Tissard et Brodette * Dépannage express * libre

Quittant le campus universitaire en ce samedi matin, pour gagner les rues de Londres, Mary Maconald rejoint bien vite le chaudron baveur alors qu'elle a à faire ce matin. La jeune femme doit gagner le chemin de traverse, elle a quelques emplettes à faire et la journée est déjà trop entamée à son goût comme il est déjà onze heure passé. La jeune femme traverse alors rapidement l'échoppe où quelques piliers de bars sont déjà installés et elle salut poliment le patron avant de sortir rapidement dans l'arrière cours sans demander son reste. Rapidement, elle sort sa baguette et tapote les pierres dans le mur pour que le passage vers le chemin de traverse se dévoile. Rapidement, elle entre donc sur l'avenue marchande pour rejoindre rapidement Tissard et Brodette, le magasin de mode, alors qu'elle doit acheter quelques tenus en prévision pour son été. Il sera bientôt là, mine de rien et il faut que Mary soit prête. Elle ne semble pas être la seule à avoir eut cette idée car même si ce n'est pas la période de soldes, le magasin est plein à craque d'une clientèle survoltée par l'arrivée prochaine des beaux jours, visiblement.

Mary se perd dans les rayonnages, prenant quelques articles en se faisant bousculer parfois par quelques jeunes filles qui courent d'un coin à l'autre de la boutique pour apercevoir tout les tissus, toutes les robes, toutes les coupes, toutes les formes et faire leur petit choix. La demoiselle ne s'attendait pas à être ainsi ballottée dans tout les sens. Elle ne se sent pas vraiment à son aise, ici, tout à coup, elle pensait que ce serait plus calme et se promet que la prochaine fois, elle ira en semaine pour avoir moins de monde.

Enfin, elle rejoint la caisse et patiente alors qu'il n'y a rapidement plus qu'une personne devant elle. Qui semble bien embêtée quand le vendeuse annonce le prix de ses articles. Mary suppose que cette personne ne pensait pas faire autant. Ou qu'elle a mal calculé ce qu'elle allait devoir déboursé. Elle semble vraiment dans l'embarras, explique qu'elle n'a pas tout ça sur elle. Mary soupire. L'autre propose de se rendre à Gringott et de revenir avec le montant, qu'ils n'ont qu'à garder les articles pour l'instant. Mary s'avance et dépose quelques pièces sur le comptoir avant de se tourner vers l'autre personne.

«- Allons donc, voici les 4 gallions manquant.» signale-t-elle timidement, le ton bas. «Vous n'allez pas courir à la banque pour ça.» se justifie-t-elle.