Libre * It's a joke

Lisa avait eut un gros coup de pression ce matin-là, en laissant George travailler à la boutique. Celle-ci pourrait très bientôt ouvrir ses portes et Lisa aidait son petit ami à finir les installations, en jonglant avec ses cours dans un même temps. Mais ce matin, une autre forme de travail attendait la demoiselle et elle le savait capital. C'est ce qui l'avait amenée à se rendre à Pré-au-Lard au siège de radio qui y était, parce qu'elle était invitée par une émission pour faire la promo de la boutique avant son ouverture, l'idée étant que celle-ci soit fermement attendu par les petits sorciers et sorcières. La promo devait marcher du tonnerre pour que George ait du boulot. Même si Lisa n'était pas forcément d'accord avec le comportement de son petit ami sur la question de sa boutique, elle se donnait néanmoins à fond pour le soutenir et l'aider. Du coup, elle avait essayer d'assurer ce matin là à la radio et comme l'émission se termine, elle espère qu'elle en aura, ou que George tout du moins en aura, de bons retours et que les gens auront envie d'y venir.

Elle se poste devant les bâtiments de la radio comme prévu alors qu'une distribution promotionnelle est proposée d'ailleurs dans les rues de la ville afin de faire découvrir quelques uns des produits de Weasley & Weasley farces pour sorciers facétieux. La jeune femme commence donc une petite distribution de ces goodies en ce samedi, présentant les produits de la gamme, donnant quelques idées d'utilisations aux passant, faisant la promotion de l'ouverture prochaine de la boutique et elle imagine, se faisant, comme Rusard va bientôt s'arracher les cheveux alors qu'il devrait découvrir prochainement les marécages portatifs, qui en 1996 l'avaient tant rendus chèvres lorsque les Weasley avaient décidés de quitter l'école en faisant du grand spectacle pour tout le monde.

Lisa continu de sourire, de vendre l'image de marque, de vendre la boutique. Elle croise quelques étudiants qui ne connaissent que trop bien les farces des jumeaux Weasley et elle papote avec eux, en profitant qu'il fasse encore relativement beau, pour la saison. Et comme c'est étonnant de vivre comme si tout était normal. Elle sait pourtant qu'ils ne resteront pas éternellement dans cette époque, qu'ils doivent rentrer chez eux, que cela commence à devenir dangereux, à faire trop longtemps qu'ils sont ici. Qu'ils doivent trouver la solution de retour, d'autant que ses parents lui manquent, que tout devient bien trop compliqué. Mais chaque choses en son temps. Alors elle chasse ses pensées comme elle offre des crèmes canaris à un passant.