’était pas du genre à se vanter de s’être fait sauver par une gryffondor, ou par personne d’ailleurs. Finalement Serena l’avoua, il était le seul serpentard convenable qu’elle avait rencontrée. « C’est un véritable honneur en effet, je t’en remercie. »Flatté oui il pouvait l’être, le petit Leroy, ce n’était pas tout les jours qu’on lui dirait ça.

Serena semblait intrigué des propos de Leroy, surtout concernant Leopold puisqu’il expliquait que d’une certaine manière le haïr prouvait qu’on avait une certaine peur de lui. Cela semblait logique, mais elle ne semblait pas en être convaincu. D’un autre côté Leroy était curieux de voir ce qu’elle pourrait lui répondre face à ça, de lui dire que non elle n’avait pas peur de lui. La réponse ne se fit pas attendre. Seul de la haine était dans le petit cœur de Serena. Une haine qui devait être très grande d’ailleurs. Leroy avait pensé réussir à calmer la gryffondor, mais parler de son camarade de chambré avait raviver une certaine colère. « Le haïr montre que tu te préoccupe de lui, si je peux te donner un conseil, que je ne suis pas sûre que tu appliques : mais plus tu t’intéresseras d’une manière ou d’une autre à lui, plus il gagnera sur toi. Oublie-le et jamais plus il ne t’ennuiera. » Leroy l’évitait autant que possible même si ce n’était pas facile, rare était les moment où il restait tout seul avec Popold. Elle balbutia quelques mots à la fin de sa tirade. Peur de mourir, était-ce seulement possible ? L’être humain avait toujours eu cette peur, caché au fond de lui qui ne refaisait surface qu’une fois la mort en face. « C’est admiratif de ne pas avoir peur de mourir, mais dans ce cas de quoi as-tu peur ? » demanda-t-il curieux. Leroy ignorait tout ce qu’elle avait pu vivre, il ignorait tout de cette fille avec qui il parlait. Il n’apprenait pas grand-chose sur sa vie, sauf le fait que sa mère n’aimerait pas qu’elle fume, mais à part ça elle lui restait encore inconnu. C’était bien pour cette raison qu’il continuait à la taquiner, à lui poser des questions. Simplement pour voir où ça allait le mener cette discussion, savoir si ça valait le coup d’être venu voir qui avait poussé ce cri. Pour le moment Leroy n’était pas déçu d’avoir choisit de suivre sa curiosité, mais la suite l’intéressant d’autant plus. L’alcool, la clope, savoir ce qu’elle en pensait là était l’intérêt. D’après elle les deux ne se valaient pas, l’alcool ne changeant que le comportement et faisait perdre la raison quand on en abusait, mais n’était pas forcément plus nocif. Leroy ne pensait pas uniquement à la santé, il voyait en l’alcool un côté nocif à la société. « L’alcool et la clope c’est pareil, mais la différence c’est qu’on abuse souvent trop de l’alcool. » Personne ne pouvait le nier. Serena écrasa sa clope et Leroy fit de même. Il pouvait attendre un peu avant d’en reprendre une, c’était nocif après tout. Si Serena souhaitait tuer Popold, jamais Leroy n’avai pensé à passer à l’acte. Il avait plus peur d’être la victime plutôt que d’être l’assassin, surtout vu ses fréquentations. Curieuse, Serena lui demanda pourquoi les gens en voulaient à sa peau. « J’existe c’est tout. J’ai été élevé par des moldus et bien que mon sang soit considéré comme impur, je fréquente certaines personnes importantes pour d’autres. Ceux sont ses autres qui ne m’apprécient pas et qui sans doute voudraient ne plus jamais me voir. » répondit-il, avec un certain calme. Il était habitué, depuis plusieurs années déjà, ceux qui en voulaient à sa vie le haïssait. Si un seul retenait son attention, Leroy n’était pas assez stupide pour penser que tout les serpentards acceptaient un prétendu né moldu dans leur rangs.

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Bonjour ! J'appartiens à la maison : Gryffindor J'ai posté : 245 hiboux. Grâce à moi ma maison a gagné : 3 pour une aventure ! Je suis de la génération : 1998 . Je suis un aventurier : Oui, légères A savoir sur toi :
Gryffondor * 18 ans * Première année universitaire * Neutre * Bisexuelle * Serena aime faire la fête et jouer au quidditch * Elle était gardienne * Fille de Tibus et Telia * Filleule de Charlotte et Caleb * Veut devenir professeur de DCFM * Déteste les mangemorts * A fait parti de l'AD * A le goût de la fête * Vierge * Croit à l'amour pur, mais découvre que son père lui a bien menti...


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MessageSujet: Re: Leroy * Merlin punisse les imbéciles  Leroy * Merlin punisse les imbéciles EmptyVen 2 Fév - 15:13
«- Sang-pur ou sang-mêlé cela fait semble-t-il une différence notable aux yeux de quelques uns de ta maison. Enfin aux yeux des plus cons et des plus inintéressants mais qui malheureusement ont aussi la gueule la plus fourbe, et la plus grande ouverte afin de couronner le tout. De ce fait... mon sang n'est pas forcément bien vu par certains des plus extrêmes, qui se pâment d'avoir un sang plus pur que le sang des premiers sorciers, à les écouter parler. Et d'ailleurs tout ces grands cons ne se demandent jamais à quel moment les sorciers sont apparus ? Et comment ? On entend plein de choses sur la création du monde et si toutes ces choses ne peuvent être exactes, il n'en reste pas moins que toutes concernent des moldus. Donc on peut penser que nous sommes venus après les moldus. Puisque nous n'avons pas été créés d'un coup, pouf, comme ça, comment les sorciers sont-ils arrivés sur terre ? Et si nous ne sommes, finalement, pas des sortes de dégénérescences de moldus alors.. que sommes nous ? Comment en sommes-nous arrivés là ? » demande la demoiselle.

La sorcière poursuit son raisonnement, un raisonnement à filer mal au crâne à bien des serpentards. C'était un peu comme la question de l'oeuf et de la poule : qui du moldu ou du sorcier était arrivé le premier et qui avait donné l'autre en fin de compte ? Personne ne savait le dire dans le monde magique si bien que tout les sangs-purs qui s'énorgueillaient de leurs racines n'étaient peut-être pas si purs qu'ils ne plaisaient à le penser et surtout à le dire à qui mieux mieux.

«- Ouaip j'ai sauvé les fesses de Kaysser même si ça s'est un peu retourné contre nous en fin de compte. N'empêche qu'elle est toujours vivante et qu'un merci lui aurait de toute évidence écorché la gorge. Après les serpentard viendront dire, pour les plus prétencieux, qu'ils sont de la haute, de la bonne société et qu'ils ont de l'éducation, tu parles ! » lance la demoiselle en levant les yeux au ciel. «De sacré cons oui  ! Et ne te moque donc pas ! Je sens le sarcasme dans ta voix.»

La demoiselle parle, se confie, parle de Léopold Ziegler et de la haine qu'elle a pour lui. Elle s'affirme, parle encore, assure ne pas avoir peur de mourir, ne pas avoir peur de la mort. Mais de quoi a-t-elle peur, alors ? Voilà la question que lui pose le sorcier à ses côtés. Qu'est-ce qui peut bien donner des sueurs froides à une personne qui dit ne pas avoir peur de mourir ? En fin de compte, il y a un tas de choses que Serena pourrait répondre à cette question. Les possibilités sont infinies. Cependant la réponse de la blondinette n'a pour sa part rien de très surprenant.

«- J'ai peur de souffrir. Je n'ai pas peur de la mort mais... la torture, tout ça, c'est un truc que je ne pourrais pas supporter, enfin ça dépend du degrés mais... certaines tortures sont plus atroces que d'autres. J'ai peur de devenir infirme, comme Stenfield l'an passé. Devenir aveugle, ne plus pouvoir profiter du monde qui m'entoure, ça ça me ferait chier. J'ai peur de devenir folle. En fait, on peut avoir peur de tout un tas de choses, même sans avoir peur de mourir. Mais avoir peur de partir, de quitter cette terre... Enfin.. c'est pas que ça n'a pas de sens, je comprend que ça puisse en inquiéter certains mais, en fait, on sait tous qu'on doit partir un jour. On sait tous que notre tour va venir, que notre passage ici est éphémère. Alors pourquoi redouter quelque chose qui, plus ou moins vite, finira forcément par arriver ?» demande la jeune femme en levant un sourcil, dévisageant son interlocuteur, comme si elle attendait qu'il lui donne une réponse aux questions qu'elle se pose.

Et comme ils parlent des abus, la jeune femme hoche la tête quand il parle de la tendance des gens à abuser, malheureusement, d'avantage de l'alcool que de la clope. Certes elle admet que c'est vrai. Cependant dans un même temps, l'alcool fait tout autant de mal que le fait de snifer les racines de mandragore si bien que la drogue, en revanche, est tout autant dangereuse, si ce n'est plus, que la boisson. Mais Serena ne s'en préoccupe guère, comme elle se met à parler de ce que le sorcier a bien put faire pour que l'on puisse chercher à lui nuire. La jeune femme ne comprend pas. Mais a bien vite une réponse à ses interrogations.

«- Et tu es le seul né moldu de la maison serpentard ? » demande la demoiselle d'un air curieux. «Pourtant tu disais toi-même qu'il n'y avait pas que du mauvais dans cette maison alors où sont les nés moldus ambitieux ou doué d'esprit rué ? »
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