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 Il faudrait apprendre, jeune homme, à ne pas envoyer de lettres de ce genre à Minerva McGonagall, non mais oh !!! [avec Mathéo Collins].

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MEMBRE DE L'ORDRE
Minerva McGonagall
Minerva McGonagall
Bonjour ! J'appartiens à la maison : Gryffondor J'ai posté : 376 hiboux. Grâce à moi ma maison a gagné : 14 pour une aventure ! Je suis de la génération : 1977 . Je suis un aventurier : qu'on peut blesser

Il faudrait apprendre, jeune homme, à ne pas envoyer de lettres de ce genre à Minerva McGonagall, non mais oh !!! [avec Mathéo Collins]. Empty
MessageSujet: Il faudrait apprendre, jeune homme, à ne pas envoyer de lettres de ce genre à Minerva McGonagall, non mais oh !!! [avec Mathéo Collins].  Il faudrait apprendre, jeune homme, à ne pas envoyer de lettres de ce genre à Minerva McGonagall, non mais oh !!! [avec Mathéo Collins]. EmptyDim 12 Juin - 20:15
*Minerva était dans son bureau et n'était pas descendue manger dans la Grande Salle car elle avait du s'occuper d'un de ses Gryffondors à l'infirmerie. C'est à dire,qu'au lieu de recevoir son courrier dans la Grande Salle, elle l'a directement reçu dans son bureau. Heureusement ! Elle reçut un parchemin et ignorant d'où il venait, elle l'ouvrit, curieuse.*

Toutes ces heures passées avec vous
Me rende complètement fou

J’ai bien vu vos regards appuyés 
Qui me donne une seule envie : vous pénétrez

Et je m’imagine toutes les nuits votre petite fleur à peine desséché
Ou doucement et sensuellement, j’aimerais bien la rentrer   

Evidemment, votre aisance me fera vibrer 
Tandis que peut-être d’incompétence, je vous ferais crier

Si vous vous sentez un peu seule la nuit
Faites appel à mon kiki

Moi seul peut vous donner du plaisir 
Et en même temps vous faire mourir de rire


*En lisant cette lettre, les yeux de Minerva firent des bonds d'un bout à l'autre du parchemin, derrière ses lunettes carrées. Qui se permettait d'écrire une lettre pareille, à un professeur ? Elle lut sa signature, jeta le parchemin sur son bureau en ébène noir et sortit en trombe de son bureau, dans un tourbillon de robe noire.

Elle marcha d'un pas déterminée et raide. Dans les couloirs, elle trouva sa victime, Mathéo Collins et s'approcha de lui. Son visage était marbré de rouge à sa vue, et sa colère avait doublé. Elle lui cria : *

Mr Collins, cela tombe bien, je vous cherchais. Cela me permettra de faire économie de parchemin et d'encre. Et de me faire perdre du temps. Je vous veut immédiatement dans mon bureau. Je m'en contrefiche de savoir si vous avez autre chose à faire ou si vous avez cours. Je vous veux immédiatement dans mon bureau.

*Minerva était hors d'elle. Elle se doutait que Mathéo devait parfaitement savoir la cause de la colère de sa professeure et pourquoi elle voulait absolument le voir tout de suite. 
Les autres élèves, qui se trouvaient aussi dans le couloir, regardaient la scène étonnée, en se demandant ce qu'il pouvait bien se passer qu'avait fait le pauvre Mathéo pour mériter un bon sale quart et plusieurs retenues. Mais Minerva s'en moquait et son attention était focalisée sur la source de sa colère.
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NEUTRE
Mathéo A. Collins
Mathéo A. Collins
Bonjour ! J'appartiens à la maison : Anciennement Slytherin, actuellement à l'école des sports de Londres. J'ai posté : 627 hiboux. Grâce à moi ma maison a gagné : 6 pour une aventure ! Je suis de la génération : Etudiant de 1977. . Je suis un aventurier : on peut me blesser A savoir sur toi : « Un peu trop fêtard parfois, j’ai surtout le chic pour me m’attirer des ennuies. Vraiment pour le coup, j’ai pas de chance du tout, donc faites attention quand vous m’approchez. Sinon je suis quelqu’un de gentil et de doux, même si je peux être un peu trop caractériel quand j’ai fini ma limite. En clair, me cherchez pas trop. J’ai toujours ce problème avec les filles. Du mal à les approcher et encore plus à conclure. Vous voyez le gars qui transpire, avec les mains tremblantes, et qui bégaye à chaque fois qu’une fille lui adresse la parole ? Bah ce type c’est moi … »

Ma carte de chocogrenouille
Epouvantard: Lui-même en mangemort.
Patronus: Renard
Capacité spéciale: Aucune

Il faudrait apprendre, jeune homme, à ne pas envoyer de lettres de ce genre à Minerva McGonagall, non mais oh !!! [avec Mathéo Collins]. Empty
MessageSujet: Re: Il faudrait apprendre, jeune homme, à ne pas envoyer de lettres de ce genre à Minerva McGonagall, non mais oh !!! [avec Mathéo Collins].  Il faudrait apprendre, jeune homme, à ne pas envoyer de lettres de ce genre à Minerva McGonagall, non mais oh !!! [avec Mathéo Collins]. EmptyDim 12 Juin - 21:19


“Régle numéro 1 : ne pas écrire de lettre érotique à sa prof. Régle numéro 2 : Si tu le fais quand même, ne signe jamais.”



Minerva & Mathéo




La nuit avait été très courte pour le Serpentard. Mathéo n’avait pratiquement pas dormi, et sortir de son lit avait été une incroyable épreuve pour le jeune homme. En effet, la veille, Rebecca, quelques filles de septième année de Serdaigle, et les collègues de dortoir de Mathéo s’étaient retrouvés dans la salle sur demande pour se faire une soirée, dite tranquille. Bien sûr, elle ne l’avait pas été, les filles avaient ramenés plusieurs bouteilles de whisky pur-feu pour bien animer la nuit. Cela avait été juste énorme, ils avaient tous beaucoup bu et avait commencé à jouer aux jeux des défis. Si au début, c’était des trucs super simples, comme machin doit enlever son tee-shirt ou un tel doit faire un massage des pieds à un autre, après tout était devenu un peu plus compliqués. Si ses coéquipiers avaient accepté le fait que Mathéo ne voulait embrasser personne pour un défi, il lui en avait donné un beaucoup plus compliqué : celui d’écrire une lettre érotique au professeur McGonagall. Quelle idée ! Mais le Serpentard avait bien bu, et sur le coup s’était dit que c’était une super bonne idée, et qu’ils allaient bien rigoler.

Ses potes avaient été sympa, et l’avait aidé dans la rédaction. Il lui avait même imposé de mettre le mot « kiki » dans sa lettre. Bref, après une bonne demi-heure d’intense travail sur cette fameuse lettre, elle était enfin prête. D’ailleurs, au final, elle ressemblait plus à un poème qu’à une vraie lettre, ce qui la rendait encore plus marrante. Mathéo avait réussi à se la jouer plus ou moins fine avec quelques rimes. Et une petite allusion à son machin desséché, du fait de son grand âge. Comme vous pouvez vous en douter, c’était loin d’être de la grande poésie, bien au contraire. Mathéo n’aurait surement jamais un prix de grand écrivain. Mais au moins ça les aura bien fait rire le temps d’une soirée. Mathéo avait ensuite attaché la lettre à Cubi pour qu’il l’apporte à leur très chère professeure de Métamorphose. Puis les adolescents avaient continué à faire la fête sans vraiment se soucier de ce qu’ils venaient de faire.

Le Serpentard était remonté dans son dortoir vers cinq heures du matin et s’était endormi comme une masse. Alors le réveil à sept heures avait vraiment été très difficile pour lui, mais aussi pour ses coéquipiers. Malgré ça, après une bonne douche, il se sentit tout de suite nettement mieux et presque prêt à attaquer une bonne journée. Le jeune homme descendit donc les escaliers avec ses amis, et ils allèrent tous prendre leurs petits déjeuners dans la Grande Salle. Manger faisait également un bien fou.

*Espèce d’idiot, je suis sûr que tu tiendras pas la journée.*

Le jeune homme finit de manger et sortit de la Grande Salle, son premier cours était Défense contre les forces du mal, s’il avait bonne mémoire. Il se dirigea donc vers la salle, et tandis qu’il marchait dans l’un des couloirs, il tomba nez à nez avec le professeur McGonagall. Et c’est seulement quand elle prononça son nom que le souvenir de la lettre lui revint à l’esprit. Mon dieu, avait-il vraiment envoyé ça ? Mcgo lui annonça qu’elle le cherchait. Elle était très en colère et voulait absolument le voir dans son bureau immédiatement, elle se fichait absolument du fait qu’il ait cours ou non. Elle était vraiment hors d’elle, ce qui n’était pas très rassurant pour le jeune homme qui allait se retrouver seul avec elle dans son bureau dans quelques minutes. Comme la lettre lui était sorti de l’esprit, il n’avait pas pris le temps de préparer sa défense ou d’inventer un truc. Puis les cris de son professeur commençaient à lui donner mal à la tête.

*Ok là, tu as à peine quelques secondes pour décider comment tu vas essayer de t’en sortir, sois créatif mon petit.*

En plus tous les regards étaient braqués sur lui. Avec le boucan qu’elle avait fait, les élèves dans le couloir devaient tous se demander ce qu’avait bien pu faire Mathéo pour mériter de se faire hurler dessus dès le matin. Bon le jeune homme la suivit donc dans son bureau et quand ils furent loin des regards appuyés de tout le monde, il se dit intérieurement qu’il était peut-être temps qu’il se mette à parler.

– C’est quoi le problème, au juste ?

*Ah d’accord, tu as décidé de choisir la tactique de « je ne vois pas de quoi vous voulez parler »*

Oui il n’avait pas eu le temps de réfléchir longtemps et n’avait vraiment trouvé que ça pour le moment. Alors il faisait genre qu’il ne voyait pas du tout de quoi voulait parler son professeur de Métamorphose. Au mieux ça pouvait lui faire gagner du temps. Et dire qu’il était fier de lui parce qu’il avait passé toute une semaine sans se faire coller. Son grand record venait surement de prendre fin aujourd’hui, dommage pour lui.

*En même temps, si tu te servais de ta tête de temps en temps, ce genre de chose n’arriverait pas.*




par humdrum sur ninetofive
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Minerva McGonagall
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MessageSujet: Re: Il faudrait apprendre, jeune homme, à ne pas envoyer de lettres de ce genre à Minerva McGonagall, non mais oh !!! [avec Mathéo Collins].  Il faudrait apprendre, jeune homme, à ne pas envoyer de lettres de ce genre à Minerva McGonagall, non mais oh !!! [avec Mathéo Collins]. EmptyLun 4 Juil - 7:28
Minerva ne parvenait pas à se calmer. Elle était hors d’elle, mais cela, je pense que tout le monde l’avait remarqué. Il fallait vraiment être cruche pour ne pas le voir. Cela m’étonnerait que quelqu’un soit naturellement avec des yeux noirs et brillants, tellement la fureur du propriétaire était grande, le visage constellé de tâche rouge et les mains sur les hanches, en criant d’une voix forte. Ou sinon cette personne était, ce qu’on pourrait appeler, vraiment bizarre. Mais Minerva ne faisait pas partie de cette catégorie de personne-là. Elle, pour qu’elle se mette en colère, il fallait la chercher. On pouvait dire tout ce qu’on veut, elle ne se met pas en colère, et surtout dans une colère aussi noire, sans raison. Elle n’était peut-être pas réputée pour sa patience et c’est vrai, qu’elle avait un fort caractère, mais que voulez-vous, elle est écossaise, et on n’y peut rien changer. Les préjugés ne s’appliquent pas à tout le monde mais ils sont quand même fondés sur une base solide au départ. Les Français sont râleurs, les Anglais sont nuls en cuisine, ce qui est vrai, on ne va pas se mentir, mais juste à voir l’état de leur plat et même le goût immonde qu’ils ont ensuite dans la bouche, on ne peut qu’approuver ces préjugées, et enfin, le meilleur pour la fin, les Ecossais sont fiers et ont un fort caractère.
 
Une fois qu’elle eut demandé à Mathéo d’aller dans son bureau, pour se faire gronder en beauté, mais cela aussi, il devait s’en douter, elle partit de ce pas. Se doutant que l’élève allait la suivre. Ce n’était pas comme Orphée qui pouvait avoir un doute sur le marché qu’il avait eu avec Hadès en se demandant si sa belle Eurydice la suivait, Minerva, elle, elle en était certaine. Comme le dirait les scientifiques que je ne suis pas, elle en était certaine à 100 %. Les élèves avaient tendance à obéir quand elle était dans cette colère. La peur, sans doute, qui donne un autre instinct, un instinct de victime. Alors une fois que Minerva avait crié un bon coup sur le pauvre, mais fautif, il ne fallait pas oublier, Mathéo Collins, avec la fierté qui la caractérisait, et qui caractérisait aussi les Ecossais, elle prit la direction de son bureau, situé à côté de la Salle de Métamorphose, sa salle de classe, étant donné qu’elle enseignait cette discipline. Parfois dans la vie, il ne fallait pas aller chercher loin des choses improbables. La réponse est souvent juste à côté. Elle marchait de ce pas noble, fier, mais aussi furieux et précipité.
 
Minerva avait décidé de l’emmener dans son bureau, oubliez toutes vos idées coquines, pour le gronder sans la curiosité malsaine des autres élèves qui peuplaient les couloirs entre l’heure du petit-déjeuner et la première heure de cours. Pas qu’elle se soucia du fait que Mathéo soit le centre de l’attention pendant qu’il se fasse gronder. Ce n’était rarement un moment dont on pouvait tirer fierté et s’en vanter par la suite. Mais elle ne voulait pas vraiment que tout le monde sache la raison de sa bêtise. Il avait écrit une lettre érotique à la stricte et sévère professeure de Métamorphose, Minerva McGonagall. Avec cela, les rumeurs allaient courir. Même si Minerva ne pourrait jamais les empêcher de se répandre comme de l’huile sur le feu, elle pouvait les ralentir un peu. Enfin elle espérait. Dans toutes les écoles, écoles de sorcellerie, ou simples écoles primaires de Moldus, les rumeurs courraient vite. Un secret absolu ne l’était jamais et souvent toute l’école était au courant. Alors la professeure se doutait que cette histoire allait être connue. Elle s’attendait déjà à des rires et des moqueries. Elle se doutait aussi qu’Albus Dumbledore, qui adorait l’embêter sur tout, allait la taquiner pendant un temps qui semblerait très long à la femme.
 
Mais une fois arrivée dans ce bureau, elle ne retint pas sa rage ou fureur, appelez cela comme vous le souhaitez. Tout à l’heure, déjà elle était hors d’elle mais elle avait une petite part de retenue. Mais là, c’était encore pire, et Mathéo Collins pouvait presque entendre sonner le glas qui annonçait son enterrement. Elle se retenait de le frapper. Malheureusement pour elle, ou heureusement pour lui, cela dépendait des points de vue, le règlement interdisait les punitions corporelles sur les élèves et la gifle en faisait partie. Minerva était quand même une très grande suiveuse du règlement et le monde tournerait à l’envers, si celle qui faisait tout pour qu’il soit appliqué, ne le respectait pas en retour. Cela rappelait un peu le philosophe français, Jean-Jacques Rousseau, qui avait écrit un roman sur l’éducation des enfants, alors que lui-même en avait abandonné plusieurs. On pourrait se demander où est la logique. C’est un peu l’hôpital qui se fout de la charité. En quelque sorte, c’est, il faut faire ce que je dis mais ne pas faire ce que je fais. Ce n’est pas très clair toute cette histoire.
 
Mais quand Mathéo demanda innocemment ce qu’il avait fait, ce fut l’explosion, le peu de retenue que Minerva avait su garder, partit et elle se remit à hurler.
 
Quel est le problème ? Quel est le problème me demande-t-il.
 
Minerva eut un rire sarcastique. Elle prit le parchemin contenant la lettre érotique, qui se trouvait sur son bureau et le tendit violemment à Mathéo.
 

Voici le problème. Cela ne vous rappelle rien peut-être ? Vous avez une mémoire très courte. Mais vous allez me dire que ce n’est pas vous. Manque de chance pour vous, c’est signé, voyez-vous. Minerva montra la signature en bas de la lettre. De plus, j’ai reconnu votre écriture. Vous ne brillez pas par votre intelligence en tout cas, Monsieur Collins. Alors, vous pouvez m’expliquer maintenant que la mémoire vous est revenue ? Et n’essayez pas de nier ou de me mentir, je saurais la vérité, croyez-moi ou non.
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Mathéo A. Collins
Mathéo A. Collins
Bonjour ! J'appartiens à la maison : Anciennement Slytherin, actuellement à l'école des sports de Londres. J'ai posté : 627 hiboux. Grâce à moi ma maison a gagné : 6 pour une aventure ! Je suis de la génération : Etudiant de 1977. . Je suis un aventurier : on peut me blesser A savoir sur toi : « Un peu trop fêtard parfois, j’ai surtout le chic pour me m’attirer des ennuies. Vraiment pour le coup, j’ai pas de chance du tout, donc faites attention quand vous m’approchez. Sinon je suis quelqu’un de gentil et de doux, même si je peux être un peu trop caractériel quand j’ai fini ma limite. En clair, me cherchez pas trop. J’ai toujours ce problème avec les filles. Du mal à les approcher et encore plus à conclure. Vous voyez le gars qui transpire, avec les mains tremblantes, et qui bégaye à chaque fois qu’une fille lui adresse la parole ? Bah ce type c’est moi … »

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MessageSujet: Re: Il faudrait apprendre, jeune homme, à ne pas envoyer de lettres de ce genre à Minerva McGonagall, non mais oh !!! [avec Mathéo Collins].  Il faudrait apprendre, jeune homme, à ne pas envoyer de lettres de ce genre à Minerva McGonagall, non mais oh !!! [avec Mathéo Collins]. EmptySam 9 Juil - 17:10


“Régle numéro 1 : ne pas écrire de lettre érotique à sa prof. Régle numéro 2 : Si tu le fais quand même, ne signe jamais.”



Minerva & Mathéo




Mathéo était vraiment dans de beaux draps. Son professeur de métamorphose Minerva McGonagall était vraiment hors d’elle. Il l’avait déjà vu de nombreuses fois en colère contre lui, mais c’était peut-être la première-fois qu’elle lui donnait l’impression de vouloir le tuer. Oui le Serpentard avait cette sale impression que si elle en avait le pouvoir elle l’étranglerait maintenant en plein milieu du château. Le jeune homme avait donc de la chance que ce soit illégal de faire du mal à un élève. Elle criait, était rouge, avait les mains qui tremblaient. Elle en était quand même plus terrifiante, même si d’origine ce n’était pas une femme très rassurante. Malgré tout, le jeune homme avait passé six années en sa compagnie en retenue des dizaines et des dizaines de fois. Il n’était donc plus le gamin terrorisé qu’il avait été en première année devant elle.

Cette année, il avait déjà été collé un nombre incalculable de fois avec la Sous-Directrice de l’école de Sorcellerie Poudlard, mais visiblement ça ne l’avait pas calmé et ne l’avait pas empêché de faire encore et encore des bêtises. Aujourd’hui, il savait exactement ce qu’il avait fait. La veille, un peu éméché, il avait envoyé une lettre érotique à son professeur. C’était juste censé être un jeu marrant avec quelques copains. Mais cette lettre avait finalement été envoyé et voilà que l’on se retrouvait aujourd’hui avec une Minerva rouge de colère, et un petit Mathéo qui n’avait pas grand-chose pour sa défense.

*Oui comment tu vas t’en sortir aujourd’hui bébé ?*

Après avoir cracher quelques paroles sur le Serpentard, elle l’invita ou plutôt lui ordonna de la suivre dans son bureau, ce que fit Mathéo sans broncher. Oui il n’était pas complètement stupide, même s’il aurait préféré qu’il y ait des témoins, juste au cas où elle eut décidé que finalement il méritait bien le châtiment ultime. Bref, elle voulait lui parler de cette lettre érotique dans l’intimité dans son bureau, surement car c’était très gênant pour elle. Si un gamin de septième année la tournait en ridicule en lui envoyant ce genre de papier, qui pourrait désormais s’empêcher de se moquer d’elle aussi. Elle avait une réputation à tenir, et pour le coup Mathéo avait mis un gros coup de pieds dedans.

Mais qu’ils soient à l’intérieur de son bureau ou pas, la sous-directrice devait être consciente que cet incident ferait très vite le tour du château. Les commérages vont très vite à Poudlard, encore plus vite que les maladies infectieuses.

Bref Mathéo décida de choisir de jouer les ignorants, en prétextant ne pas savoir pourquoi elle se mettait en colère comme ça. C’était risqué et inutile, mais au moins ça lui ferait gagné un peu de temps, s’il avait de la chance. Mais quand elle entendit le Serpentard parler, elle se remit à hurler de plus belle. Elle prit le parchemin que le jeune homme avait écrit la veille et lui tendit violemment. Alors le jeune homme l’attrapa. Elle lui annonça que c’était ça le problème. Puis elle lui annonça qu’il était inutile de dire que ce n’était pas lui puisqu’il avait signé en bas de la feuille. Elle voulait qu’il lui explique maintenant, sans mentir et tout et tout.

Ce n’était vraiment pas le bon moment mais à la relecture de cette lettre, le jeune homme eut du mal à réprimer ce sourire en coin. C’était totalement stupide, il le reconnaissait bien, mais il fallait avouer que c’était quand même assez marrant.

*Arrête de sourire, tu vas signer ton arrêt de mort.*

En lisant cette lettre, Mathéo s’étonnait lui-même de son idiotie. Mais ce n’était qu’une blague d’adolescent, fallait-il se mettre dans un état pareil pour si peu ? Du point de vue de Mathéo, cela semblait un peu exagéré.

– Qu’est-ce que vous voulez que je vous dise ? C’était un pari idiot entre adolescents.

Répondit le jeune homme calmement. Il n’était pas énervé ou vexé, bien au contraire. Il était plutôt dans un esprit relax, et puis il utilisé toute sa concentration pour essayer de ne pas éclater de rire et d’aggraver un peu plus son cas.

*Tu es vraiment un sacré cas toi !*

– J’ai pas la moindre envie de coucher avec vous, ne vous inquiétez pas.

*Tu es sur une pente très savonneuse ! Tu veux qu’elle t’arrache la langue sur le champ ou quoi ?*

Oui il était idiot, mais de très bonne humeur. Un adolescent qu’est-ce que ça pouvait être bête la plupart du temps, et dire que les pauvres professeurs devaient les côtoyer presque toute une année. Ils étaient courageux au final.




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MessageSujet: Re: Il faudrait apprendre, jeune homme, à ne pas envoyer de lettres de ce genre à Minerva McGonagall, non mais oh !!! [avec Mathéo Collins].  Il faudrait apprendre, jeune homme, à ne pas envoyer de lettres de ce genre à Minerva McGonagall, non mais oh !!! [avec Mathéo Collins]. EmptyVen 22 Juil - 19:57
Une réputation, cela s’entretient. Si vous voulez, nous pouvons comparer une réputation d’une personne à un feu de cheminée. Bon, la comparaison peut sembler bizarre, mais vous allez mieux comprendre avec une bonne explication. Comme dirait ma professeure de français, un argument sans exemple ne vaut rien, et c’est le cas dans ce cas-là. En effet, un feu de cheminée, il faut l’entretenir. S’il n’y ni de bois, ni rien pour l’allumer, il n’y a pas de feu, c’est simple comme bonjour, donc aucune réputation. Par contre, si un feu est déjà allumé et que personne ne le bloque, il risque de s’agrandir et de créer un incendie. Cela signifie qu’une personne a une réputation mais qu’il n’a rien choisi et qu’elle s’est souvent fondée sur des rumeurs, donc une mauvaise réputation, la plupart du temps. Ce n’est pas très bon. Enfin, dernière explication, si le feu est allumé et qu’une personne ne prend soin, en faisant attention de ni l’éteindre et ni de le laisser seul, le feu sera parfait, comme la personne en question l’aura rêvé, ce qui est exactement le cas de la réputation. Si elle entretenue comme nous le souhaitons, elle sera exactement ce que nous en pensons. Cette longue explication ne sert qu’à dire que c’était le cas de Minerva. Dès qu’elle avait commencé l’enseignement, elle avait pris soin de se mettre une réputation de professeure exigeante, stricte, sévère, qui ne supporte pas le bavardage pendant son cours, mais aussi sur qui on pouvait compter, car elle était, quand même, digne de confiance, en cas de problème. Et là, sa réputation avait pris un coup par une simple lettre. Simple peut-être, mais aussi érotique. Et une partie de cette réputation, qu’elle garderait longtemps, malgré tous les coups, disait qu’elle se mettait assez facilement en colère, comme c’était le cas, en ce moment même alors qu’elle criait, et hurlait serait même le bon terme sur Mathéo Collins.
 
Cependant ce que Mathéo ignorait sûrement, c’est qu’elle se retenait encore un peu. Heureusement pour lui. Il ne la connaissait pas, et cette fois, heureusement pour elle, pour savoir exactement de combien elle était en colère. Même Albus, qui était sûrement une des personnes qui la connaissait le mieux, ne l’avait jamais vu complètement en colère, car elle gardait toujours cette part de retenue, qui pouvait varier selon sa colère. Il n’y aurait pas eu cette part de retenue, Mathéo aurait pu tout simplement dire adieu à la vie, et continuer incinéré ou enterré six mille pieds sous terre dans un caveau sombre, enfermé dans un tombeau. En effet, sous le coup de la colère, certaines personnes ne se retenaient plus du tout, et dans ces cas-là, tout était possible. Des assiettes qui volent, comme dans les scènes de ménage, de la vaisselle qui se casse, des feuilles qui se déchirent, des gifles qui claquent et parfois, et c’était courant selon tous les procès qui arrivent, qu’on tue sous la colère. Alors Mathéo pouvait s’estimer heureux et remercier, n’importe quelle étoile qui lui procurerait cette chance énorme.
 
Tandis que Minerva explosait et qu’elle montrait la maudite lettre à Mathéo, elle ne put remarquer que le sourire en coin que tentait de cacher son élève. Ce jeune homme jouait avec le feu, pour continuer sur cette lancée du feu, et c’était un jeu dangereux, très dangereux. Car manque de pot pour lui, les étoiles ne peuvent pas toujours être chanceuse, Minerva avait un avantage qu’il ne fallait pas oublier, l’avantage de la supériorité, mais sur plusieurs plans. D’un, question magie et sortilèges, elle le battait facilement, il n’avait pas encore vraiment l’expérience de la vie et de la guerre. De deux, par son statut de professeur, et je ne parle même pas de celle de directrice adjointe, et par le statut d’élève de Mathéo, elle avait une certaine autorité sur lui.
 
Vous rigolez ? Vous trouvez peut-être cela drôle ? Dîtes-moi ce que vous y trouvez de drôle, pour que je rie avec vous. Je crains de ne pas avoir le même humour immature que vous. Heureusement.
 
La voix de Minerva commençait à partir dans les aigus, tandis qu’elle se parlait. Il était déjà dans une bouse de dragon et il fallait qu’il en rajoute. C’est son problème mais il allait devoir en assumer les conséquences.
 
Qu’un pari idiot ? Je confirme, il ne doit pas avoir grand-chose de votre tête pour que vous fassiez un pari aussi idiot.
 
Mais en fait, Mathéo était beaucoup plus bête ou suicidaire, au choix, que le pensait Minerva. Il s’amusait encore à en rajouter une couche. C’était vraiment le mauvais moment. Elle hurla :
 

Je l’espère bien. Et de toute façon, cela serait hors de question. Vous croyez quoi ?
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Mathéo A. Collins
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MessageSujet: Re: Il faudrait apprendre, jeune homme, à ne pas envoyer de lettres de ce genre à Minerva McGonagall, non mais oh !!! [avec Mathéo Collins].  Il faudrait apprendre, jeune homme, à ne pas envoyer de lettres de ce genre à Minerva McGonagall, non mais oh !!! [avec Mathéo Collins]. EmptySam 23 Juil - 15:54


“Régle numéro 1 : ne pas écrire de lettre érotique à sa prof. Régle numéro 2 : Si tu le fais quand même, ne signe jamais.”



Minerva & Mathéo




Minerva McGonagall, professeur de métamorphose et sous-directrice de l’école de Sorcellerie Poudlard n’était pas connu pour être quelqu’un de sympathique, et compréhensive. Elle était plutôt du genre à être très strict avec ses élèves, n’acceptant pas les bavardages en cours, et dérapage en tout genre. Le Serpentard l’a connaissait plutôt bien puisqu’il passait le plus clair de son temps en retenue avec elle. Il commençait à croire sérieusement qu’elle aimait l’avoir dans son bureau pendant des heures pour le coller aussi souvent. Mais aujourd’hui, tout était différent. Bien sûr en pire. Elle était dans une colère noire suite à la dernière bêtise en date de Mathéo. Sincèrement, il ne pensait pas qu’elle se mettrait dans un état pareil pour si peu. Pour si peu du point de vue de l’élève en tout cas. En effet, cet idiot lui avait envoyé une lettre érotique la veille au soir. Pourquoi avait-il fait ça ? Simplement parce qu’il était en soirée avec ses amis, qu’ils avaient bu et fumé, et qu’ils s’amusaient à jouer à un jeu. Ce jeu avait des règles très simple : mettre au défi l’autre. Chacun y était passé et ça avait été très vite le tour de Mathéo. On lui avait demandé d’écrire une lettre plutôt osée à son professeur.

Pourquoi ce défi stupide ? Parce que Mathéo était plutôt du genre un peu coincé avec les filles. Tout ce qui touchait de prêt ou de loin avec le sexe était plutôt compliqué pour le jeune homme. Ainsi ses amis avaient voulu s’amuser de lui en lui proposant un défi qu’il n’aurait jamais exécuté sobre. Les règles étaient très clairs, il n’avait pas le droit de refuser un défi, sous peine d’avoir un gage qui risquait d’être encore pire que celui-ci. Ne faisant que très peu confiance aux cerveaux pervertis de ses amis, il avait préféré écrire cette lettre. Puis ce n’était ni méchant ni sérieux, c’était simplement un autre moyen de s’amuser et de passer le temps.

*T’aurais quand même pu réfléchir deux fois aux conséquences avant de le lancer dans ce défi pourri quand même.*

Oui parce que maintenant le pauvre Mathéo se retrouvait en tête à tête avec la vieille McGonagall dans son bureau. Elle était en train de littéralement exploser de rage tandis qu’elle lui montrait sa fameuse lettre, au cas où il eut pu oublier sa fine écriture en une nuit. Mais en voyant cette stupide lettre, Mathéo ne put s’empêcher d’avoir un petit sourire en coin. Outre le fait qu’elle était en train de lui gueuler dessus et qu’il allait avoir des problèmes, la situation était quand même assez drôle. Oui ce n’était quand même pas tous les jours qu’on pouvait lire de la poésie comme ça. Mais McGonagall ne partageait visiblement pas le même humour que lui, bien au contraire.

Elle lui demanda s’il rigolait, puis s’il trouvait ça drôle. Et elle lui demanda de lui dire ce qu’il trouvait de si drôle pour qu’elle puisse rigoler avec lui. Elle craignait de ne pas avoir le même humour immature que lui. Heureusement, rajouta-t-elle. Mais Mathéo n’arrivait vraiment pas à faire disparaître ce petit sourire de son visage. Il savait qu’il était en train d’aggraver son cas de cette manière mais il ne pouvait vraiment pas s’en empêcher malheureusement.

*Oh s’il te plait, fais un effort, sinon tu vas finir ton année scolaire avec des heures de colles tous les samedis en sa compagnie.*


Pour l’instant, elle ne faisait que hurler, mais le jeune Serpentard était quand même curieux de savoir la punition qu’il allait avoir pour sa grosse bêtise. Allait-elle être encore plus sévère que d’habitude ? Il y a des chances. Mais déjà que Mathéo la trouvait tellement stricte dans ses punitions normales, qu’est-ce que « pire » pouvait bien signifier pour la vieille dame à lunette ? Mathéo devait lui répondre, c’était le moment, et dans un même temps essayer de ne pas éclater de rire, ce qui n’était pas gagné non plus.

– Vous avez oublié ce que c’était d’être jeune ? Je suis un enfant donc je m’amuse. Oui ce genre de chose est marrant pour des élèves de seize ans.

Commença le jeune homme. Oui elle pouvait quand même faire preuve d’un peu d’indulgence, elle n’était pas né vieille, elle avait sans doute vécu son adolescence comme Mathéo, et avait bien du faire quelques bêtises aussi. Elle n’allait pas le condamner pour avoir voulu rigoler un peu quand même. Puis il n’était encore qu’un gamin au final, c’était normal de vouloir décompresser après une journée de cours en faisant quelques blagues avec ses amis. Ils n’avaient pas le même humour, c’était certain, mais Mathéo trouvait vraiment cette lettre hilarante.

La voix de son professeur commencer à monter dans les aigus. Ce qui prouvait qu’elle devait vraiment être furieuse. Mathéo venait de lui dire que c’était juste un pari idiot entre ami. Bref, elle confirma, en disant qu’il ne devait pas avoir grand-chose dans la tête pour faire quelque chose d’aussi stupide.

– C’est pas la fin du monde. Je comprends même pas pourquoi on doit en discuter pendant une heure. Qu’est-ce que vous voulez de plus ? Tout est sur la lettre.

*Je suis pas sûr que faire de l’humour maintenant soit très intelligent. Ce n’est pas vraiment le bon moment, bébé.*

Bref, il essaya de la rassurer en lui disant que de toute façon il n’avait pas la moindre envie de coucher avec elle. Ce à quoi elle répondit qu’elle espérait bien, et que de toute façon ce serait hors de question. Mathéo essaya d’étouffer son éclat de rire.

– Non sans blague ?




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MEMBRE DE L'ORDRE
Minerva McGonagall
Minerva McGonagall
Bonjour ! J'appartiens à la maison : Gryffondor J'ai posté : 376 hiboux. Grâce à moi ma maison a gagné : 14 pour une aventure ! Je suis de la génération : 1977 . Je suis un aventurier : qu'on peut blesser

Il faudrait apprendre, jeune homme, à ne pas envoyer de lettres de ce genre à Minerva McGonagall, non mais oh !!! [avec Mathéo Collins]. Empty
MessageSujet: Re: Il faudrait apprendre, jeune homme, à ne pas envoyer de lettres de ce genre à Minerva McGonagall, non mais oh !!! [avec Mathéo Collins].  Il faudrait apprendre, jeune homme, à ne pas envoyer de lettres de ce genre à Minerva McGonagall, non mais oh !!! [avec Mathéo Collins]. EmptyLun 8 Aoû - 19:55
En effet, Minerva était, et l’est toujours, une professeure stricte, et aussi très exigeante. Mais il y avait une raison à cela. Pour réussir dans la vie, claquer des doigts ne donnerait pas le résultat souhaité. Il ne fallait pas exagérer non plus. Pour réussir, il fallait se donner les moyens, garder son objectif en tête. Il n’y avait aucun secret, de miracle ou autre, appelez cela comme vous le voulez. La directrice-adjointe, en tant que professeure, elle avait connu des élèves, ce qui était un peu normal, elle en avait vu des têtes défiler, et elle en avait aussi vu des échecs. Malheureusement. Mais parfois, l’équipe enseignante n’y était pour rien dans l’échec d’un élève. Et les rares qu’elle avait malheureusement connu, c’était dû au comportement de l’élève qui avait raté. Il pouvait accuser n’importe quelle personne, il ne devait s’en vouloir qu’à lui-même. Il se serait mis à travailler, se serait donné les moyens pour réussir, il aurait eu un meilleur résultat et aurait réussi ses ASPIC ou autre épreuve. C’était à peu près le discours que sortait Albus Dumbledore, le directeur, ou elle-même, en tant que directrice-adjointe, ou même professeur, aux parents des élèves qui venaient râler dans le bureau du grand sorcier. C’était simple, à chaque fois, les parents mettaient l’échec de leur enfant sur le dos du professeur. Et Minerva, finit souvent par dire, quand sa patience a fini d’atteindre les limites, que chaque professeur est présent pour leur élève, c’est juste ce dernier qui a refusé de voir cette évidence. Voici une des raisons de la sévérité de l’Ecossaise.
 
C’est vrai qu’elle donnait aussi beaucoup de retenues et que des élèves se trouvaient souvent à passer des soirées dans sa salle de classe vide. Mais encore une fois, la raison était très simple. Parfois, cela ne sert à rien de chercher trop loin, car la réponse est juste à côté. Ils étaient collés, car ils n’avaient pas respecté le règlement. Minerva ne prenait pas un plaisir particulier à mettre en retenue les élèves. Elle ne s’appelait pas Argus Rusard. Les soirées qu’elle passait à surveiller les élèves faires des tâches aussi peu intéressantes les unes que les autres, en même temps, il ne fallait pas leur donner envie de refaire des retenues, il fallait qu’ils comprennent la leçon ; elle aurait pu les passer à faire autre chose, de plus intéressant quand même. Comme, je ne sais pas, corriger des copies, ou même profiter de sa vie. Elle était humaine, rappelons-le. Mais bon, il ne fallait, et elle ne pouvait absolument pas, permettre aux élèves de faire eux-mêmes le règlement. S’il avait été créé, c’est pour qu’il soit respecté. Et si on faisait une dérogation pour un élève, les autres se diront mais pourquoi pas eux. Ce qui est normal. Il fallait être juste avec tout le monde et mettre une marche d’égalité pour chaque élève. Sinon cela sera la catastrophe.
 
Mathéo ne devait pas se rendre compte de sa situation car il continuait de sourire, comme si de rien n’était. Et ce sourire, et bien, il avait le don de rendre encore plus en colère Minerva, qui l’était déjà beaucoup. N’en rajoute pas une couche, mon coco, aurait-elle voulu dire si elle avait été qu’une témoin de la scène. Mais celui-ci ne semblait pas se rendre compte à quel point il s’enfonçait encore plus.
 
Je ne vous permets pas de dire cela. Et désolée, mais il semblerait que j’étais plus mature que vous.
 
Mais Mathéo, que veux-tu ? Ta mort ? Heureusement que pour une fois, ce règlement, que tu t’entêtes à ne pas respecter, te sauve. Minerva n’a pas le droit de te tuer. A son plus grand malheur. Mais un accident est si vite arrivé. Je me méfierais si j’étais toi.
 
Votre punition ? Vous voulez sans doute la connaître. Déjà, j’enlève cinquante points à la maison Serpentard. J’espère que vos camarades ne vous en voudront pas trop. Vous avez fait perdre beaucoup de points à votre maison. Je rajoute aussi un mois de retenues, tous les soirs de la semaine, sauf le week-end. Je ne tiens pas à gâcher mes week-end en votre compagnie. Ce qui fait vingt retenues en tout. J’espère que cela ne vous donnera pas l’envie de recommencer. Car sachez-le, je serais encore plus sévère après.
 
Et que faisait Mathéo, il continuait à en rajouter une couche. Mais qu’avait-il dans la tête ? Heureusement pour lui que la sentence était déjà tombé.
 
Monsieur Collins, je vous rappelle que je suis votre professeure et aussi votre aînée et que vous me devez le respect. Ecrire une lettre de ce genre, est un manque total de respect envers ma personne.
 
Elle n’osait pas vraiment dire érotique devant son élève.
 
Mais de plus, continuer à me répondre, alors que vous êtes en tort, ne sert à rien ou qu’à aggraver votre cas. Vous avez quoi dans la tête ?
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NEUTRE
Mathéo A. Collins
Mathéo A. Collins
Bonjour ! J'appartiens à la maison : Anciennement Slytherin, actuellement à l'école des sports de Londres. J'ai posté : 627 hiboux. Grâce à moi ma maison a gagné : 6 pour une aventure ! Je suis de la génération : Etudiant de 1977. . Je suis un aventurier : on peut me blesser A savoir sur toi : « Un peu trop fêtard parfois, j’ai surtout le chic pour me m’attirer des ennuies. Vraiment pour le coup, j’ai pas de chance du tout, donc faites attention quand vous m’approchez. Sinon je suis quelqu’un de gentil et de doux, même si je peux être un peu trop caractériel quand j’ai fini ma limite. En clair, me cherchez pas trop. J’ai toujours ce problème avec les filles. Du mal à les approcher et encore plus à conclure. Vous voyez le gars qui transpire, avec les mains tremblantes, et qui bégaye à chaque fois qu’une fille lui adresse la parole ? Bah ce type c’est moi … »

Ma carte de chocogrenouille
Epouvantard: Lui-même en mangemort.
Patronus: Renard
Capacité spéciale: Aucune

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“Régle numéro 1 : ne pas écrire de lettre érotique à sa prof. Régle numéro 2 : Si tu le fais quand même, ne signe jamais.”



Minerva & Mathéo




Mathéo était toujours dans le bureau de la Directrice des Gryffondor, et très sincèrement il en avait marre. Il avait une seule envie : pouvoir sortir d’ici et partir le plus loin possible. Surtout que cette discussion ne rimait à rien. Oui, il avait bien écrit une lettre érotique à son professeur de métamorphose. C’était un fait qu’il ne pouvait pas changer. Quand il l’avait faite, il n’était pas dans son état normal et ne s’était pas rendu compte du fait que c’était une idiotie sans nom. S’il avait été un peu plus réfléchi, il n’aurait pas autant de problèmes aujourd’hui. Depuis que cette vieille folle l’avait chopé dans les couloirs, elle n’arrêtait pas de lui hurler littéralement dessus. Ok elle avait la réputation d’être quelqu’un de très stricte, et n’avait surement pas aimé qu’un élève essaye de lui salir sa réputation. Mais il y avait peut-être d’autre moyen de l’expliquer que crier. Mathéo connaissait Minerva McGonagall, pour avoir passé un nombre incalculable de retenues en sa compagnie. 9a avait d’ailleurs commencé dès la première année. Elle l’avait pris en grippe à cause d’une bêtise stupide qu’il avait faite, et les retenues avaient continué de pleuvoir.

Mathéo avait l’habitude de se faire hurler dessus ce n’était pas le problème. Il avait été élevé dans un contexte familial plutôt pesant, et sa mère n’avait jamais été trop tendre avec lui. Les disputes et les tensions étaient courantes dans la famille du jeune homme. Pour ce qui était de l’école, c’était sa deuxième maison, sa vraie maison d’ailleurs. Il ne s’était jamais senti aussi bien que dans cet endroit et redoutait encore le fait de devoir partir à la fin de l’année. Ce n’était pas l’élève le plus sage, le plus attentif ou bien encore le plus studieux, mais il aimait cet endroit plus que tout au monde. Et McGonagall pouvait bien crier ça ne changerait rien du tout. Au contraire, avec elle pour le remettre en place, il avait enfin l’impression que sa présence comptait. Oui elle ne devait pas le porter dans son cœur. Loin de là, mais elle lui portait beaucoup plus d’attention que sa mère ne l’avait jamais fait auparavant.

*Arrête on va croire que tu commences à apprécier cette vieille peau.*

Mathéo se rendait très bien compte de la situation. Il savait qu’il était totalement en tort et qu’il ferait mieux de faire profil bas et de fermer sa grande bouche. Mais il ne pouvait pas s’empêcher de sourire, trouvant cette situation tellement risible. Ce n’était pas tous les jours qu’un élève devait envoyer des lettres érotiques à la femme après tout. Et puis s’en vouloir se vanter, il trouvait quand même sa lettre très réussie et très drôle. Ca valait bien un petit sourire quand même. C’était à croire qu’elle n’avait jamais été jeune avant lui. Mais elle lui répondit que si, mais qu’elle devait être bien plus mature que lui. Premièrement ce n’était pas étonnant, et deuxièmement ce n’était pas vraiment compliqué d’être plus mature que Mathéo

Bon allez, ça faisait maintenant trop longtemps qu’ils étaient enfermés dans ce bureau. Mathéo voulait juste partir, elle n’avait qu’à lui donner sa punition et fin de l’histoire. Et c’est ce qu’elle fit. Elle l’informa qu’elle allait enlever cinquante points à la maison Serpentard. Elle lui annonça qu’elle espérait que ses camarades ne lui en voudraient pas trop. On va dire qu’ils commençaient à avoir l’habitude, sachant que le Poursuiveur était responsable de bon nombre de points retirés à leur maison. Mais ce n’était pas finit, elle lui avait filé un mois de retenue tous les soirs de la semaine, samedi et dimanche exclus. Ainsi cela lui faisait vingt retenues en tout. Elle espérait que ça ne lui donne pas envie de recommencer. Et merde, il allait vraiment passer un sale mois. Franchement il aurait préféré avoir moins de temps en sa compagnie.

*Juste pour une pauvre lettre, comment c’est trop exagéré.*

Elle considérait ça comme un manque total de respect. Ca va il avait compris pas besoin d’en rajouter une couche. Et puis si ce n’était pas le cas, il avait encore vingt retenues pour que ça lui rentre dans la cervelle. Elle lui demandait ce qu’il avait dans la tête. Mais franchement Mathéo n’avait pas la moindre envie de lui répondre. C’est bon, là il avait juste envie de se barrer et d’aller sur le terrain de Quidditch pour se détendre un peu.

– C’est bon vous avez fini je peux y aller ?

Puis à quoi bon attendre, si c’était pour qu’elle lui en remette plein la tête une nouvelle fois. Mathéo prit son sac et sortit par la porte. Elle allait surement lui faire payer le fruit de son insolence pendant ses longues heures de retenues. Mais c’était trop pour lui. Il ne pouvait pas rester une minute de plus dans son fichu bureau.



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